samedi 12 novembre 2022

TVA l’affirme : les mesures sanitaires ont affaibli notre système immunitaire

Vacciner les enfants, vraiment nécessaire ?
Étrange aveu de la part de la Pravda sanitaire subventionnée qu’est devenu TVA : ce média vient d’avouer candidement que les mesures sanitaires, en principe destinées à préserver notre santé collective, ont eu l’effet exactement contraire, selon cet article :

« Le système immunitaire plus faible de la population en raison des mesures sanitaires mises en place pour lutter contre la COVID dans les trois dernières années. »

On a intérêt à conserver une capture d’écran ou une copie PDF de cette nouvelle au cas où cette déclaration devait subitement disparaître… 

Comment créer un problème

Alors que des experts de pacotille lancent des ballons médiatiques sur la douteuse perspective de masquer une fois de plus nos infortunés enfants, mesure inutile, voire néfaste, s’il en fut, il devient pourtant évident que l’extrémisme sanitaire démontre une fois de plus sa dangerosité :

« Tous les experts sont unanimes sur ce point-là. Il va y avoir plus de gens très malades cette année que par les années passées », affirme le Dr Pierre Harvey, infectiologue et microbiologiste, en entrevue à TVA Nouvelles. 

« Plus de gens très malades cette année que par les années passées. »  Que faut-il dire de plus pour faire comprendre à un trop grand nombre de gogos que nous sommes gérés par des apprentis-sorciers et que leurs mesures aussi bidon que répressives ont fait plus de mal que de bien en regard d’un virus qui, depuis omicron, n’est pas plus dangereux qu’une grippe ?  

Une panique bien orchestrée

Jamais la panique sanitaire n’a été aussi bien orchestrée que depuis que la population du Québec a été massivement vaccinée.  Cherchez donc la cohérence dans un tel état de fait.  Cette fragilisation de notre santé collective vous semble-t-elle le gage d’un succès médical quand on lit cet extrait :

« « C’est un virus très agressif l’influenza [...] et pour se défendre, il faut avoir un système immunitaire qui est toujours aux aguets. Depuis deux ou trois ans, il a lâché ses gardes et donc il risque d’y avoir, pas tout le monde, mais sur une population de 8 millions de personnes, il va y en avoir beaucoup plus qui vont être malades et très malades », soutient le docteur. » 

Depuis deux ou trois ans, on a lâché les gardes, vraiment ?  Alors que les gouvernements Legault et Trudeau ont fait l’impossible pour nous pourrir l’existence avec des mesures aussi ridicules qu’inutiles depuis… exactement ce laps de temps, justement ?  Le lien de cause à effet est établi à mots couverts par ce médecin :  si l’on est devenu plus vulnérable à l’influenza, c’est justement en raison des mesures sanitaires arbitraires, répressives et hasardeuses de nos dirigeants.

Roulette russe

Leurs orientations sanitaires sont à ce point efficaces qu’on pourrait même assister à une mortalité accrue :

« À l’instar de la COVID-19, l’influenza sera « une roulette russe », c’est-à-dire que certaines personnes seront très malades en contractant le virus, tandis que d’autres les seront très peu. 

Il est donc difficile de prévoir combien de personnes pourraient en mourir, mais, évidemment, plus le nombre de malades est élevé, plus les risques sont grands. »

Et la situation n’est guère plus reluisante du côté de nos enfants, après qu’ils aient été stupidement masqués, et maintenant de plus en plus vaccinés, avec une piqûre expérimentale qui pourrait bien se substituer au développement normal de leur système immunitaire, les fragilisant davantage par le fait même.

Comme l’extrémisme sanitaire que nous avons connu a fait des ravages chez la population en général, s’attend-t-on à un résultat différent en ce qui concerne nos enfants ?

Le vaccin, la solution suprême…

Comme il fallait s’y attendre, nos « experts » nous implorent de nous tourner vers l’ultime solution, selon eux, afin de préserver notre humanité souffrante de l’influenza : le vaccin !  Voyez plutôt :

« Afin d’éviter que les personnes plus à risques, particulièrement les enfants en bas âge, qui n’ont jamais ou ont très peu été exposés au virus de la grippe, et les aînés, soient très malades, le Dr Harvey recommande la vaccination contre l’influenza. »

Et bien sûr, Santé Canada entonne le même refrain :

« Avec la pénurie de médicaments pour enfants et la montée des infections en tous genres, l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) supplie les parents de faire vacciner leurs enfants dans ce qui est un « moment critique » pour les hôpitaux pédiatriques. »

Mais d’où vient cette « montée des infections en tous genres » ?  Quelle part revient à une dégradation « naturelle » de notre environnement sanitaire et quelle autre, aux mesures sanitaires évoquées plus haut par TVA ?  La pénurie de certains médicaments explique-t-elle à elle seule cette montée ou cette montée explique-t-elle cette pénurie ?

Une « mauvaise compréhension », vraiment ?

On sourit involontairement devant cette déclaration de Theresa Tam, administratrice-en-chef de l’Agence de santé publique du Canada, qui s’est illustrée dans le passé par sa recommandation du glory hole pour limiter la propagation de la covid lors des rapports sexuels :

« La Dre Tam reconnaît que bien des parents ont encore une « mauvaise compréhension » de la vaccination et qu’il est plus difficile de convaincre les gens de l’efficacité de la vaccination après près de trois ans de pandémie. »

Comment reprocher à des parents responsables de se montrer sceptiques devant la vaccination ?  Bien que le vaccin contre l’influenza soit homologué et qu’il ne comporte pas les mêmes risques que la thérapie génique contre la covid, est-on sûr qu’il soit recommandé pour les enfants ?  Doit-on les considérer aussi vulnérables que les personnes âgées ?  Le vaccin ne risque-t-il pas d’affaiblir leur système immunitaire ? 

Je n’ai aucunement la prétention de pouvoir répondre à ces questions.  Je les pose dans un contexte où l’on apprend d’un expert que les mesures sanitaires ont affaibli notre système immunitaire.  Se peut-il que la vaccination ait pu faire partie desdites mesures qui nous ont collectivement fragilisés ? 

Ne sommes-nous pas en train de nous engager dans un cercle vicieux au cours duquel de nouvelles mesures sanitaires engendreront une vulnérabilité accrue de notre système immunitaire et une vulnérabilité accrue de notre système immunitaire, de nouvelles mesures sanitaires ?

La question se pose, non ?

samedi 5 novembre 2022

Crise sanitaire : allons-nous pardonner à nos gouvernements leurs abus de pouvoir ?

Emily Oster
Un vent de plus en plus dominant, mais pas celui préconisé par l’expert TVA en faux François Marquis, souffle de plus en plus intensément sur la plaine médiatique.  Il semble que d’autres experts que « l’urventologue », un peu plus crédibles, ceux-là, aient décidé de changer leur fusil d’épaule et d’envisager un avenir un peu plus serein pour la société québécoise.

Amir Khadir a osé avouer que le vaccin Pfizer n’était plus une solution – s’il l’a déjà été - tandis que Karl Weiss et d’autres collègues admettent que les mesures sanitaires telles que masque et distanciation sociale n’ont plus leur place. 

Sont-ils guidés par l’honnêteté et l’esprit scientifique ou parce qu’ils sentent la soupe chaude et que bientôt, dirigeants, médias et autres experts de pacotille atterriront sur le grill de la justice populaire, sinon légale, pour avoir fait vivre au peuple québécois un psychodrame stérile, destructeur et évitable ?  Nul ne peut le dire.

Des effets dévastateurs

Il devient de plus en plus évident pour une partie grandissante de la population que le dogmatisme sanitaire des gouvernements Trudeau et Legault était tout à fait injustifié.  Les effets sur la société québécoise, plus encore que sur les autres provinces canadiennes, ont été dévastateurs : hécatombe dans les CHSLD, PME en péril, enfants inutilement masqués et vaccinés, familles divisées, travailleuses de la santé menacées et harcelées, obligations vaccinales injustifiées, dépressions, suicides, etc.

Inévitablement, un retour de flammes guette les premiers ministres Trudeau et Legault pour la totale dérive de leurs administrations respectives, marquées au coin de l’abus de pouvoir, de potentiels conflits d’intérêt favorisés par l’urgence sanitaire, de l’octroi de contrats sans appels d’offre, et du copinage impliquant la firme McKinsey et son client, Pfizer.   Ne pas au moins suspecter les conflits d’intérêt dans lesquels seraient mouillés jusqu’au cou la CAQ et le PLC relève de l’aveuglement volontaire.

Doit-on vraiment pardonner ?

Une économiste de l’université Brown, Emily Oster, vient de publier un cri du cœur invoquant la nécessité d’une amnistie pandémique.  Dans son propos, qui n’identifie aucune responsabilité, ni culpabilité, elle exhorte un peu tout le monde, gouvernements, médias, industrie pharmaceutique mais, peut-on lire entre les lignes, surtout le bon peuple américain, à se pardonner mutuellement au nom, faut-il imaginer, d’une louable foi chrétienne et du droit à l’erreur. 

Bref, forgive and forget, selon le proverbe.  Toute perspective de corruption, de dogmatisme, d’abus de pouvoir se voit balayée sous le tapis d’une convivialité bisounours de bon aloi. 

Des voix réclament justice

Tout le monde ne partage pas cette vision déjantée du réel.  Un magazine en ligne conservateur (aux yeux de nos wokes fanatisés, donc « d’extrême droite ») The American Conservative, a tenu des propos nettement plus sévères… et justifiés :

« "Allons-nous effacer les résultats de ceux qui ont laissé des enfants malades dépérir seuls dans les hôpitaux, qui ont séparé des maris de leurs épouses, qui ont empêché des familles de tenir la main des mourants ou de se rassembler pour leurs funérailles ? Non, non, et encore, non", a martelé l'auteur. »

Ce tableau n’évoque rien pour vous ?  On pourrait ajouter les personnes âgées mortes dans l’État de New York sous la gouverne du désormais célèbre Andrew Cuomo.  Mais visez la suite :

« "Après que des ordres ont forcé des gens à quitter leur emploi et que le vaccin devenu thérapeutique n'a pas réussi à arrêter la transmission de la maladie, devons-nous vraiment cesser de nous interroger sur ses effets secondaires potentiels ou sur la relation entre les sociétés pharmaceutiques et la FDA ?", a encore demandé l'article. »

Un questionnement tout aussi essentiel au Canada qu’au Québec.  En effet, à quand une évaluation post vaccinale ?  De plus en plus de nouvelles circulent à propos de morts subites « inexplicables », de surmortalité « imprévue » et de myocardites infantiles « préoccupantes » sans que le statut vaccinal des victimes soit même invoqué.  Si elles étaient non vaccinées, ne croyez-vous pas que la planète serait en feu ?

Des voix s’élèvent également au Québec

Au Québec, Nathalie Elgrably s’est élevée à juste titre contre les propos déresponsabilisants d’Emily Oster :

« Désolée, mais on n’efface pas l’ardoise aussi facilement !

Depuis mars 2020, les mesures se sont enchaînées : confinements, distanciation sociale, couvre-feu, interdiction de rassemblements, fermeture des commerces, interdiction des déplacements interrégionaux, points de contrôle, fermeture des écoles, port du masque, passeport vaccinal, ostracisme à l’égard des non-vaccinés, incitation à la délation. Et comment oublier l’hécatombe des CHSLD, les personnes mortes dans la solitude, les enterrements dans l’indignité et les familles déchirées ? Quant à l’inflation qui nous appauvrit chaque jour davantage, elle résulte des décisions politiques prises pendant la pandémie.

Une véritable guerre civile sanitaire a eu lieu. Et les conséquences sur les plans humain et économique sont gravissimes. »

Un chercheur de l’UQÀM, Julien Simard, a également condamné les propos déjantés de Mme Oster :

« La posture d’indulgence amenée par Oster et d’autres plus près de nous est complètement aveugle aux idéologies, aux inégalités, aux problèmes actuels des soi-disant démocraties, aux pressions des intérêts privés sur l’action des gouvernements en santé publique, au refus obstiné des preuves scientifiques, aux effets de l’austérité budgétaire. Le problème est exactement le même dans le dossier de la pollution.

Alors, voilà, si on veut que cela change, si on espère un minimum de transparence, il faut tenir une Commission d’enquête, degré zéro de l’exercice de mémoire. Pour comprendre les cadres politico-économiques de l’action de la CAQ. Pour mettre en place des processus de démocratisation de la santé publique. Pour miser sur des approches communautaires et de réduction des méfaits lors de la prochaine pandémie. »

Place au débat !

Les propos d’Emily Oster n’ont pas fini de déclencher les réactions les plus vives et c’est heureux.  Par ses déclarations banalisant le drame humain vécu non pas à cause du virus mais bien davantage provoqué par la gestion dogmatique, inhumaine et irresponsable de nos dirigeants, la chercheuse a bien involontairement ouvert la porte à un débat de plus en plus nécessaire, pour ne pas dire vital.

Il est impossible et impensable de recoller les pots cassés comme si de rien n’était, en ne prétextant que l’ignorance et la bonne foi.  Où se situait la bonne foi des Legault et Dubé quand ils mentaient effrontément à la population en transformant les non-vaccinés en parias de la société en leur interdisant les SAQ et les SQDC, se ridiculisant même à l’échelle planétaire avec leur « vaccimpôt » stigmatisant ces citoyens encore davantage ?

« Experts » de pacotille et faiseurs d’opinion fanatiques

Que dire des « experts » de pacotille, radotant que le vaccin réduisait sensiblement la contagion et la transmission, allant même jusqu’à attaquer la crédibilité de véritables scientifiques comme Didier Raoult et Christian Perronne.  On sait maintenant qui a raison.

Et que dire des propos orduriers, haineux et d’une rare violence, tenus envers les non-vaccinés par les faiseurs d’opinion, véritables mercenaires appointés, que sont les Denise Bombardier, Richard Martineau, Patrick Lagacé, Mario Dumont, Josée Legault, Isabelle Hachey, Loïc Tassé, Sophie Durocher, parmi d’autres, transformés pour l’occasion en propagandistes fanatiques dignes de l’Allemagne nazie ?

Il faudrait pardonner à tout ce beau monde et passer à autre chose, vraiment ?  À supposer que cette faune d’irresponsables en situation potentielle ou réelle de conflits d’intérêt admette ses torts, ce qui n’est pas près d’arriver. 

À moins qu’ils sentent que notre bon peuple aura majoritairement compris ce qu’ils cachent obstinément.  Alors peut-être aurons-nous droit à des élans de repentir des plus bidons.  Il ne faudra pas se laisser avoir par leur comédie.

Pour paraphraser Mme Elgrably, ni amnistie, ni amnésie ! 

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ?   C'est la première fois depuis ...