dimanche 29 mai 2022

Sanitarisme : si vous pensez que la CAQ vous laissera bientôt tranquille…

Bill Gates
Après plus de deux ans de délire politico-sanitaire ayant pour but inavoué une réduction lente mais certaine de nos droits, nous sommes de plus en plus nombreux à nous demander quelle sera la prochaine cible des sanitaristes de la CAQ en vue de nous pourrir l’existence au nom de « l’intérêt collectif ». 

Nos médias, devenus agences de presse gouvernementales subventionnées, envoient régulièrement des ballons d’essai, histoire pour nos dirigeants de sonder l’opinion publique et d’élaborer une nouvelle stratégie afin de faire accepter l’inacceptable à nos citoyens les plus assoupis intellectuellement.

Dans cette perspective, on voit circuler depuis quelque temps des articles s’en prenant maintenant à nos animaux domestiques, établissant comme un fait scientifiquement avéré qu’ils représentent une nuisance environnementale, quand ils ne contribuent pas à nous déprimer.  C’est à croire que les auteurs de telles niaiseries n’ont jamais entendu parler des bienfaits de la zoothérapie.

Nous nous voyons donc forcés de constater que tout ce qui nous rend heureux et contribue au maintien de notre bien-être personnel devient vite insupportable aux ayatollahs sanitaires qui nous dirigent.

Une guerre psychologique ?

Qu’on en juge : depuis deux ans, ces déviants nous ont privés de notre liberté de sortir, de nous déplacer, de nous réunir, de nous divertir, de faire du sport, de visiter et de soutenir nos aînés, de laisser nos enfants respirer librement à l’école, de choisir d’être vaccinés ou pas, bref, de tout ce qui rend le quotidien attrayant et propice à entretenir la joie de vivre et la bonne humeur, si essentielles à une bonne santé mentale.

Plus ils nous pourrissent l’existence, plus ils semblent radieux, à croire qu’ils se réveillent la nuit pour imaginer davantage de scénarios tordus et mortifères.  Pas besoin, la firme McKinsey, payée à même nos impôts, s’en charge pour eux.  Ils peuvent dormir tranquilles.

« L’avantage », si j’ose dire, d’avoir affaire à ces psychopathes est que, lorsqu’on les a clairement identifiés, il devient facile d’anticiper leurs stratégies, par nature répétitives.  Depuis deux ans, elles se résument à évoquer une contrainte en faisant mine qu’elle sera temporaire, de moindre impact, ou même écartée, puis de nous l’enfoncer dans la gorge de façon soutenue et durable.

Des exemples ?

Deux semaines de confinement seulement, le temps d’aplanir la courbe.  On connaît la suite… interminable.

Le masque donne un faux sentiment de sécurité, laissez donc faire et lavez-vous les mains.  Quelques mois plus tard, le salut de l’humanité dépendait de ce torchon.

Un couvre-feu ?  Pas question, c’est valable seulement en temps de guerre !  Cinq mois de bêtise répressive ont pourtant suivi, au cours desquels nous avons été les seuls en Amérique du Nord à subir cette mesure injustifiée et dénuée de tout fondement scientifique.

Le passeport vaccinal ?  On n’envisage pas vraiment cette option, ou sinon, pour des sphères d’activité bien ciblées.  Là également, on connaît la suite. 

La vaccination obligatoire ?  Jamais de la vie !  Et pourtant Christian « scumrat » Dubé n’a pas hésité à menacer de la façon la plus ordurière les travailleuses de la Santé non vaccinées de suspension sans solde si elles n’obéissaient pas à ses ordres.  Le salopard a dû capituler devant le courage des plus récalcitrantes, un dur revers pour ce petit Napoléon en culottes courtes…

Un « retour à la vie normale » ?  Ça reste à voir…

Nous sommes en période pré-électorale.  Lors d’une entrevue avec Benoît Dutrizac, François Legault, notre bien-aimé premier ministre, avouait candidement que, nouvellement élu majoritaire, il allait faire ce qui était « bon » pendant deux et même trois ans, avant de tenir compte de l’opinion publique lors de la dernière année en période électorale.  C’est là qu’on est rendu…

Depuis peu, nous pouvons à nouveau respirer sans masque dans les lieux publics fermés, et ressentir l’impression d’avoir renoué avec « notre vie d’avant ».  Plusieurs seraient tentés de croire à ce mirage trompeur, mais…

Il est écrit dans le ciel que les sanitaristes préparent déjà le terrain pour l’automne, après les élections qui pourraient bien reporter la CAQ au pouvoir avec un gouvernement majoritaire, du moins si les douteux sondages Léger disent vrai sur les intentions de vote des Québécois.

Si cette catastrophe devait survenir, il faudra s’attendre au pire. 

La nouvelle menace « vedette » : la vérole du singe

Fidèle à ses habitudes, la CAQ vient d’adopter, par l'entremise de son porte-parole, le docteur Luc Boileau, un ton rassurant à propos de la vérole du singe, qui représenterait une menace minime qui pourrait guérir très rapidement, quitte à se vacciner par mesure de précaution :

« Pour les personnes qui en sont atteintes toutefois, il n’existe pas de remède. La maladie se résorbe habituellement d’elle-même dans un délai de deux à quatre semaines.» 

Rien pour paniquer, alors on ne panique pas… pour le moment.

Attendez après le 2 octobre.  Le discours pourrait bien changer.  Et même déjà, certains pays, dont la France, commencent à frémir.

Capitaine Pandémie

Contrairement à ce qu’affirme une certaine rumeur, Bill Gates n’aurait pas spécifiquement prévu une épidémie de variole du singe, mais il reste de toute façon obnubilé depuis des années par l’Idée fixe d’une pandémie imminente.  Il en prévoyait obsessionnellement une dès 2017, puis une seconde en 2020 et continuait à nous en avertir en 2021.  Il n’allait pas laisser passer 2022 sans nous en annoncer une à nouveau.  Le pauvre bougre vit littéralement pour ces instants mortifères. Triste vie.

Compte tenu de son ascendant financier sur l’OMS, le présumé philanthrope n’aura qu’à claquer des doigts pour inciter cette organisation des plus corruptibles à invoquer de nouvelles mesures d’urgences auxquelles nos serviles dirigeants ne manqueront pas de se plier pour mieux nous faire fléchir.  

L’OMS planche d’ailleurs depuis quelques années sur un plan global d’intervention qui n’est pas sans inquiéter.  Cet organisme pourrait-il en arriver à se substituer à l’autonomie politique des nations au nom de la santé avec l’autorité « morale » du forum économique mondial dont le président, Klaus Schwab, reste l’idole de François Legault et de Justin Trudeau ?  Aucune certitude mais la question se pose.

Dans un contexte où l’identité numérique imminente laisse planer des doutes sur le respect de nos droits et la menace d’un crédit social à la chinoise, il est donc à craindre que, si nous ne nous réveillons pas, nous devrons subir à nouveau les mesures sanitaires les plus irrationnelles et les plus répressives. 

Un pensez-y bien avant d’inscrire votre « X » lors des prochaines élections…

samedi 21 mai 2022

Au Québec, mieux vaut vacciner que soigner…

Diane Lamarre, papesse sanitaire à TVA
C’est la conclusion déconcertante à laquelle il nous faut arriver devant l’annonce d’une campagne de vaccination massive prévue cet automne, tout comme la sixième vague anticipée par la papesse sanitaire de TVA, Diane Lamarre, la Ti-Mousse qui semble avoir pris le relais de Ti-Gus (François) Marquis. 

Ce dernier a probablement été rattrapé par ses réflexions involontairement comiques sur les vents dominants comme seule explication de l’absence d’éclosion à la suite de la manifestation du premier mai 2021, regroupant plus de 30 000 opposants à l’intégrisme sanitaire de François Legault.

Vers une « septième vague » !

Ne voulant pas être en reste envers le catastrophisme de Mme Lamarre, un nouvel « expert » improvisé, Benoit Barbeau, professeur au département de sciences biologiques de l’UQAM, a pris le relais de Marquis en anticipant (roulement de tambour) … une septième vague ! 

Lisez plutôt l’affirmation de cet oracle, si représentative de ce gouvernement archi prévisible depuis sa « deuxième vague » bidon ne reposant que sur des « cas », mais avec bien peu d’hospitalisations et encore moins de décès :

« « Il y aura une 7e vague, il y aura sûrement une augmentation de cas probablement plus à l’automne », déclare-t-il en entrevue à LCN. »

Est-il possible qu’il y ait encore des gens au Québec assez crédules, pour ne pas dire plus, pour prendre au sérieux pareil insignifiant ?  Ben oui, totoche, il y aura augmentation de « cas » comme chaque année puisque l’automne annonce invariablement la saison annuelle des virus, qu’il s’agisse de covid ou d’influenza.  N’importe quel quidam peut formuler pareille « prédiction ». 

Des incompétents dangereux

Si au moins les sanitaristes se contentaient de formuler leur hypothèses ridicules et alarmistes ne reposant que sur du vent, fût-il dominant, on pourrait toujours les laisser jouer seuls dans leur carré de sable, un peu comme on fait avec des personnes déficientes intellectuellement qui, malgré leur démence, ne représentent aucun danger pour la société. 

Le problème, avec ces fumistes que des médias achetés par le gouvernement s’entêtent à nous présenter comme des « experts », c’est qu’ils contribuent au maintien de mesures qui n’ont rien de sanitaires, mais qui représentent même un grave danger pour la population.

En voici une nouvelle preuve…

Selon ce qu’on apprend dans le Journal de Montréal, le gouvernement serait sur le point, si son projet de loi 28 ne passe pas, de demander aux directions d’établissements de Santé de détourner du personnel, déjà insuffisant, de leurs occupations essentielles, pour les affecter… à une campagne de vaccination « massive » contre la covid, prévue cet automne :

« La sous-ministre du ministère de la Santé, Dominique Savoie, a fait parvenir une lettre aux PDG des CISSS et des CIUSSS pour leur demander de trouver du personnel capable de remplacer les volontaires qui ont participé aux récentes campagnes de vaccination contre la COVID-19, advenant l’échec du projet de loi 28. »

Vous avez bien lu.  Les bénévoles, qui disposent de temps libre, seront remplacés par des travailleuses déjà surmenées par un manque flagrant de ressources et de personnel.  Non mais quels épais avons-nous au gouvernement !

La vaccination bidon avant les services essentiels

Aux yeux des enragés de la vaccination qui nous gouvernent, sous les bons offices de la firme McKinsey, mais aussi de leurs autres patrons que son Pfizer et Moderna - les mêmes que Justin Trudeau -, il vaut mieux réaffecter des travailleuses de la Santé vers une nouvelle campagne massive d’un vaccin, à l’évidence inefficace, plutôt que de les laisser continuer à offrir de l’aide immédiate et essentielle aux patients aux prises avec l’éventail des problématiques sanitaires, des plus anodines aux plus urgentes.

Et il est à prévoir que les ânes bâtés qui nous dirigent trouveront le moyen d’accuser les non vaccinés des dégâts qu’ils auront eux-mêmes provoqué délibérément. Après tout, le rapport de la coroner Géhane Kamel, qui a identifié des failles importantes bien réelles dans l’administration de notre système de santé, s’est montrée bien complaisant envers le gouvernement, contrairement à celui de la protectrice du citoyen, cinglant envers nos dirigeants.

Si avec une hécatombe de 6700 aînés, la CAQ reste intouchable, pourquoi se gênerait-elle pour continuer à jouer à la roulette russe avec la santé et même, avec la vie de la population ?  Ce gouvernement fantoche mettra encore la faute de sa grossière incompétence sur les non vaccinés, sous les applaudissements de la populace qui gobera pareille couleuvre.

dimanche 15 mai 2022

Généreuses subventions à Charles Sirois : Legault n’est jamais « au courant »

Charles Sirois et François Legault
Parmi les possibles conflits d’intérêt qui pourraient finir par hanter le gouvernement Legault, l’hypothèse de liens incestueux entre le premier ministre et son « ami », le milliardaire Charles Sirois, cofondateur de la CAQ, n’est pas dénuée d’intérêt, ceci, bien sûr, aux yeux d’esprits retors et prompts à chercher des bibites chez les politiciens les plus nobles.

Peu de gens le réalisent, mais Charles Sirois, a codéfini l’essence même de la CAQ, dont il a guidé avec Legault les premiers pas en rédigeant avec lui vers 2011 un semblant de plate-forme remplie de vœux pieux et creux.  Avant même que la CAQ ne prenne le pouvoir, Legault se voyait accusé de favoriser son ami par les libéraux, mais sans réelle prise sur lui.

Des manchettes bien énervantes…

Le 8 février 2020, Legault a dû avaler son café de travers à la lecture de cette manchette du Journal de Montréal :

« Un jour à peine après avoir dévoilé une nouvelle philosophie, Investissement Québec allonge cinq millions $ à un hôtel du milliardaire et cofondateur de la Coalition avenir Québec (CAQ), Charles Sirois.  

Investissement Québec (IQ) a prêté ce mercredi 5 M$ au Château Mont-Sainte-Anne, un hôtel de luxe au pied des pistes de ski de ce mont près de Québec, révèlent des documents notariés obtenus par notre Bureau d’enquête. » 

Nul doute que la classe moyenne a tout intérêt à voir se concrétiser la réalisation d’un tel projet.  La négociation des conditions de ce prêt a toutefois été amorcée sous le règne libéral en 2018, mais s’est poursuivie une fois la CAQ élue :

« En décembre 2019, après l’élection de la CAQ, Investissement Québec aurait « donné suite à une lettre d’intention envoyée au promoteur en confirmant l’offre financière », selon Manuel Dionne. Ce dernier nous a indiqué que François Legault n’aurait pas été mis au courant du projet de son ami. »  

Dionne est pourtant porte-parole du cabinet du premier ministre.  Ils se parlent pas, ces deux-là, faut croire.

 

Une autre « tuile » pour Legault

 

La morosité du chef caquiste ne devait pas s’atténuer par la suite puisque le Journal revenait à la charge avec cette manchette du 26 février 2020 :

« Québec vient à nouveau en aide à une entreprise appartenant au milliardaire Charles Sirois, cofondateur de la CAQ et ami de François Legault. Investissement Québec mise 5 millions $ dans une autre de ses firmes en développement. 

L’État québécois a pris à la fin janvier une participation directe de 5 millions $ dans Transmission CVTCORP, une entreprise de Sainte-Julie, sur la Rive-Sud de Montréal, pour l’aider à maximiser sa capacité de production. »

Outré, Legault s’est défendu en plaidant, ô surprise, l’ignorance de cet octroi :

« Le montant a été donné en vertu d’un programme normé. Je n’étais pas au courant avant d’avoir lu Le Journal de Montréal de ce montant qui a été versé à Charles Sirois », a-t-il affirmé.

N’est-il pas étonnant, cet aveu d’un premier ministre à l’effet qu’il lui faille lire le Journal de Montréal pour savoir ce qui se passe dans son propre gouvernement, à plus forte raison quand un ami personnel est en cause ?

Un cas d’incommunicabilité masculine ?

Tout en reconnaissant que Legault dit vrai en mentionnant que le montant a été donné en vertu d’un programme normé, le journaliste souligne ce détail embarrassant :

« Un des membres les plus influents de son cabinet, le ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon, a eu à autoriser directement cet investissement. C’est ce que nous a confirmé ce lundi Mathieu St-Amand, directeur des communications au cabinet du ministre Fitzgibbon. »

En clair, Legault, tout à fait ignorant de la situation, n’en avait jamais entendu parler ni de la part de son ami, Charles Sirois, ni de celle du porte-parole de son gouvernement, Manuel Dionne, ni de celle de son ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon.  Un cas flagrant d’incommunicabilité masculine, faut-il présumer :

« Là encore, le premier ministre Legault n’était pas au courant de cette aide financière, selon son cabinet. Il n’a pas apprécié non plus que notre Bureau d’enquête souligne que Charles Sirois et lui sont des amis. »

Legault était-il au courant de cette nouvelle démarche ?

Parlant de Fitzgibbon, on peut se demander si Legault avait entendu parler de la perspective du financement d’un autre projet de Sirois :

« Le ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon, a également reconnu qu’il envisageait de réinvestir dans le projet North Star de Charles Sirois, un ambitieux projet de satellites qui a déjà reçu un financement de 13 millions $ de Québec en 2018 quand les libéraux étaient au pouvoir. »

C’est fou comme les choses ont changé depuis les libéraux.  Comme la nouvelle est parue dans le Journal de Montréal, il faut présumer que Legault a fini par en prendre connaissance.

Mais ce n’est pas tout…

Si vous croyez avoir tout lu sur les liens incestueux qui unissent Charles Sirois à la CAQ, vous n’avez encore rien vu.  Le Journal de Montréal devait récidiver le 24 avril 2021 sous la plume lapidaire de Jean-Louis Fortin :

« « Patate chaude : problème embarrassant que chacun essaie de faire résoudre par un autre : ce dossier, c’est une patate chaude », nous dit le Larousse.

J’ajoute une autre définition, très actuelle et toute québécoise : un contrat sans concurrence de 36 M$ à une firme liée à Charles Sirois, le cofondateur de la Coalition avenir Québec (CAQ) et ami du premier ministre, François Legault. »

On ne joue plus aux petites quilles.  Le journaliste souligne en plus cette incohérence :

« Le mandat octroyé à PetalMD pour une plateforme de prise de rendez-vous en ligne l’a été dans le contexte de la pandémie, d’après le communiqué de presse daté du 5 août dernier dans lequel le ministre délégué à la Santé, Lionel Carmant, est cité. 

Si c’est vrai, l’urgence pouvait donc justifier d’esquiver le processus habituel d’appel d’offres.

Or, le ministère de la Santé a répondu par courriel à mes collègues que l’urgence sanitaire n’avait rien à voir avec ce contrat. »

Legault, qu’il fallait pour une fois présumer au courant d’un dossier, avait aussitôt contredit son ministère de la Santé :

« François Legault a contredit le ministère dès le lendemain de notre publication, affirmant en conférence de presse qu’il y avait bel et bien un lien avec la pandémie. Qui croire ? »

Dédoublement de personnalité ?

Legault serait-il victime d’un dédoublement de personnalité ?  Il devait ensuite déclarer :

« Le premier ministre a aussi plaidé l’ignorance, jeudi, concernant l’octroi du contrat à PetalMD.

« Les choix qui sont faits concernant les approvisionnements, je ne me mêle pas de ça. Je ne suis pas au courant, même, de ça », a-t-il affirmé. » »

Les rats quittent le navire

En attendant, devant cette « patate chaude », les rats avaient quitté le navire :

« Tour à tour, les ministres de la Santé, Christian Dubé, et de l’Économie, Pierre Fitzgibbon, ont voulu se dissocier de l’octroi de ce contrat. La présidente du Conseil du trésor, Sonia LeBel, leur avait pourtant donné beaucoup de crédit à ce sujet en commission parlementaire, mais le gouvernement assure aujourd’hui qu’il s’agissait d’un quiproquo. »

Si vous y comprenez quelque chose…

S’il finit par y avoir une commission d’enquête sur la gestion désastreuse de la pandémie par la CAQ, vous savez d’ores et déjà quelle sera la réponse de notre premier ministre aux questions les plus embarrassantes :

« Je n’étais pas au courant. »

Heureusement, il lui reste la ressource de s’informer sur ce qui se passe au sein de son gouvernement en lisant le Journal de Montréal…

samedi 7 mai 2022

Répression sanitaire : le Québec, le Shanghai de demain ?

Justin Trudeau et François Legault
Il y a des gens qui ont compris que notre planète était un petit village des plus interactifs et interdépendants.  Il y a les autres, pour qui la terre est un système solaire.  Ce qui arrive par exemple en Chine, en Australie ou en Nouvelle-Zélande, où la répression sanitaire étatique a depuis deux ans largement atteint le stade de la dictature, se déroule pour eux sur une autre planète et ne risque pas de survenir dans un pays aussi civilisé que le Canada ou un État aussi décontracté que le Québec.

Hormis l’évidence des faits, rien ne vient accréditer une perspective aussi sombre que celle vécue dans ces États rétrogrades.  Après tout, Justin Trudeau, a bien qualifié de « volontaires » les centres de confinement qu’il fait construire partout à travers le pays au coût de 100 M $. 

Il s’agit du même individu qui, après avoir insulté, démonisé et refusé de rencontrer les camionneurs pacifiques qui contestaient l’obligation vaccinale fédérale, a invoqué sans motif la loi des mesures d’urgence, gelé les comptes bancaires non seulement des camionneurs mais de ceux qui les avaient soutenus sous forme de dons.  Trudeau est même allé jusqu’à menacer les contestataires, dont un juge a reconnu plus tard la légalité de la démarche, de leur faire perdre leur permis de travail.

Un admirateur de la Chine et de Klaus Schwab

Vous croyez toujours que les centres de confinement de ce triste sire, qui admettait avec sa stupidité coutumière son admiration pour la Chine, resteront « volontaires » s’il se bute à une résistance citoyenne croissante devant une vaccination en voie de devenir rituelle aux trois mois, preuve évidente, s’il en faut davantage, de l’inefficacité du vaccin toujours présenté par nos médias achetés comme l’ultime solution de sortie de « crise ».

Trudeau doit fourguer à 38,7 millions de Canadiens un maximum de 220 millions doses en trois ans, sans compter les quelques 100 millions de doses qui seront produites au Québec par la nouvelle usine Moderna, en espérant qu’un pourcentage significatif sera destiné à l’exportation.  Le premier ministre a des comptes à rendre à Pfizer, Moderna, ainsi qu’au Forum économique mondial dont il reste un « young leader », tel que confirmé par Klaus Schwab, qui ajoutait candidement que le FEM contrôlait plus de la moitié de son cabinet.

Pendant ce temps, le dossier de l’identité numérique, déjà fortement implanté en Chine, suit son bonhomme de chemin au Canada, et particulièrement au Québec, qui semble devenu un terrain de prédilection expérimental pour toute nouvelle mesure abusive, vu la passivité intellectuelle et la mollesse de caractère d’un trop grand nombre de nos concitoyens.

L’identité numérique, un pas de plus vers le crédit social ?

Entre les mains de dirigeants honnêtes et vertueux, l’identité numérique constituerait un véritable progrès scientifique et social : meilleur accès aux services gouvernementaux, réduction de la bureaucratie et de la paperasserie, facilité accrue à déceler les vols d’identité, etc.

Entre les mains de dirigeants corrompus, cette nouveauté peut facilement devenir un instrument de contrôle et de répression, domaines de prédilection tant de François Legault et de Justin Trudeau, deux psychopathes pour qui réprimer et gouverner sont synonymes. 

La propagande haineuse et la répression visant les non vaccinés, incluant un impôt spécifique, ensuite abandonné par Legault devant l’occupation d’Ottawa par les camionneurs, et l’interdiction de quitter le pays par Trudeau, restent des indices probants des tendances lourdes chez ces petits Napoléons.

Trudeau a déjà gelé des comptes bancaires.  Pareille tactique deviendra une « nouvelle norme sociale » avec l’identité numérique, qui comprendra tant nos coordonnées d’assurances, bancaires que de crédit, ce qui permettra à nos geôliers de bloquer encore plus aisément notre accès à notre argent, si nous ne nous comportons pas en « bons citoyens » acceptant de bon cœur une énième dose de vaccin, par exemple.

Le modèle chinois en marche

Et puis les fortes têtes pourraient se voir offrir un séjour forcé en centre de confinement, histoire de leur faire comprendre leur erreur et réaliser que « la vaccination est le seul moyen de revenir à la vie normale ».  Tu parles d’une vie normale !  De plus en plus contrôlés avec une vaccination aux trois mois, si la tendance actuelle se maintient.

Cet article précurseur, paru une première fois en septembre 20220, nous explique :

« Développé et vanté par la Chine qui l’applique sur son peuple, chaque individu est numériquement tracé et contrôlé grâce à son smartphone et une application officielle, et ce, par un système de notation. Le citoyen qui agit « bien » aura des avantages (meilleure prise en charge de santé, meilleure chance d’évoluer socialement, meilleure place pour les enfants dans les écoles, meilleure chance de pouvoir voyager ou de pouvoir assister à un spectacle, etc.) et le citoyen qui agit « mal » se verra perdre tous ses avantages, voir sanctionné. La notion de bien et de mal étant dicté par le pouvoir politique. »

Une telle approche est déjà en voie d’implantation au Québec et au Canada.  Legault avait interdit les restos, les salles de spectacles ou de rencontre sportives aux non vaccinés.  Les aidants naturels étaient contraints de recevoir la « piqure » s’ils voulaient continuer de soutenir les plus vulnérables.  La perspective « d’affamer » les « délinquants » avait même été évoquée par quelques collabos parmi les personnalités publiques du Québec.  En ce moment même, les non vaccinés ne peuvent toujours pas quitter le pays.

L’identité numérique dès cet été

Donc, le modèle chinois est déjà en route et l’identité numérique est prévue pour cet été même.  Voilà qui promet si la CAQ rentre encore majoritaire ce 3 octobre car il ne faut pas se faire d’illusions sur les « allègements » actuels.  Ce gouvernement hypocrite recule toujours pour mieux sauter.  Toujours selon le même article :

« Les divers gouvernements du monde qui ont toujours critiqué le régime politique chinois, ont bizarrement décidé pour une fois, d’appliquer les mêmes mesures que la Chine, c’est-à-dire de confiner les populations. Il est d’ailleurs intéressant de voir que les pays et les états d’Amérique ayant appliqué le confinement généralisé ont tous ce projet de contrôle social par l’identité numérique. »

 

Une fois bien ferré par la CAQ pour un autre mandat de quatre ans, le pire sera à redouter et même certains confinés mentaux parmi les plus obtus pourraient éventuellement finir par mesurer l’étendue de leur erreur d’avoir reporté au pouvoir pareils bandits.


Comment créer un problème…

Comment en est-on venu à faire confiance à nos geôliers, à nous réfugier sous l’égide du syndrome de Stockholm, la seule inspiration qui nous soit venue de la Suède ?  L’article, qui parle de la France, mais dont les constats s’appliquent tout aussi bien au Québec et au Canada, nous présente cette explication :

« Il fallait donc créer un sentiment d’isolement avec des règles de sorties strictes et répressives, n’avoir comme informations qu’un égrainage quotidien des morts en France et dans les autres pays confinés et voisins, des messages contradictoires sur les traitements, sur les masques, sur les tests. Tout cela s’apparente aux prisonniers que l’on isole et que l’on conditionne en créant un environnement anxiogène, pour qu’ils donnent soit des informations, soit pour créer le chaos mental et en faire des soldats de la cause. »

 

C’est donc par la confusion, la désinformation, les interventions officielles présidentielles et l’isolement qui ont contribué à créer une nouvelle réalité, celle d’un monde de peur où il n’y a aucun espoir. »

Des Chinois se révoltent

Ce qui nous menace actuellement est devenu le quotidien en Chine, où le délire sanitaire du président a atteint un nouveau sommet avec la poursuite du « zéro covid ».  Des Chinois s’insurgent contre les confinements draconiens, la censure, le manque d’approvisionnements, de ressources médicales hors covid, et contre l’isolement en centres de quarantaine de personnes testées positives à la covid. 

Mais c’est si loin tout ça, aucun danger que ça nous arrive, direz-vous… Vraiment ?  Regardez bien ce qui se passe sous votre nez depuis deux ans et dites-moi si la Chine est une autre planète.  La Chine, c’est de l’autre côté de la rue… 

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ?   C'est la première fois depuis ...