dimanche 19 février 2023

Propagande haineuse envers les non-vaccinés : spécial Richard Martineau

Richard Martineau
Vous m’auriez dit, avant la pandémie manufacturée que nous avons traversée jusqu’ici, que j’en arriverais à prendre Richard Martineau en grippe au point de ne plus supporter même de lire son nom sur le web, que je ne vous aurais jamais cru.

Tant sur le plan de la lutte à l’islam radical, que sur celui de la dénonciation des dérives du néo-féminisme incluant le délire prosélytique du lobby trans ou sur celui de la nécessaire reconnaissance de la condition masculine, nous avions, lui et moi, plusieurs atomes crochus qui ont mené à une collaboration hebdomadaire soutenue, de la mi-octobre 2019 à la fin février 2020 sur les ondes de QUB radio.   Tantôt lui, tantôt sa conjointe, Sophie Durocher, m’interviewait à partir de billets que j’avais publiés dans le web média alternatif dixquatre.com, aujourd’hui disparu.

C’est l’arrivée de la crise politico-sanitaire de mars 2020, décrétée par l’Organisation mondiale de la santé, qui a mis un terme à cette collaboration, l’urgence présumée de la situation occupant désormais l’avant-plan de l’actualité.

Docteur Martineau, Mister Hyde

Incrédule, j’ai assisté, à partir de ce moment, à une métamorphose progressive qui dont le résultat n’avait plus grand-chose à voir avec le Richard Martineau que j’avais connu et estimé.  Le ton qu’il employait, envers quiconque avait le malheur de questionner la doxa sanitaire de l’intolérant et répressif gouvernement Legault, devenait de plus en plus agressif, passant d’incisif à carrément grossier, vulgaire, haineux pour ne pas dire fanatique. 

De la polémique, Martineau est passé à la propagande haineuse.  Tôt ou tard, il devra, comme plusieurs de ses collègues du Journal de Montréal, répondre de ses actes.

Bien sûr, ces chroniqueurs ont tous hurlé avec les loups sanitaristes, comme autant de fidèles lobotomisés par une même secte, ânonnant tous les mêmes clichés voulant que le vaccin était notre seule garantie vers le retour à la vie normale et que quiconque le refusait devenait un paria de la société, un égoïste, un irresponsable, un ignorant, un danger public, voire même un assassin, comme le soulignait son collègue Loïc Tassé.

Attaqué et bloqué

Égal à ces propagateurs de haine, Martineau a probablement été le plus prolifique d’entre eux.  Quand je lui avais fait remarquer, en message privé et exemples à l’appui, l’effet d’entraînement que ses attaques répétées avaient exercé sur les populations les plus primitives du Québec, il n’avait rien trouvé de mieux à faire que de me prendre publiquement à partie sur sa page Facebook, après m’avoir bloqué.  C’était joindre la lâcheté à l’injure.

Je ne reproduirai pas ici les captures d’écran des énergumènes qui en étaient arrivés aux menaces d’agression physique, voire de mort, envers les non vaccinés.  Leur message « mérite » tout de même d’être cité, fautes incluses :

« Ces pas avec des contravention qu’ils vont régler le problème un moment donner il va falloir tire dans le tas. »

C’est pas du Nelligan.  Voici l’autre gus :

« Haine profonde aux idiot no vax.  Il faut s’organiser entre nous et dénoncer ses récalcitrants !  Il serait tant qu’un groupe aille s’occuper de leur cas.  Come on !  On est plus nombreux on se débarasse deux asap si Legault et police ne font pas leur job #VaccinationObligatoire »

Inversions accusatoires

C’est grâce à une amie Facebook qui m’a fait parvenir ces captures d’écran que j’ai appris la nouvelle de l’attaque hypocrite de Martineau.  J’ai souri quand j’ai lu qu’il m’avait « défendu à de nombreuses reprises » d’accusations d’incel, alors qu’en réalité, lui et sa femme avaient pu bénéficier des services d’un chroniqueur bénévole pendant 13 entrevues.

Ce qui frappe, dans son post, c’est son penchant pour les inversions accusatoires.  Tout ce dont il m’a alors accusé, il le fait couramment.



Martineau m’avait donc accusé d’être « tombé dans le rabbit hole des antivax ».  Comme si lui n’était pas tombé dans celui des sanitaristes, d’experts bidon, tels les docteur TikTok, François Marquis et autre Diane Lamarre, pour ne citer que ceux-là, des gens sans expertise valable en ce qui a trait aux virus, qui en plus n’hésitent pas à dénigrer de véritables sommités telles que Didier Raoult, Christian Perronne ou Alexandra Henrion-Caude, pour nommer que celles-là.

Agresseur victime

Ensuite, il a gommé sa part de responsabilité dans l’afflux de commentaires haineux qu’il reçoit, comme si les nombreuses attaques qu’il a livrées aux non-vaccinés allaient rester sans conséquences.  Martineau ne semble pas comprendre que l’hostilité qu’il dit recevoir est celle de personnes attaquées injustement, grossièrement et stupidement par ses soins.  Un cas typique d’agresseur victime.

Non, Martineau, tu n’es pas « responsable de tous les zozos de la terre », mais tu restes responsable de tes propos, qui relèvent de la propagande haineuse.  Les nombreuses captures d’écran que j’ai placées en conclusion de ce billet représentent autant de preuves accablantes de ta méchanceté gratuite. 

Pour finir, Martineau m’assimile à un membre d’une secte qui lui écrirait pour « lui parler de la fin du monde ou de la réincarnation de son gourou ».  Rendu là, il ne savait plus quoi dire.  Les exemples de menaces envers les non vaccinés que je lui ai envoyés étaient bien réels.  Imaginez alors un policier qui aurait réagi comme Martineau devant pareilles dénonciations ? 

Pour finir, je vais laisser à ce has-been le soin de continuer à creuser sa tombe dans l’opinion d’une part sans cesse grandissante de son public.  On n’est jamais mieux servi que par soi-même, n’est-ce pas, Richard ?












dimanche 29 janvier 2023

Tout peut causer une crise cardiaque, sauf…

Avez-vous remarqué à quel point la problématique des crises cardiaques occupe une place sans cesse grandissante dans l’espace médiatique ?  Tout et n’importe quoi peut entraîner cette calamité.  Tout ?  Vraiment ?  Bien sûr, des bien vilaines langues ne manqueront pas de s’interroger sur le fait que les pays les plus vaccinés soient devenus ceux qui enregistrent le plus haut taux de surmortalité.

C’est du moins le point de vue de savants dissidents de la doxa sanitaire, qui s’attirent régulièrement les foudres des sanitaristes, politiciens et « experts » de plateau, ceux-ci s’empressant de les taxer de complotisme.  En première ligne au banc des accusés, le professeur Didier Raoult, s’exprimait ainsi, sur les ondes de Sud Radio :

« LA QUESTION. « Je ne comprends pas ce qu’il se passe». Le Pr Didier Raoult a de nouveau affirmé, dans un entretien avec le journaliste de Sud Radio André Bercoff, que les vaccins « ont augmenté l’épidémie ». Outre l’hypothèse envisageable mais encore non démontrée des anticorps facilitants qui expliquerait d’un point de vue virologique l’avantage qu’aurait le virus face aux personnes vaccinées, le controversé scientifique marseillais a cette fois-ci fondé son argumentaire sur le simple fait que «les pays les plus vaccinés» seraient ceux qui enregistreraient «le plus de cas actuellement». Preuve en est, selon le spécialiste des maladies infectieuses, quand 25% des cas de Covid de la pandémie en France sont survenus depuis moins d’un moins, il y a eu « dans le même temps », 15 millions d’injections vaccinales. » »

 

Une surmortalité de 20 % et un taux record de vaccination au Québec

 

C’est un fait maintenant reconnu : il est devenu très difficile de connaître le statut vaccinal des patients hospitalisés et des morts covid au Québec depuis juillet dernier au Québec.  La même réserve se retrouverait partout dans le monde.  Or, la surmortalité est devenue un problème tout aussi mondial. Il ne se passe pas une semaine sans qu’on apprenne que de jeunes sportifs, vedettes ou journalistes, s’effondrent, quand ils ne meurent pas subitement pour des raisons « inexpliquées ».

 

Rien qu’au Québec, on enregistre une surmortalité de 20 % depuis l’année précédente :

« La vague de virus respiratoires qui frappe le Québec depuis l’automne, conjuguée aux sous-variants d’Omicron, a engendré une surmortalité importante en fin d’année : on a observé environ 20 % de décès de plus que ce qui était attendu.

Selon les données dévoilées jeudi par l’Institut de la statistique du Québec (ISQ), cette surmortalité, surtout portée par la COVID-19, oscillait autour de 10 % depuis le mois de juillet, mais a bondi fin novembre pour avoisiner les 20 % lors des dernières semaines de 2022. Les informations les plus récentes datent du 17 décembre. »

Comment expliquer pareil phénomène alors que le Québec se targue d’un taux de vaccination qui ferait « l’envie » de bien des pays ?  Selon les statistiques les plus récentes, en date du 23 janvier 2023, 87,75 % des Québécois ont reçu une première dose, 84,19 %, une deuxième dose, 54,91 %, une troisième dose, 30,08 %, une quatrième dose et à peine 13,07 % se sont aventurés à une cinquième dose.  Et on nous parle d’une surmortalité « surtout portée par la covid-19 ». 

Peut-on encore vanter un vaccin efficace ?  La corrélation entre une surmortalité impressionnante et un taux de vaccination record ne vient-elle pas confirmer l’hypothèse de Didier Raoult ?

Le grand rêve de Justin Trudeau d’une vaccination à jour de 80 % ne se réalisera pas au Québec, ce qui équivaut à dire qu’il ne se réalisera nulle part au Canada, les Québécois étant réputés pour leur grande « docilité ».

Un festival de « coïncidences » …

 

Est-ce une coïncidence si, devant l’afflux de crises cardiaques, l’un des effets secondaires graves attribuables à la covid-19, on multiplie les thèses, plus farfelues les unes que les autres, pouvant « expliquer » ce fléau de plus en plus répandu, même chez les jeunes et les enfants (myocardites) ?

 

Je vous laisse avec quelques captures d’écran parmi plusieurs involontairement comiques qui illustrent cette nouvelle folie médiatique de désinformation.  Il y aurait de quoi se bidonner si les concepteurs d'un tel psychodrame médiatique ne se prenaient pas autant au sérieux.  Amusez-vous tout de même…

 








samedi 14 janvier 2023

Allemagne : une survivante de l’holocauste menacée de vaccination forcée

Inna Zhvanetskaya
Au cas où vous vous imagineriez que le délire sanitaire et la folie vaccinale seraient choses du passé et que la majorité des pays dits civilisés se prépare tranquillement au désormais mythique « retour à la vie normale », voilà une nouvelle qui pourrait vous faire déchanter.

Et c’est dans un pays présumément démocratique et respectueux des droits de ses citoyens que cet événement surprenant se déroule, soit l’Allemagne.  En effet, les autorités allemandes, sans doute pétries des intentions les plus bienveillantes, ont jugé pertinent de faire interner une survivante de l’holocauste, Inna Zhvanetskaya, une Juive ukrainienne de 85 ans, et de lui administrer par la force, si nécessaire, deux doses de vaccin contre la covid.  Tout ça bien sûr dans son meilleur intérêt.

Vous avez bien lu.

Les mauvaises habitudes meurent difficilement

Les mauvaises habitudes meurent difficilement, semble-t-il, ce qui a amené le site Report24, à l’origine du scoop de cette nouvelle affligeante,  à poser cette question aussi insolente que justifiée : « La vaccination forcée des Juifs est-elle une bonne vieille tradition allemande ? »

Le même site renchérit :

« Tout information additionnelle qui peut et doit être rapportée à propos de ce cas est consternante, puisqu’elle démontre que, dans le pays de la Shoah, certains descendants de ses perpétrateurs ont appris bien peu ou rien du tout. »

Pas de danger que pareille atteinte aux droits humains ne survienne chez nous, direz-vous.  Pourquoi ne pas vous demander à quoi pourraient bien servir les sites d’isolement « volontaires » que Justin Trudeau a fait construire à travers tout le pays au cours des deux dernières années ? J’avais déjà traité ce sujet dans ce billet, dont la lecture pourrait vous fournir des éléments de réponse.

Menacée d’être internée « pour son bien »…

Une ordonnance de tribunal vient donc d’autoriser les autorités allemandes à retirer contre son gré la musicienne de son domicile de Stuttgart en vue de l’interner dans un établissement psychiatrique, bien sûr, « pour son bien », selon l’expression consacrée et ô combien hypocrite justifiant trop souvent l’injustifiable.

Heureusement pour elle, des alliés sont venus à son secours et l’hébergent présentement dans un lieu resté secret.  Apparemment, même la musique serait une nuisance pour sa santé mentale, aurait décrété le tribunal, sans doute sous les judicieux conseils de soi-disant experts.  Une vidéo, enregistrée dans sa cachette, et recueillie par le site Report24, la présente, affirmant :

 « La musique, c’est ma vie, et s’ils m’enlèvent la musique, ils m’enlèveront ma vie. »

Le site Report24 précise :

« Selon le verdict émis par le juge du district judiciaire de la cour de Stuttgart-Bad Cannstatt, la réclusion de Mme Zhvanetskaya au sein d’un hôpital psychiatrique ou d’un établissement de soins de santé a été approuvée par le soignant de garde jusqu’au 5 décembre 2024, au plus tard.  Dans l’intervalle, deux doses de vaccin contre la covid (coronavirus) aux fins d’immunisation de base ont été approuvées en tant que mesures médicales imposées, à chaque fois après examen de l’aptitude à vacciner, jusqu’au 16 janvier 2023, au plus tard, avec le consentement du soignant de garde. »

Un juge déconnecté

Le jugement précise que la vaccination forcée de la musicienne est, on les croit sur parole, nécessaire au bien-être de la personne visée afin d’éviter des « dommages significatifs pour sa santé ».  À notre époque où les morts subites « inexpliquées » se multiplient et que la surmortalité devient de plus en plus endémique dans les pays les plus vaccinés, on cherche en vain sur quelles bases scientifiques s’appuie le juge à l’origine de ce verdict digne d’une dictature sanitaire.

Or, voilà le souci : Mme Zhvanetskaya, faisant preuve de bon sens, ne croit pas aux bienfaits de la vaccination, contrairement au magistrat qui, lui, considère que les bénéfices de cette mesure plus que douteuse surpassent les inquiétudes de la dame.  Encore un égaré qui s’appuie sur un improbable « consensus scientifique » qui relève davantage de la manipulation médiatique que de la réalité.  Autant confier à une danseuse topless le soin de se prononcer sur un problème de chirurgie du cerveau.

Vague de sympathie

Le site Report24, qui le premier a publié cette nouvelle effarante, souhaite qu’elle soit relayée le plus possible.

Plusieurs personnalités et organismes voués à la santé et à la liberté de choix se sont insurgés contre ce verdict pour le moins inquiétant, qui semble constituer un précédent et qui pourrait faire jurisprudence.  La society of physicians and scientists for health, freedom and democracy, a publié la lettre ouverte d’une autre femme juive vivant en Allemagne, qui conjure la cour de Stuttgart de réviser sa décision.

Parmi les voix qui protestent contre cette aberration, mentionnons ces deux porte-parole :

Le docteur Bodo Shiffmann, qui enjoint ses lecteurs à partager au plus grand nombre la nouvelle de cette situation, a déclaré :

« Cette femme, une survivante de l’holocauste en Allemagne, a consciemment décidé qu’elle ne voulait pas de ce vaccin et se voit maintenant assujettie à une mesure de contrainte médicale. »

De son côté, Beate Bahner, auteure et avocate spécialisée en droit médical, s’est indignée :

« Cette décision est un gigantesque scandale judiciaire.  Exécutable immédiatement !  Demain, la compositrice sera raflée.  Ensuite, elle sera vaccinée demain midi, et, en plus, elle sera probablement sédatée avec médication.  Je suis abasourdie.  Un avocat (Holger Fischer) a déjà porté plainte.  Cependant, ceci n’empêche pas le pouvoir judiciaire et policier d’exécuter immédiatement cette décision scandaleuse.  Ce cas doit être communiqué au public et aux médias.  Tout le monde doit agir ! »

Moment de répit

Pour le moment, Mme Zhvanetskaya, toujours hébergée dans un lieu tenu secret, connaît un moment de répit, mais pour combien de temps ?  Son cas nous paraît lointain, mais il évoque tout de même une problématique mondiale, celle de la coercition sanitariste et du fanatisme vaccinal.  Pensons au chantage éhonté que François Legault et Justin Trudeau ont exercé sur le peuple québécois et à la démonisation fortement médiatisée qu’ils ont infligée aux non vaccinés.

Ces crapules sont allées jusqu’à menacer de perdre leur emploi des employés dépendant d’eux pour vivre s’ils ne se faisaient pas vacciner.  Même nos enfants ne sont plus à l’abri de leur démence sanitaire depuis que le sous ministre de la Santé, Lionel Carmant, a supprimé le principe de primauté parentale, ce qui pourrait permettre à l’État de vacciner votre progéniture sans votre consentement.

Trudeau et Legault en arriveront-ils par ailleurs à s’abaisser au même niveau que les autorités allemandes ?  Il est à souhaiter que non, mais rien, désormais, n’est garanti.                                   

dimanche 1 janvier 2023

Plus des trois quarts des Québécois seraient-ils devenus « antivax » ?

Kerryn Phelps
Jadis, le douteux néologisme « antivax » était employé à tire larigot par les chroniqueurs poubelles des médias subventionnés qui s’en prenaient ainsi aux quelques 10 % d’individus éclairés qui avaient renoncé à jouer à la roulette russe avec leur santé par leur refus de se faire inoculer une thérapie génique expérimentale frauduleusement appelée « vaccin ».  

De non vaccinés à non adéquatement vaccinés

Il n’y a pas si longtemps, donc, le terme « antivax » servait à démoniser et à avilir publiquement les personnes qui n’avaient toujours pas reçu une première dose de vaccin.  Certains opposants au sanitarisme de Legault et Trudeau ont même forgé cet autre néologisme : « vaxpartheid ».  De bonne foi, un pourcentage d’individus un rien candides avait cru naïvement qu’avec deux doses et 75 % de la population vaccinée, ce serait le prophétique « retour à la vie normale ». 

Dès lors, des lanceurs d’alerte avaient affirmé que cette promesse ne serait pas tenue et que les fumistes qui nous dirigent avaient plutôt prévu hypocritement une culture de vaccination récurrente, affirmation qui n’a jamais été confirmée que par les faits.  On a traité ces citoyens éveillés de complotistes, de covidiots, de vaccimbéciles, entre autres joyeusetés.  Pourtant, ils avaient raison.  

Des menaces à peine voilées

Il y a quelques semaines, Justin Trudeau et son âme damnée, le ministre fédéral de la Santé, Jean-Yves Duclos, ont laissé entendre qu’ils n’hésiteraient pas à recourir à de nouvelles mesures d’urgence sanitaire draconiennes si au moins 80 % des Canadiens n’étaient pas « adéquatement vaccinés », nouvelle expression à la mode destinée à convaincre les gogos qu’ils sont de bons citoyens.

Ces petits dictateurs risquent de frapper un nœud au Québec, pourtant la province la plus obéissante et la plus docile, puisque plus des trois quarts des Québécois ne sont justement plus « adéquatement vaccinés » :

« Ce sont en effet seulement 23,5 % des Québécois qui ont reçu leur dernière dose au cours des cinq derniers mois, nouvel indicateur retenu par la Santé publique pour déterminer si la vaccination d’une personne est à jour. À la fin d’avril, les deux tiers (69 %) des Québécois avaient été récemment vaccinés, mais depuis, bien peu ont relevé leur manche pour une dose de rappel. »

Une ex sanitariste dénonce la censure des autorités australiennes

Si vraiment les Québécois commencent à réaliser l’inefficacité du « vaccin », il y a de l’espoir pour la planète.  Le discours sanitariste faisant du « vaccin » l’ultime solution à la « pandémie » s’essouffle considérablement.  Plusieurs vaccinés comprennent qu’ils ont été menés en bateau, quand ils n’ont pas subi des effets secondaires sévères après la vaccination.  L’année qui vient promet d’être fertile en révélations sur la dangerosité de la thérapie génique. 

Dans cette perspective, Stéphane Bureau levait récemment le voile sur une nouvelle percutante, que nos médias n’ont pas jugé bon de divulguer.  Il s’agit du témoignage choc sur les effets secondaires des vaccins, présenté par Kerryn Phelps, ancienne présidente de l’Association médicale australienne, dans le cadre d’une commission sénatoriale sur la covid longue.

Le plaidoyer exposé par Mme Phelps était d’autant plus interpelant que cette médecin s’était déjà fait la promotrice acharnée du « vaccin », au point de recommander la vaccination obligatoire de tous les enfants avant le retour à l’école.  Elle devait dénoncer ce qu’elle n’a pas hésité à qualifier de censure de tout discours susceptible de nuire à la campagne australienne de vaccination, omerta allant jusqu’à menacer les médecins critiques de perdre leur droit de pratique en plus d’encourir le risque de poursuites judiciaires.  

« Des effets secondaires plutôt graves »

Mme Phelps et sa conjointe devaient radicalement retirer leur appui au « vaccin » après que les deux femmes aient, précise Bureau, « encaissé des effets secondaires plutôt graves et directement liés au vaccin ».   Le journaliste ajoute :

« Elle (Mme Phelps) dit avoir rapporté leurs deux cas auprès des autorités qui théoriquement font le suivi, sans jamais avoir de nouvelles ensuite, l’équivalent peut-être du fameux chèque qui s’est perdu dans la malle.  Elle estime que les effets secondaires anticipés par le corps médical n’ont jamais été le reflet de ce que la réalité empirique tendait à démontrer.

(…) En fait, la médecin dit qu’il y avait plusieurs collègues, spécialistes et généralistes, qui constataient toutes sortes de déviations, d’anomalies qui étaient simplement pas documentées ou rapportées, et on peut le comprendre, compte tenu des menaces, par crainte donc de ces représailles que faisait valoir le gouvernement. »

Le Collège des médecins agit-il différemment ?

Pensez-vous vraiment que le Collège des médecins agisse bien différemment des autorités médicales australiennes envers les membres qui auraient l’outrecuidance de contester les dogmes sanitaristes ?  Le cas du docteur Marc Lacroix, qui avait osé critiquer les mesures sanitaires de la Santé publique, ainsi que les politiques de l’OMS, devait servir d’exemple de ce qui pourrait arriver aux praticiens qui auraient le malheur d’imiter son initiative, comme l’indique cet article :

« Le conseil de discipline du Collège des médecins a déclaré le propriétaire des cliniques médicales Lacroix, le Dr Marc Lacroix, coupable de deux fautes déontologiques, estimant qu’il était allé « trop loin » en critiquant l’OMS et la Santé publique du Québec, nuisant ainsi à la réputation de la profession de médecin. »

(…) Le DLacroix avait notamment dit « cesser d’écouter l’OMS », ajoutant: « On voit le DArruda avec sa belle épinglette de l'OMS... Moi, je pense que l'OMS, dès le début, n'a pas été crédible dans cette crise-là, a caché de l'information au monde entier. »

Ce discours ne s’apparente-t-il pas à celui de Mme Phelps ?  Marc Lacroix n’a-t-il pas été victime des mêmes représailles que les autorités médicales australiennes brandissent envers les membres de la profession médicale ?

La pointe de l’iceberg

Qu’il s’agisse de voix dissidentes sur la vaccination au parlement européen, de celles de plus en plus nombreuses de véritables experts critiques ou de témoignages de victimes de la thérapie génique, l’année 2022 a été plus fertile en rebondissements que ce que nos médias, dont le discours n’a pas évolué depuis 2020, laissent entendre.

Peu à peu, la foi aveugle en la vaccination s’essouffle, au point où même des Québécois en arrivent manifestement à se distancier du délire sanitariste.  Le taux anémique de citoyens « adéquatement vaccinés » reste la preuve la plus éloquente de cette réalité.

En brisant le silence, les révélations de la docteure Phelps pourraient bien ouvrir une boîte de pandore à faire frémir politiciens, médias et lobby pharmaceutique corrompus.  L'année 2023 deviendra-t-elle le théâtre du plus grand scandale pharmaceutique de l’histoire moderne ?  Pas certain, mais tout de même possible...

samedi 12 novembre 2022

TVA l’affirme : les mesures sanitaires ont affaibli notre système immunitaire

Vacciner les enfants, vraiment nécessaire ?
Étrange aveu de la part de la Pravda sanitaire subventionnée qu’est devenu TVA : ce média vient d’avouer candidement que les mesures sanitaires, en principe destinées à préserver notre santé collective, ont eu l’effet exactement contraire, selon cet article :

« Le système immunitaire plus faible de la population en raison des mesures sanitaires mises en place pour lutter contre la COVID dans les trois dernières années. »

On a intérêt à conserver une capture d’écran ou une copie PDF de cette nouvelle au cas où cette déclaration devait subitement disparaître… 

Comment créer un problème

Alors que des experts de pacotille lancent des ballons médiatiques sur la douteuse perspective de masquer une fois de plus nos infortunés enfants, mesure inutile, voire néfaste, s’il en fut, il devient pourtant évident que l’extrémisme sanitaire démontre une fois de plus sa dangerosité :

« Tous les experts sont unanimes sur ce point-là. Il va y avoir plus de gens très malades cette année que par les années passées », affirme le Dr Pierre Harvey, infectiologue et microbiologiste, en entrevue à TVA Nouvelles. 

« Plus de gens très malades cette année que par les années passées. »  Que faut-il dire de plus pour faire comprendre à un trop grand nombre de gogos que nous sommes gérés par des apprentis-sorciers et que leurs mesures aussi bidon que répressives ont fait plus de mal que de bien en regard d’un virus qui, depuis omicron, n’est pas plus dangereux qu’une grippe ?  

Une panique bien orchestrée

Jamais la panique sanitaire n’a été aussi bien orchestrée que depuis que la population du Québec a été massivement vaccinée.  Cherchez donc la cohérence dans un tel état de fait.  Cette fragilisation de notre santé collective vous semble-t-elle le gage d’un succès médical quand on lit cet extrait :

« « C’est un virus très agressif l’influenza [...] et pour se défendre, il faut avoir un système immunitaire qui est toujours aux aguets. Depuis deux ou trois ans, il a lâché ses gardes et donc il risque d’y avoir, pas tout le monde, mais sur une population de 8 millions de personnes, il va y en avoir beaucoup plus qui vont être malades et très malades », soutient le docteur. » 

Depuis deux ou trois ans, on a lâché les gardes, vraiment ?  Alors que les gouvernements Legault et Trudeau ont fait l’impossible pour nous pourrir l’existence avec des mesures aussi ridicules qu’inutiles depuis… exactement ce laps de temps, justement ?  Le lien de cause à effet est établi à mots couverts par ce médecin :  si l’on est devenu plus vulnérable à l’influenza, c’est justement en raison des mesures sanitaires arbitraires, répressives et hasardeuses de nos dirigeants.

Roulette russe

Leurs orientations sanitaires sont à ce point efficaces qu’on pourrait même assister à une mortalité accrue :

« À l’instar de la COVID-19, l’influenza sera « une roulette russe », c’est-à-dire que certaines personnes seront très malades en contractant le virus, tandis que d’autres les seront très peu. 

Il est donc difficile de prévoir combien de personnes pourraient en mourir, mais, évidemment, plus le nombre de malades est élevé, plus les risques sont grands. »

Et la situation n’est guère plus reluisante du côté de nos enfants, après qu’ils aient été stupidement masqués, et maintenant de plus en plus vaccinés, avec une piqûre expérimentale qui pourrait bien se substituer au développement normal de leur système immunitaire, les fragilisant davantage par le fait même.

Comme l’extrémisme sanitaire que nous avons connu a fait des ravages chez la population en général, s’attend-t-on à un résultat différent en ce qui concerne nos enfants ?

Le vaccin, la solution suprême…

Comme il fallait s’y attendre, nos « experts » nous implorent de nous tourner vers l’ultime solution, selon eux, afin de préserver notre humanité souffrante de l’influenza : le vaccin !  Voyez plutôt :

« Afin d’éviter que les personnes plus à risques, particulièrement les enfants en bas âge, qui n’ont jamais ou ont très peu été exposés au virus de la grippe, et les aînés, soient très malades, le Dr Harvey recommande la vaccination contre l’influenza. »

Et bien sûr, Santé Canada entonne le même refrain :

« Avec la pénurie de médicaments pour enfants et la montée des infections en tous genres, l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) supplie les parents de faire vacciner leurs enfants dans ce qui est un « moment critique » pour les hôpitaux pédiatriques. »

Mais d’où vient cette « montée des infections en tous genres » ?  Quelle part revient à une dégradation « naturelle » de notre environnement sanitaire et quelle autre, aux mesures sanitaires évoquées plus haut par TVA ?  La pénurie de certains médicaments explique-t-elle à elle seule cette montée ou cette montée explique-t-elle cette pénurie ?

Une « mauvaise compréhension », vraiment ?

On sourit involontairement devant cette déclaration de Theresa Tam, administratrice-en-chef de l’Agence de santé publique du Canada, qui s’est illustrée dans le passé par sa recommandation du glory hole pour limiter la propagation de la covid lors des rapports sexuels :

« La Dre Tam reconnaît que bien des parents ont encore une « mauvaise compréhension » de la vaccination et qu’il est plus difficile de convaincre les gens de l’efficacité de la vaccination après près de trois ans de pandémie. »

Comment reprocher à des parents responsables de se montrer sceptiques devant la vaccination ?  Bien que le vaccin contre l’influenza soit homologué et qu’il ne comporte pas les mêmes risques que la thérapie génique contre la covid, est-on sûr qu’il soit recommandé pour les enfants ?  Doit-on les considérer aussi vulnérables que les personnes âgées ?  Le vaccin ne risque-t-il pas d’affaiblir leur système immunitaire ? 

Je n’ai aucunement la prétention de pouvoir répondre à ces questions.  Je les pose dans un contexte où l’on apprend d’un expert que les mesures sanitaires ont affaibli notre système immunitaire.  Se peut-il que la vaccination ait pu faire partie desdites mesures qui nous ont collectivement fragilisés ? 

Ne sommes-nous pas en train de nous engager dans un cercle vicieux au cours duquel de nouvelles mesures sanitaires engendreront une vulnérabilité accrue de notre système immunitaire et une vulnérabilité accrue de notre système immunitaire, de nouvelles mesures sanitaires ?

La question se pose, non ?

samedi 5 novembre 2022

Crise sanitaire : allons-nous pardonner à nos gouvernements leurs abus de pouvoir ?

Emily Oster
Un vent de plus en plus dominant, mais pas celui préconisé par l’expert TVA en faux François Marquis, souffle de plus en plus intensément sur la plaine médiatique.  Il semble que d’autres experts que « l’urventologue », un peu plus crédibles, ceux-là, aient décidé de changer leur fusil d’épaule et d’envisager un avenir un peu plus serein pour la société québécoise.

Amir Khadir a osé avouer que le vaccin Pfizer n’était plus une solution – s’il l’a déjà été - tandis que Karl Weiss et d’autres collègues admettent que les mesures sanitaires telles que masque et distanciation sociale n’ont plus leur place. 

Sont-ils guidés par l’honnêteté et l’esprit scientifique ou parce qu’ils sentent la soupe chaude et que bientôt, dirigeants, médias et autres experts de pacotille atterriront sur le grill de la justice populaire, sinon légale, pour avoir fait vivre au peuple québécois un psychodrame stérile, destructeur et évitable ?  Nul ne peut le dire.

Des effets dévastateurs

Il devient de plus en plus évident pour une partie grandissante de la population que le dogmatisme sanitaire des gouvernements Trudeau et Legault était tout à fait injustifié.  Les effets sur la société québécoise, plus encore que sur les autres provinces canadiennes, ont été dévastateurs : hécatombe dans les CHSLD, PME en péril, enfants inutilement masqués et vaccinés, familles divisées, travailleuses de la santé menacées et harcelées, obligations vaccinales injustifiées, dépressions, suicides, etc.

Inévitablement, un retour de flammes guette les premiers ministres Trudeau et Legault pour la totale dérive de leurs administrations respectives, marquées au coin de l’abus de pouvoir, de potentiels conflits d’intérêt favorisés par l’urgence sanitaire, de l’octroi de contrats sans appels d’offre, et du copinage impliquant la firme McKinsey et son client, Pfizer.   Ne pas au moins suspecter les conflits d’intérêt dans lesquels seraient mouillés jusqu’au cou la CAQ et le PLC relève de l’aveuglement volontaire.

Doit-on vraiment pardonner ?

Une économiste de l’université Brown, Emily Oster, vient de publier un cri du cœur invoquant la nécessité d’une amnistie pandémique.  Dans son propos, qui n’identifie aucune responsabilité, ni culpabilité, elle exhorte un peu tout le monde, gouvernements, médias, industrie pharmaceutique mais, peut-on lire entre les lignes, surtout le bon peuple américain, à se pardonner mutuellement au nom, faut-il imaginer, d’une louable foi chrétienne et du droit à l’erreur. 

Bref, forgive and forget, selon le proverbe.  Toute perspective de corruption, de dogmatisme, d’abus de pouvoir se voit balayée sous le tapis d’une convivialité bisounours de bon aloi. 

Des voix réclament justice

Tout le monde ne partage pas cette vision déjantée du réel.  Un magazine en ligne conservateur (aux yeux de nos wokes fanatisés, donc « d’extrême droite ») The American Conservative, a tenu des propos nettement plus sévères… et justifiés :

« "Allons-nous effacer les résultats de ceux qui ont laissé des enfants malades dépérir seuls dans les hôpitaux, qui ont séparé des maris de leurs épouses, qui ont empêché des familles de tenir la main des mourants ou de se rassembler pour leurs funérailles ? Non, non, et encore, non", a martelé l'auteur. »

Ce tableau n’évoque rien pour vous ?  On pourrait ajouter les personnes âgées mortes dans l’État de New York sous la gouverne du désormais célèbre Andrew Cuomo.  Mais visez la suite :

« "Après que des ordres ont forcé des gens à quitter leur emploi et que le vaccin devenu thérapeutique n'a pas réussi à arrêter la transmission de la maladie, devons-nous vraiment cesser de nous interroger sur ses effets secondaires potentiels ou sur la relation entre les sociétés pharmaceutiques et la FDA ?", a encore demandé l'article. »

Un questionnement tout aussi essentiel au Canada qu’au Québec.  En effet, à quand une évaluation post vaccinale ?  De plus en plus de nouvelles circulent à propos de morts subites « inexplicables », de surmortalité « imprévue » et de myocardites infantiles « préoccupantes » sans que le statut vaccinal des victimes soit même invoqué.  Si elles étaient non vaccinées, ne croyez-vous pas que la planète serait en feu ?

Des voix s’élèvent également au Québec

Au Québec, Nathalie Elgrably s’est élevée à juste titre contre les propos déresponsabilisants d’Emily Oster :

« Désolée, mais on n’efface pas l’ardoise aussi facilement !

Depuis mars 2020, les mesures se sont enchaînées : confinements, distanciation sociale, couvre-feu, interdiction de rassemblements, fermeture des commerces, interdiction des déplacements interrégionaux, points de contrôle, fermeture des écoles, port du masque, passeport vaccinal, ostracisme à l’égard des non-vaccinés, incitation à la délation. Et comment oublier l’hécatombe des CHSLD, les personnes mortes dans la solitude, les enterrements dans l’indignité et les familles déchirées ? Quant à l’inflation qui nous appauvrit chaque jour davantage, elle résulte des décisions politiques prises pendant la pandémie.

Une véritable guerre civile sanitaire a eu lieu. Et les conséquences sur les plans humain et économique sont gravissimes. »

Un chercheur de l’UQÀM, Julien Simard, a également condamné les propos déjantés de Mme Oster :

« La posture d’indulgence amenée par Oster et d’autres plus près de nous est complètement aveugle aux idéologies, aux inégalités, aux problèmes actuels des soi-disant démocraties, aux pressions des intérêts privés sur l’action des gouvernements en santé publique, au refus obstiné des preuves scientifiques, aux effets de l’austérité budgétaire. Le problème est exactement le même dans le dossier de la pollution.

Alors, voilà, si on veut que cela change, si on espère un minimum de transparence, il faut tenir une Commission d’enquête, degré zéro de l’exercice de mémoire. Pour comprendre les cadres politico-économiques de l’action de la CAQ. Pour mettre en place des processus de démocratisation de la santé publique. Pour miser sur des approches communautaires et de réduction des méfaits lors de la prochaine pandémie. »

Place au débat !

Les propos d’Emily Oster n’ont pas fini de déclencher les réactions les plus vives et c’est heureux.  Par ses déclarations banalisant le drame humain vécu non pas à cause du virus mais bien davantage provoqué par la gestion dogmatique, inhumaine et irresponsable de nos dirigeants, la chercheuse a bien involontairement ouvert la porte à un débat de plus en plus nécessaire, pour ne pas dire vital.

Il est impossible et impensable de recoller les pots cassés comme si de rien n’était, en ne prétextant que l’ignorance et la bonne foi.  Où se situait la bonne foi des Legault et Dubé quand ils mentaient effrontément à la population en transformant les non-vaccinés en parias de la société en leur interdisant les SAQ et les SQDC, se ridiculisant même à l’échelle planétaire avec leur « vaccimpôt » stigmatisant ces citoyens encore davantage ?

« Experts » de pacotille et faiseurs d’opinion fanatiques

Que dire des « experts » de pacotille, radotant que le vaccin réduisait sensiblement la contagion et la transmission, allant même jusqu’à attaquer la crédibilité de véritables scientifiques comme Didier Raoult et Christian Perronne.  On sait maintenant qui a raison.

Et que dire des propos orduriers, haineux et d’une rare violence, tenus envers les non-vaccinés par les faiseurs d’opinion, véritables mercenaires appointés, que sont les Denise Bombardier, Richard Martineau, Patrick Lagacé, Mario Dumont, Josée Legault, Isabelle Hachey, Loïc Tassé, Sophie Durocher, parmi d’autres, transformés pour l’occasion en propagandistes fanatiques dignes de l’Allemagne nazie ?

Il faudrait pardonner à tout ce beau monde et passer à autre chose, vraiment ?  À supposer que cette faune d’irresponsables en situation potentielle ou réelle de conflits d’intérêt admette ses torts, ce qui n’est pas près d’arriver. 

À moins qu’ils sentent que notre bon peuple aura majoritairement compris ce qu’ils cachent obstinément.  Alors peut-être aurons-nous droit à des élans de repentir des plus bidons.  Il ne faudra pas se laisser avoir par leur comédie.

Pour paraphraser Mme Elgrably, ni amnistie, ni amnésie ! 

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