jeudi 23 février 2017

Islam et culture du viol…

Contrairement à ce que pourrait laisser supposer des événements tels que les viols endémiques perpétrées par l’État islamique ou, dans un contexte occidental, les agressions sexuelles commises par des migrants à Cologne, il n’existerait pas de valorisation ou d’encouragement explicites au viol dans le Coran. On y trouverait par contre une forme de « vide juridique » qui le favoriserait par son omission même à le condamner.

Salem Ben Ammar
C'est le point de vue de Salem Ben Ammar, docteur en sciences politiques, diplômé de l'institut des hautes études internationales de l'université de Paris 2, en anthropologie sociale et en démographie, qui ajoute :

« A supposer que l’Islam prohibe le viol, pourquoi la femme n’a pas le statut de victime comme il transparaît à travers les innombrables cas de viol dans les pays musulmans où de victime est jugée coupable condamnée soit à la prison soit contrainte à épouser son violeur ? N’est-elle pas non plus considérée comme un butin, « ghanima » en arabe, au même titre que le bétail et les biens razziés à l’époque du prophète même, dotée du statut d’esclavage sexuel ? Ne dit-on pas qu’il était permis de dévoiler dans le sens violer les captives que le Coran est loin de désapprouver ? Il semble que l’on doit s’assurer du plein consentement de la captive pour entretenir une relation sexuelle avec elle, une espèce de viol par consentement. »

Aux féministes intersectionnelles, qui arrivent à constater une « culture du viol » au Québec à travers un regard insistant, des avances non désirées, un sifflement dans la rue ou une facétie grivoise, et qui poussent leur ridicule croisade jusque dans nos universités où elles trouvent le moyen de voir des survivantes en Alice Paquet, Ben Ammar a de quoi donner matière à réflexion. Au fait, n’est-il pas lui-même un universitaire érudit ? En voici une autre preuve :

« Que vaut la parole d’une femme victime de rapports non-consentis alors que sa parole compte pour la moitié de celle de l’homme selon le droit musulman qui lui fait obligation de l’étayer par le témoignage de 4 hommes musulmans, et par extrapolation de 8 femmes ? L’Islam n’encourage pas le viol, mais ne l’interdit pas non plus ne serait-ce au regard de les « Sirats » du Prophète et de ses Compagnons que les nostalgiques pathétiques de la pureté originelle de l’Islam qui considérait la femme comme un être funeste et impure veulent en faire un nouveau mode de vie pour tous les musulmans. . Ils oublient qu’en sacralisant et légitimant le viol au nom des valeurs sacrées de l’Islam, ils commettent un crime contre l’humanité. »

Non, Mesdames, l’islam ne favorise en rien une culture du viol… Mais voyons comment les prémisses de ce phénomène se manifesteraient au Québec, plus particulièrement au sein du milieu universitaire, selon le très conscientisé Comité femmes de l’université Laval :


« Si son message vise les initiations de début d'année, le comité va plus loin et avance que la «culture du viol» est un problème répandu plus largement dans le milieu universitaire. «Cette culture se reproduit de manière sournoise, bien implantée dans les normes d'un système académique traditionnellement masculin. Un regard trop insistant, une blague insidieuse, un geste inapproprié, la persistance d'un flirt non désiré, tout cela participe à la culture du viol.»


Il est difficile de se rendre aussi ridicule sans le réaliser, mais il faut croire que le non-sens n’est pas un obstacle à la libre expression. J’aimerais savoir ce que pense le Comité femme de l’université Laval des agressions sexuelle survenues à Cologne et de leurs 1200 victimes en janvier 2016. Une recherche effectuée sur Google ne m’a indiqué aucun résultat…


Vous dire mon étonnement, devant un silence radio qui s’étend par ailleurs à toutes les féministes intersectionnelles, sinon pour nous infliger leur perpétuel cri de guerre : « Pas d’amalgame ! »

6 commentaires:

Suzanne Cantin a dit…

Si la parole d'une femme n'a pas de valeur dans l'islam, si elle est ci sidérée comme un être sous-entendre et qu'elle est juste un objet d'utilité dans cette société "reculée par le tonnerre" 1300 ans en arrière, il est évident que la notion de "viol" n'existe pas pour les musulmans. Pourtant, c'est justement cette inexistence du viol qui en fait une culture profonde et ancrée depuis toujours.

Anonyme a dit…


"Votre Seigneur a inspiré aux anges le message:" Je vais terroriser les incroyants, donc les frapper sur leur cou et chaque joint et les incapaciter. Frappez leurs têtes et coupez chacun de leurs doigts et orteils."
KORAN 8:12

https://www.youtube.com/watch?v=TODT5hvuNkM


Unknown a dit…

"Un regard trop insistant, une blague insidieuse, un geste inapproprié, la persistance d'un flirt non désiré, tout cela participe à la culture du viol." Houla, mes yeux me piquent !!! Si les féministes ne font pas la différence entre viol et un amant un peu insistant, c'est pas étonnant que leur statistiques soient si affolantes ! C'est sur que des femmes qui s'agrippent à leur ancien partenaire, ça n'existe pas. Tout comme les femmes qui font des blagues ou des commentaires grivois, ... Alors de 2 choses l'unes: soient elles participent également à la "culture du viol" à leur propre désavantage, soit elles cultivent la culture du viol au détriment des hommes ! Quoi, ce raisonnement n'est pas plus absurde que le leur ?

Anonyme a dit…

Article intéressant ..Culture du viol ..mon œil ..
Voir sur le Web et Wikipédia .. Christina Hoff Sommers…qui confronte les féministes radicales notamment sur les notions de ...Culture du viol ..les mensonges féministes sur les salaires ..sur les agressions sexuelles ..ect ..
Elle se définit comme féministe Égalitaire .. Peut - etre la connaissez - vous ..Moi je la decouvre

Voici ce que rapporte , pour la décrire des sites Web ..

(..Christina Hoff Sommers est stagiaire résidente à l’American Enterprise Institute. Elle est l’auteur de Who Stole Feminism and the War Against Boys. Her new book, Freedom Feminism — Its Surprising History and Why It Matters , will be published in 2013 by AEI press. Son nouveau livre, Freedom Feminism - Its Surprising History et Why It Matters , sera publié en 2013 par AEI Press. ….)..

...(..Rencontrez la féministe qui se tient pour les hommes ….L'universitaire féministe Christina Hoff Sommers attire l'attention pour s'opposer aux contre-vérités dans le débat sur l'égalité entre les sexes, écrit Peter Lloyd ...)

..(...Hoff Sommers est maintenant stagiaire résident à l'American Enterprise Institute, où elle produit la série vidéo Factual Feminist , où elle donne des conférences sur des sujets tels que «Les cinq mythes féministes de tous les temps» et « La vraie raison, il n'y a pas plus Femmes scientifiques …)
..(Quand Christina Hoff Sommers, une «ancienne fleuriste des années 60» transformée en professeur de philosophie, a commencé à étudier le féminisme académique, elle a découvert de nombreuses «erreurs, demi-vérités et mensonges». ..)
....

Anonyme a dit…

A Anonyme 14:25,

Oui Cristina est critique énormément des féministes radicales pour sa position pro-familiale. Mais, si je peux, je vous recommande le petit bouquin de la docteur Helene Smith, Men on Strike (2012). Ce petit livre qui est très facile à lire et à comprendre est un chef-d’œuvre et qui est un must à lire pour tous garçons et parent de jeune garçon.

Madame, Messieurs, il est grandement temps d’avoir des discussions sérieuses avec vos jeune garçons et d’au moins les avertir et leurs préparer aux pièges et aux arnaques.

Anonyme a dit…

Voici le danger du feminisme. Voici quand les bon serge blanc donne exactement ce quelles veulles.

http://mattforney.com/men-arent-fighting-women-anymore/

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ?   C'est la première fois depuis ...