samedi 30 juillet 2022

Les triples vaccinés, maintenant les plus nombreux parmi les hospitalisations !

Une triste page d'histoire signée François Legault
… Tandis que les non-vaccinés, ces parias de la société, soi-disant égoïstes, ignorants, irresponsables, dangereux, et j’en passe, sont les moins représentés, et encore faut-il leur « greffer » les vaccinés une dose de moins de 14 jours (voir tableau de l’INSPQ, plus bas) dans l’espoir de gonfler leur nombre.  J’entends cependant d’ici nos bienpensants sanitaristes : « Oui, mais ils sont seulement 10 % de la population. »

Ah oui, pourtant les médias et le gouvernement nous ont matraqué pendant des mois avec le mensonge voulant que c’étaient les non-vaccinés qui engorgeaient le système de santé.  De bons citoyens ont été injuriés, trainés dans la boue, à l’appui de cette fausseté éhontée.  « Une pandémie de non-vaccinés, » radotaient les médias.  Les sanitaristes parmi nous ont-ils oublié ce grossier mensonge ?  Le principe de réalité est-il à ce point éteint chez eux ?

Quand le gouvernement censure ses propres statistiques…

Devant pareil démenti de sa propagande mensongère et diffamatoire, lourdement médiatisée, le gouvernement a décidé de retirer les dernières statistiques démontrant son escroquerie scientifique dont plusieurs ont eu le temps et la sagesse de conserver des captures d’écran comme celle-ci :

Il faudra bien se rendre à l’évidence : la vaccination contre la covid est un flop retentissant, au Québec comme partout à travers le monde.  Cacher cette vérité devient criminel puisque notre gouvernement ne peut nier être au courant.

Les triples doses, moins nombreux, plus hospitalisés que les doubles doses… 

Pire encore, les vaccinés triples doses sont nettement plus représentés que les vaccinés doubles doses alors qu’ils sont nettement moins nombreux.  Selon ce tableau, notre système hospitalier traitait, le 27 juin dernier, 201 triples doses contre seulement 25 doubles doses et à peine 19 non-vaccinés/vaccinés une dose moins de 14 jours.

Comment ne pas envisager que le vaccin anti-covid soit non seulement inefficace, mais potentiellement dangereux ?  Loin d’admettre ses torts et d’assumer sa responsabilité de prévenir la population contre un danger bien réel et documenté, l’INSPQ a lâchement invoqué le prétexte le plus nébuleux pour supprimer toute donnée sur le statut vaccinal des hospitalisés. 

Vous avez bien lu :

« À partir du 6 juillet 2022, le présent jeu de données ne sera plus mis à jour puisque les statuts vaccinaux présentés ne sont plus représentatifs selon les derniers avis du Comité d’immunisation du Québec sur la vaccination contre la COVID-19. »

Que veut dire cette phrase fumeuse et sans substance ?  On pourrait la traduire par celle-ci :

« À partir du 6 juillet 2022, le présent jeu de données ne sera plus mis à jour puisque les statuts vaccinaux, trop réalistes, ne valident plus la désinformation et les mensonges gouvernementaux, médiatiques et pseudo-scientifiques, selon les derniers avis du Comité d’immunisation du Québec sur la vaccination contre la COVID-19. »

Bref, quand la réalité ne confirme pas l’idéologie, on supprime la réalité.

Nos enfants, les prochaines victimes de la CAQ

Malgré ces données qu’il ne peut ignorer, notre gouvernement irresponsable et très probablement corrompu s’apprête à vacciner les enfants de six mois à quatre ans.  Dire qu’il se trouve des parents assez irresponsables, ignorants ou stupides pour exposer leur progéniture à pareil danger, c’est à pleurer !  Si la DPJ était vraiment un organisme digne de confiance, il lui faudrait s’intéresser de près à des parents aussi incompétents.

Et ils sont nombreux.  En effet, pas moins de 41 % des parents interrogés au cours d’une série de sondages menés par l’INSPQ sont décidés à jouer à la roulette russe avec leurs enfants en les faisant vacciner.  Retenons que le Québec regroupe pas moins de 53 % d’analphabètes fonctionnels.  Tous ne sont pas des incompétents parentaux, bien sûr, mais un tel pourcentage n’a rien de rassurant au point de vue de l’accès à une information diversifiée et pertinente autre que les égouts à ciel ouvert que sont devenus Quebecor et Radio-Canada, médias de propagande gouvernementale.

De plus en plus d’éclosions chez les pays vaccinés

Pendant ce temps, on continue de constater l’augmentation du nombre d’éclosions de par le monde, comme par hasard parmi les pays les plus vaccinés.  Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour sa découverte du VIH, traité de tous les noms depuis la « pandémie », notamment pour avoir révélé que le virus provenait d’une fuite accidentelle du désormais célèbre laboratoire de Wuhan, avait tenu peu avant sa mort des propos une fois de plus controversés :

« Dans une vidéo massivement partagée sur les réseaux sociaux, il (Montagnier) assure en effet que "les variants viennent des vaccinations", avant de poursuivre quelques minutes plus tard en affirmant que "vous voyez toujours dans les pays la courbe des vaccinations et celle des morts qui se suivent". Un discours contre lequel s'élèvent aujourd'hui les spécialistes et qui ne repose pas sur les observations de la science. »

Et s’il disait vrai ?

Comprenons-nous bien.  Je suis un simple citoyen qui n’est pas en mesure de valider ou d’invalider le propos de Montagnier.  Je les présente pour ce qu’ils valent : les affirmations d’un expert scientifique de renommée internationale, exempt de tout conflit d’intérêt, détenteur d’une expertise virale de plusieurs décennies, nettement supérieure à celles de la presque totalité de ses détracteurs, dont le moins qu’on puisse dire est que plusieurs entretiennent des liens douteux avec l’industrie médico-pharmaceutique.

Si par malheur il avait raison, des parents irresponsables guidés par un gouvernement mortifère exposeront inutilement, voire dangereusement, leurs enfants à des conséquences fâcheuses allant jusqu’à la mort.  Si de telles tragédies surviennent, que trouveront à dire François Legault et Justin Trudeau ?  Qu’ils ne savaient pas ?  Gouverner, c'est prévoir, dit-on...

dimanche 24 juillet 2022

Mesures sanitaires : êtes-vous sanitariste ?

Richard Martineau, gourou sanitariste
On ne cesse de nous répéter de suivre la science.  Et si on la précédait ?  La psychiatrie n’a pas encore songé à se pencher sur un phénomène social de plus en plus présent au point de hanter notre quotidien dans le présent contexte « pandémique » : le sanitarisme et ceux qui en sont atteints, les sanitaristes.

Tentons de définir ces braves citoyens remplis des meilleures intentions à l’aide d’une liste de critères précis sur cette problématique dont on hésite à trancher à savoir s’il s’agit d’une maladie mentale curable, ou d’un trouble de la personnalité permanent.

Les 26 critères

1- Vous croyez que nous traversons une pandémie plus mortelle que toutes celles qui ont précédé.

2- Le vaccin reste notre seule avenue vers un « retour à la vie normale ». Il est au sanitarisme ce qu’est le Christ au catholicisme. Ce dernier nous promet le royaume des cieux, le vaccin anticipe le « retour à la vie normale ».

3- Le masque est salutaire et a permis de sauver des millions de vie de par le vaste monde.  Son port régulier et prolongé ne représente aucun risque pour la santé, ni pour le développement psychologique, intellectuel et social des enfants, les premiers à en bénéficier.

4- Il faut vacciner les enfants pour protéger grand-maman.

5- L’hécatombe des 6700 aînés en CHSLD serait survenue de toute façon.  François Legault mérite amplement sa note parfaite.

6- Le recours à l’hydroxychloroquine est risqué.  Ce médicament n’existe que depuis à peine 70 ans.

7- Le vaccin contre le coronavirus est efficace et sécuritaire.  Il existe déjà depuis au moins un an.

8- Bill Gates est un philanthrope désintéressé qui se réveille la nuit pour songer à de nouveaux moyens de sauver une humanité en péril.

9- Il n’y a pas d’argent à faire avec les vaccins.  Pfizer et Moderna sont des organisations philanthropiques qui ne vivent que pour secourir leur prochain.

10- Les non-vaccinés sabotent nos efforts vers le « retour à la vie normale » qui serait déjà atteint s’ils ne s’entêtaient pas dans leur attitude égoïste, narcissique et irresponsable.

11- François Legault est un grand Québécois qui se dépense sans relâche pour guider les Québécois vers le « retour à la vie normale », tel Moïse conduisant son peuple vers la terre promise.

12- Les non-vaccinés sont des parias ignorants, irresponsables et égoïstes qui méritent une pluie permanente d’injures.

13- Les non-vaccinés sont dangereux.  À leur contact, on peut attraper leur non-vaccination.  Fions-nous à la science.

14- Les non-vaccinés devraient être affamés et perdre leur emploi jusqu’à ce qu’ils consentent à la vaccination et permettent ainsi le prophétique « retour à la vie normale », l’eldorado sanitaire.

15- Les non-vaccinés devraient payer pour leurs soins de santé et même, ne devraient pas être soignés du tout.

16- Les experts de plateaux, TVA et Radio-Canada, sont des scientifiques de haut niveau qui nous informent en toute objectivité des dangers de la « pandémie » et des seules solutions pour y remédier : la vaccination aux trois mois, le port régulier du masque, la distanciation soucieuse en tout temps et le lavage des mains jusqu’à ce que mort s’ensuive.  

17- Didier Raoult, Christian Perrone, Alexandra Henrion-Caude et Laurent Toubiana, notamment, sont des charlatans qu’il faut ignorer.  Leur vaste expertise scientifique est un obstacle à la vérité.   

18- Nos dirigeants sont d’une intégrité incontestable.  Aucun risque de conflits d’intérêt avec les grandes compagnies pharmaceutique ni avec de grandes entreprises telles que Amazon, Costco, Walmart, etc.

19- Tout discours public contraire au « consensus scientifique » doit être censuré.  De tels propos mettent les populations en danger en leur faisant miroiter qu’on peut déjà sans trop de problème retourner à « la vie normale ».  Ces gens devraient perdre leur emploi et se faire enfermer.  Le retour de la peine de mort pourrait être envisagé.

20- Les familles doivent bannir les « complotistes » dont les propos contestant les vertus du vaccin mettent jusqu’à leur existence en péril.  Il y a des phrases qui tuent.

21- Les chevreuils, mais aussi nos animaux domestiques, chiens, chats et poissons tropicaux représentent des risques importants pour la santé.  Fuyons-les.

22- La police devrait débarquer chez tous les non-vaccinés et les vacciner de force.

23- Il ne faut pas hésiter à dénoncer ceux qui enfreignent les mesures sanitaires, surtout les plus radicales.  On sauve des vies.

24- Il existe un « consensus scientifique » qu’il nous faut croire sans discussion, sans questionnement, sans critique, sinon c’est l’exclusion sociale, seule option pour en finir avec les hérétiques.

25- Les médias nous donnent toujours l’heure juste sur la pandémie avec objectivité, pondération, finesse d’analyse, tact et ouverture au débat en n’hésitant pas à recourir à un vocabulaire étoffé et cartésien tels que covidiot, vaccimbécile, touristata, conspirationniste, complotiste, et tant d’autres subtiles joyeusetés.  Qui a dit que le journalisme était mort ?

26- Les artistes font preuve d’un engagement social admirable en défendant vigoureusement et avec désintéressement les mesures du premier ministre Legault par le dénigrement, le mépris et l’exclusion sociale des non-vaccinés.  Tout comme nos dirigeants et nos médias, on ne saurait les soupçonner de conflits d’intérêt.   La corruption n’existe pas au Québec, c’est bien connu.

Les résultats

Si vous n’avez cumulé aucun de ces critères, bravo, vous êtes normal.  Si vous avez amassé de cinq à dix critères, vous devriez consulter.  Pour ce qui est des onze critères et plus, ils n’ont probablement pas fini de lire la nomenclature et ont possiblement démoli leur ordinateur ou leur cellulaire dans un accès de rage.  Inutile de s’en occuper.

Profil psychologique

Difficile de définir la « personnalité » par ailleurs si peu intéressante du sanitariste, mais faisons un effort.  Cet individu, homme, femme ou indéterminé, se révèle comme un être inquiet vivant dans un état perpétuel d’angoisse hypocondriaque.  Il correspond souvent au portrait d’édenté si cher à certains chroniqueurs.  La trouvaille, avec ce pastiche, a été non seulement de stigmatiser les non-vaccinés, mais aussi de permettre aux sanitaristes de projeter sur eux leurs propres déficiences.

En dressant un portrait de ce que notre société regroupe de plus médiocre, sans être criminalisé, les chroniqueurs qui défendent et propagent l’idéologie sanitariste ont fait d’une pierre deux coups : opprimer ceux qui contestent le sanitarisme, et permettre à des individus somme toute médiocres d’échapper ne serait-ce que momentanément à la prison intérieure de leur profonde insignifiance en se valorisant au détriment d’une partie conspuée de la population.

Évidemment, l’illusion ne dure que le temps d’un accès de rage, après quoi, ils retombent dans leur hébétude naturelle.  Si certains parviennent à exprimer leurs frustrations par des phrases complètes, un grand nombre se manifeste par un manque de vocabulaire consternant, une syntaxe déficiente et une orthographe calamiteuse.  L’injure reste trop souvent leur première réaction - et la dernière - devant un argumentaire qui les déstabilise.  En clair, nous avons affaire à des imbéciles.

Il y aurait encore long à dire sur la psychologie du sanitariste, mais je ne tiens pas à vous déprimer plus longtemps.  Reste à savoir si les sanitaristes, même une fois que leurs prétentions auront été déjouées par une véritable approche scientifique, pourront faire face à la réalité et surmonter leurs carences sans sombrer dans le déni.  Ayons tout de même foi dans l’humanité. 

Même la plus démunie…

samedi 16 juillet 2022

N’oublions jamais ces « personnalités » qui exigeaient des représailles contre les non-vaccinés !

Julie Snyder
Si vous croyez que mon dernier billet faisait le tour de tous les fanatiques médiatisés qui ont abusé de leur tribune pour harceler les non-vaccinés de leur propagande haineuse, détrompez-vous.  Plusieurs de ces êtres sans principes, sans scrupules, ni humanité en étaient même arrivés à revendiquer des représailles contre les non-vaccinés, devenus les parias de la société, pires que pédophiles, violeurs, meurtriers, tueurs en série, voleurs, ou tout autre type de criminel. 

Ces êtres abjects ont désormais d’autant plus l’air stupide que les chiffres les plus récents de l’INSPQ indiquent clairement que les vaccinés trois doses sont désormais majoritaires parmi les hospitalisés, les non-vaccinés ne représentant que le pourcentage le plus bas, même jumelé frauduleusement avec les vaccinés une dose de moins de 14 jours.

La situation est devenue à ce point problématique pour nos propagandistes de peur irrationnelle que le gouvernement s'est vu contraint de censurer les statistiques sur la répartition des hospitalisations en fonction du statut vaccinal, invoquant le motif nébuleux que vous pouvez lire ici.

Cette série de graphiques confirme également que, plus le temps passe, et plus les vaccinés trois doses tiennent tristement le haut du pavé des hospitalisations.

À la lumière de ces données, les messages de haine, déjà orduriers, alimentés par un gouvernement manipulateur pervers et par ses valets, les médias subventionnés, ne le deviennent que davantage.

Quand Julie Snyder instrumentalise les enfants…

La médiatisation de la haine médiatique contre les non-vaccinés est loin d’avoir fait l’unanimité devant les propos de Julie Snyder.  Commençons par ce hors d’œuvre :


« Intéressant », de priver d’honnêtes citoyens de revenus pour eux et pour leur famille ?  Ne s’arrêtant pas en aussi bon chemin, l’animatrice devait tomber encore plus bas en invitant des enfants, visiblement lobotomisés mentalement par leur enseignante. 

Ces derniers ont tenu des propos dignes des jeunesses hitlériennes.  J’exagère ?  Il était question de signaler les non-vaccinés à la police (sous les applaudissements d’un babouin qui servait de co-animateur), de les faire arrêter, et de leur retirer peu à peu leurs libertés jusqu’à ce qu’ils se soumettent.  Des mesures très similaires à celles imposées aux Juifs par le troisième Reich et encouragées auprès des jeunes Allemands.

Pas un cas isolé

Si Snyder est certainement la « personnalité » qui a fait le plus réagir, d’autres ne sont pas demeurés en reste pour ce qui est de l’appel aux représailles.  Citons cet homme pour qui j’ai déjà eu de l’estime, devenu comme bien d’autres un collabo vendu à la vindicte de François Legault, qui avait décidé d’imposer les non-vaccinés, tout comme son modèle, Adolf Hitler, qui avait fait de même envers les Juifs :


Vous m’auriez dit il y a un an que cet homme sombrerait dans pareil abîme de déviance vengeresse et je ne vous aurais pas cru.  Si seulement il était le seul…

Et cet autre gus, d’applaudir la décision de Legault de passer aux actes :

Cet idiot utile reprochait à la CAQ de ne pas en faire assez pour mettre au pas les vilains « antivax ».


Ce pauvre bougre a succombé au mirage voulant qu’il y aurait un mythique retour à la vie normale si 100 % de la population se faisait vacciner.  Toute personne dotée d’esprit critique a déjà compris depuis longtemps que, même si ce jour arrivait, nous nous dirigerions quand même vers une société vaccinale permanente où il faudra chercher sa dose aux trois mois.

Et si on supprimait les soins de santé aux « antivax » ?

D’autres « personnalités » ont été en proie à la même errance mentale, allant même jusqu’à préconiser la suppression ou le paiement des soins de santé aux non vaccinés.   Commençons par le « bon » docteur Marquis, l’expert en vents dominants, dénoncé ici par le chef du parti conservateur, Éric Duhaime :

Finalement, le Collège des médecins s’est limité à une petite réprimande envers ce médecin sans expertise sur les vaccins, devenu « star » médiatique manufacturée par Quebecor.  D’autres gérants d’estrade y sont allés de la variante de faire payer les non-vaccinés pour se faire soigner.


Quel humanisme !  De la cruauté drapée de bonnes intentions.  Un autre exemple d’insignifiance vindicative :

Quelle hypocrisie !  Personne n’ayant les moyens de payer 25 000 $ par jour, cette proposition revient exactement à refuser les soins de santé, malgré l’affirmation voulant qu’on « ne peut pas refuser de soigner les non-vaccinés ».  Et évidemment, son « proche à l’hôpital » serait passé immédiatement grâce à la remarquable efficacité de notre système de santé sans les « antivax »…

Cette autre folle y va de façon encore plus décomplexée :


Cet appel à la haine est si virulent qu’il en devient ridicule.  Il ne faut vraiment ne pas avoir de vie pour sombrer dans pareil désordre mental. 

Dans la catégorie « jambon qui s’ignore », les afficionados du passeport vaccinal tiennent une place de choix.  En voici un exemple éloquent :


À part le défoulement sur des gens inoffensifs mais lucides, voulez-vous me dire à quoi pouvait bien servir cette mesure appliquée plus tard par le gouvernement Legault ? Le fait que les éclosions se soient poursuivies de plus belle malgré l’isolement des non-vaccinés n’a fait que démontrer qu’ils ne représentaient pas de danger réel pour les vaccinés qui, par définition, auraient dû être protégés par leur vaccin même.  Cette évidence n’a toutefois pas empêché cet enragé de récidiver :


Plus modéré dans le ton, mais tout aussi hostile, ce triste individu déplore la « mollesse » du gouvernement :

Quelle tristesse… Et que dire de cet autre commentateur « modéré », pour qui la discrimination est justifiable ?


François Lambert, un autre sanitariste ardent, s’est plaint d’avoir reçu plusieurs messages hostiles à la suite d’une vidéo stigmatisant les non-vaccinés.  Si on a de la peine de savoir ça…


Il n’est pas jusqu’aux travailleuses de la Santé qui passent dans le tordeur de ces fous furieux. 

« Perdre leur droit de pratique à vie et leur salaire immédiatement. »  Faut-il avoir basculé dans la méchanceté la plus abjecte ?  Quel salopard !  J’ai travaillé pendant sept ans en milieu hospitalier avec des femmes remarquables, infirmières et préposées, des travailleuses d’un dévouement et d’un professionnalisme sans bornes.  La colère qui me saisit à la lecture des propos méprisables de cette vidange est indescriptible. 

Il faudra bien en revenir, mais…

Un jour peut-être lointain ou plus proche qu’on ne le pense, il faudra bien contempler les décombres de ce qu’il restera de notre société après le passage catastrophique et mortifère de la CAQ.  Que de divisions, de haines, de destructions, de décès évitables chez nos aînés, de jeunes inutilement masqués, vaccinés et hypothéqués, de PME disparues, de dépressions, de suicides, de violences conjugales. 

Comme si ce bilan effroyable ne l’était pas suffisamment, une horde de hyènes, de chacals médiatiques a choisi d’emboiter le pas à un petit Napoléon sans intelligence, ni humanité, tout juste bon à suivre les directives absurdes de la firme McKinsey, ambassadeur du Forum économique mondial, dont nos médias se gardent bien de parler.  L’éléphant dans le salon…

Il nous faudra conserver un devoir de mémoire envers ces collabos abjects, similaires à ceux qui dénigraient les Juifs sous le troisième Reich, et leur rappeler chaque année le caractère ordurier de leurs propagande haineuse. 

Afin que, plus jamais, ne se reproduise pareil délire. 

Sur le même sujet :

Notre devoir de mémoire envers la propagande haineuse visant les non-vaccinés

dimanche 10 juillet 2022

Notre devoir de mémoire envers la propagande haineuse visant les non-vaccinés

Richard Martineau
Jamais n’a-t-on vu, dans l’histoire récente du Québec ou de l’Occident, pareille campagne de haine, iconoclaste, harcelante, ordurière, décomplexée, vindicative, fanatique, hystérique, voire criminelle, visant une minorité de citoyens honnêtes, intègres, prudents et lucides dont le principal « tort » aura été de refuser un présumé vaccin, tout à fait expérimental, que seul l’urgence sanitaire renouvelée sans cesse par la CAQ permet d’injecter.  Autrement, pas de vaccination possible…

En plus de pouvoir offrir des contrats sans appel d’offre, cette mesure injustifiée autorise le gouvernement à jouer à la roulette russe avec un médicament qui commence à soulever des réticences légitimes chez un nombre croissant de citoyens qui s’informent ailleurs qu’à TVA et à Radio-Canada, principales Pravda subventionnées généreusement tant par François Legault que par Justin Trudeau.  Un indice ?  Les pays les plus vaccinés sont ceux qui connaissent le plus de cas covid.

Mais retournons au sujet de ce billet : la propagande haineuse envers les non vaccinés, aussi décapante que celle qui visait les Juifs sous le troisième Reich.  Vous trouvez que j’exagère ?  J’ai décidé de céder la parole aux crapules médiatiques qui semblent avoir vendu leur âme à nos dirigeants en s’attaquant impitoyablement, et la plupart du temps de la manière la plus ordurière, à ceux qui font preuve de discernement en refusant un « vaccin » expérimental que même l’un de ses inventeurs déconseille.  Notons que nos médias n’ont pas manqué d’attaquer sa crédibilité.

La parole aux collabos

Pour rester dans la métaphore de la haine envers les Juifs, voici les propos de ceux qu’on peut désormais qualifier de collabos très en vue dans la médiasphère.


Un bon début, non ?  Mais l’oracle de la Pravda de Montréal n’allait pas s’arrêter en aussi bon chemin.  Voici une autre, parmi plusieurs, de ses perles de sagesse et de tolérance :



Quand on pense à Martineau, au sommet de la haine envers quiconque ne partage pas sa confiance aveugle et fanatisée envers le vaccin, le nom de son ancien collègue aux francs-tireurs, Patrick Lagacé, s’impose naturellement.  Ce déjanté va cependant encore plus loin avec un discours résolument néo-nazi visant même l’interdiction au travail et à l’alimentation :


La même folie vindicative s’est également emparée de Claude Fournier, le frère de l’autre, qui, comme Lagacé, trouve légitime d’affamer les non vaccinés, ces parias de la société :


Un coup parti, pourquoi ne pas recourir à la violence pour vacciner les récalcitrants.  Dan Bigras, que je surnomme affectueusement « Sarbadan », a justement envisagé une façon percutante d’arriver à soumettre les « délinquants » :


Notez le raffinement du « ça »…  Et de la violence, pourquoi ne pas en arriver à faire la guerre aux non-vaccinés ?  Tant qu’à sombrer dans le nazisme primaire…  Denise Bombardier, elle, trouve cette option tout à fait normale :


Une autre furie de Quebecor, Sophie Durocher, alias Mme Martineau, a manifesté son appui à la déclaration incendiaire d’Emmanuel Macron, affichant son intention « d’emmerder les non-vaccinés ».  Aussi malveillante que le guignol qui lui sert de conjoint, finalement.


Un journaliste que je n’avais jamais remarqué auparavant y est allé de suggestions aussi stupides qu’inapplicables.  Voilà sans doute pourquoi, avec pareil intellect, il est toujours passé sous mon écran radar…


Non moins ridicules, les prétentions de cet autre oracle de troisième ordre qui rend les non-vaccinés responsables de toute détérioration du système de santé sans toutefois fournir la moindre explication scientifique à l’appui de son délire :


Et pour finir, dans la catégorie « cruche à deux anses » dans laquelle elle s’illustre régulièrement :


Avec un taux de survie de 99,97 %, pauvre femme…

Avez-vous remarqué qu’on n’associe plus augmentation des cas avec non-vaccinés ?  Regardez autour de vous.  Qui parmi vos amis, parents, collègues de travail et contacts en tous genres ont attrapé la covid ?  De mon côté, la presque totalité des personnes atteintes sont vaccinées au moins deux doses…  Legault et Trudeau n’ont-ils pas été eux-mêmes infectés, ce dernier à deux reprises ?

Les vrais édentés…

Je pourrais encore poursuivre avec d’autres déclarations aussi ordurières que celles que je viens de publier, mais je crois que l’exercice est concluant.  Je pourrais également reproduire nombre de captures d’écran de simples citoyens qui crachent leur venin et leur médiocrité abyssales sur les non vaccinés, allant jusqu’à proférer des appels à la violence, à « tirer dans le tas », à « se débarrasser d’eux si la police et le gouvernement ne font pas leur job », à pratiquer « l’euthanasie des non vaccinés », « une mort encore trop douce », et plusieurs autres joyeusetés dont je vous épargnerai la pathétique nomenclature.

Comment une société réputée aussi pacifique et tolérante que le Québec a-t-elle bien pu tomber si bas ?  Bien sûr, quand un premier ministre aussi crapuleux qu’irresponsable donne le ton en affirmant qu’il ne se laisserait jamais soigner par une infirmière non vaccinée, il ne faut pas se surprendre que les éléments les plus médiocres de notre société lui emboîtent le pas. 

Voyant projeté sur les non-vaccinés un portrait-robot correspondant point par point à ce que notre société compte de plus rétrograde, les véritables édentés trouvent une occasion rêvée d’échapper à leur propre déchéance en s’en prenant à des gens dotés de discernement et de bon sens.  Comme le disait si justement Didier Raoult : « Le droit d’être intelligent fait partie d’une minorité en danger ».

Pour éviter que ne se reproduise une dérive sociétale aussi dévastatrice que monumentale, il faudra, jusqu’à leur dernier souffle, rappeler à ces crapules l’ignominie de leurs propos.  C’est à ce prix qu’il nous faudra maintenir notre devoir de mémoire.

samedi 2 juillet 2022

Le parjure de Cassidy Hutchison contre Trump ou le désespoir des démocrates…

Cassidy Hutchison
Avant même la campagne électorale américaine de 2016, les démocrates avaient tenté d’écarter Donald J Trump de la présidence.  En campagne, ils ont menacé de le destituer.  Durant sa présidence, ils ont récidivé avec le canular de la collusion russe ourdi par Hillary Clinton et cautionné par Barack Obama, arnaque confirmée récemment par le dépôt du rapport du procureur spécial John Durham. 

Président sortant, ils ont tout de même tenté à nouveau de le destituer, en s’appuyant sur le bordel survenu au Capitole le 6 janvier 2021 qu’ils ont fortement favorisé pour ne pas dire déclenché.  Maintenant, à l’aide d’une commission d’enquête bidon et partisane, ils essaient encore d’incriminer Trump, allant jusqu’au parjure et au faux témoignage d’une soubrette connue de personne, subitement devenue vedette de l’heure, Cassidy Hutchison, ancienne adjointe de Mark Meadows, chef de cabinet de Donald Trump.

La presse américaine et canadienne, à 90 % pro démocrate, s’est empressée de porter la jeune femme aux nues, présentant son témoignage comme accablant, pour ne pas dire fatal dans la perspective d’un éventuel retour de Trump comme candidat à la présidence en 2024.

Pétard mouillé

En bon québécois, un pétard est une expression qui désigne une très jolie femme, ce qui est visiblement le cas de Cassidy Hutchison.  « Pétard mouillé », toutefois, a le sens de « chose qui n'a pas fonctionné correctement, qui n'a pas répondu aux attentes ».  C’est exactement vers cette douteuse qualification que se dirigent les énormités proférées sous serment par Mme Hutchison.

Premièrement, la jeune femme fait état, non pas d’événements dont elle a été témoin, mais bien de témoignages qu’elle a affirmé avoir recueillis de la part de deux employés de la Maison blanche : le chef de la sécurité de Trump, Robert Engel, et le conducteur de sa limousine.  Elle a affirmé, d’une voix sourde qui contrastait d’avec l’amusement que ses yeux trahissaient, que le bouillant président les aurait agressés, allant jusqu’à bloquer le cou du chauffeur de son bras, tout en contrôlant son volant de l’autre en vue de se rendre au Capitol, malgré les interdictions de ces employés.

Dès le lendemain, les deux hommes ont démenti les allégations de Mme Hutchison, allant même jusqu’à proposer de témoigner sous serment au comité d’enquête bidon dominé par les démocrates avec le soutien vociférant et théâtral de la traîtresse républicaine Liz Cheney.  Gageons que ces témoins ne seront jamais convoqués ou que, s’ils le sont, ce sera sous la pression des médias.

Attaque au ketchup

Ne s’arrêtant pas en aussi bon chemin dans son « témoignage », la jeune femme a affirmé avoir assisté à un accès de rage du président, qui aurait lancé son lunch sur un mur, forçant ainsi l’infortunée à l’éponger.  On imagine le traumatisme infligé à cette victime, si, toutefois, l’incident a bien eu lieu, ce dont on peut légitimement douter.  Je me demande si le ketchup évoqué alors a pu constituer l’arme utilisée par Trump dans sa tentative d’assassinat contre Mike Pence, scénario rocambolesque évoqué par le stupide Mario Dumont.

On m’objectera que Mme Hutchison témoignait sous serment, encourant de lourdes peines en cas de parjure.  Je répondrai à cela que le témoin a sans doute pleinement confiance dans le système judiciaire américain qui a laissé Anthony Fauci libre comme l’air malgré ses expériences tentés sur des orphelins dans le cadre de ses recherches sur le sida.  Le même système n’a jamais inculpé les Clinton, malgré le taux de mortalité sans précédent affectant leurs opposants, une série de morts violentes présentée toutefois comme une théorie du complot.

Parlant de Fauci, surnommé par certains observateurs délinquants « le père de la pandémie », est-il seulement inquiété par la justice américaine pour avoir autorisé ce qui ressemble à n’en pas douter à des recherches de gain de fonction illégales, financées par un organisme dont il était responsable, qui ont mené à la fuite fatidique du désormais célèbre laboratoire de Wuhan ?  En dehors de ses bras de fer avec le docteur Rand Paul, sénateur du Kentucky, on ne voit rien venir.

On comprendra alors pourquoi, avec un attorney général aussi mollasson que le démocrate Merrick Garland, Mme Hutchison dort sur ses deux oreilles.  Et puis, ce dernier est terriblement occupé, avec l’aide du FBI, à faire la chasse aux « terroristes domestiques » que sont les dangereuses mères de famille qui s’opposent à ce que des drag queens enseignent la sexualité et les études de genres à des enfants en maternelle.

Les démocrates sont désespérés

Personnellement, je trouve hilarant, et je ne suis pas le seul, le tableau d’un Donald Trump, si souvent présenté par ses détracteurs comme empoté et lourd, subitement doté de l’agilité d’un James Bond, tassant son chef de la sécurité pour bloquer d’un avant-bras vengeur le cou de son chauffeur tout en dirigeant de l’autre main le volant de sa limo.  Roger Moore se serait sans doute fait doubler pour le tournage de pareille scène quand il interprétait le célèbre 007.

Cet acharnement envers Trump, leur pire cauchemar, témoigne du désarroi qui hante les démocrates devant la chute libre sans précédent qu’ils connaissent dans les sondages et les intentions de vote.  Les élections de mi-mandat s’annoncent comme un massacre républicain.  Il aura fallu deux mandats à George Bush pour devenir aussi impopulaire que Joe Biden en seulement deux ans.

Les démocrates tentent présentement de surfer sur l’abrogation de l’arrêt Roe contre Wade qui confère aux États la responsabilité de légiférer sur l’avortement.  Les États démocrates continueront de l’autoriser, mais déjà, plusieurs États républicains s’annoncent nettement plus restrictifs, allant jusqu’à l’interdiction pure et simple.

Il y a cependant peu de chances pour que le peuple américain se laisse émouvoir, soit par les fabulations de Hutchison, soit par les protestations des mouvements pro-choix, quand 30 % des familles américaines éprouvent de sérieuses difficultés à joindre les deux bouts. 

L’inflation galopante, le prix de l’essence himalayen, celui de l’épicerie à l’avenant, les pénuries alimentaires et celle du lait maternisé, la criminalité à la hausse dans les États démocrates, le retrait catastrophique de l’Afghanistan, l’indifférence des démocrates envers le peuple dont ils ont la responsabilité, tout ça annonce des lendemains sombres pour le parti de Joe Biden lors des mid terms, mais aussi lors des présidentielles de 2024.

Il semble bien que, plus les démocrates s’acharnent sur Trump, et plus ce dernier conserve pour ne pas dire qu’il augmente son soutien parmi le peuple américain.  Les élections de mi-mandat, qui n’arriveront jamais assez vite, devraient confirmer cette perspective.

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ?   C'est la première fois depuis ...