dimanche 27 mars 2022

Parlement européen : Trudeau descendu en flammes pour son mépris des droits humains

Justin Trudeau
Faut-il se surprendre que nos médias subventionnés et, par conséquent, achetés, n’aient pas jugé nécessaire de rendre publique la façon pour le moins sévère dont le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, a été accueilli par des représentants du Parlement européen lors de sa dernière visite à cette institution ? 

Les médias alternatifs ont, une fois de plus, pallié à l’incompétence des journalistes soi-disant professionnels en citant, preuves visuelles à l’appui, des déclarations pour la moins cinglantes adressées au pire chef d’État de l’histoire du Canada.

« M Trudeau, vous êtes un déshonneur pour toute démocratie.  S’il vous plaît, épargnez-nous votre présence. »  - Christine Anderson

Christine Anderson, femme politique allemande et membre de l’Alternative pour l’Allemagne, y est carrément allée d’une volée de bois vert :

« En m’appuyant sur l’article 1951, j’aimerais souligner qu’il aurait été davantage approprié pour M Trudeau, premier ministre du Canada, de s’adresser à cette institution en lien avec l’article 144, un article spécifiquement conçu afin de débattre les atteintes aux droits humains, à la démocratie et aux règles de droit, ce qui est clairement le cas de M Trudeau.

Ainsi, un premier ministre, qui admire ostensiblement la « dictature de base » chinoise et qui piétine les droits fondamentaux en persécutant et en criminalisant ses propres citoyens en les traitant de terroristes uniquement pour avoir osé contester sa conception perverse de la démocratie, ne devrait en aucun cas être autorisé à s’exprimer au sein de cette institution.

M Trudeau, vous êtes un déshonneur pour toute démocratie.  S’il vous plaît, épargnez-nous votre présence.  Merci. »

Cette salve énergique a été saluée par plusieurs applaudissements.

« À vos yeux, il peut s’agir de méthodes libérales, pour plusieurs citoyens de ce monde, il s’agit de dictature de la pire espèce. » - Mislav Kolakusic

De son côté, Mislav Kolakusic, ancien juge et militant actuel pour le respect des droits humains, n’a pas été en reste avec la députée allemande, y allant lui aussi d’une dénonciation virulente des exactions du premier ministre :

« La liberté, le droit de choisir, le droit à la vie, le droit à la santé, le droit de travailler, pour plusieurs d’entre nous sont des droits fondamentaux pour lesquels des millions de citoyens d’Europe et du monde ont sacrifié leur vie. Afin de défendre nos droits et ceux de nos enfants, que nous avons acquis à travers les siècles, plusieurs d’entre nous, incluant moi-même, sommes prêts à risquer notre propre liberté et nos propres vies.

Malheureusement, de nos jours, on trouve parmi nous des gens qui piétinent ces valeurs fondamentales.  Le Canada, jadis un symbole du monde moderne, est devenu un symbole de violations des droits civiques, sous votre botte, quasi-libérale, au cours des derniers mois.

Nous avons vu comment vous avez piétiné des femmes avec des chevaux, comment vous avez gelé les comptes de simples parents, afin qu’ils ne puissent payer l’éducation et les frais médicaux de leurs enfants, afin qu’ils ne puissent payer leurs services, l’hypothèque de leur maison. 

À vos yeux, il peut s’agir de méthodes libérales, pour plusieurs citoyens de ce monde, il s’agit de dictature de la pire espèce.  Soyez assuré que les citoyens du monde, unis, peuvent stopper tout régime visant à détruire la liberté des citoyens, que ce soit par le recours aux bombes ou à des produits pharmaceutiques dangereux.   Merci. »

Nulle place à l’ambiguïté

On ne peut dire que la salve de M Kolakusic laisse place à l’ambiguïté quant aux reproches bien mérités que ce député a adressé à Trudeau qui, non seulement avait fait preuve de lâcheté en prétextant un risque de covid qu’il n’a jamais eue pour esquiver des camionneurs pacifiques, mais déterminés, mais avait jugé opportun de les démoniser en les associant à des terroristes, voire à des nazis. 

Un recours injustifiable

Le recours injustifiable à la Loi des mesures d’urgence, représente une page noire dans l’histoire de notre pays, une véritable honte qui a fait passer le Canada de héros des libertés civiques et individuelles à zéro dictatorial ayant pour modèle la Chine, championne des violations des droits humains.

À mesure que nos libertés sont menacées par des dirigeants sans âme, ni scrupules, leurs agissements les rattrapent et pourraient bien leur préparer des lendemains qui déchantent. 

Des dirigeants en chute libre

Qu’il s’agisse du Canada ou de nos voisins du Sud, les chefs d’État de ces deux pays se retrouvent en positions précaire :  Trudeau est liquidé politiquement tandis que les démocrates américains se trouvent coincés sous plusieurs épées de Damoclès qui pourraient leur coûter davantage que la perte du pouvoir. 

Le rapport dévastateur de John Durham prouve les mensonges d’Hillary Clinton sur la collusion de Trump avec les Russes, le laptop de Hunter Biden est devenu plus qu’incriminant pour son père, et la fraude électorale de 2020 pourrait bien finir par être démontrée, qui sait.

De son côté, Trudeau reste pris avec plusieurs centaines de millions de doses vaccinales à nous fourguer.  Il a déjà fait construire des centres de confinement « volontaires » à travers le pays au coût de 100 M $, sans doute pour y détenir les contestataires jusqu’à ce qu’ils cèdent à la vaccination forcée. 

Trudeau osera-t-il braver l’opinion mondiale ?

Maintenant dans la mire de l’opinion mondiale pour des raisons qui sont loin de lui faire honneur, notre premier ministre corrompu osera-t-il imiter la Chine en incarcérant les récalcitrants à la vaccination ?  Dans le cas contraire, que trouvera-t-il à dire à ses maîtres, Pfizer et Moderna, sans compter au Forum économique mondial dont il est un « young leader », de l’aveu même de Klaus Schwab ?

Pas un karma facile, le Justin…

samedi 26 mars 2022

La famille Biden impliquée dans le financement de bio laboratoires meurtriers en Ukraine…

Joe et Hunter Biden
Le journalisme d’enquête n’est pas tout à fait mort aux États-Unis.  Cette fois encore, le New York Post, qui a révélé en 2020 le scoop du laptop de Hunter Biden liant potentiellement son père à une firme ukrainienne, vient de frapper à nouveau avec une nouvelle à l’effet que les Biden seraient également impliqués dans le financement de bio laboratoires d’armes chimiques en Ukraine.

Un laptop décidément des plus incriminants…

Selon le New York Post :

« Un trésor de courriels trouvés dans l’infamant laptop de Hunter Biden – dont l’existence a été révélée en exclusivité par le Post en octobre 2020 – a démontré que Hunter a joué un rôle en soutenant un contractant de la défense californienne en vue d’analyse de maladies mortelles et d’armes biologiques en Ukraine. » [i] 

Quand on apprend que Vladimir Poutine a invoqué l’existence de pareils laboratoires comme l’un des motifs de son invasion en Ukraine, la nouvelle a de quoi ébranler ce qui reste de la crédibilité du président américain, tombée par ailleurs à 34 % d’approbation populaire.

Toujours selon le NYP :

« Moscou a affirmé que des laboratoires secrets de guerre biologique justifiaient l’invasion non provoquée de son pays voisin le mois dernier.  Le gouvernement russe est revenu à la charge jeudi, affirmant que les laboratoires produisaient des armes biochimiques sur ordre de la famille Biden. »[ii]

Un faux pas de plus…

« Sur ordre de la famille Biden… »  Hunter Biden doit maudire son inconscience d’avoir oublié un laptop aussi explosif et incriminant chez un réparateur du Delaware qui, incidemment, a subi de lourdes représailles après avoir fait son devoir de citoyen en remettant l’ordinateur aux autorités compétentes.  Décidément, le discernement et le bon sens semblent avoir boudé à la naissance le cerveau des Biden, père et fils.

En effet, non seulement le président américain a-t-il donné au président russe les moyens de financer son invasion, en autorisant le pipeline liant la Russie à l’Allemagne tout en rendant son pays dépendant des Russes en fermant le pipeline Keystone, mais son inconscience aura fourni à son ennemi un motif parmi d’autres d’envahir l’Ukraine.  

Le NYP cite par ailleurs ce porte-parole du gouvernement russe :

« « Le président américain Joe Biden en personne est impliqué dans la création de bio laboratoires en Ukraine, » a affirmé Vyacheslav Volodin, porte-parole de la Douma d’État, selon un média russe. »[iii]

Bien sûr, on peut toujours mettre en doute la parole d’un officiel ou d’un média russe, mais quand ses propos sont corroborés par des courriels incriminants tant pour le père que pour le fils Biden…  Et puis, les médias américains, comme les nôtres, sont-ils en position de faire la leçon à quiconque sur l’intégrité journalistique ?

Les affirmations de Moscou ont été corroborées par les courriels découverts par le NYP, impliquant Hunter Biden.  Ce média précise :

« Rosemont Seneca Technology Partners a investi 500 000 $ dans la compagnie de recherche pathogène Metabiota et obtenu des millions de plus par le biais de firmes incluant Goldman Sachs, selon les courriels découverts dans l’ordinateur, abandonné dans un magasin de réparation du Delaware en avril 2019 à l’époque où Joe Biden visait la présidence. »[iv]

Les liens avec Burisma, l’entreprise même incriminant Joe Biden, se précisent avec cet extrait :

« Hunter présenta Metabiota à des représentants de Burisma, la compagnie de gaz ukrainienne sur laquelle il siégeait en vue d’un « projet scientifique » impliquant des bio laboratoires en Ukraine, selon les courriels.

Un mémo d’un représentant du Metabiota adressé en 2014 au fils du vice-président de l’époque, révélait que son entreprise pourrait contribuer à l’indépendance culturelle et économique de l’Ukraine, face à la Russie.   »[v]

Y aurait-il eu une guerre si Trump était resté en poste ?

Laptop incriminant, fausses allégations sur la collusion de Trump avec les Russes, fraude électorale, va-t-on voir la fin des machinations des démocrates ?  L’accumulation de tant de malversations et, surtout, leur divulgation, pourrait torpiller par le fond ce qu’il reste de prestige et de crédibilité américaines.

De toutes les magouilles des démocrates, celles impliquant la famille Biden restent les plus problématiques dans l’immédiat, quand on songe que le président américain, impliqué dans un scandale potentiel qui aurait pu lui coûter la victoire en 2020, semble avoir fourni à l’un des plus dangereux ennemis de son pays un prétexte, ou une raison, d’envahir l’Ukraine.

Peut-on imaginer qu’un tel fiasco planétaire serait survenu si Donald Trump était resté légitimement président ?  Comment ne pas comprendre que, si les GAFAMS n’avaient pas censuré en 2020 l’article du NYP sur le laptop de Biden fils et si les médias américains n’avaient pas menti en beuglant à la « désinformation russe », la divulgation d’une telle nouvelle aurait pu infléchir le résultat des élections ? 

Voilà bien une conséquence effroyable de la corruption et de la désinformation des médias américains mettant en péril la stabilité et la paix mondiales.   Ces propagandistes irresponsables ont désormais du sang sur les mains, et n’ont pas fini d’en avoir.


[i] A trove of e-mails on Hunter Biden’s infamous laptop — the existence of which was exclusively reported by The Post in October 2020 — found that he played a role in helping a California defense contractor analyze killer diseases and bioweapons in Ukraine.

[ii] Moscow has claimed that secret American biological-warfare labs in Ukraine were a justification for its unprovoked invasion of the neighboring country last month. It doubled down on the accusations Thursday, claiming the labs produced biochemical weapons at the Biden family’s behest.

[iii] “US President Joe Biden himself is involved in the creation of biolaboratories in Ukraine,” Russia’s State Duma speaker, Vyacheslav Volodin said, according to state media.

[iv] Rosemont Seneca Technology Partners invested $500,000 in the San Francisco pathogen research company Metabiota and raised millions more through firms that included Goldman Sachs, according to the e-mails found on the computer, which was abandoned at a Delaware repair shop in April 2019 as Joe Biden ran for president.

[v] Hunter introduced Metabiota to officials at Burisma, the Ukrainian gas company where he was a board member, for a “science project” involving biolabs in Ukraine, the e-mails show.

A memo from a Metabiota official to the then-vice president’s son in 2014 said the company could “assert Ukraine’s cultural and economic independence from Russia.”

 

samedi 19 mars 2022

Le laptop d’Hunter Biden et les mensonges d’Hillary sur la « collusion » de Trump reviennent hanter les démocrates

Joe Biden et Hillary Clinton
Il n’y a sans doute rien de plus contrariant pour des politiciens corrompus que de voir des cadavres qu’ils espéraient noyés à jamais remonter à la surface.  Voilà un sentiment lancinant qui pourrait hanter Joe Biden et Hillary Clinton si la Justice américaine, peu portée à incriminer des dirigeants démocrates, sortait de sa torpeur délibérée pour enfin s’acquitter de son travail et demander des comptes aux principaux intéressés.

C’est un secret de Polichinelle pour quiconque suit la politique américaine en dehors de la majorité des médias main stream, que Joe Biden se trouve assis sur un volcan depuis que le FBI enquête, ou feint d’enquêter, sur le contenu du laptop de son fils Hunter, imprudemment laissé en réparation chez un commerçant qui, constatant son contenu, a choisi de le communiquer aux autorités compétentes.

Des courriels incriminants

Des courriels incriminants y ont été découverts et authentifiés par des experts.  Il y est question de trafic d’influence liant une entreprise ukrainienne, Burisma, à Hunter, qu’elle payait une fortune en honoraires en échange de compétences inexistantes, espérant rencontrer « the big guy », comprendre son père, alors vice-président de Barak Obama, en vue de quelque bénéfice financier.  Un autre courriel échangé cette fois entre Hunter et son père attesterait de la perspective d’une telle rencontre.

L’histoire, d’abord révélée à l’automne 2020 par le New York Post, puis reprise par Fox news, aurait pu nuire considérablement à Joe Biden, alors en campagne présidentielle, si les GAFAM, Facebook et Twitter en tête, ne s’étaient donné le mot pour censurer non seulement l’article du NYP, mais aussi toute allusion à cet événement des plus incriminants.  La majorité des médias main stream devait également observer cette omerta.

Un sondage américain aurait récemment révélé que 10 % des électeurs qui ont voté pour Biden auraient choisi Trump s’ils avaient été mis au courant de cet événement.  Voilà comment on vole une présidence…

Quand le New York Times s’en mêle…

Joe Biden pouvait encore dormir en paix récemment mais le New York Times, à ne pas confondre avec Le NYP, devait le tirer de son sommeil avec un article des plus incriminants qui rappelle, au 24e paragraphe, le conflit d’intérêt potentiel liant les Biden à l’entreprise Burisma.

Les médias conservateurs, centre droite, Fox en tête, ont repris allègrement la nouvelle tandis que le reste des médias main stream américains, ont choisi soit de l’ignorer, comme d’habitude, soit de vilipender le NYT, qui passe dans le tordeur médiatique démocrate.

Pourquoi avoir attendu 17 mois ?

Un commentateur de Fox news se demandait pourquoi, après avoir attendu 17 mois, le New York Times se décidait enfin à évoquer ce potentiel scandale dont ce média niait l’existence en 2020.  Il a émis deux hypothèses : soit le NYT a eu vent de mises en accusations imminentes, soit le parti démocrate a choisi de se débarrasser d’un président devenu encombrant par son impopularité à l’approche des élections de mi-mandat qui pourraient plomber l’hégémonie démocrate à la Maison blanche.

On ne saurait toutefois tenir Biden, un homme de paille visiblement en plein déclin cognitif, responsable des gaffes de son parti, tel le retrait catastrophique de l’Afghanistan, et l’invasion de l’Ukraine qui ne serait jamais survenue si Trump était resté à la présidence de États-Unis.  Ce pauvre bougre éprouve visiblement de la difficulté à savoir où il se trouve ou quel jour on est, il serait donc téméraire de lui attribuer des décisions aussi dramatiques.

Un autre scandale étouffé 

Pour quiconque a la douce candeur de croire en la Justice américaine, il est affligeant de constater qu’Hillary Clinton et son mari, Bill, n’aient jamais été inquiétés par elle, ne serait-ce qu’à propos de cette prétendue « théorie du complot » que représente l’affligeant taux de mortalité violente qui a affecté jusqu’à présent plusieurs opposants à ce couple sulfureux, mais aussi d’anciens employés.  Aucune présidence n’a vu autant de décès survenir à sa suite.

Or, William P Barr, alors procureur général sous Trump, avait mandaté un procureur spécial, John Durham, afin d’enquêter sur la soi-disant collusion de Trump avec la Russie et ce, peu importe le résultat des élections 2020.  Durham a déposé récemment un rapport accablant qui a eu le mérite relatif soit d’être ignoré, soit de se voir descendu en flammes par les médias main steam, à majorité, s’il faut encore le mentionner, pro démocrates.

La CIA et le FBI impliqués

Le rapport indique que, dès le début de ces fausses allégations visant à plomber la campagne électorale de Trump en 2016, le FBI et la CIA n’en ignoraient ni la fausseté ni que les organisateurs de la campagne d’Hillary Clinton étaient à l’origine de cette supercherie. 

Il faut rappeler que la candidate démocrate avait été surprise par le FBI avec 34 000 courriels haute sécurité sur son laptop personnel non sécurisé alors qu’elle était secrétaire à la défense sous Barak Obama et que ce scandale avait été révélé en pleine campagne électorale.  Que pouvait bien faire de 34 000 courriels haute sécurité une secrétaire à la défense ?  Se peut-il qu’elle ait pu en transiger elle-même avec la Russie moyennant pot de vin ? Ah, les démocrates et les laptops…

Jusqu’à Obama ?

Selon plusieurs commentateurs de médias conservateurs, le rapport remonterait jusqu’à Barak Obama lui-même et à une entreprise informatique qui aurait été engagée pour hacker les ordinateurs personnel et présidentiels de Donald Trump pour y planter de fausses évidences et espionner le bouillant président. 

Tout ça ressemble à de la politique fiction, et il est à souhaiter que de véritables mises en accusation viennent corroborer ces allégations qui pourrait faire passer le Watergate pour un délit aussi inoffensif qu’un vol de dépanneur.

Les laptops par lesquels le scandale arrive…

Décidément, les laptops ne portent pas chance aux démocrates.  C’est au moment de la découverte de l’usage qu’en faisait Hillary Clinton que la candidate démocrate aurait ourdi une campagne de salissage qui a poursuivi Trump pendant tout le temps de sa présidence et même après.  C’est aussi par un laptop que la découverte d’un probable conflit d’intérêt pourrait plomber la présidence de Biden.  Reste à savoir maintenant si la Justice américaine fera son travail.  Ça, c’est une autre paire de manches…

samedi 12 mars 2022

Ukraine : le président Zelinsky, héros ou pion du Forum économique mondial ?

Volodymyr Zelinsky
Dans la catégorie humour involontaire, l’hypothèse d’un Vladimir Poutine, agent machiavélique du mondialisme oppresseur, rafle la palme d’or quand on se donne la peine de « faire ses recherches », selon l’expression consacrée. 

Cette vidéo datant de 2020 a de quoi clouer le bec des gogos les plus indécrottables sur les motivations réelles du président Volodymyr Zelinsky, présenté par la presse mondiale comme le héros de l’heure, luttant ardemment afin de défendre un peuple opprimé, au péril de sa vie, contre l’envahisseur Poutine. 

On découvre plutôt dans ce document visuel un exécutant servile de Klaus Schwab, le fondateur du Forum économique mondial, celui dont la devise est : « Vous ne possèderez rien, mais vous serez heureux. »  Tout un plan de match…

Cependant, aux yeux du public mondial, une tenue de combat, deux yeux cernés, et le tour est joué : nous avons l’impression d’assister à un vieux film de John Wayne avec le méchant au chapeau noir d’un côté, et le héros au chapeau blanc de l’autre.  On pourrait également songer au film de Sergio Léone, Le bon, la brute et le truand, à condition de remplacer le truand par l’idiot, Joe Biden.

Un « young leader » de plus…

Pour ceux qui ont compris que Justin Trudeau et François Legault n’étaient que des pions – avoués – du Forum économique mondial travaillant sans relâche à instaurer la quatrième révolution industrielle ou grande réinitialisation (« great reset »), il ne s’agira que d’une révélation de plus.

Legault a eu l’élémentaire prudence de faire disparaître sa profession de foi de 2017 envers son gourou, l’hallucinant Schwab, à l’effet que la CAQ serait prête pour sa quatrième révolution industrielle.  Heureusement, j’avais pris la précaution de recopier l’intégralité de son boniment dans ce billet.

De son côté, l’inimitable Justin Trudeau se mettait – une fois de plus - les pieds dans les plats lors d’une allocution aux Nations-Unies, affirmant que la pandémie représentait « une opportunité pour une réinitialisation (reset) »

Le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, ne s’est même pas caché de la fierté qu’il ressentait de pouvoir compter Justin Trudeau parmi ses « young leaders », en plus d’avouer candidement que « la moitié du cabinet » du premier ministre travaillait pour le FEM.  

Emmanuel Macron et Klaus Schwab

Et que dire de cet autre « young leader », Emmanuel Macron, complice de Schwab, qui rassurait ce dernier dès janvier 2021, que la situation vécue avec le virus allait « encore durer… pendant des années. »  La mine réjouie de ces deux compères en dit long sur leurs intentions.

Il n’est pas jusqu’au président Joe Biden qui souscrit aux orientations du FEM.  Bien qu’il n’ait pas jugé à propos de se rendre au pèlerinage annuel de Davos en novembre 2021, qui pourrait contrevenir à la régularité de ses siestes, il y a tout de même délégué des fonctionnaires de son administration.

Mais qui est Klaus Schwab ?

Klaus Schwab est le président du Forum économique mondial, un organisme fondé par lui en 1971 et qui ose se définir comme sans but lucratif tout en réunissant paradoxalement chaque année à Davos, « des membres payants, des dirigeants d'entreprise, des responsables politiques du monde entier ainsi que des intellectuels et des journalistes, afin de débattre les problèmes les plus urgents de la planète, y compris dans les domaines de la santé et de l'environnement. »

La définition qui suit a de quoi faire réfléchir sur l’impact actuel du FEM sur nos existences quotidiennes si l’on songe que cette organisation tentaculaire tient sous son joug des pions tels que Trudeau, Legault, Macron, et Biden :

« Le Forum exige dogmatiquement qu'un monde globalisé soit gouverné par une coalition de sociétés multinationales, de gouvernements et d'organisations de la société civiles (OSC) sélectionnées au lieu de structures démocratiques classiques7, ce qu'il exprime par des initiatives comme la « Grande Réinitialisation » et le « Global Redesign ». »

« Au lieu de sociétés démocratiques classiques… »

Je souligne ici que Albert Bourla, directeur général de Pfizer, fait également partie du Forum économique mondial.  Si vous vous demandez encore pourquoi et pour qui Trudeau, Legault et Dubé vont jusqu’au chantage le plus abject pour vous forcer à recevoir plusieurs millions de doses au cours des prochaines années, Je ne peux rien pour vous.

Voyez-vous maintenant à quelle tribu appartient Zelensky ?

Une journaliste franc-tireuse, Anne-Laure Bonnel, a récemment fait la manchette dans certains médias main stream, d’autres, alternatifs, et dans les médias sociaux à propos de la situation qu’elle n’hésite pas à qualifier de tragique prévalant dans le Donbass, à l’est de l’Ukraine, une région habitée notamment par des citoyens russophones qui font selon elle l’objet de représailles allant jusqu’aux bombardements, depuis l’éviction de Moscou du pays en 2014.

Bien sûr, le vertueux président Zelensky n’était pas encore en poste à cette époque, mais on ne peut affirmer que son élection en 2019 ait réglé quoi que ce soit dans cette situation déplorable et ignorée par les médias.   Le protocole de Minks, prévoit toutefois la fin des hostilités, mais reste inappliqué, les belligérants se rejetant les uns sur les autres la responsabilité de cet échec.

On peut tout de même s’interroger sur la bonté et l’altruisme présumés du président ukrainien, quand on constate ses allégeances envers le FEM.  Est-il vraiment un serviteur du peuple désintéressé, comme le nom de son parti l’indique ?  N’est-il pas au contraire prêt à sacrifier la sécurité de son peuple par son entêtement à vouloir intégrer l’OTAN, contre la volonté de Poutine ?  Et que dire des liens incestueux existant non seulement entre le président et le FEM mais aussi entre cette organisation et l’OTAN ?

Ce projet de gouvernance mondiale n'est pas une théorie du complot...

Derrière les visées soi-disant humanistes de ces deux organisations, un projet de gouvernance mondiale inquiétant se profile à l’horizon, au mépris de toute société démocratique.  Dans une telle perspective, Vladimir Poutine, antimondialiste déterminé, qu’on l’aime ou non, reste un empêcheur de tourner en rond.  

Et Volodymyr Zelensky, véritable création médiatique, à l’instar de la série comique qui l’a fait connaître, n’est certainement pas le héros que l’on croit. 

 

samedi 5 mars 2022

Poutine le tyran, Zelensky le héros : la réalité est-elle si simple ?

Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky
Il semble bien que la planète soit menacée par un volcan dont l’épicentre trône en Ukraine depuis que Vladimir Poutine en a envahi les frontières.  Du coup, la presse mondiale a distribué les rôles de ce nouveau psychodrame planétaire de façon tranchée et sans nuances : Poutine joue le personnage de tyran sanguinaire, et le président de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky, lui-même ancien acteur, celui de héros unificateur.  Ces attributions sont-elles représentatives de la réalité ?

Les faits nous sont présentés comme si la vie en Ukraine, l’un des pays les plus corrompus de la planète, s’écoulait comme un long fleuve tranquille tandis que sa population bienheureuse s’y baignait jusqu’alors avec euphorie.  La réalité est toute autre et ce pays agité n’a pas attendu l’arrivée de Poutine pour subir nombre d’abus de pouvoir.  L’invasion russe n’a fait qu’empirer une situation déjà problématique.

La Russie encerclée

En rupture de ban d’avec le narratif dominant, certains observateurs, dont le candidat aux présidentielles françaises Éric Zemmour, tout en condamnant la violence des troupes russes, constatent que la Russie, encerclée par les pays de l’OTAN, n’avait pas le choix de contester l’adhésion de l’Ukraine à cette organisation créée en 1949 afin de lutter contre ce qui était alors l’Union soviétique :

« L'Alliance voit le jour dans le contexte général des débuts de la guerre froide et plus spécifiquement pendant le blocus de Berlin exercé par les Soviétiques. Elle a pour vocation initiale d'assurer la sécurité de l'Europe occidentale en instaurant un couplage fort avec les États-Unis, seul moyen aux yeux des Européens après la Seconde Guerre mondiale de se prémunir contre toute tentative expansionniste de l'Union soviétique. Selon le mot de son premier secrétaire généralLord Ismay, le rôle de l'OTAN consiste à « garder les Russes à l'extérieur, les Américains à l'intérieur et les Allemands sous tutelle »b. »

De l’Union soviétique à la Russie

La réalité géopolitique mondiale a considérablement changé depuis l’effondrement du mur de Berlin et le démantèlement de l’Union soviétique.  Depuis son arrivée au pouvoir il y a plus de 20 ans, Poutine a tenté de sauver les meubles des splendeurs soviétiques passées tandis que l’OTAN, qui avait pourtant promis de ne jamais recruter d’ancien pays soviétiques, n’a pas hésité à renier sa parole. 

Or, l’Ukraine représente une zone tampon entre la Russie et la ceinture formée de pays de l’OTAN.  Supprimez cette zone, et ce pays devient plus vulnérable que jamais à une invasion de la part d’une organisation initialement créée afin de lutter contre l’Union soviétique.   Dans un tel contexte expansionniste, est-ce faire preuve de paranoïa d’envisager la thèse selon laquelle l’OTAN pourrait donner le coup de grâce à la Russie en se l’annexant, fut-ce par la force ?

On peut toujours condamner la Russie pour la violence de ses interventions, mais peut-on vraiment la blâmer de vouloir préserver son territoire ?  En insistant pour intégrer l’Ukraine à l’OTAN, le président Volodymyr Zelensky ne fait-il pas partie du problème ?  Travaille-t-il vraiment aux meilleurs intérêts de son peuple en risquant la sécurité de ses citoyens ?

L’ambiguïté de Biden

L’argent reste le nerf de la guerre et il en faut pour envahir un pays de façon aussi intensive.  Mais d’où vient l’argent de Poutine, sinon du pipeline qui lui permet d’approvisionner les États-Unis mêmes en plus de nombreux pays européens en commençant par l’Allemagne, qui lui a justement permis de contourner l’Ukraine.  Donald Trump avait toujours refusé au président russe ce passage. 

Biden, après avoir fermé le pipeline Keystone, autorisé par Trump, qui assurait l’autonomie énergétique des États-Unis par le biais du pétrole albertain, a renversé la décision de son prédécesseur et autorisé le pipeline de Poutine.  On peut se demander de quel pays Biden est le président…  

Depuis son élection frauduleuse, Biden, ou plutôt l’administration qui dirige ce vieillard sénile, n’a cessé de prendre des décisions catastrophiques pour les États-Unis, dont les obligations vaccinales imposées notamment aux camionneurs, les ruptures de chaînes d’approvisionnement qui en ont résulté, l’inflation galopante, le retrait désastreux d’Afghanistan, la crise migratoire sud-frontalière qui s’enlise, les masques obligatoires dans les écoles, entre autres faits d’armes.

N'est-il pas déconcertant de voir ensuite le président Biden jouer les vierges offensées en condamnant les exactions d’un dirigeant dont il a permis le financement, tout en continuant d’acheter son pétrole ?

Une intervention militaire condamnable mais…

Bien que la violence de l’intervention militaire russe soit condamnable, les revendications de son président restent légitimes.  L’invasion de Poutine semble de toute évidence bien davantage défensive qu’offensive, aussi paradoxale que cette situation puisse sembler.  Or, ni les chefs d’État, ni les médias à travers le monde ne semblent vouloir envisager la question sous cet angle pourtant primordial.

En attendant, ce sont les civils ukrainiens qui sont pris en otages entre la volonté de survie de son pays du président russe et l’obstination du président ukrainien à joindre une organisation justement néfaste pour la Russie.  L’impasse ne semble pas sur le point de se dénouer.

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ?   C'est la première fois depuis ...