lundi 21 février 2011

Affaire Maunick : la balourdise, c'est du harcèlement sexuel ?

Jacques Maunick
De toutes les formes d’abus de pouvoir en milieu de travail, le harcèlement sexuel reste à coup sûr le plus litigieux et le plus lourd de conséquences pour celui qui, à tort ou à raison, s’en voit accusé.  Nous vivons en effet dans une société où la violence faite aux femmes demeure encore moins tolérée que celle infligée aux enfants et où, malgré les sévices sexuels imposés aux garçons révélés chaque semaine, la gent féminine se voit considérée comme seule victime de pareils outrages. 

Tout comme l’économie, une intolérance féroce à ce type de harcèlement s’est mondialisée et peut frapper tout accusé, coupable ou innocent, vivant dans une société dotée d’un féminisme d’État fort, qu’il réside au Québec, en France, en Belgique, en Grande-Bretagne, en Suède ou en Australie.  Le cas exposé aujourd’hui s’est déroulé dans la République de Maurice, un État de l’Océan Indien, situé au sud-est de l’Afrique, et a eu pour théâtre, au sens propre comme figuré, la Mauritius Broadcasting Corporation (MBC), la société nationale de radio et de télévision.

Qui s’excuse s’accuse

République de Maurice
La saga débute le 1er février 2004, quand une journaliste de la MBC, Valérie Kallee, dépose une plainte à la police de Curepipe (sic !) contre le directeur de la radio, Jacques Maunick.  Chaque fois qu’il la croise, affirme-t-elle, il lui caresse les cheveux et les mains.  Ce manège durerait depuis trois mois.  Elle affirmera cependant quelques jours plus tard que pareil incident ne se serait produit qu’une fois.  Elle ajoutera que, lors d’une soirée, son directeur l’aurait invitée à plusieurs reprises à danser, sans succès, et lui aurait proposé de la déposer à la fin de l’occasion.  Harcèlement, vraiment, ou balourdise ?

Enfin, Maunick aurait téléphoné à Kallee à plusieurs reprises à son domicile et sur son portable pour prendre un verre.  Les enquêteurs en charge du dossier révéleront plus tard que, après avoir passé au crible tous les appels téléphoniques de l’accusé, non seulement ils n’avaient pas trouvé de preuve que celui-ci avait appelé Kallee « tous les jours » depuis trois mois, mais qu’un seul appel aurait été effectué sur le portable de la journaliste à partir de la MBC.  Que faut-il déduire ?

La Mauritius Broadcasting Corporation
La jeune femme avait pourtant déclaré lors d’une réunion d’équipe, la semaine précédant le dépôt de sa plainte, que la situation était devenue insupportable.  Elle avait également adressé une lettre de doléances à la direction de la station qui tentera de trouver une solution à la satisfaction de la journaliste; celle-ci ne voudra cependant rien entendre.  Au lendemain de sa déposition, quatre témoins confirment les déclarations de Kallee à l’effet que, après qu’elle eut exprimé ses griefs contre Jacques Maunick, ce dernier ait répondu : Je reconnais mes torts.  Je reconnais avoir été un peu trop loin.  Je vous présente mes plus plates excuses.  Comme le dit le proverbe : qui s’excuse s’accuse.  Peut-on pour autant conclure à des aveux de harcèlement ?  Les témoins reconnaissent que les excuses ne concernaient que les invitations à prendre un verre.

Quand les panthères roses s’en mêlent…

Poste de police de Curepipe
Alors que deux pétitions, l’une soutenant Kallee, l’autre, appuyant Maunick, circulent à la MBC, ce dernier est inculpé, le 6 février, par la magistrate Asha Devi Ramano sous la section 254 du Code pénal mauricien, mais se voit libéré sous caution, avec ordre de ne pas quitter le pays.  Il a été mis en congé la veille avec solde.  Lors de sa comparution, sa femme, des membres de la rédaction de la MBC et un ex-président du conseil d’administration sont présents pour le soutenir.  À ce stade, les tentatives de la direction de limiter les dégâts en proposant des alternatives à la plaignante resteront vaines, une attitude qui suggérera à l’avocat de l’accusé, Yvan Collendavelloo, l’hypothèse d’un complot de la part de la journaliste et d’autres employés en vue d’empêcher Jacques Maunick de voir son contrat renouvelé.

On pourrait croire que la situation de notre homme, très médiatisée de surcroît, ne saurait être pire.  C’est sans compter le précieux concours du MLF local, pour qui la parole féminine est sacrée et la présomption d’innocence appliquée à un homme, un fâcheux irritant qui empêche le libre exercice de la justice, la leur, à tout le moins. 

Se sentant investies d’une mission divine, ces féministes radicales adressent un communiqué à la police et à la MBC.  Elles y affirment que la station a laissé la situation subie par Kallee dégénérer, un motif de consternation, on s’en doute, pour le mouvement des femmes.  Mieux encore, elles avancent que le bureau du premier ministre, en échange du contrôle serré qu’il exerce sur le contenu politique de la station d’État, pourrait bien fermer les yeux sur le comportement du directeur de la radio, par complaisance, favorisant ainsi l’impunité du harceleur.  Elles ont bien écrit harceleur, harasser, dans le texte original anglais.  Pas de doute possible, avant même la tenue d’un premier procès, Jacques Maunick se voit condamné par le MLF.  Êtes-vous surpris ?  Moi non plus.

Tout ça… pourquoi ?

Malgré une preuve filiforme, les démêlés judiciaires de Jacques Maunick dureront six ans et demi.  L’affaire sera entendue plus d’une vingtaine de fois !  C’est finalement le 24 mai 2010 que le magistrat Jean-Michel Ah-Sen acquitte Jacques Maunick au tribunal de Curepipe.  Le juriste accorde le bénéfice du doute à l’accusé devant les contradictions qu’il dit avoir constatées dans la déposition de Valérie Kallee. 

L'instrument du mal...
Pourquoi aura-t-il fallu aussi longtemps avant de trancher ?  En effet, de trois mois de harcèlement allégué où Maunick aurait pris les mains et caressé les cheveux de Kallee, on est vite passé à un seul incident du genre.  Des coups de fil incessants, on n’en retrace très tôt que bien peu.  Les invitations répétées à danser lors d’une même soirée, si elles sont survenues, peuvent relever de la maladresse, voire de la balourdise, mais de là à porter plainte pour harcèlement…  Que reste-t-il alors, qui puisse justifier pareille chasse à l’homme pendant si longtemps ?

Prenons note cependant que Maunick a présenté des excuses à son accusatrice pour avoir insisté auprès d’elle pour qu’elle prenne un verre avec lui.  Le directeur n’était donc pas sans reproche envers la journaliste.  Dans une telle éventualité, il s’agissait d’un litige qui aurait dû se régler à l’interne par un rappel à l’ordre de la direction, éventuellement par une sanction disciplinaire, dans le cas où un contact physique non désiré serait survenu, afin d’envoyer un message clair de tolérance zéro envers de telles attitudes.  

Curepipe
La judiciarisation de ce genre de situation ne devrait toutefois survenir que dans le cas où une direction resterait inactive, ce qui n’a pas été le cas ici, ou pour sanctionner des affronts sérieux.  Qu’aura donc gagné Valérie Kallee avec pareil entêtement ?  La Justice mauricienne n’avait-elle pas d’autres priorités ?  Le MLF devait-il proclamer pareille intolérance ?   Près d’un an après le verdict, on cherche encore des réponses…

12 commentaires:

Anonyme a dit…

Que cette Journaliste prétende que chaque fois que son Directeur la croise, il lui caresse les cheveux et les mains, et que ce manège durerait depuis trois mois… alors que, plus tard, elle se contredit en affirmant, quelques jours plus tard, que pareil incident ne se serait produit qu’une fois.
Que déduire ?

Devant une autre contradiction entre ce que cette Journaliste affirme, disant que son Directeur lui avait téléphoné à plusieurs reprises à son domicile et sur son portable pour prendre un verre,… alors que les enquêteurs en charge du dossier révéleront plus tard que,… après avoir passé au crible tous les appels téléphoniques de l’accusé, non seulement ils n’avaient pas trouvé de preuve que celui-ci avait appelé la Journaliste « tous les jours » depuis trois mois, mais qu’un seul appel aurait été effectué sur le portable de la journaliste à partir de la MBC.
Que déduire ?

N’est elle pas plutôt victime de l’exacerbation pathologique de ses pensées ?
Et ça, c’est une journaliste ??? Mais comment fait elle pour écrire correctement ses articles… si déjà elle déforme complètement des faits !?

Cette « Affaire » aura duré 6 ans en procédures (procès durs) judiciaires fort coûteuses quand on connaît les tarifs horaires des avocats, lesquels avocats auront fait de bonnes « Affaires ».

Une affaire où le conflit semble avoir eu comme cause l’exacerbation (pathologique ?) de l’esprit tordu, hystérique,… de cette femme. Ce conflit aurait dû – de toute évidence – se régler en « gestion de conflit », en interne, plutôt qu’en justice.
Que déduire ?

Peut-on déduire que… le fait que cette Journaliste ait choisi de porter plainte contre son Directeur, au lieu de mettre les choses au point, très simplement, en lui adressant un avertissement de manière correcte, diplomatique,… il apparaît bien qu’elle soit totalement dépourvue de bonne volonté, et d’honnêteté.
Il n’y a que les adeptes d’un féminisme victimaire (déviant, misandre, sexiste,…) qui puissent agir de cette manière là.

C’est ce que je déduis moi-même, de cette « Affaire » en tant que vieux routier et observateur de l’évolution des « vies et mœurs » entre les hommes et les femmes depuis 1960.
Nous pouvons quasiment tous affirmer qu’une pareille « Affaire » n’aurait jamais… mais au grand jamais existé dans les années 60, 70 ou 80 !!!

À défaut de trouver les aides juridiques auprès d’associations de défense des droits des hommes, j’espère que ce gars aura le courage – et surtout les moyens financiers – de porter plainte contre cette scélérate et réclamer des dommages et intérêts pour tout ce qu’il a perdu au cours de ces 6 années de violences institutionnelles.
Dur, dur d’être homme vivant dans une société de plus en plus misandre…
(s) Un citoyen Belge, victime des violences féminine et judiciaire

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

De votre avis sur toute la ligne, citoyen belge. Je me demande quel naïf, par la suite, a bien pu manifester la témérité de prendre pareille manipulatrice à son emploi. Si j'étais un collègue de travail, je m'arrangerais par tous les moyens pour ne pas me trouver seul avec elle, au cas où cette femme aurait la lubie de m'inventer des comportements déviants.

Je m'interroge toujours sur les motivations de pareilles intrigantes : vengeance, power trip, complot afin de prendre la place de l'accusé ou de favoriser un petit ami, les paris sont ouverts. Compte tenu de l'ampleur de cette affaire et du fait que cette journaliste ait mordu la poussière, son nom restera pour longtemps associé à cette totale dérive judiciaire bien plus qu'à son travail.

Même si elle écrivait un article digne du Pulitzer, qui fera confiance à ses dires, maintenant qu'elle véhicule l'image d'une menteuse et d'une magouilleuse ? Ce n'est pas moi qui pleurerai sur son sort. Les manipulatrices et les féministes radicales devraient y penser à deux fois avant d'encourir la réprobation de l'opinion publique. Le prix à payer peut devenir lourd. Merci de votre commentaire.

Malthus a dit…

Le harcèlement sexuel est une facon rapide et efficace de faire du pognon- soit en dédommagement monétaire, soit en promotion non méritée. C'est aussi une bonne facon de se venger ou de blesser quelqu'un que nous n'aimons pas.
Le plus grand problème avec le harcèlement est que le crime lui-même, comme la beauté, n'existe souvent que dans les yeux de l'observateur et ne se rapporte pas à des faits clairs mais plutot aux interprétations émotives de la "victime".
Un cas me revient à l'esprit. Une soldate anglaise déployée en Afhanistant se fit dédommagée de 15,000 livres parceque certains soldats masculins affichaient des photos de femmes nues dans leur casier. Elle se "sentait humiliée" quand, du coin de l'oeil, elle captait furtivement un flash de cette nudité. Personne ne la harcelait. Personne tentait d'échanger ses faveurs sexuelles pour d'autres d'une nature différentes. Personne ne lui faisait des avances ou ne la pousuivait ou l'injuriait. Il n'existait pas, de facto, de crime. Simplement, les émotions de madame étaient meurtries car des jeunes hommes déployés loin de leur famille, leur femme et qui frolaient la mort tous les jours se remontaient un peu le moral en contemplant la beauté féminine d'une pure étrangère.
Voilà ce qui est rageant avec ces situations. Ce n'est pas le role de la justice et de la loi d'appaiser les perceptions et les vague-à-l'âme ni de légiférer sur l'intensément subjectif.
Les êtres humains sont des primates sexués. Le jeu de la séduction les suprendra partout- au travail, au supermarché, en faisant du jogging dans le parc- et nous savons pertinemment que la plupart des unions, de nos jours, se fondent au travail.
Il ne fait guère de doute à mon esprit que la raison pour laquelle ces cas de flirts dégénère si rapidement et facilement en litige légaux est que la fielleuse propagande féministe a fait son chemin dans nos esprits au point ou l'homme à maintenant honte de sa propre sexualité.
En donnant de si larges montants sur des pécadilles ou en prosécutant à qui mieux-mieux le moindre flirt, l'homme cherche à s'excuser de sa sexualité et, comme vous le mentionniez si justement, par le fait même, s'accuse.
Ensuite on s'étonne que les hommes qui n'ont pas honte d'être sexué aillent aux putes.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

À l'appui de ce que vous dites, vous souvenez-vous du mauvais numéro de confession publique de Tiger Woods ? Non pas que j'excuse le gars pour ses incartades, mais qui, à part sa femme et ses partenaires de partouze sa vie privée regardait-elle ?

Imaginez-vous Britney Spears, Paris Hilton et autres Lindsay Lohan se flageller publiquement pour toutes leurs sottises. Je n'en suis pas encore revenu d'autant de pressions indues sur un homme, fût-ce une vedette, que jamais une femme dans la même situation n'aurait eu à subir. Mais même avec les putes, ces hommes ne sont pas à l'abri. Regardez Hugh Grant...

Malthus a dit…

Vous avez bien raison Olivier. Les femmes n'ont pas à avoir honte de leur sexualité et n'ont jamais à s'en excuser, même lorsque ces femmes sont très publiques.
Dans le cas de Tiger Woods, des milliards de dollars (revenus de télé, endossements publicitaires, etc...)et le puritanisme américain venaient brouiller la donne. De l'avis de tous les antiféministes, il aurait dû la faire arrêter pour assaut grave et ensuite la divorcer avec fracas, conviction à l'appui. Bad dammage control/media play on his part.
Pour ce qui est des putes, comme l'alcool et les barbituriques, elles ne sont nocives que lorsqu'on les mélangent à une relation plus "traditionelle". Et comme ces dernières en valent de moins en moins le cout... bottoms up!

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

C'est vrai que la dame n'a pas eu à s'excuser de son étonnant revers au golf. Mais rappelez-vous de cette affaire qui avait fait grand bruit il y a plus de 12 ans quand une femme avait été acquittée du meurtre de son mari parce qu'elle était menstruée. Quelle femme devrait avoir à s'excuser après ça ?

Anonyme a dit…

Bonjour,
La judiciarisation de problèmes d'une part d'ordre privé, et d'autre part d'une importance aussi faible au vu des accusations est tout simplement ridicule.

De plus les mensonges (dont une une accusation publique sur le lieu de travail) et le harcèlement judiciaire contre une personne auraient dus eux aussi attirer l'attention de juges si prompt à poursuivre la moindre entorse à la loi, à moins que la loi ne s'appliquent qu'aux hommes?

Si inviter une femme est un délit, les hommes devraient peut-être enfin se décider à ne plus les inviter et laisser aux femmes le soin de prendre le risque d'aborder les hommes. Peut-être ces êtres supérieurs seront elles capable de lire dans nos pensées et ne lanceront d'invitations qu'aux hommes désireux de l'accepter.

Toutefois j'ai quelques doutes sur le sujet, si je me fie à ma propre expérience, les plus jolis souvenirs de drague tant par leur tact, gentillesse et honnêteté m'ont été laissés par des hommes, probablement mieux rompus à l'exercice (et je suis totalement hétérosexuel).

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

J'ai été chanceux, question de drague par les femmes, mais ça commence à remonter loin dans le temps, et c'était dans des contextes d'études et de travail à 75 % féminins. Compétition obligeait pour séduire les gars.

Comme vous le soulevez, il n'y a une justice punitive, féminisme d'État oblige, que pour les hommes. Au Québec, une femme peut accuser faussement le plus délibérément du monde sans être inquiétée, d'où la prolifération de cette problématique destructrice.

Toujours au Québec, c'est un fait connu, les hommes ne draguent plus, et ils ont bien raison. Au "pays" de la révolution tranquille, amorcée en 1960 avec le gouvernement Lesage, en a succédé une autre, plus souterraine, mais non moins persistante. Les hommes ne veulent plus jouer selon les règles établies par les femmes et celles-ci auraient intérêt à s'en rendre compte au plus vite. L'intuition féminine serait-elle un légende urbaine ?

dchbr38 a dit…

Bonjour

En cherchant sur la toile des infos concernant quelques amis "perdus de vue" de longue date, je tombe sur votre article concernant Jacques Maunick. Et je suis consterné par cette info. Je n'ai évidemment pas connaissance du dossier, mais votre argumentaire me semble convaincant.
Si cette info me touche particulièrement, c'est que Jacques fut un de mes meilleurs camarades de fac ( Sorbonne 1966-68), et ma femme et moi avons gardé de lui un excellent souvenir.
Si nous en avions l'occasion, nous pourrions nous remémorer d'émouvantes et d'amusantes anecdotes vécues dans ce merveilleux Paris des années 60, et au cours d'un mémorable séjour dans les Cévennes, en compagnie des joyeux lurons du groupe de l'Institut de Phonétique de la Sorbonne.

Lorsque ma femme et moi sommes partis en coopération en Tunisie, en 1969, nous ne l'avons revu qu'une fois à Paris, à l'occasion de vacances en France, au début des années 70. J'ai eu connaissance de son parcours à la radio dans les années qui ont suivi, mais je l'ai définitivement perdu de vue ensuite. A mon grand regret.

Si vous aviez connaissance d'un lien qui me permette de lui envoyer un message, je vous serais reconnaissant de me le communiquer.
Et merci pour cet article, qu'il aura certainement apprécié.

Très cordialement

Daniel Brillant
Grenoble

dchbr2@gmail.com

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Je n'ai malheureusement pas trouvé de coordonnées ou de liens pouvant vous mener à votre ami "perdu de vue", comme vous dites. Et comme je ne le connais pas personnellement, je ne suis pas plus avancé.

Son histoire m'a intéressé puisque les cas de fausses allégations m'interpellent, bien que je n'en ai jamais fait l'objet, par le facilité avec laquelle elles sont portées, par la rapidité avec laquelle l'appareil policier et judiciaire prend fait et cause pour la partie accusatrice (la plupart du temps, féminine) et par l'immunité diplomatique dont cette dernière bénéficie, même une fois la partie accusée (la plupart du temps, masculine), acquittée.

dchbr38 a dit…

Merci pour votre réponse. Votre article, outre l'intérêt de vos propos, me donne l'idée de parcourir le labyrinthe de la toile pour essayer de trouver cette info.

Une précision : la photo que vous publiez au début de votre article n'est pas celle de Jacques Maunick ! Cela l'amuserait sans doute, lui qui plaisantait volontiers sur la couleur de sa peau.

Cordialement

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Merci de votre correctif. En effet, après vérification, j'ai constaté mon impair. L'article auquel j'avais emprunté la photo originale mais erronée, a d'ailleurs eu le bon goût de la retirer, d'après ce que j'ai pu constater. J'espère que ma nouvelle photo correspondra davantage à l'original ! Salutations.

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ?   C'est la première fois depuis ...