dimanche 30 janvier 2022

Convoi de la liberté : un Trudeau poltron, des personnalités divisées, nos médias hostiles…

Le convoi de la liberté qui, selon le premier ministre Justin Trudeau, ne représenterait qu’une infime minorité de dissidents qui tient « un discours inacceptable », s’échelonnerait en fait, selon certains observateurs, sur une centaine de kilomètres, du jamais vu à ce jour, et regrouperait plus de 60 000 camionneurs, auxquels se seraient joint 12 000 collègues américains.  Il est encore trop tôt pour confirmer ces chiffres alors que les médias y vont de leur côté de données trop volatiles.

Il est pour le moins déconcertant de constater que le Canada, ce pays jusqu’ici si tranquille dont rien ne semblait devoir un jour troubler la quiétude, est devenu le centre d’une attention médiatique et politique mondiale.  Quand on songe que notre beau pays reste bon deuxième en superficie à l’échelle planétaire, un convoi de plusieurs milliers de manifestants qui le traversent d’ouest en est peut difficilement passer inaperçu…

Une tension à son paroxysme

La tension est présentement à son paroxysme, puisque ces manifestants, soutenus par de nombreux supporters tout au long de leur parcours parti de Vancouver en direction d’Ottawa, n’entendent pas rebrousser chemin de sitôt. 

Une cagnotte de plus de 7 M $, obtenue par le biais d’un go fund me, leur donnerait les moyens de rester sur place plusieurs jours, au grand dam du frileux Trudeau, qui s’est dérobé à toute confrontation en invoquant un risque de covid malgré un test négatif.  Difficile de masquer plus évidente démonstration de lâcheté et de désertion devant l’adversaire. 

Propos haineux

Ce « leader » aurait-il peur des conséquences de ses propos haineux sur les non vaccinés, tenus lors d’une entrevue à la désormais mondialement célèbre Semaine des 4 Julie :

« On en connaît tous, des gens qui sont en train d’hésiter, on va continuer d’essayer de les convaincre. Mais il y a aussi des gens qui sont farouchement opposés à la vaccination, qui ne croient pas en la science, qui sont souvent misogynes, souvent racistes. C’est un petit groupe mais qui prend de la place. Et là, il faut faire un choix, en tant que leader, en tant que pays : est-ce qu’on tolère ces gens-là ? »

Brandir le spectre de l’extrême droite raciste et misogyne et des événements survenus au Capitole le 6 janvier 2021 est devenu l’arme suprême pour démoniser tout discours contraire à la doxa sanitaire gouvernementale.

Au-delà de l’obligation vaccinale…

L’objectif de ce convoi n’est cependant pas seulement de faire sauter l’obligation vaccinale imposée aux camionneurs par le gouvernement fédéral à des travailleurs qui restent le plus souvent seuls dans leur camion, mais constitue une véritable rébellion pacifique contre les mesures sanitaires excessives, fumeuses et arbitraires qui font du Canada la risée de certains médias américains. 

Il faut préciser que, hormis quelques États dirigés par des gouverneurs démocrates, la plupart des États américains sont peu à peu revenus à ce qui est devenu à nos yeux une mythique vie normale, une inaccessible étoile, pourrait dire Jacques Brel.

Nos médias subventionnés sont à l’évidence unanimement hostiles aux manifestants tandis que des Laura Ingraham et Tucker Carlson, de Fox News, notamment, font preuve d’ouverture d’esprit et soutiennent leurs revendications.  Les médias conservateurs américains et les médias wokes québécois : deux solitudes.

Un amalgame biodégradable

Comme il fallait s’y attendre, nos chroniqueurs soudoyés ont sauté sur l’occasion de formuler des amalgames entre les événements survenus au Capitole le 6 janvier 2021 et le convoi. 

Quiconque a suivi cet événement ailleurs qu’à TVA ou Radio-Canada sait pertinemment que le grabuge survenu au Capitole a été rendu possible avec la collaboration de ses propres services de sécurité, que lesdits actes de vandalisme avaient débuté bien avant le discours énergique mais inoffensif de Donald Trump, que des antifas avaient infiltré les manifestants et géré la casse, que les services de sécurité du Capitole avait été réduits à 25 % de leurs effectifs, bien que les démocrates aient été mis au courant de la manif des semaines avant son déroulement, que la présidente de la chambre de représentants, Nancy Pelosi, était responsable de la sécurité du Capitole, et que, comme par hasard, c’est la même présidente qui avait demandé l’impeachment de Donald Trump, alors président sortant.

En clair, on appelle ce genre de manipulation un coup monté.  Tout amalgame entre le 6 janvier 2021 et le convoi s’avère donc aussi biodégradable que les accusations de Pelosi, mais nos médias détournent les yeux.

Des appuis internationaux et locaux

On ne se surprendra donc pas de voir Donald Trump à nouveau démonisé par nos médias pro-démocrates, quand celui-ci a manifesté son soutien aux camionneurs :

« « Les routiers canadiens qui résistent bravement à ces mandats anarchiques font plus pour défendre la liberté américaine que nos propres dirigeants », a-t-il (Trump, NDA) déclaré sous les acclamations de la foule présente. »

Le multimilliardaire Elon Musk appuie lui aussi énergiquement le mouvement :

« Farouchement opposé à de nombreuses restrictions gouvernementales anti-Covid, Elon Musk a apporté, jeudi, son soutien au « convoi de la liberté » des camionneurs canadiens qui se rapprochent d’Ottawa. »

Malgré certains bémols de leur chef, les conservateurs fédéraux soutiennent également les camionneurs :

« Réitérant son opposition à la vaccination obligatoire pour les camionneurs dont il comprend la « frustration », M. O’Toole a dit qu’ils sont un « symbole de la fatigue et la division » qui plombent les Canadiens après deux ans de pandémie et de mesures sanitaires.

Des conservateurs bien en vue comme Pierre Poilièvre, Candice Bergen et même l’ancien chef Andrew Scheer ont pour leur part publiquement appuyé la manifestation. »

Démoniser à partir de cas isolés

Bien sûr, certaines personnalités politiques ou médiatiques ont jugé opportun de formuler des amalgames à partir de cas isolés.  C’est le cas de Jagmeet Singh, qui a poussé le délire jusqu’à traiter les organisateurs du convoi de suprémacistes blancs :

« Jagmeet Singh a pour sa part dénoncé sur Twitter le fait que des élus.es conservateurs cautionnent un convoi mené par des gens qui promeuvent la suprématie blanche et qui décrivent l'islam comme une maladie», et ce, le jour de la commémoration de l’attentat à la grande mosquée de Québec, perpétré il y a cinq ans. »

Dans la même optique, le ministre fédéral Dominic LeBlanc en a rajouté une couche :

« Le convoi a été un peu pris en otage par les gens qui ont des points de vue extrémistes, qui ne représentent pas la très grande majorité des Canadiens », selon le ministre des Affaires intergouvernementales, de l’Infrastructure et des Collectivités, Dominic LeBlanc, en entrevue à l'émission Les faits d'abord samedi. »

Je pourrais ajouter ici les délires de Patrick Lagacé et d’Isabelle Hachey, mais je ne tiens pas à alourdir ce texte avec leurs niaiseries.  Si leur propos vous intéresse, vous n’avez qu’à cliquer sur leurs noms en rouge.

Legault étrangement discret

En ce début d’année si morose, plombé au Québec par un premier ministre qui donne l’impression de se réveiller la nuit pour trouver des mesures plus répressives, irrationnelles et arbitraires les unes que les autres, le convoi de la liberté arrive comme un sévère avertissement.  Pour le moment, François Legault se montre étrangement discret, comme en témoigne cette manchette :

« Habituellement les réunions des élus du gouvernement comme les caucus avant le début des sessions de l’Assemblée sont très suivies par la presse parlementaire et donnent lieu à des conférences de presse. Mais cette fois, la Coalition avenir Québec (CAQ) n’a organisé aucune conférence de presse au cours de ce caucus de deux jours, ce qui est inédit. »

À l’instar de son homologue fédéral, Legault se trouvera-t-il un prétexte pour se défiler ?  À l’évidence, le convoi pour la liberté fait trembler nos décideurs. Il leur faudra bien un jour fléchir.

dimanche 23 janvier 2022

Nos médias nous mentent sur les hospitalisations des non vaccinés !

Après la tragédie des 6 700 aînés morts avec ou sans covid, affamés, déshydratés et abandonnés dans nos mouroirs appelés CHSLD, sans compter les quelques 40 ans d’incompétence gouvernementale dans la gestion de notre système de santé, on peut comprendre que notre sournois premier ministre, François Legault, cherche à faire diversion en rendant les non vaccinés responsables de tout ce qui cloche dans nos hôpitaux. 

Comme si, avant la covid, tout allait sur des roulettes…

Utilisant, comme à son habitude, les mercenaires qu’il subventionne grassement, soit nos médias, il leur soufflait les propos suivants, le 6 janvier dernier :

« C’est le monde à l’envers, nous confinons 90% de la population parce que 10% des adultes refusent d’être vaccinés. Ce choix se répercute sur l’ensemble de notre vie car les non-vaccinés représentent, selon le gouvernement du Québec, 75% des patients aux soins intensifs et 50% des hospitalisations. »

Ces présumées statistiques, qui ne correspondent à aucune donnée sérieuse, laissent hypocritement entendre que, sans les non vaccinés, nous serions sans doute en route vers le mythique « retour à la vie normale ».  Le problème avec ces chiffres, c’est qu’ils sont dopés, donc faux.

Les « vrais » chiffres




En effet, selon les données mêmes du gouvernement (voir graphique ci-haut),  en date du 20 janvier, qu’aucun journaliste ne semble intéressé à rapporter, l’impact présumé des non vaccinés sur notre système de santé, au cours des 28 dernier jours, représenterait 26 % des nouvelles hospitalisations et 41 % des soins intensifs.  Soulignons que, histoire de doper un peu ces chiffres, les vaccinés première dose de moins de 14 jours sont jumelés aux non vaccinés. Comment savoir alors si les vaccinés première dose ne sont pas majoritaires ou non dans cette catégorie ?

Le Journal de Montréal affichait pourtant les chiffres himalayens de 75 % de non vaccinés aux soins intensifs et de 50 % des nouvelles hospitalisations, en comparaison de ceux-là même du gouvernement, qui font état respectivement de 41 % et de 26 % dans ces mêmes catégories.  Une seule conclusion s’impose : nos médias nous mentent en ayant même le culot de prétendre nous présenter des données « du gouvernement du Québec ».

Conflits d’intérêt ?

Ce dopage statistique alimente la croisade entretenue par Legault contre les vaccinés, qui non seulement lui permet de détourner l’attention de sa terrible incompétence, mais alimente son obsession de fourguer le plus de vaccins qu’il peut à la population. 

Tout ça sent le conflit d’intérêt à plein et on peut légitimement se demander si l’UPAC, soit l’Unité permanente anticorruption, qui perd un temps précieux en enquêtes sur les passeports vaccinaux, ne devrait pas plutôt concentrer ses énergies sur les situations financières respectives de MM Legault, Dubé et Arruda.

L’affaire Julie Snyder

Julie Snyder

La campagne de haine et d’ostracisation des non vaccinés a atteint un nouveau sommet ce 18 janvier avec ce qu’il convient désormais d’appeler l’affaire Julie Snyder. Aucun média main stream n’a jugé opportun de relater l’incident.  Pourtant, il a donné naissance à un véritable tsunami dans les réseaux sociaux.  Voilà une nouvelle preuve de l’absence d’intégrité journalistique de nos médias.

Résumons les faits, l’animatrice de La semaine des 4 Julie interrogeait un garçon et une fille d’âge scolaire à savoir s’ils étaient en faveur de la vaccination obligatoire, en insistant lourdement sur « obligatoire ».  Enthousiastes, les enfants répondirent par l’affirmative.  Elle leur demanda ensuite ce qu’il faudrait faire avec ceux qui refusent le vaccin.  

Pour le petit garçon, la réponse était simple : appeler la police.   Pour la petite fille : leur enlever toutes leurs petites libertés jusqu’à ce qu’ils finissent par se faire vacciner.  Les gamins tenaient ces propos sous les applaudissements de l’assistance.  S’il ne s’agit pas de dénigrement concerté, de quoi s’agit-il ?

Propagande haineuse et instrumentalisation des enfants

L’initiative de Snyder est condamnable pour deux raisons : elle alimente une propagande haineuse, déjà fortement soutenue principalement par les chroniqueurs de Quebecor, en plus de manipuler des enfants qui ne sont visiblement pas en âge de porter un jugement éclairé sur une question aussi controversée.  Imaginez leur retour en classe.  Bonne chance !

Selon le code criminel :

« Suivant le paragraphe 319(2), commet un acte criminel quiconque, par la communication de déclarations autrement que dans une conversation privée, fomente volontairement la haine contre un groupe identifiable (qui a le même sens qu'à l'art. 318). »

Nous avons là la définition même de ce dont nous avons été témoins lors de cette entrevue déplorable.  Or, si les médias main stream ont jugé pertinent de regarder ailleurs à la suite de cette manipulation évidente de jeunes enfants, les médias sociaux, eux, étaient en feu.  Une pétition réclamant ni plus ni moins que la suppression de l’émission de Julie Snyder a recueilli, au moment d’écrire ces lignes, plus de 63 000 signatures.

Certains allégueront qu’une telle pétition relève de la cancel culture et n’a pas sa raison d’être.  Rappelons que la cancel culture vise des cibles parfaitement ridicules : la nudité des tableaux classiques, l’appropriation culturelle, l’emploi du mot « nègre », et jusqu’à l’évocation de l’hétérosexualité comme norme sociale dominante, en dépit de l’évidence biologique.

Avec cette nouvelle initiative de dénigrement d’une minorité, qui n’est pas sans rappeler celle d’un ministre de la Propagande allemand des années 30, c’est le déchaînement d’une haine gratuite et décomplexée contre une minorité de la population que Snyder a encouragé. 

Peut-être qu’une pétition recommandant le dépôt au criminel pour propagande haineuse aurait été plus indiquée, mais le poids de plus 63 000 signatures, à ce jour, envoie à cette animatrice sans scrupules un message clair et sans ambiguïté : « Ne recommence plus et prends ton trou ! »

Entre la haine et le mensonge

Oubliez les pédophiles, les meurtriers, les violeurs, les voleurs, les escrocs, ou les braqueurs de banques.  Les « vrais » dangers publics, désormais et pour longtemps, ce sont les non vaccinés, nous clament ad nauseam élus et médias. 

Tout est leur faute : le non-retour à « la vie normale » dont toute personne lucide sait très bien que Legault ne veut absolument pas; la situation difficile dans nos hôpitaux, absolument identique aux années pré-covid; les risques pour les vaccinés d’attraper leur non-vaccination, qui illustre à merveille l’inefficacité du vaccin; l’urgence sanitaire qui n’en finit plus de finir.

Bref, entre les mensonges statistiques des médias, prouvés plus haut, et la propagande haineuse, sans compter les mesurer liberticides injustifiables qui leur sont infligés, les non vaccinés n’ont pas fini de pâtir de la corruption ambiante.  Il faudrait un réveil massif de notre bon peuple pour que Legault, comme Julie Snyder, prenne son trou.

Mais nous vivons au Québec…

dimanche 16 janvier 2022

Gestion sanitaire : Legault s’inspire-t-il du chancelier allemand élu en 1933 ?

Plusieurs vierges offensées ont poussé des trémolos d’indignation quand certains citoyens ou commentateurs ont tracé un parallèle entre les non vaccinés, frappés de condamnation et d’exclusion sociétales par le gouvernement Legault ainsi que par les médias qu’il contrôle, et le peuple juif sous l’Allemagne nazie.  Comment oser comparer la situation des premiers avec celle de ce peuple dont six millions de citoyens ont fini dans les camps de la mort d’Hitler, questionnaient ces bons citoyens.

Soulignons d’abord qu’Adolf Hitler n’a pas entamé son horrible génocide dès sa première année au pouvoir en 1933.  La répression ordurière qu’il a exercée sur les Allemands d’origine juive s’est instaurée progressivement, un tour de vis à la fois, avant qu’elle ne dégénère à l’occasion de la deuxième guerre mondiale.  On peut dès lors observer d’étranges correspondances entre les mesures instaurées par les Nazis et celles imposées par le gouvernement Legault au Québec, n’en déplaise aux âmes sensibles.

Dans les deux cas, un contexte de crise

« Il ne faut jamais laisser perdre une bonne crise », selon un dicton. 

Hitler, dès son arrivée au pouvoir en 1933, avait retenu la leçon :

« Adolf Hitler, utilisant comme prétexte l’incendie du Reichstag (le parlement allemand), promulgue un décret d’urgence qui abolit des droits fondamentaux comme la liberté d’expression, la liberté de la presse et de réunion, et autorise les arrestations arbitraires. »

François Legault, premier ministre du Québec, allait promulguer le premier décret d’urgence sanitaire en mars 2020, suivant ainsi la déclaration de l’OMS :

« Le premier décret déclarant l’urgence sanitaire a été adopté au moment où le Québec a été mis « sur pause », en mars 2020. L’état d’urgence permet au gouvernement de fermer les écoles, de conclure des contrats sans appels d’offres ainsi que d’ordonner « toute autre mesure nécessaire pour protéger la santé de la population ».

« Toute autre mesure nécessaire pour protéger la santé de la population ». Voilà qui allait ouvrir la porte à bien des abus de pouvoir, mais on a beaucoup évolué depuis 1933. 

Au lieu d’abolir ouvertement la liberté de presse, comme Hitler l’a fait, on l’achète à vil prix, à hauteur de 200 M $ des fonds publics à ce jour.  La liberté d’expression au Québec ?  Voyez ce qui arrive à ceux, parmi les corporations privées ou organisations publiques, qui osent remettre en question le narratif catastrophiste de la CAQ.  Combien de médecins muselés par leur collège, de professionnels de tous azimuts à qui l’on ordonne de se taire ?

Vous avez dit « libertés individuelles » ?

Les libertés individuelles ? Rappelez-vous des interminables confinements, sans justifications.  Et que dire des stériles couvre-feux, les seuls instaurés au Canada ?  Les amendes gratinées, arbitraires, les délations citoyennes, les visites surprises de policiers dans l’intimité des foyers, qui, séparant un couple légitime, mais ne vivant pas à la même adresse, qui, faisant de même avec des membres d’une même famille ou des amis.

Rappelez-vous la tragique et évitable hécatombe des 6700 aînés en CHSLD pendant laquelle on a permis à des patients et du personnel infectés d’entrer dans ces établissements comme dans un moulin, tout en empêchant aidants naturels et proches parents de venir les secourir.  Combien de morts, de faim, déshydratés, abandonnés dans le dénuement et le désespoir ?  Et notre autocrate de premier ministre qui a eu l’arrogance de s’attribuer une note parfaite !

De son côté, Adolf Hitler n’avait pas hésité à « euthanasier » les personnes handicapées, jugées improductives.  Il allait démocratiser à plusieurs autres catégories de citoyens, incluant les personnes âgées, cette présumée « délivrance » :

« Dans le courant de la guerre, le cercle des victimes des mesures d’« euthanasie » pratiquées dans les établissements psychiatriques s’élargit. De plus en plus, les personnes âgées à l’esprit confus, les victimes de bombardements par exemple, les orphelins confiés à l’assistance publique et les travailleurs forcés atteints de maladies organiques ou psychiques furent envoyés dans des établissements psychiatriques où ils moururent de négligence, de faim ou d’excès de médicaments. »

Ce portrait ne vous rappelle rien ?  La mort infligée par négligence, faim et abandon des proches n’a pas commencé avec Legault.  Pas étonnant que ce sinistre individu tente désespérément de faire diversion en rendant les non vaccinés responsables de tout ce qui ne va pas dans notre système de Santé…

Legault ne peut imposer la vaccination obligatoire, mais…

Hitler ne passait pas par quatre chemins pour exclure les Juifs de la vie sociétale allemande :

« La Loi sur la restauration de la fonction publique exclut les Juifs et les opposants politiques des postes dans les universités et au gouvernement. Des lois semblables sont promulguées dans les semaines qui suivent pour les avocats, les juges, les médecins et les enseignants juifs. »

Aussi étrange que cela puisse sembler, Hitler avait agi en toute légalité en instaurant un État de dictature.  La vie est plus compliquée pour Legault, aux prises avec ce qui nous reste de démocratie, ce qui ne l’empêchera pas d’affirmer haut et fort en 2017 :

« Il faut remplacer ceux qui ne pensent pas comme nous. »

On gardera longtemps en mémoire le pénible et ô combien stérile bras de fer de son ministre de la Santé, le lugubre Christian Dubé, contre les travailleuses de la Santé non vaccinées, qui auront eu le courage de lui tenir tête, au grand dam de son chef.  Il aura fallu à ce dernier reculer, dans son projet de vaccination obligatoire, qu’il aurait bien aimé étendre à d’autres secteurs professionnels, avant de s’attaquer à la population en général.  Mais il a trouvé des subterfuges.

Une sous-catégorie de citoyens

Les non vaccinés, maintenant surnommés « antivax », « covidiots » ou « édentés » par les médias que le chef de la CAQ subventionne grassement, sont devenus à Legault ce que les Juifs étaient à Hitler : une sous-catégorie de citoyens qu’il faut à tout prix démoniser et éliminer, dans son cas par une adhésion inconditionnelle à la religion sanitaire dont le vaccin est devenu l’équivalent de Jésus-Christ, notre sauveur.

Ainsi, on doit désormais être vacciné pour voyager, fréquenter collèges et universités, restaurants, salles de spectacle, de sports, grandes surfaces à l’exception des épiceries et des pharmacies.  Les proches, amis, familles, aidants naturels qui souhaitent soutenir des personnes âgées en milieu hospitalier, CHSLD ou résidences, doivent également être vaccinés. 

Bref, l’étau se resserre autour des non vaccinés par le chantage, les insultes et les interdits.  Non, la vaccination n’est pas obligatoire, mais…

Propagande haineuse

Hitler, par le biais de son ministre de la Propagande, Joseph Goebbels, n’hésitait pas à recourir aux plus vils procédés de désinformation et de dénigrement pour faire des Juifs des parias, des exclus préparant un infâme complot, les responsables de tout ce qui n’allait pas dans la société allemande.  

Legault, par le biais des Martineau, Bombardier, Lagacé et bien d’autres mercenaires, alimente une culture de la haine, du dénigrement des non vaccinés, qui menacent selon lui notre système de santé en plus de mettre à risque la population, même vaccinée.  Legault n’a-t-il pas affirmé qu’il ne se laisserait pas approcher par une infirmière non vaccinée ?  Difficile d’afficher pire mépris – ni plus grande sottise - envers du personnel dont il n’est même pas digne de lasser les chaussures.

Si le flot de haine déversé par ces chroniqueurs dont l’une n’a pas hésité à affirmer qu’il fallait « faire la guerre aux antivax », n’est pas de la propagande haineuse, ce délit n’existe pas.  Or il existe bel et bien, selon le code criminel canadien :

« Suivant le paragraphe 319(2), commet un acte criminel quiconque, par la communication de déclarations autrement que dans une conversation privée, fomente volontairement la haine contre un groupe identifiable (qui a le même sens qu'à l'art. 318). »

Gageons que de telles dispositions n’existaient pas du temps du führer…

Le vent tourne.  Est-il dominant ?

Or, des chroniqueuses viennent de se démarquer du discours nauséabond des marchands de haine de Quebecor et de La Presse.  Il faut saluer leur courage.

 

Nadia Zouaoui affirme :

 

« Mais qui sont ces antivax ? Plus ça va, plus je vois des gens vaccinés prendre les positions des non-vaccinés. Ce sont des gens qui remettent en question les décisions du gouvernement en place. Des gens qui se donnent le droit de se poser des questions et de douter, au risque de se faire diaboliser. »

Et vlan !  Martineau a dû faire une danse du bacon en lisant ce topo.

Émilie Nicolas en rajoute :

« Le même gouvernement a ensuite utilisé cette part de responsabilité individuelle pour détourner l’attention de ses propres manquements. On a ainsi créé un récit politique assez particulier : si les institutions s’écroulent, c’est à cause d’une minorité d’individus sans pouvoir particulier dépeints comme nécessairement malfaisants (ici, les non-vaccinés), et non pas à cause des responsables de ces institutions. Un tour de force rhétorique du genre est d’une importance cruciale si tu cherches à rester un dirigeant populaire. »

On est loin ici de la rhétorique viscéralement haineuse d’une Denise Bombardier que cette citation d’Aurélie Lanctôt ne tempérera probablement pas :

« Au-delà du couvre-feu, tout indique que le discours sur « la vie avec la COVID » se construit en suivant le même horizon. « La vie avec la COVID », cela signifie pour l’instant que les artistes, les petits entrepreneurs, les employés des bars, des cuisines, des restaurants et de l’événementiel ont fait faillite ou ont changé de métier. Que les travailleuses de la santé se sont « habituées » à une nouvelle couche de catastrophe. Que les enseignants se sont « habitués » à choisir entre le risque permanent dans leurs classes mal ventilées et l’effritement du lien avec leurs élèves. Cela signifie que les malades, les détenus, les vieux se sont « habitués » à la solitude, que l’amitié est devenue une activité saisonnière et le foyer, le seul lieu de socialité valable.

Cette dernière citation brosse un portrait aussi implacable que désolant des deux dernières années de crise, devenue davantage sociale, politique et économique que sanitaire.  Devant un naufrage aussi spectaculaire, va-t-on continuer à s’en prendre aux non vaccinés ?  Du temps de Hitler, qui était le vrai problème ? Les Juifs, ou le führer ?  Il serait temps d’identifier clairement les responsabilités dans le désastre sociétal que nous traversons.

Et les responsables.

dimanche 9 janvier 2022

Lagacé contre les non-vaccinés : un discours digne de l’Allemagne nazie

Patrick Lagacé
Le gouvernement malveillant qui gère, sous l’égide la firme McKinsey, le Québec aura réussi l’improbable : convaincre un nombre effarant de vaccidiots que les non vaccinés sont responsables de 40 ans d’incompétence gouvernementale en Santé.  Au fond, pourquoi ne seraient-ils pas tenus également responsables de l’hécatombe, pour ne pas parler du génocide, des personnes âgées en CHSLD, tant qu’à sombrer dans le délire et la stupidité vindicative ?

En lisant la horde de chroniqueurs chacals grassement subventionnés par le petit Napoléon qui nous sert de premier ministre, on assiste à une remarquable inversion des responsabilités qui utilise les non vaccinés comme boucs-émissaires d’une gestion sanitaire catastrophique, la pire au Canada, et l’une de plus malsaines en Amérique du Nord. 

Il serait grand temps que des accusations au criminel soient déposées contre François Legault, Christian Dubé et Horacio Arruda et contre les nombreux chroniqueurs fanatisés et déments qui les soutiennent en mettant en péril la paix et la sécurité sociétales. 

Haro sur les non vaccinés !

À en croire les commentateurs chacals qui sévissent dans nos médias, sans les non vaccinés, la covid serait instantanément maîtrisée et la crise sanitaire, derrière nous.  Aucun expert scientifique crédible et étranger aux conflits d’intérêt ne peut valider pareille éventualité.  Qu’à cela ne tienne, les Martineau, Dumont et Bombardier, parmi plusieurs autres, crachent un venin corrosif sur les non vaccinés, allant même jusqu’à lancer un appel à la guerre (Bombardier) contre eux.

Patrick Lagacé a trouvé le moyen de surpasser en infamie ces commentateurs déjà orduriers.  J’évite généralement de lire ce chroniqueur répugnant : quand je m’y résous, j’ai l’impression alors de survoler une fausse septique dans laquelle macèrent des attaques putrides, des raccourcis malveillants, la désinformation dégénérative et la méchanceté gratuite.  Cet individu est foncièrement mauvais et corrompu jusqu’à l’os.

Dans un torchon digne de ses « meilleurs » moments, Lagacé énumère une liste de sanctions totalement arbitraires et délirantes qu’il souhaiterait voir appliquer aux « antivax » par le gouvernement. 

En faisant semblant de critiquer la prétendue « mollesse » de la CAQ, Lagacé joue en fait le jeu de ce gouvernement qui tente hypocritement de créer des tensions sociales telles qu’elles pourraient dégénérer en violence et peut-être même en guerre civile.  Si vous croyez que l’arrivée de l’armée dispersée partout au Québec, soi-disant sur place pour soutenir l’effort de vaccination d’un État parmi les plus vaccinés au mode, relève du hasard, achetez vite un billet de loto…

Des mesures dignes de l’Allemagne nazie

Mais jetons un œil sur le délire sournois de ce chroniqueur imbuvable.  Je vous préviens, allez vous chercher un café ou un drink avant d’entreprendre cette lecture nauséabonde, vous en aurez sans doute besoin. 

Une première mesure : interdire aux « antivax » l’espace public :

« Pourquoi est-ce IMPOSSIBLE de leur interdire l’accès à l’espace public, à ces gens-là, comme le prétend M. Legault ? Le PM n’a pas fait la démonstration que ce l’était, impossible.

Je le dis parce que la grogne est de plus en plus explicite et faisait enfler mes messageries, avant et pendant le point de presse du trio Santé : pourquoi les antivax sont-ils traités comme les vaccinés, dans ces mesures extrêmes annoncées jeudi ? »

Dans ce document faisant la chronologie des mesures coercitives appliquées aux Juifs par les Nazis à l’aube de la seconde guerre mondiale, citons celle-ci,

« Le 28 novembre 1938 Le ministère de l’Intérieur du Reich restreint la liberté de mouvements des Juifs. »

Ici, Lagacé en rajoute une couche… puante :

« Exemple : on oblige les non-vaccinés à rester chez eux. Bien sûr, certains sortiront. Mais à leurs risques et périls : tu n’as pas de passeport vaccinal et tu brûles un stop ? Contrôle du passeport vaccinal, amende si tu n’as pas de passeport vaccinal en règle. »

Lagacé considère même que, sans passeport vaccinal, le droit au travail devrait être refusé aux non vaccinés :

« Je pose la question du travail, aussi : pas de passeport vaccinal, tu ne travailles pas. Directive aux employeurs : zéro employé non vacciné. Ottawa l’a fait pour les milieux de travail de compétence fédérale. Et le fédéral explore même l’idée de refuser aux non-vaccinés des prestations d’assurance-emploi1. »

Le fédéral a déjà sévi en refusant les prestations d’assurance-emploi aux travailleurs congédiés pour avoir refusé d’être inoculés.  Le même document, cité plus haut, énumérant les mesures répressives nazies rappelle ceci :

« La Loi sur la restauration de la fonction publique exclut les Juifs et les opposants politiques des postes dans les universités et au gouvernement. Des lois semblables sont promulguées dans les semaines qui suivent pour les avocats, les juges, les médecins et les enseignants juifs. »

Ici, Lagacé va plus loin que les Nazis en voulant exclure TOUS les non-vaccinés, peu importe leur profession ou leur statut social, de la population active.  Hitler aurait été fier de lui.  Rappelons le sinistre épisode de chantage et de coercition exercé par Dubé contre les travailleuses de la Santé non vaccinées.  Ces femmes admirables ont fait la preuve que le gouvernement pouvait reculer devant la volonté légitime de faire respecter ses droits. 

Dans sa démence, Lagacé a oublié cette saga et va s’imaginer que ce qui a fait patate une fois réussira une deuxième fois.  C’est joindre la stupidité à l’entêtement aveugle et idiot.

Je n’ai trouvé nulle part de preuve que les Nazis interdisaient aux Juifs de conduire ou d’aller faire leur épicerie.  Lagacé les surpasse donc :

« Et parlant du Code de la route : tu veux renouveler ton permis de conduire, ça te prend ton passeport vaccinal…

L’épicerie ? Que les antivax commandent en ligne. Qu’ils se fassent livrer. Pas de passeport vaccinal, ben, tu rentres pas chez Metro. »

Dans sa folie, Lagacé va même jusqu’à enjoindre Legault à se prévaloir de la clause dérogatoire afin de limiter les mouvements des non vaccinés :

« Sorry, mais la loi 21 ne passerait pas le test des tribunaux sans la disposition de dérogation. Le gouvernement a quand même foncé. Si au moins notre PM tentait de vraiment limiter les mouvements des négationnistes, on pourrait découvrir si les juges ont de l’humour envers les plus égoïstes – et contagieux – d’entre nous en temps de pandémie… »

Patrick Lagacé est-il devenu le premier chroniqueur nazi au Québec ?  À la lumière de son délire haineux et vindicatif, la question se pose.  Collabo, certainement.  Son discours infantile et putride vient s’ajouter à celui, presque aussi dangereux, des Martineau, Bombardier et autres Dumont, pour ne citer que ces énergumènes. 

Ces marionnettes gouvernementales, dont les employeurs ne sont devenus que de vulgaires Pravda, loin de jouer leur rôle de critique des dérives de la CAQ, les soutiennent servilement et ne les critiquent que pour en demander davantage.  Comme le gouvernement Legault, ces perroquets sont devenus des nuisances sociétales.

Ne vous laissez pas atteindre par leur bassesse

 Pour conclure, je lance un message au non vaccinés.  Surtout conservez votre sang-froid, ne vous laissez pas atteindre par la pluie d’injures que vous adressent politiciens et médias.  Ces crapules ne reculeront devant aucune bassesse, aucune répression haineuse pour vous provoquer.  La CAQ sautera sur la première occasion pour demander l’intervention de l’armée, déjà sur place.  Ne lui offrons pas ce cadeau.  

jeudi 6 janvier 2022

Facebook : comment vous censurer au nom de votre sécurité…

Surprise ce matin du 6 janvier alors que pour une énième fois Facebook me demandait sur mon cellulaire d’authentifier mon compte.  Mais là n’était pas la surprise : ce n’était pas la première fois que je recevais pareille demande. 

Je trouve habituellement l’exercice lassant et fastidieux mais bon, je m’y suis prêté de bonne grâce pour découvrir que l’insertion du code envoyé dans mon cellulaire passait, mais que Facebook me redemandait d’authentifier mon compte, comme si de rien n’était.

Je m’y suis repris à plusieurs reprises et j’ai rentré chaque fois un nouveau code.  Peine perdue, rebelote. J’ai essayé par courriel, par texto, rien n’y a fait, toujours le même résultat.

À force de taponner, j’ai fini par cliquer sur un lien qui m’a informé que mon compte a été bloqué en raison d’une activité soi-disant suspecte.  J’ai cliqué sur un autre lien qui proposait, avec trois options, de m’aider à régler mon problème à l’effet qu’on individu ou un groupe étranger aurait usurpé mon compte :

J’essaie tour à tour chacune de ces options.  Devinez quoi ?  Voici ce que Facebook m’a répondu :

Je ne veux pas jouer les paranos, mais si ce naisage ne cache pas en réalité une volonté de censure, je me demande à quoi il sert.  J’ai du mal à penser qu’une entreprise qui vit de ses clics puisse se permettre de perdre un membre d’aussi ridicule façon sans qu’il y ait une volonté de le museler.

Un dernier clic sur « Accéder aux Page d’aide » a achevé de me convaincre qu’on cherchait à me faire tourner en bourrique avec le résultat suivant :

Rendu là, plus de temps à perdre en stupidités.

Des précédents.

Ce ne serait pas la première fois que je suis censuré par Facebook.  Au début, il s’agissait de suspendre mon compte 24 heures, puis trois jours, pour finir avec une suspension de 30 jours.  La raison ?  Une boutade à un contact disant : « On va vous envoyer la gestapo ! », accompagnée de bonhommes minions en uniforme policier.

Malgré ma contestation, Facebook est resté intraitable et j’ai dû purger mes 30 jours.  Au moins, j’avais la ressource de pourvoir communiquer avec mes contacts sur Messenger.  Plus maintenant.  Désormais, je suis complètement banni de Facebook au nom de la préservation de ma sécurité…

Ce procédé n’est pas sans rappeler ceux employés sournoisement par nos gouvernements provincial et fédéral.  Au nom de la santé publique, les tristes sires qui dirigent désormais par décrets se permettent tous les abus de pouvoir, tous les excès. 

Les voix conservatrices étouffées

Le bannissement de Donald Trump, de même que de nombre de ses followers, par Twitter et par Facebook, donne une idée assez claire de l’orientation idéologique et politique de ses dirigeants, d’allégeance démocrate. 

Rappelons par ailleurs cette nouvelle passée sous silence à l’effet que, à la demande d’Anthony Fauci, Mark Zuckerberg, qui dirige Facebook, avait décrété que la thèse d’une fuite du coronavirus du laboratoire de Wuhan était une théorie du complot.  Maintenant, les gens le moindrement bien informés savent que cette thèse était tout à fait fondée.

Des esprits simplets se sont réjouis de voir Trump banni d’aussi importantes plateformes.  Ils ne devraient pas.  Un jour, ce sera leur tour.  Il n’y a aucun doute que nous assistons à un recul inquiétant de la démocratie.  À ce recul s’ajoutera immanquablement celui de nos droits légitimes et fondamentaux.

 

samedi 1 janvier 2022

Legault, Trudeau et les médias encouragent la haine et la violence contre les non vaccinés

Justin Trudeau et François Legault

François Legault et Justin Trudeau peuvent être fiers de leur coup.  Par le biais de leur bras armé, soit les médias achetés par leurs soins, ils ont réussi à monter un trop grand nombre d’individus influençables et naïfs, mais aussi haineux, vindicatifs et hystériques, contre la minorité de citoyens prudents et avisés qui préfèrent exercer leur droit légitime de refuser un présumé vaccin, en réalité thérapie génique expérimentale.

Du jamais vu

Jamais aura-t-on vu, dans une société dite démocratique, pareil déferlement de haine, de rage et de méchanceté envers une minorité qu’on accuse, sans aucune justification scientifique, d’être responsable du non-retour à « la vie normale ».

Comme si, une fois tout le monde « vacciné », un retour à la vie normale était sérieusement envisagé par les fumistes qui nous dirigent.  Legault, que des citoyens plus lucides ont clairement identifié comme un menteur en série, a hypocritement affirmé que la majorité des mesures sanitaires seraient levées après que 80 % des enfants de cinq à 11 ans seraient vaccinés. 

Bien sûr, il n’en sera rien.  Il y a fort à parier qu’il y aura suffisamment de parents responsables pour éviter ce seuil dangereux pour le tout petits, à moins, bien sûr, que la suppression du principe de primauté parentale, mis de l’avant par le sous-ministre de la Santé, Lionel Carmant, ne permette aux autorités « compétentes » de forcer la vaccination des enfants.

Si le pire devait arriver, soit 80 % des enfants vaccinés, ce ne sera évidemment pas assez.  Il faudra 85 %, 90 %, 95 %, puis, en admettant que ces totaux soient un jour atteints, ce sera un abonnement à raison de trois rappels par an, minimum, pour aussi longtemps que l’État sanitaire sera maintenu.  Car le sanitarisme est devenu la religion dominante au Québec, comme partout ailleurs dans le monde.

Il faut vraiment manquer de jugeote pour croire encore nos dirigeants…

Ce qui était excusable en début de crise relève presque de la perversité à ne rien vouloir comprendre à l’heure actuelle.  S’il est vrai qu’une forte majorité appuie encore le gouvernement Legault, il y a de quoi désespérer des Québécois.  René Lévesque affirmait que nous étions « quelque chose comme un grand peuple ».  On peut se demander si nous sommes encore « quelque chose ».  Je croise les doigts en espérant que les sondages Léger exagèrent ou nous mentent…

Vous avez bien dit « retour à la vie normale » ?

Comment par ailleurs envisager un « retour à la vie normale » avec cette annonce du pantin qui nous sert de premier ministre fédéral, en date du 23 avril dernier ?


Cet insignifiant, ou plutôt les psychopathes de McKinsey qui le dirigent, ont déjà conclu avec Pfizer une entente de 35 millions de doses du « vaccin » en 2022, 30 millions en 2023, en plus d’une option pour 30 millions de doses additionnelles en 2022 et en 2023 et d’une autre de 60 millions en 2024. 

Et ces pauvres confinés mentaux qui croient toujours en un « retour à la vie normale » …  Ces chiffres ne parlent-ils pas d’eux-mêmes ?  Le Canada comprend une population de 38 436 447 résidents.   Le fédéral prévoit donc 60 millions de doses réparties sur deux ans, auxquelles viendront s’ajouter des options de 90 millions de doses réparties sur trois ans pour un grand total de 150 millions de doses en trois ans.  

Et dire qu’il s’en trouve encore pour croire en l’eldorado d’un « retour à la vie normale » et qui se réjouissent naïvement de pouvoir aller au resto et au ciné en présentant leur passe sanitaire, comme de bons toutous bien dressés.

Mais ce n’est pas tout…

Mais attendez, ce n’est pas tout, à ce nombre, vient s’ajouter cette nouvelle commande à moderna, en date du 14 août dernier :

Comme si nous n’étions déjà pas ensevelis par une quantité himalayenne anticipée de 150 millions de doses Pfizer réparties sur trois ans, il faut encore ajouter 40 millions de doses de Moderna, « vaccin » risqué pour les hommes de moins de 30 ans, réparties sur deux ans et la possibilité de prolonger les livraisons en 2024 et d’obtenir « 65 millions de doses en plus ».

Nous sommes donc rendus à une possibilité de 255 millions de doses Moderna et Pfizer réparties sur trois ans pour une population de moins de 39 millions de résidents.  Il s’agit donc d’une possibilité pour chaque Canadien de recevoir 6,5 doses en trois ans.  Tout un « retour à la vie normale ».

Le tango des collabos

Est-ce par peur, hystérie, méchanceté, fanatisme, intérêt ou stupidité, toujours est-il qu’un grand nombre de confinés mentaux se sont transformés au fil des mois en collabos ayatollahs du vaccin, niaisement persuadés qu’ils sont que cette substance des plus douteuses représente la seule issue possible à une sortie de crise que nos dirigeants n’ont nullement l’intention de nous offrir, même si la totalité de la population était quadruplement vaccinée.

Toute personne sensée a déjà compris cette évidence, mais il existe encore un trop grand nombre de gogos, incluant des personnalités publiques, qui retardent le groupe.  J’ai décidé de publier ici les captures d’écran de ces désolants ténors du sanitarisme.  Régalez-vous :

Bref, à en croire ces fous furieux, il faudrait « affamer les antivax », selon Claude Fournier, leur refuser la SAQ ou la SQDC, selon Jérôme Landry, et ajouter à cela le refus de l’accès aux centres commerciaux et aux « take out » des restos, selon François Gagnon. D’autres, plus « subtils », laissent entendre qu’il faudrait gérer les non vaccinés, sans préciser plus avant comment, tandis que Dan Bigras les vaccinerait « à la sarbacane », rien de moins.  Cette dernière « suggestion » a beau être une métaphore, elle n’en demeure pas moins un appel à la violence. 

Du même tonneau, nous avons ce quidam, qui énumère des suggestions plus ridicules les unes que les autres et qui radote qu’il faudrait sortir « des hôpitaux ceux (les soignants) qui refusent le vaccin ».  Faut croire que ce mec, « analyste politique », n’est pas au courant du mur frappé par le ministre de la Santé devant les courageuses travailleuses de la Santé non vaccinées…


« Get the shot, or get shot ! »

La bêtise est la sœur de la méchanceté, affirmait Sophocle. Qu’en est-il de la violence ?  Car c’est exactement là qu’on se dirige bientôt, si nos gouvernements et nos médias s’entêtent dans leur campagne de peur et de haine contre les non vaccinés. Si vous avez des doutes, considérez cet appel au génocide d’un Américain dont le compte semble avoir été suspendu :

La gestion psychopathique et manipulatrice de cette crise, davantage politique que sanitaire, prend un tournant très dangereux.  Le jour n’est pas loin où des non vaccinés seront harangués dans les rues, et subiront peut-être des violences physiques par des désaxés du genre de cette cloche de  McMurtry.

Qu’auront alors à répondre les Legault, Dubé, Martineau, Bombardier, Lagacé, Fournier et autres Bigras si – ou quand – ces débordements surviennent. 

Gens conscients et de bonne volonté, conservez bien vos captures d’écran de leurs délires.

Quand la poussière sera retombée après cette crise déplorable, nous aurons un devoir de mémoire.

Et certains auront des comptes à rendre…

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ?   C'est la première fois depuis ...