lundi 4 septembre 2023

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ? 

C'est la première fois depuis 2009 que cette plateforme s'arroge le droit de supprimer sans crier gare l'un de mes textes.  

Mes réactions suivront si, bien sûr, elles ne sont pas à nouveau censurées. 

Le billet est disponible sur cette page Facebook. 

vendredi 1 septembre 2023

L’étoile du matin.

Avertissement : second degré en vigueur...

En avez-vous lu assez, de ces posts ou tweets moralisateurs et condescendants qui, après avoir fait étalage des meilleurs sentiments, semblent avoir pour but suprême de vous culpabiliser si vous ne jugez pas opportun de les relayer sur votre mur ?  

Pourquoi ne pas en rire ?  Voici :

Elmer Gantry
L’amour, c’est l’étoile du matin, et c’est l’étoile du soir, révélait le bon pasteur Elmer Gantry.  C’est le souffle de vie qui donne tout son sens à la nôtre dans un florilège de vertus plus signifiantes les unes que les autres et qui nous apporte tolérance, bonté, altruisme, dévouement, sollicitude, générosité, tendresse, affection, respect et communion profonde. 

Si tu es d’accord avec ça, partage-le sur ton mur. 

Sinon, t’es rien qu’un hostie d’écœurant, de putois pourri, de rejet de la société, d’enfoiré fini, de gros jambon juste bon à finir tes jours dans la rue sous une pluie battante pendant qu’un chien galeux urine sur ta médiocrité, espèce de gros sale !  

Je saurai qui sont mes vrais amis, na !

samedi 15 avril 2023

Pourquoi médias et politiciens ignorent délibérément le discours sexuel de Barbada ?

Sébastien Potvin, alias Barbada
Il suffit de visionner cette vidéo de Barbada pour comprendre que son discours, qui s’adresse en principe aux enfants, comporte une évidente dimension sexuelle, de l’aveu même du soi-disant pédagogue, qu’il s’agisse « d’orientations sexuelles, d’identités de genres et d’expressions de genres ». 

Ce sont les expressions mêmes que Barbada utilise.  Soulignons que c’est Radio-Canada qui diffuse, et cautionne par conséquent, ce discours.

Le titre : LGBTQI2A+ avec Barbada. 

Peut-on être plus clair ?  Faut-il faire un dessin aux politiciens et commentateurs médiatiques qui regardent de l’autre côté, qui font semblant que le discours de ce drag queen est inoffensif et anodin, et que tous ceux qui le contestent sont des complotistes arriérés influencés par l’extrême droite américaine religieuse ?

Je transcris ici, entrecoupé de mes commentaires, des extraits de son boniment, pour le cas où YouTube déciderait de le retirer, non par respect pour son public mais plutôt pour faire disparaître une preuve incriminante de prosélytisme sexuel qui n’a pas sa place auprès des enfants.

Barbada commence son allocution ainsi :

« - LGBTQI2A+.  Ok, moi, faut que j’essaie de vous expliquer ça, là ? »

Euh, non, qui te demande d’expliquer quoi que ce soit à qui que se soit ?  Il poursuit :

« Bon !  Ce sera pas super simple, mais tiens-toi bien, on part ! »

Pour les enfants, bien au contraire, la vie est « super simple » : il y a les gars et les filles, qui deviennent plus tard des hommes et des femmes.  C’est aussi simple que ça.  Pourquoi veux-tu leur compliquer la vie ?  Pourquoi semer la confusion dans leurs esprits candides et sans défense ?  Pourquoi ne pas les laisser être des enfants ?  Quel est le but de ton initiative ?

Barbada et le masturbate-a-thon

Note à nos dirigeants et commentateurs : ne me faites pas croire que vous ignorez toujours à l’heure actuelle que Barbada, de son nom véritable, Sébastien Potvin, organisait dès 2013 à Montréal un masturbate-a-thon, dont les profits devaient être versés à une maison de jeunes.  C’est cet individu dont vous cautionnez les « doctes » enseignements auprès des enfants du Québec ?


Mais poursuivons avec la suite de son discours si révélateur, à défaut d’être intéressant :

« - LGBTQI2A+.  C’est un acronyme qui rassemble les différentes orientations sexuelles, les identités de genres et les expressions de genres.  Euh !  Eh boy, OK. »

Message à Gaétan Barrette, Régine Laurent ou Patrick Lagacé, parmi plusieurs autres idiots utiles du wokisme ambiant, qui font semblant d’ignorer la dimension sexuelle du discours de Barbada, comme s’il s’en tenait au Petit chaperon rouge ou à La Belle au bois dormant : comment arrivez-vous à ne pas voir la dimension éminemment sexuée du discours de votre idole ?

Message à « Barbada » : Franchement, Sébastien, les jeunes t’ont complètement perdu à partir de… « acronyme » !  Je doute qu’ils saisissent le sens de 90 % de tes aberrations.  En revanche, tu auras atteint un objectif : semer la confusion chez des esprits naïfs et vulnérables, qui ont plutôt besoin de se construire à partir de modèles inspirants. 

Paraîtrait que les demandes de consultations en psychologie pédiatrique seraient à la hausse, ces temps-ci.  Pas surpris.

La déconstruction des enfants

Un drag queen n’a rien d’un modèle inspirant, bien au contraire.  Sous le prétexte apparemment noble de « déconstruire les stéréotypes », ce sont les enfants que tu déconstruis, et c’est très grave, pour ne pas dire criminel.   

Continuons ton délire :

« Là, on va essayer de faire ça simple, parce que c’est quand même un peu complexe.  En fait, chaque lettre de l’acronyme (sic !) désigne une orientation sexuelle ou une identité de genres. »

Toujours aucune allusion sexuelle, les curés de la bien-pensance ?  Est-il possible que vous soyez à ce point bouchés ?  J’ai pris la précaution de mettre certains concepts en gras pour être sûrs que vous les identifiez, à défaut de les comprendre, parce qu’on ne peut pas dire que vous soyez d’une vivacité intellectuelle optimale… 

En passant, Sébastien, il n’y a rien de complexe dans ton propos.  Tout y est au contraire compliqué, au sens de réalités qui auraient dû rester simples, mais que tu compliques artificiellement.  Tu continues :

« Le L pour lesbienne, le G pour gai, le B pour bisexuel, le Q pour queer, le I pour intersexuel, le 2 pour two-spirited, le A pour asexuel et le +, en fait, c’est pour rassembler tous les autres genres ou expressions de genres ou identités de genres, qui ne seraient pas définies par cet acronyme. »

Charabia idéologique

Ouf !  Tu crois vraiment que des gamins de 5, 6, 7 ans peuvent te suivre à travers un pareil charabia, à travers pareil capharnaüm mental qui ne repose sur aucune science véritable, hormis la fumisterie des études de genres ?  Mais tu ne t’arrêtes pas en si bon chemin :

« - LGBTQI2A+, c’est un terme pour rassembler tout ça, un terme pour te montrer que c’est pas toujours juste noir, ou juste blanc, il y a plein, plein, plein de couleurs différentes et plein de personnalités et d’orientations sexuelles différentes. »

Quel exposé déjanté et risible !  Qu’il faille expliquer la toxicité d’un tel discours et son impact abrasif sur des enfants sans défense au motif en soi louable, mais ici détourné, de respect de la différence, dépasse l’entendement. 

Le Québec déteste ses enfants. 

Ce n’était pas assez de leur imposer un masque inutile, voire nuisible, sept heures par jour, cinq jours par semaine, et de les avoir vaccinés sans nécessité en les culpabilisant de mettre grand-maman en danger s’ils refusaient ?  Encore faut-il qu’on les attaque psychologiquement avec des guignols déguisés grossièrement en femmes, déversant dans leur esprit candide des fumisteries idéologiques.

Un coupable derrière tout ça : nos dirigeants qui, depuis plus de trois ans, détruisent à petit feu notre province, et maintenant son avenir, nos enfants.

Il y a de quoi frémir à la pensée de ce à quoi ressemblera le Québec de demain si nous ne nous réveillons pas à temps. 

C’est-à-dire immédiatement !

dimanche 9 avril 2023

Transgenres : de la tolérance à la promotion d’une problématique

Barbada, le drag queen
Devant le délire prosélyte entourant la soi-disant reconnaissance des personnes transgenres et la folie des drag queens dans les écoles, il m’est revenu en mémoire un film à sketches incluant celui où un homme, qui se croit à tort invisible, entre dans un bar, enlève ses vêtements, et, convaincu que personne ne le voit, s’amuse à déplacer des objets, persuadé de fasciner le barman et les consommateurs présents.

Ces derniers, visiblement habitués à son manège, font semblant de s’étonner, mais d’un air las et ennuyé.  L’un d’eux s’exclame en soupirant :

« - Oh, regarde, la bouteille bouge. »

Un autre de répliquer, presque en baillant :

« Oui, et regarde les verres qui se déplacent. »

Et le pauvre bougre, satisfait de son effet, inconscient de la simulation des protagonistes et du ridicule de son état, persiste et persistera sans doute, tant que ses spectateurs continueront à singer l’étonnement devant ses « prouesses ».

De la tolérance à l’à-plat-ventrisme

J’ai parfois l’impression que notre attitude sociétale envers les transgenres ressemble un peu à celle du barman et de ses acolytes.  Tant qu’elle se limite à « faire semblant » de les trouver normaux et de les respecter dans leur problématique, pas de souci. 

Depuis quelques années nous passons toutefois peu à peu de la tolérance à une fausse acceptation, exagérée et relevant de l’à-plat-ventrisme, qui est en train d’ouvrir la porte à de véritables déviances, comme la présence injustifiable de drag queens dans les écoles.

Des excuses qui n’avaient pas lieu d’être

Cet à-plat-ventrisme ne date pas d’hier.  En 2017 déjà, la SAAQ de St-Hyacinthe s’était excusée auprès d’un homme qui s’imaginait être une femme alors qu’un employé avait commis « l’erreur » de l’appeler « monsieur », vu le prénom masculin figurant sur son permis de conduire.  

Bien que cet employé n’ait rien eu à se reprocher, l’homme avait porté plainte auprès de la SAAQ pour avoir été « mégenré ».  Résultat, il était plus que jamais interdit aux employés de s’adresser aux clients en utilisant « Monsieur » ou « Madame ».

Voici, grosso modo, à quoi ressemblait la situation :

« Il (Ou elle, ou iel, on ne sait trop. NDA) a porté plainte à la SAAQ, qui s’est par la suite excusée. Il s’agissait de la seule plainte du genre (Sans jeu de mots.  NDA) sur les 22 millions de transactions effectuées à la SAAQ chaque année.

Et pourtant, depuis six mois, la direction de la SAAQ demande aux employés de Saint-Hyacinthe de ne plus utiliser les mots « Monsieur » ou « Madame » pour respecter le droit des transgenres. Selon nos informations, la direction de la SAAQ a dit aux employés qu’il s’agissait d’un projet pilote qui pourrait être étendu ailleurs au Québec. Mais la SAAQ aurait depuis changé d’avis. »

Encore heureux…

Jusqu’où peut-on « faire semblant » ?

Personnellement, je n’ai aucun problème à tolérer que des hommes ou des femmes qui s’imaginent ne pas être dans le « genre » (concept qui ne devrait même pas exister, en passant) correspondant à leur sexe persistent dans leur fixation.  Ils sont majeurs, c’est leur affaire.

J’ai travaillé pendant sept ans auprès de patients psychiatrisés de tous acabits et il m’est arrivé à plusieurs reprises de devoir faire semblant, comme le barman mentionné plus haut, que leurs comportements étaient normaux, malgré l’évidence du contraire, dans la mesure où ils ne mettaient ni eux-mêmes, ni le personnel hospitalier, en danger.  

Tant qu’ils sont heureux, ils restent gérables, même s’ils passent une après-midi à plier et à déplier le même linge de leurs tiroirs, à faire continuellement la navette entre leur lit et leur fauteuil, ou à lécher inlassablement les assiettes de leur dernier repas.  Ils sont tranquilles et inoffensifs, c’est l’essentiel.

Les drag queens n’ont pas leur place dans les écoles

Je crois qu’on doit agir de même avec les prétendus transgenres… dans la mesure où on ne bascule pas dans leur pathologie en faisant semblant qu’elle devienne une nouvelle norme sociale à valoriser et à promouvoir.  La dysphorie de genres est une pathologie, pas une aspiration, qu’on se le dise.

Elle doit être respectée, mais certainement pas encouragée, notamment par le prosélytisme des drag queens auprès des enfants, une initiative carrément pernicieuse, pour des raisons qui n’ont même pas à être développées. 

Quand on jette un regard sexué ou sexuel sur des enfants, en suscitant des questionnements surréalistes et toxiques impliquant un univers parallèle des plus imaginaires occultant l’évidente réalité biologique des deux sexes, on ouvre la porte à une confusion mentale enfantine pouvant aller jusqu’à l’acceptation de pratiques sexuelles prématurées et dénaturées. 

« Hétérosexisme » et « Hétéronormativité »

Certains redoutent, dans les cas extrêmes, l’exposition à la pédophilie, présentée comme une nouvelle norme sociale qui participerait à l’évolution des enfants.

Étrangement, l’hétérosexualité même se voit de plus en plus présentée comme oppressive et intolérante, notamment envers les femmes ou, devrait-on dire maintenant, envers « les personnes à utérus », comme en témoignent les néologismes farfelus que sont « hétérosexisme » ou « hétéronormativité » des concepts qu’on trouve même affichés dans les écoles québécoises depuis plusieurs années.

On ne pourra pas toujours « faire semblant »

Il y a donc des limites à « faire semblant ».  Si nous ne les respectons pas, nous ressemblerons sous peu au barman et aux consommateurs mentionnés au début de ce billet, aussi risibles que « l’homme invisible » en question qu’ils tolèrent passivement.

La dysphorie de genres n’est pas un mode de vie.  C’est une problématique qui affecte souvent durement ceux qui en sont atteints.  Et que dire des conséquences qui guettent les détransitionneurs, de plus en plus nombreux, qui regrettent amèrement leur traitement chimique ou pire, leur chirurgie ?

Imaginez qu’on fasse dans les écoles la promotion de la paranoïa, de l’hypocondrie, de la schizophrénie, de l’anorexie ou de la boulimie (Remarquez que pour les trois premières, on est bien partis avec la sanitarisme gouvernemental.). Faudrait-il vraiment encourager des initiatives aussi toxiques que loufoques ?

Il en va de même pour la dysphorie de genres.  Épargnons ça à nos enfants et retournons les drag queens dans les clubs pour adultes qu’ils n’auraient jamais dû quitter.

dimanche 19 février 2023

Propagande haineuse envers les non-vaccinés : spécial Richard Martineau

Richard Martineau
Vous m’auriez dit, avant la pandémie manufacturée que nous avons traversée jusqu’ici, que j’en arriverais à prendre Richard Martineau en grippe au point de ne plus supporter même de lire son nom sur le web, que je ne vous aurais jamais cru.

Tant sur le plan de la lutte à l’islam radical, que sur celui de la dénonciation des dérives du néo-féminisme incluant le délire prosélytique du lobby trans ou sur celui de la nécessaire reconnaissance de la condition masculine, nous avions, lui et moi, plusieurs atomes crochus qui ont mené à une collaboration hebdomadaire soutenue, de la mi-octobre 2019 à la fin février 2020 sur les ondes de QUB radio.   Tantôt lui, tantôt sa conjointe, Sophie Durocher, m’interviewait à partir de billets que j’avais publiés dans le web média alternatif dixquatre.com, aujourd’hui disparu.

C’est l’arrivée de la crise politico-sanitaire de mars 2020, décrétée par l’Organisation mondiale de la santé, qui a mis un terme à cette collaboration, l’urgence présumée de la situation occupant désormais l’avant-plan de l’actualité.

Docteur Martineau, Mister Hyde

Incrédule, j’ai assisté, à partir de ce moment, à une métamorphose progressive qui dont le résultat n’avait plus grand-chose à voir avec le Richard Martineau que j’avais connu et estimé.  Le ton qu’il employait, envers quiconque avait le malheur de questionner la doxa sanitaire de l’intolérant et répressif gouvernement Legault, devenait de plus en plus agressif, passant d’incisif à carrément grossier, vulgaire, haineux pour ne pas dire fanatique. 

De la polémique, Martineau est passé à la propagande haineuse.  Tôt ou tard, il devra, comme plusieurs de ses collègues du Journal de Montréal, répondre de ses actes.

Bien sûr, ces chroniqueurs ont tous hurlé avec les loups sanitaristes, comme autant de fidèles lobotomisés par une même secte, ânonnant tous les mêmes clichés voulant que le vaccin était notre seule garantie vers le retour à la vie normale et que quiconque le refusait devenait un paria de la société, un égoïste, un irresponsable, un ignorant, un danger public, voire même un assassin, comme le soulignait son collègue Loïc Tassé.

Attaqué et bloqué

Égal à ces propagateurs de haine, Martineau a probablement été le plus prolifique d’entre eux.  Quand je lui avais fait remarquer, en message privé et exemples à l’appui, l’effet d’entraînement que ses attaques répétées avaient exercé sur les populations les plus primitives du Québec, il n’avait rien trouvé de mieux à faire que de me prendre publiquement à partie sur sa page Facebook, après m’avoir bloqué.  C’était joindre la lâcheté à l’injure.

Je ne reproduirai pas ici les captures d’écran des énergumènes qui en étaient arrivés aux menaces d’agression physique, voire de mort, envers les non vaccinés.  Leur message « mérite » tout de même d’être cité, fautes incluses :

« Ces pas avec des contravention qu’ils vont régler le problème un moment donner il va falloir tire dans le tas. »

C’est pas du Nelligan.  Voici l’autre gus :

« Haine profonde aux idiot no vax.  Il faut s’organiser entre nous et dénoncer ses récalcitrants !  Il serait tant qu’un groupe aille s’occuper de leur cas.  Come on !  On est plus nombreux on se débarasse deux asap si Legault et police ne font pas leur job #VaccinationObligatoire »

Inversions accusatoires

C’est grâce à une amie Facebook qui m’a fait parvenir ces captures d’écran que j’ai appris la nouvelle de l’attaque hypocrite de Martineau.  J’ai souri quand j’ai lu qu’il m’avait « défendu à de nombreuses reprises » d’accusations d’incel, alors qu’en réalité, lui et sa femme avaient pu bénéficier des services d’un chroniqueur bénévole pendant 13 entrevues.

Ce qui frappe, dans son post, c’est son penchant pour les inversions accusatoires.  Tout ce dont il m’a alors accusé, il le fait couramment.



Martineau m’avait donc accusé d’être « tombé dans le rabbit hole des antivax ».  Comme si lui n’était pas tombé dans celui des sanitaristes, d’experts bidon, tels les docteur TikTok, François Marquis et autre Diane Lamarre, pour ne citer que ceux-là, des gens sans expertise valable en ce qui a trait aux virus, qui en plus n’hésitent pas à dénigrer de véritables sommités telles que Didier Raoult, Christian Perronne ou Alexandra Henrion-Caude, pour nommer que celles-là.

Agresseur victime

Ensuite, il a gommé sa part de responsabilité dans l’afflux de commentaires haineux qu’il reçoit, comme si les nombreuses attaques qu’il a livrées aux non-vaccinés allaient rester sans conséquences.  Martineau ne semble pas comprendre que l’hostilité qu’il dit recevoir est celle de personnes attaquées injustement, grossièrement et stupidement par ses soins.  Un cas typique d’agresseur victime.

Non, Martineau, tu n’es pas « responsable de tous les zozos de la terre », mais tu restes responsable de tes propos, qui relèvent de la propagande haineuse.  Les nombreuses captures d’écran que j’ai placées en conclusion de ce billet représentent autant de preuves accablantes de ta méchanceté gratuite. 

Pour finir, Martineau m’assimile à un membre d’une secte qui lui écrirait pour « lui parler de la fin du monde ou de la réincarnation de son gourou ».  Rendu là, il ne savait plus quoi dire.  Les exemples de menaces envers les non vaccinés que je lui ai envoyés étaient bien réels.  Imaginez alors un policier qui aurait réagi comme Martineau devant pareilles dénonciations ? 

Pour finir, je vais laisser à ce has-been le soin de continuer à creuser sa tombe dans l’opinion d’une part sans cesse grandissante de son public.  On n’est jamais mieux servi que par soi-même, n’est-ce pas, Richard ?












dimanche 29 janvier 2023

Tout peut causer une crise cardiaque, sauf…

Avez-vous remarqué à quel point la problématique des crises cardiaques occupe une place sans cesse grandissante dans l’espace médiatique ?  Tout et n’importe quoi peut entraîner cette calamité.  Tout ?  Vraiment ?  Bien sûr, des bien vilaines langues ne manqueront pas de s’interroger sur le fait que les pays les plus vaccinés soient devenus ceux qui enregistrent le plus haut taux de surmortalité.

C’est du moins le point de vue de savants dissidents de la doxa sanitaire, qui s’attirent régulièrement les foudres des sanitaristes, politiciens et « experts » de plateau, ceux-ci s’empressant de les taxer de complotisme.  En première ligne au banc des accusés, le professeur Didier Raoult, s’exprimait ainsi, sur les ondes de Sud Radio :

« LA QUESTION. « Je ne comprends pas ce qu’il se passe». Le Pr Didier Raoult a de nouveau affirmé, dans un entretien avec le journaliste de Sud Radio André Bercoff, que les vaccins « ont augmenté l’épidémie ». Outre l’hypothèse envisageable mais encore non démontrée des anticorps facilitants qui expliquerait d’un point de vue virologique l’avantage qu’aurait le virus face aux personnes vaccinées, le controversé scientifique marseillais a cette fois-ci fondé son argumentaire sur le simple fait que «les pays les plus vaccinés» seraient ceux qui enregistreraient «le plus de cas actuellement». Preuve en est, selon le spécialiste des maladies infectieuses, quand 25% des cas de Covid de la pandémie en France sont survenus depuis moins d’un moins, il y a eu « dans le même temps », 15 millions d’injections vaccinales. » »

 

Une surmortalité de 20 % et un taux record de vaccination au Québec

 

C’est un fait maintenant reconnu : il est devenu très difficile de connaître le statut vaccinal des patients hospitalisés et des morts covid au Québec depuis juillet dernier au Québec.  La même réserve se retrouverait partout dans le monde.  Or, la surmortalité est devenue un problème tout aussi mondial. Il ne se passe pas une semaine sans qu’on apprenne que de jeunes sportifs, vedettes ou journalistes, s’effondrent, quand ils ne meurent pas subitement pour des raisons « inexpliquées ».

 

Rien qu’au Québec, on enregistre une surmortalité de 20 % depuis l’année précédente :

« La vague de virus respiratoires qui frappe le Québec depuis l’automne, conjuguée aux sous-variants d’Omicron, a engendré une surmortalité importante en fin d’année : on a observé environ 20 % de décès de plus que ce qui était attendu.

Selon les données dévoilées jeudi par l’Institut de la statistique du Québec (ISQ), cette surmortalité, surtout portée par la COVID-19, oscillait autour de 10 % depuis le mois de juillet, mais a bondi fin novembre pour avoisiner les 20 % lors des dernières semaines de 2022. Les informations les plus récentes datent du 17 décembre. »

Comment expliquer pareil phénomène alors que le Québec se targue d’un taux de vaccination qui ferait « l’envie » de bien des pays ?  Selon les statistiques les plus récentes, en date du 23 janvier 2023, 87,75 % des Québécois ont reçu une première dose, 84,19 %, une deuxième dose, 54,91 %, une troisième dose, 30,08 %, une quatrième dose et à peine 13,07 % se sont aventurés à une cinquième dose.  Et on nous parle d’une surmortalité « surtout portée par la covid-19 ». 

Peut-on encore vanter un vaccin efficace ?  La corrélation entre une surmortalité impressionnante et un taux de vaccination record ne vient-elle pas confirmer l’hypothèse de Didier Raoult ?

Le grand rêve de Justin Trudeau d’une vaccination à jour de 80 % ne se réalisera pas au Québec, ce qui équivaut à dire qu’il ne se réalisera nulle part au Canada, les Québécois étant réputés pour leur grande « docilité ».

Un festival de « coïncidences » …

 

Est-ce une coïncidence si, devant l’afflux de crises cardiaques, l’un des effets secondaires graves attribuables à la covid-19, on multiplie les thèses, plus farfelues les unes que les autres, pouvant « expliquer » ce fléau de plus en plus répandu, même chez les jeunes et les enfants (myocardites) ?

 

Je vous laisse avec quelques captures d’écran parmi plusieurs involontairement comiques qui illustrent cette nouvelle folie médiatique de désinformation.  Il y aurait de quoi se bidonner si les concepteurs d'un tel psychodrame médiatique ne se prenaient pas autant au sérieux.  Amusez-vous tout de même…

 








samedi 14 janvier 2023

Allemagne : une survivante de l’holocauste menacée de vaccination forcée

Inna Zhvanetskaya
Au cas où vous vous imagineriez que le délire sanitaire et la folie vaccinale seraient choses du passé et que la majorité des pays dits civilisés se prépare tranquillement au désormais mythique « retour à la vie normale », voilà une nouvelle qui pourrait vous faire déchanter.

Et c’est dans un pays présumément démocratique et respectueux des droits de ses citoyens que cet événement surprenant se déroule, soit l’Allemagne.  En effet, les autorités allemandes, sans doute pétries des intentions les plus bienveillantes, ont jugé pertinent de faire interner une survivante de l’holocauste, Inna Zhvanetskaya, une Juive ukrainienne de 85 ans, et de lui administrer par la force, si nécessaire, deux doses de vaccin contre la covid.  Tout ça bien sûr dans son meilleur intérêt.

Vous avez bien lu.

Les mauvaises habitudes meurent difficilement

Les mauvaises habitudes meurent difficilement, semble-t-il, ce qui a amené le site Report24, à l’origine du scoop de cette nouvelle affligeante,  à poser cette question aussi insolente que justifiée : « La vaccination forcée des Juifs est-elle une bonne vieille tradition allemande ? »

Le même site renchérit :

« Tout information additionnelle qui peut et doit être rapportée à propos de ce cas est consternante, puisqu’elle démontre que, dans le pays de la Shoah, certains descendants de ses perpétrateurs ont appris bien peu ou rien du tout. »

Pas de danger que pareille atteinte aux droits humains ne survienne chez nous, direz-vous.  Pourquoi ne pas vous demander à quoi pourraient bien servir les sites d’isolement « volontaires » que Justin Trudeau a fait construire à travers tout le pays au cours des deux dernières années ? J’avais déjà traité ce sujet dans ce billet, dont la lecture pourrait vous fournir des éléments de réponse.

Menacée d’être internée « pour son bien »…

Une ordonnance de tribunal vient donc d’autoriser les autorités allemandes à retirer contre son gré la musicienne de son domicile de Stuttgart en vue de l’interner dans un établissement psychiatrique, bien sûr, « pour son bien », selon l’expression consacrée et ô combien hypocrite justifiant trop souvent l’injustifiable.

Heureusement pour elle, des alliés sont venus à son secours et l’hébergent présentement dans un lieu resté secret.  Apparemment, même la musique serait une nuisance pour sa santé mentale, aurait décrété le tribunal, sans doute sous les judicieux conseils de soi-disant experts.  Une vidéo, enregistrée dans sa cachette, et recueillie par le site Report24, la présente, affirmant :

 « La musique, c’est ma vie, et s’ils m’enlèvent la musique, ils m’enlèveront ma vie. »

Le site Report24 précise :

« Selon le verdict émis par le juge du district judiciaire de la cour de Stuttgart-Bad Cannstatt, la réclusion de Mme Zhvanetskaya au sein d’un hôpital psychiatrique ou d’un établissement de soins de santé a été approuvée par le soignant de garde jusqu’au 5 décembre 2024, au plus tard.  Dans l’intervalle, deux doses de vaccin contre la covid (coronavirus) aux fins d’immunisation de base ont été approuvées en tant que mesures médicales imposées, à chaque fois après examen de l’aptitude à vacciner, jusqu’au 16 janvier 2023, au plus tard, avec le consentement du soignant de garde. »

Un juge déconnecté

Le jugement précise que la vaccination forcée de la musicienne est, on les croit sur parole, nécessaire au bien-être de la personne visée afin d’éviter des « dommages significatifs pour sa santé ».  À notre époque où les morts subites « inexpliquées » se multiplient et que la surmortalité devient de plus en plus endémique dans les pays les plus vaccinés, on cherche en vain sur quelles bases scientifiques s’appuie le juge à l’origine de ce verdict digne d’une dictature sanitaire.

Or, voilà le souci : Mme Zhvanetskaya, faisant preuve de bon sens, ne croit pas aux bienfaits de la vaccination, contrairement au magistrat qui, lui, considère que les bénéfices de cette mesure plus que douteuse surpassent les inquiétudes de la dame.  Encore un égaré qui s’appuie sur un improbable « consensus scientifique » qui relève davantage de la manipulation médiatique que de la réalité.  Autant confier à une danseuse topless le soin de se prononcer sur un problème de chirurgie du cerveau.

Vague de sympathie

Le site Report24, qui le premier a publié cette nouvelle effarante, souhaite qu’elle soit relayée le plus possible.

Plusieurs personnalités et organismes voués à la santé et à la liberté de choix se sont insurgés contre ce verdict pour le moins inquiétant, qui semble constituer un précédent et qui pourrait faire jurisprudence.  La society of physicians and scientists for health, freedom and democracy, a publié la lettre ouverte d’une autre femme juive vivant en Allemagne, qui conjure la cour de Stuttgart de réviser sa décision.

Parmi les voix qui protestent contre cette aberration, mentionnons ces deux porte-parole :

Le docteur Bodo Shiffmann, qui enjoint ses lecteurs à partager au plus grand nombre la nouvelle de cette situation, a déclaré :

« Cette femme, une survivante de l’holocauste en Allemagne, a consciemment décidé qu’elle ne voulait pas de ce vaccin et se voit maintenant assujettie à une mesure de contrainte médicale. »

De son côté, Beate Bahner, auteure et avocate spécialisée en droit médical, s’est indignée :

« Cette décision est un gigantesque scandale judiciaire.  Exécutable immédiatement !  Demain, la compositrice sera raflée.  Ensuite, elle sera vaccinée demain midi, et, en plus, elle sera probablement sédatée avec médication.  Je suis abasourdie.  Un avocat (Holger Fischer) a déjà porté plainte.  Cependant, ceci n’empêche pas le pouvoir judiciaire et policier d’exécuter immédiatement cette décision scandaleuse.  Ce cas doit être communiqué au public et aux médias.  Tout le monde doit agir ! »

Moment de répit

Pour le moment, Mme Zhvanetskaya, toujours hébergée dans un lieu tenu secret, connaît un moment de répit, mais pour combien de temps ?  Son cas nous paraît lointain, mais il évoque tout de même une problématique mondiale, celle de la coercition sanitariste et du fanatisme vaccinal.  Pensons au chantage éhonté que François Legault et Justin Trudeau ont exercé sur le peuple québécois et à la démonisation fortement médiatisée qu’ils ont infligée aux non vaccinés.

Ces crapules sont allées jusqu’à menacer de perdre leur emploi des employés dépendant d’eux pour vivre s’ils ne se faisaient pas vacciner.  Même nos enfants ne sont plus à l’abri de leur démence sanitaire depuis que le sous ministre de la Santé, Lionel Carmant, a supprimé le principe de primauté parentale, ce qui pourrait permettre à l’État de vacciner votre progéniture sans votre consentement.

Trudeau et Legault en arriveront-ils par ailleurs à s’abaisser au même niveau que les autorités allemandes ?  Il est à souhaiter que non, mais rien, désormais, n’est garanti.                                   

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ?   C'est la première fois depuis ...