vendredi 16 septembre 2011

Mêmes problèmes, mais elle s’exprime et il se plaint…

Gender studies : on s'habitue à tout...
Depuis la rentrée, la gender therory, ce courant de pensée qui prétend que nos comportements sexués seraient dictés non pas par le nature mais par le conditionnement social, suscite une controverse en France.  Devant un tel tumulte, je trouve plutôt rassurant de constater les tics, manies et défauts, tantôt exaspérants, tantôt sympathiques, propres à chaque sexe.  Il me semble que leur manifestation même prouve mieux que toute étude contraire la vacuité de cette lubie à la mode, pour le moins fantaisiste. 

Il est à noter que, aux yeux même des défenseurs de cette idéologie, regroupant notamment lobbies féministe, gai et lesbien, on a vite fait de passer de l’acquis, pour ce qui est des comportements sociaux, à l’inné, quand il s’agit de présenter les femmes comme des victimes inoffensives, et les hommes hétérosexuels, comme leur ennemi public numéro un.  En clair, quand la doctrine fait l’affaire, on la déclame en vers, mais quand elle contredit le discours victimaire dominant, on passe outre.  C’est ce qui fait de la gender theory ou des gender studies, du prêt à porter – ou à laisser – idéologique, une nouvelle mouvance fumeuse émanant d’un mouvement qui n’en est pas à une incohérence prêt.

Comment se plaindre la bouche fermée ?

Notre société est hypocrite envers les hommes.  Avez-vous remarqué comme on leur reproche facilement de ne pas parler, de ne pas demander de l’aide, quand ils sont en détresse, et de jouer les Wally bras forts devant des situations qui les dépassent ?  Notez nos réactions, quand l’un d’eux a le malheur d’exprimer une peine, un malaise, une douleur.  Souvent, une âme charitable lui serinera, avec une pointe d’ironie condescendante, une sottise du genre : « hon, le pauvre petit homme a de la grosse peupeine ?... »  Les hommes ne parlent pas, et on se demande pourquoi.

Mais pourquoi ils causent pas ?
Il en va souvent tout autrement quand une femme exprime un état d’âme identique.  Il subsiste contre vents et marées dans notre société une tendance à la sacralisation de la douleur féminine.  Une femme se blesse au doigt et la planète interrompt sa rotation.   Un homme se casse la jambe, il n’avait qu’à y penser avant de jouer les matamores.

La souffrance au masculin n’émeut personne.  J’en veux pour preuve cette tragédie, survenue il y a quelques années, où un père, en lutte houleuse pour la garde de sa fille, avait vu son auto exploser et avait perdu une jambe sous la déflagration.  L’homme se doutait de ce qui l’attendait puisqu’il avait averti un témoin futur du drame de ne pas s’approcher de son véhicule au moment où il s’apprêtait à démarrer. La famille de la mère a toujours nié savoir quoi que ce soit des circonstances de l’explosion. 

Un femme souffre-t-elle
plus qu'un homme ?
Quelque temps après, la mère, qui avait la garde principale de la gamine de quatre ans, et la grand-mère avaient été arrêtées in extremis après que la police eut été informée d’un pacte de suicide qui devait suivre le meurtre de l’enfant.  Essayez donc de trouver de la documentation sur cet événement, pour voir.  C’est comme si rien ne s’était passé.  Croyez-vous que notre société serait restée aussi insensible si une femme avait été ainsi mutilée et que son enfant avait failli se voir assassiné par son ex-conjoint ?  Poser la question, c’est y répondre.

La souffrance masculine, une invention…

Au Québec, les hommes représentent 49 % de la population totale, mais la condition masculine n’existe pas.  Les primas donnas du lobby féministe en ont décidé ainsi.  Quatre suicides sur cinq sont commis par des hommes, mais ces derniers n’ont pas de problèmes, que des privilèges hérités du complot patriarcal millénaire ourdi contre les femmes et auquel chacun d’entre eux participe.  J’ai parfois l’impression que, dans une optique féministe, tous les hommes du Québec sont liés entre eux par cellulaires ou Internet, et occupent leur loisirs à traquer d’innocentes citoyennes, en vue d’en pousser du haut d’un escalier roulant, de saboter les freins de leur auto, de placer une tarte à la crème sur le siège où elles vont s’asseoir, ou Dieu sait encore quelle infamie ! 

Qu’importe aux yeux de ces bien pensantes, que certains hommes en arrivent à commettre l’irréparable, tuant femme ou enfants, parce qu’ils ne trouvent aucune solution à leur problème, qu'ils ne voient plus aucune lumière au bout du tunnel.  S’ils tuent, ce n’est pas parce qu’ils sont désespérés, c’est parce qu’ils sont des hommes.  Ce sont les méchants, et les méchants, on aide pas ça, voyons !

Oui, je reviens encore là-dessus !

Mesdames, avez-vous marché pour ça ?
Je sais, j’en ai déjà traité dans ce blog, et je vais recommencer.  Si je parle de cet incident, c’est qu’il représente toujours à mes yeux la page la plus noire de l’histoire d’un mouvement qui en compile déjà quelques autres à son actif.  Craignant de voir leurs subventions diminuer au profit de programmes de santé et de services sociaux destinés à soutenir les hommes, alors que les besoins des femmes restent onze fois plus financés, une quinzaine d’instances féministes est montée aux barricades afin de s’opposer à toute reconnaissance des problématiques masculines et, par conséquent, à la mise en œuvre de toute solution gouvernementale pour y remédier.

Je crois qu’il vaut la peine de rendre un hommage négatif à ces porte-parole dont l’insensibilité n’a d’égale que l’arrivisme et la cupidité.  Pour toute réponse au rapport Rondeau, qui identifiait dès 2004 les lacunes criantes de notre système afin de venir en aide aux hommes en situation de crise, ces organismes féministes ont répliqué par un mémoire dont le titre même trahit l’inexcusable malhonnêteté : Comment fabriquer un problème.  De la part de spécialistes avérées en dopage statistique et études biaisées, la coup porte !  Je termine donc avec la liste des signataires de ce document honteux :

Fédération des femmes du Québec, Regroupement québécois des CALACS (centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel),

 Centre de documentation sur l’éducation des adultes et la condition féminine,
 Chaire d’étude Claire-Bonenfant sur la condition des femmes - Université Laval, Conseil d’intervention pour l’accès des femmes au travail, 
Fédération de ressources d’hébergement pour femmes violentées et en difficulté au Québec,
 Fédération des associations de familles monoparentales et recomposées au Québec, Institut de recherches et d’études féministes (Université du Québec à Montréal), Regroupement de femmes de l’Abitibi-Témiscaminque,
 l'R des Centres de femmes du Québec, Relais-Femmes, 
Regroupement provincial des maisons d’hébergement et de transition pour femmes victimes de violence conjugale, Réseau québécois d’action pour la santé des femmes, Regroupement Naissance-ReNaissance,
Regroupement des groupes de femmes de la région 03 (Portneuf-Québec-Charlevoix), Table des groupes des groupes de femmes de la Gaspésie et des Îles,
Table des groupes de femmes du Bas Saint-Laurent.

10 commentaires:

Anonyme a dit…

Les garçons aujourd'hui sont élevés de leurs naissances jusqu'à leurs majorités par des femmes donc à partir de la on ne peut rien mettre sur le dos des hommes et du patriarcat imaginaire, si il y a un problème il vient des femmes.
Rien que cela devrait poser question si en plus on rajoute qu’ils sont élevés d'un point de vue exclusivement féminin donc qui ne prend pas leurs problèmes/attentes en considération.
L’éducation au féminin ça donne « garçons tais toi souffre en silence, serre les dents et ne pleur pas » si tu oses l’ouvrir « tu es un faible, un moins qu rien etc etc».
Qui n’a pas entendu déjà entendu une femme dire a propos de son homme « ho le pauvre petit il est malade » d’un ton sarcastique (sous entendant le faible).
Jusqu'à quand ? On pousse cette éducation au maximum dans certaine société du (genre Québec, Suèdes, etc etc ) et tous ceci de manière très perfide.
Et tout à l’inverse on éduque les filles à parler de leur problème même des problèmes qu’elles n’ont pas, des problèmes imaginaires.
Une étude avait montré qu’au Québec environ 60 % des femmes se sentent discriminés à cause de leurs sexes contre 30 % des hommes. (Le victimisme a fait des dégâts).

Et le jour où les hommes (toutes les générations) vont commencés petit à petit a parlé de plus en plus fort et qu’en face les misandres vont leurs dires chutes les faibles, ça va faire mal.
Les hommes ne peuvent pas rivalisés contre la violence verbales des femmes ils se défendront donc avec leur propres armes, à savoir la violence physique.

Si les misandres pensent pouvoir évité tout affrontement en niant les problèmes des hommes elles se trompent elles sont justes en train de creuser leurs propres tombes au sens propres du terme.
Ne vous faites pas d’illusion la guerre des sexes aura bien lieu dans certain pays.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Je crois que si le féminisme misandre a eu une conséquence positive (tout arrive...), c'est bien d'avoir contraint les hommes à parler, à canaliser leur agressivité en utilisant le verbe et la dialectique. Au plan de l'argumentaire, quand je lis ou participe à certains forums, je constate que les hommes, plus souvent que leurs adversaires, argumentent, citent leurs sources et expliquent tandis que les féministes radicales dénigrent, multiplient les procès d'intention et, comme vous le soulignez, banalisent les problèmes masculins et surdimensionnent les leurs.

Ce n'est pas pour rien que les féministes d'État aimeraient tant nous museler en nous traitant d'antiféministes, comme jadis le clergé traitait de communiste quiconque s'opposait à ses vues.

Votre point de vue sur l'éducation des garçons m'a remis en mémoire un extrait de l'une de mes chroniques. Je vous le partage :

Mon enfance porte la marque de la violence au féminin, dans plusieurs contextes. Pourtant, j'ai grandi, dans les années soixante, dans le quartier Ste-Cécile, le pire de Trois-Rivières quant à la violence masculine. Bagarres, tiraillage et intimidation constituaient souvent la trame de fond sur laquelle se déroulaient les gestes du quotidien.

Malgré le stress d'un tel climat, mes années passées à mon école primaire dirigées par des soeurs m'ont encore plus marqué. Non contentes de nous menacer d'aller en enfer si nous étions « méchants » (en 1967, à l'époque du Flower Power!), nous étions exposés à toutes sortes de sévices, dont la légendaire « strape », mais aussi aux claques derrière la tête, aux serrements de nuque, aux cheveux tirés et au pincement des bras (Et ces faibles femmes avaient de la poigne, croyez moi!). Nous pouvions également nous voir tirer des rangs et secoués comme un cocotier.

Quand j'étais pensionnaire (deux ans sur les six que j'ai passés dans cette institution), la sœur responsable du dortoir des premières années, pour nous punir, réduisait dangereusement l'eau froide quand nous prenions nos douches et en ouvrait le rideau pour s'assurer que nous restions bien sous le jet. À six ans, je ne connaissais pas encore le mot « perversion » mais le regard de cette femme m'en avait déjà fait comprendre le sens.

Cette même sœur avait déjà jugé adéquat de déculotter un garçon de race noire et de lui administrer des coups de « strape » énergiques devant les élèves incrédules et abasourdis du dortoir. Une autre, enseignante, jetait leur cahier à la figure des enfants qui avait eu le malheur de ne pas avoir la bonne réponse en mathématiques. À noter que les garçons qui restituaient leur nourriture à la cafétéria se voyaient obligés de l’ingurgiter à nouveau devant les autres convives.

Et puis, pas question de se plaindre, fut-ce aux parents : les hommes, les vrais, ne pleurent pas...

Il y avait aussi la violence verbale, les insinuations méprisantes, l'ironie, les sarcasmes et des commentaires émis devant toute une classe sur des enfants présents à qui l'on prédisait un avenir bouché. J'ai d'autres exemples en mémoire de violence féminine vécus ailleurs et à d'autres époques, mais ceux-ci, survenus à l’enfance, me semblent « dignes » de mention.

Bien sûr, il y avait aussi (Dieu merci!) des sœurs avec le cœur à la bonne place. Leur douceur et leur empathie atténuaient la dureté de leurs consœurs sans toutefois l'effacer. J'ai réussi à pardonner à mes « geôlières », mais il m'a fallu le temps et la compréhension qu'elles étaient probablement elles-mêmes prisonnières, ne serait-ce que par le phénomène encore courant à cette époque des vocations forcées.

Mais que représentent leurs problèmes ou les miens quand on les compare à la misère des blondes ?

http://olivierkaestle.blogspot.com/2009/10/violence-au-feminin-et-misere-des_03.html

Anonyme a dit…

tandis que les féministes radicales dénigrent, multiplient les procès d'intention et, comme vous le soulignez, banalisent les problèmes masculins et surdimensionnent les leurs.

==> Dans une société ou elles ont imposés leurs dogmes pas besoin d’argumenter, toute personne étant contre est un dangereux misogyne tueur de femme (terrorisme intellectuel).
De plus l’argumentation n’a que peu d’effet dans une société ou c’est l’émotionnel qui prime.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Je suis en partie d'accord avec vous, mais je vous dirais que c'est aussi émotionnellement que les gens en ont ras le bol du discours victimaire féministe. Souvenez-vous de la catastrophique marche des femmes de 2010. Les récriminations du public allaient bien au-delà de la pub antimilitariste de la FFQ pour déboucher sur une remise en question de l'existence même du regroupement féministe le plus emblématique du Québec. Je vous le dis : le vent commence à tourner. Peut-être le jour n'est-il pas si loin où il deviendra tornade...

Malthus a dit…

Tout ce silence idéologique me rapelle la folie soviétique en matière de biologie évolutive ou les scientifiques n'avaient pas le droit d'adhérer à la théorie du gêne individuel, capable de variations sans le moindre souci pour le reste e l'organisme, car cette vision trop "individuelle" de l'évolution niait les diktats du communisme et des besoins de l'ensemble.
Résultat: maintenant la folie idéologique marxiste passée, les russes sont des cancres en microbiologie et ont 50 ans de rattrapage a faire.
Le Québec subira t-il le même sort? Serons-nous des décennies derrière tout le monde en matière d'humanisme appliqué et de droit de l'humain pcq une poignée d'hurluberlues empreintes de la Vérité auront empêché tout progrès significatif en ce domaine....?
Hélas, tel est notre lot inévitable, si l'Histoire est un professeur fiable.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

J'ai bien peur que votre pronostique ne s'avère exact. En effet, notre système d'éducation a si bien dégoûté les garçons des hautes études, qu'ils désertent les facultés où ils étaient - et demeurent encore malgré tout - majoritaires, sans pour autant que les filles, que les sciences intéressent beaucoup moins, ne prennent la relève. Résultat : alors que le Québec se classait avantageusement au plan mondial en ce qui a trait aux sciences et des maths, il commence à décliner, dans la paralysie idéologique la plus aveugle et la plus totale.

On pleure sans arrêt sur le décrochage des gars, mais pouvez-vous me dire quand le gouvernement a commandé une étude concrète du phénomène en vue de solutions pratiques ? Dès qu'il est question d'enclencher pareilles démarches, un mur de dogmes s'érige : l'échec scolaire des gars relève des stéréotypes sexistes et de l'absence des pères... que l'on tasse sans vergogne en cas de divorce. Le système reste alors aussi intact que dommageable...

Malthus a dit…

Assez bizarremenr...oui!
On nous annoncait tout dernierement que, pour enrayrer le décrochage massif des garcons à l'école, on allait mettre un accent tout particulier sur leur abilité de *lecture*. Au début, je me me bidonnais mais apres moultes recherches, il semble *qu'effectivement* une forte corrélation entre l'abilité à la lecture et la continuation scolaire soit envisageable.
Traduction: aider et superviser nos garcons à mieux lire et et à être plus à l'aise avec le médium imprimé augmenterait leurs chances de rester en classe plus longtemps.
On est loin de la réforme de fond qui ramenerait un large pourcentage d'enseignants (role model) dans le systeme actuellement sur-féminisé mais c'est là un premier pas (apparement efficace) qui, on l'espère, permettra aux jeunes garcons de dégonfler les statistiques effarantes de décrochage et leur redonner le gout- et la *capacité* d'accéder à des études supérieures
Un pas à la fois. Qui sait, peut-être un jour atteindront-ils Rome!

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Oui, Malthus, un peu de positivisme ne peut pas nuire et, comme le dit le proverbe, la plus petite action vaut mieux que la plus grande intention. Au moins, cette ministre Beauchamps semble un peu plus pressée que ses prédécesseurs à vouloir agir en vue d'aider les garçons. Une nouvelle présidente du CSF, moins sectaire que la précédente, expédiée au Mexique, fera-t-elle une différence en cessant une opposition systématique à tout programme favorable aux gars ? Souvenons-nous du commentaire de Mme Pelchat devant la suggestion d'investir pour aider nos garçons, durant la parodie de consultation sur l'égalité homme-femme : selon elle, du gaspillage de fonds publics ! Il paraît que JMD veut dépoussiérer le CSF. Elle a besoin de s'armer d'un bon plumeau, mais pour vous paraphraser, on finira peut-être un jour par balayer jusqu'à Rome !

Anonyme a dit…

Existe-t-il des manifestations qui dénoncent celà ?
J'ai jamais vu la moindre mouvement dénonçant ce sexisme ordinaire prendre la parole ailleurs que dans des petits rassemblements annuels,et encore il faut bien chercher.

Si les féministes peuvent faire passer leur messages c'est avant tout parce qu'on peut les entendre...
Ca à permis de libérer la femme,mais ça leur a aussi permis de faire entendre les plus sexistes théories,en profitant de ce nom de "féministes" qu'on colle à tout va.
C'est pour ça aussi que ça passe si bien,parce que personne ne veut voire la différence entre ces deux féminismes et qu'on laisse faire aussi bien l'un que l'autre sans croire qu'il faille se méfier.On se dit si elles manifestent c'est que leurs idées sont justes et qu'elles n'ont pas peur,ce qui accroît encore le "côté juste" de leur mouvement...et c'est un cercle vicieux qu'il faut casser.

Faut peut-être y aller franco,au passage d'une manif à tendance ou idées sexiste et radicales,débouler aussi et distribuer des tracts dénonçant celà,se faire voire par les médias,prendre le contre courant sous les yeux de tous et surtout dire pourquoi...

Les réunions et les blogs c'est bien mais c'est pas ça qui va faire avancer les choses ni passer le message.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Vous savez, l'apport d'Internet dans la conscientisation sur la condition masculine est indéniable. Grâce à ce média, l'information circule, celle que les médias ne divulguent pas, et de plus en plus de gens mesurent l'étendue des dégâts du féminisme d'État.

Manifs et moyens de pression ? Je ne serais pas surpris qu'on en arrive là. Tant que c'est non-violent, pertinent et accrocheur, pourquoi pas ?

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ?   C'est la première fois depuis ...