samedi 30 octobre 2021

Ontario : 80 % des patients en urgence seraient doublement vaccinés, affirme une docteure

Rochagné Kilian
La science définit souvent un concept en l’opposant à son contraire.  Prenez par exemple le docteur François Marquis, « expert » éolien de TVA, et comparez-le à la docteure Rochagné Kilian.  Le contraste est édifiant.  Édifiant, il l’est pour
cette dame éthique, humaniste et courageuse, qui « a récemment démissionné de son poste de médecin d’urgence et de médecin de famille en raison de ses inquiétudes que tout au long de la pandémie, le système de santé de l’Ontario et le Grey Bruce Health Services (GBHS) ait dépassé les limites éthiques. »

Pas de danger de trouver pareil contestataire des aberrations sanitaires et autres abus de pouvoir de la CAQ chez le médecin de plateau qui nous a hélas été « révélé » avec la crise politico-sanitaire : un individu opportuniste, narcissique, démagogue qui accumule les non-sens au point de s’être ridiculisé à la grandeur de la province avec sa théorie des « vents dominants » pour justifier l’absence d’éclosions résultant de la manifestation du premier mai réunissant 30 000 personnes.  Rappelons qu’il avait prédit une hécatombe qui allait ébranler notre système de santé.

Obligation vaccinale et restrictions ségrégatives

François Marquis
S’adressant au PDG du GBHS Gary Sims et à quelques acolytes, la docteure Kilian n’a pas tardé à les placer dans l’embarras en soulevant le manque d’éthique concernant « le déploiement continu de mandats (obligations NDA) de vaccination et des restrictions ségrégatives liées aux vaccins que le système de santé de l’Ontario défend. » 

En clair, une position contraire à celles du docteur Marquis pour qui toute personne, travailleuse de la Santé ou simple citoyen, qui refuse le vaccin reste nécessairement un égoïste irresponsable et dangereux.  À se demander s’il ne fait pas de la projection.

Après avoir affirmé que « 80% des patients qu’elle a vus aux urgences au cours du mois dernier et qui présentaient des symptômes inexplicables avaient subi une « double vaccination », elle devait dénoncer l’absence de consentement éclairé à propos du vaccin covid et la « mentalité coercitive » visant à contraindre les gens à se faire inoculer un médicament qui n’en est qu’aux essais cliniques. 

Marquis en ferait une syncope…

Le bon sens même, auquel, bien sûr, le PDG devait opposer l’éternelle ritournelle de l’urgence sanitaire justifiant ces abus de pouvoir si chère au docteur Marquis.  La réponse de la docteure ne se fit pas attendre :

« Dr Kilian a attaqué l'affirmation de Sims selon laquelle les protocoles de consentement éclairé peuvent être contournés en cas d’urgence, et a précisé que l'Énoncé de politique des trois conseils stipule qu’une situation d’urgence ne justifie pas le contournement des protocoles qui protègent la population contre les risques liés à l’expérimentation médicale. L’Énoncé de politique des trois conseils est une ligne directrice canadienne pour la conduite éthique de la recherche impliquant des humains ou du matériel biologique humain. Comme les vaccins sont encore techniquement à l’essai, ils sont mis en œuvre dans le cadre d'une recherche sur la population. »

De telles positions auraient de quoi provoquer une syncope chez le « bon » docteur Marquis, aux prises avec l’urgence de l’hôpital Maisonneuve-Rosemont, l’un des plus encombrées au Québec, tandis que l’expert éolien trouve tout de même le temps de multiplier les entrevues catastrophistes, de gérer l’émission de télévision ironiquement intitulée De garde 24/7, en plus de s’occuper de la promotion de ses carnets de pandémie…  Une question, comme ça, Marquis aurait-il une existence médiatique sans la covid ?

« Personne ne vous oblige… »

Le PDG Sims devait s’insurger contre la dénonciation de Mme Kilian à l’effet que la vaccination obligatoire allait à l’encontre des intérêts légitimes tant de la population que des travailleuses de la Santé :

« Sims a vivement réagi à Kilian et a déclaré : « Personne ne vous oblige à faire cela, vous avez le droit de dire non, mais la réalité est que le gouvernement a le droit de dire que vous n’êtes pas employé ».

« Quand la loi l’examine, la loi dit que vous avez le droit de le faire [renforcer les mandats de vaccination] », a-t-il ajouté. »

Bref, en Ontario, comme au Québec, comme en France, comme aux États-Unis depuis Biden, comme en Australie, définitivement sous dictature sanitaire comme la Nouvelle-Zélande, il est décrété que la fin justifie les moyens au mépris du respect de l’intégrité physique.

Comment continuer à faire confiance à de tels vaccins ?

Et ces ayatollahs sanitaires osent affirmer : « Personne ne vous oblige à vous faire vacciner. »  Bien sûr, tout le monde peut se permettre de perdre son boulot par désir légitime de préserver son intégrité physique des risques d’un vaccin expérimental dont on découvre de plus en plus les effets néfastes chez les jeunes hommes.

Rappelons que l’Union européenne a abandonné l’AstraZeneca, tandis que les pays scandinaves ont suspendu l’usage du vaccin Moderna en raison des risques d'inflammation cardiaque post-injection - la péricardite et la myocardite, chez les hommes de moins de 30 ans.

Comment peut-on encore exiger des travailleuses de la Santé et du grand public de continuer à faire confiance à des vaccins douteux qui ne seront pas homologués avant 2022 pour Moderna et 2023 pour Pfizer ?

Deux attitudes, deux destins

Hurler avec les loups a toujours été un facteur de rentabilité pour les opportunistes.  Ne pas le faire, quand défendre ses positions devient risqué, est méritoire.  François Marquis ne serait même pas digne de cirer les bottes de Rochagné Kilian.  Le contraste entre ces deux médecins est saisissant.

Mme Kilian est prête à renoncer à ses emplois pour défendre ses principes sanitaires et humanitaires tandis que Marquis n’hésite pas à appuyer la CAQ dans la répression sanitaire la plus écœurante.  La première s’expose à des pertes financières et à la réprobation de ses pairs. Le second continuera à faire la fierté du Collège des médecins en dénigrant les « antivax » par la multiplication d’entrevues plus foireuses et alarmistes les unes que les autres en plus de jouer à la star de pacotille. 

Espérons qu’une fois la poussière retombée après cette interminable crise manufacturée, les gens sauront faire la différence entre le narcissisme égocentrique et le dévouement humaniste.

samedi 23 octobre 2021

Déclin de l’empire américain : le troisième mandat d’Obama ?

Barack Obama et Joe Biden
Quiconque suit la politique américaine ailleurs qu’à TVA ou à Radio-Canada, médias Trump-anxieux et pro-Biden, ne peut que constater l’effondrement des États-Unis depuis l’avènement, certains diront l’usurpation, de la présidence américaine par l’équipe de Joe Biden.

Je parle ici d’équipe, puisqu’il est évident, d’un point de presse à un autre donné par ce pauvre bougre qu’est l’actuel président, que nous assistons au spectacle affligeant d’un homme sénile, confus, désorienté au point de se référer à des fiches touchant des sujets brûlants qu’il devrait normalement maîtriser, quand il ne dit pas ouvertement redouter de se « mettre dans le trouble » s’il se gourre dans ses réponses aux journalistes, ce qui ne manque pas d’arriver.

Neuf mois de gaffes

En à peine neuf mois, les gaffes soi-disant commises par cet homme de paille, porte-parole fantoche d’une gauche woke des plus extrémistes, se sont multipliées : annulation du projet d’oléoduc Keystone qui devait garantir l’autonomie énergétique des États-Unis; à-plat-ventrisme devant les pays de l’OPEP qui refusent les demandes du président d’augmenter leur production de barils; crise migratoire sans précédent à la frontière Sud et déplacement, à travers le pays, de centaines de migrants illégaux non-testés covid; vaccination obligatoire des entreprises privées et services publics, en plus du masque tout aussi obligatoire dans les écoles; retrait désastreux d’Afghanistan, l’armée laissant derrière elle civils américains, alliés afghans et un arsenal de haute technologie militaire de 85 milliards $, entre autres dossiers désastreux.

Imaginez si Trump s’était rendu coupable d’un bilan aussi calamiteux.  La planète médias serait en feu.  

Un contraste affligeant

Quel contraste entre cette présidence et celle de Donald J Trump, un homme certes peu diplomate, mais efficace, pragmatique et capable de réalisations impressionnantes : aucune guerre en quatre ans; signature de quatre accords de paix au Moyen-Orient; rapatriement de plusieurs sièges sociaux au pays, augmentation et préservation de nombreux emplois perdus sous les administrations précédentes; réfection entière de l’armée; frontière Sud adéquatement sécurisée, retrait prévu de l’Afghanistan qui aurait permis le rapatriement sécuritaire de citoyens américains et d’alliés afghans, sans compter celui de l’arsenal mentionné plus haut.

Popularité en chute libre

Nos médias pro-démocrates, subventionnés par les alliés de ce parti que sont Justin Trudeau et François Legault, n’en font pas les gorges chaudes, mais la cote de popularité de Biden est en chute libre :

« Le président Joe Biden a vu son taux d’approbation chuter brutalement parmi les indépendants, passant de 61% en février à seulement 34% au bout de neuf mois de sa présidence, selon un nouveau sondage publié vendredi.

À l’échelle nationale, la cote du président est restée stable le mois dernier à 42%, après une forte baisse de six points en septembre. Son approbation publique est en baisse de 14 points de pourcentage au total depuis juin, selon le dernier sondage Gallup.

Les données, tirées du 1er au 19 octobre, ne suggèrent aucune amélioration du soutien public, ce que Gallup attribue aux revers récents tels que le débat sur le projet de loi sur les infrastructures et à des problèmes tels que l’inflation et les pénuries de travailleurs. »

Qui dirige vraiment la Maison blanche ?

En observant ce président biodégradable, visiblement en état de délabrement moral, mental, psychique et physique avancé, il devient évident qu'il est incapable d’exercer ses fonctions et qu’un impeachment lui serait salutaire.  En irait-il autant pour le pays ? 

Rien n’est moins sûr puisque la redoutable incompétente que s’est révélée la vice-présidente ricaneuse Kamala Harris serait à l’évidence désignée comme la successeure de Biden.  Sa « performance » désastreuse dans la crise frontalière est suffisante pour la disqualifier aux yeux de nombre d’Américains.  Et elle n’a même pas l’excuse de la sénilité.

Le troisième mandat d’Obama ?

Plusieurs commentateurs croient que Barack Obama préside aux destinées de la Maison blanche au point d’avoir entamé son troisième mandat.  Hypothèse audacieuse ?  Pas tant que ça.  Après tout, les deux hommes sont habitués de travailler ensemble et Biden a toujours été le subalterne d’Obama.  Ce dernier ne pouvant se présenter une troisième fois à la présidence, pourquoi n’aurait-il pas choisi son ancien vice-président comme homme de paille pour atteindre ses objectifs ?

Avant même que Biden ne soit « élu », Jean-Éric Branaa, maître de conférences à l’université Panthéon-Assas et spécialiste des États-Unis, avait publié « Joe Biden, le 3ème mandat de Barack Obama ».  Plus récemment, Jeanine Pirro, analyste politique à Fox news, défendait également cette hypothèse :

« (…) avez-vous remarqué que Joe Biden perpétue les mêmes politiques que défendait Obama ?  Frontières ouvertes, dénigrement de la police, affirmations qu’il soutient une « communauté internationale » alors que c’est faux… Et en passant, comment se fait-il que Kamala Harris, qui serait le choix de Joe Biden comme vice-présidente, s’est vu offrir cette opportunité alors qu’elle avait dénoncé ses opinions racistes ? Et pourquoi une personne aussi paumée que la caqueteuse Kamala, qui a dû renoncer aux primaires présidentielles puisqu’elle ne pouvait récolter un pour cent d’appuis, a pu devenir vice-présidente des États-Unis ?  Rappelez-vous de l’affection de Barack Obama envers Kamala Harris… »

Obama s’était dit « très à l’aise » avec l’idée d’un homme de paille…

Le plus troublant, dans l’exposé de Jeanine Pirro, reste cet extrait d’une entrevue donnée par Obama à Steven Colbert après l’élection de 2020, à propos de ce à quoi aurait pu ressembler un troisième mandat pour l’ancien président (6 min 4) :

« J’avais l’habitude de dire : si j’avais l’opportunité de faire un arrangement selon lequel j’installerais un présentateur ou présentatrice (frontman or frontwoman) avec un équipement dans l’oreille que je pourrais diriger de mon sous-sol dans mes cottons ouatés et lui transmettre ses « lignes », et que ce quelqu’un d’autre ferait la conversation et le cérémonial, je serais très à l’aise avec ça. »

Bien sûr, il ne s’agit pas ici d’aveux, mais n’y a-t-il pas matière à questionnement ?  Et si Biden avait été choisi en raison de l’ascendant d’Obama sur lui ?  Au fond, lors de ses débats avec Trump, Biden ne portait-il pas un écouteur dans l’oreille dont il avait refusé l’inspection, comme le soulignait Jeanine Pirro ?  Attendait-il ses « lignes » ?  

Incontestablement, un dossier à suivre.

samedi 16 octobre 2021

Dubé renonce à son bluff sur la vaccination obligatoire des travailleuses de la Santé

Christian Dubé
La détermination des travailleuses de la Santé récalcitrantes à céder à l’obligation vaccinale du ministre de la Santé, Christian Dubé, aura porté fruit :  ce dernier a dû interrompre son bluff de les suspendre sans rémunération ce 14 octobre.  Il a toutefois reporté sa menace au 14 novembre.  Sera-t-il plus chanceux dans son chantage qu’il ne l’a été jusqu’à présent ? 

L’avenir le dira, mais il y a gros à parier que les infirmières et préposées qui étaient prêtes à perdre leur emploi plutôt que de céder aux pressions du ministre maintiendront leurs positions.  Réussira-t-il à réunir suffisamment de remplaçantes pour se passer des « délinquantes » ?  Ça reste à voir.  20 000 employées portées disparues dans un système de santé qui craque déjà de toute part, tout ça à cause de l’obsession vaccinale d’un ministre sans expertise en Santé, ça fait mal et ça fait dur.

Coup de poker stérile

On réalise à quel point Dubé s’est livré à un coup de poker des plus stériles sans carte maîtresse.  C’est d’ailleurs l’opinion d’EmmanuelleLatraverse :

« On se rend compte aujourd’hui que quand il a énoncé cette menace d’échéance ferme dans le réseau de la santé, c’est un peu comme s’il est allé à la guerre avec tire-poids. Il n’avait pas ce qu’il fallait pour mettre sa menace à exécution », estime la jouteuse, qui pense la crédibilité du M. Dubé est maintenant entachée. »

Quand même la chroniqueuse d’un média soumis aux diktats de la CAQ en arrive à une telle sévérité, il est aisé de conclure que le ministre a perdu des plumes depuis sa capitulation.  Il faut cependant admettre que, lorsque les commentateurs des médias subventionnés critiquent le gouvernement, c’est généralement pour affirmer qu’il n’en fait pas assez.  Ils jouent alors son jeu puisque nos dirigeants reçoivent alors une forme de caution morale de serrer la vis qui trouve écho chez un public impressionnable abonné aux propos catastrophistes des médias.   

C’est sans doute cette raison qui motive ce commentaire de Mathieu Bock-Côté :

« « Si lorsque vient le moment de l’échéance on capitule, on s’humilie et on s’affaiblit. Aujourd’hui, le gouvernement est affaibli. (...) À partir du moment où on engage l’autorité de l’État, il faut aller jusqu’au bout » croit-il, indiquant qu’il s’agit d’une « grosse gaffe » dans la gestion de la pandémie de la part de Québec. »

Vous avez dit « grosse gaffe » ?

Et si la « grosse gaffe » n’avait pas été de vouloir contraindre des travailleuses testées trois fois par semaine, équipées de masques, de visières, de gants et de blouses, donc ultra sécuritaires, à s’improviser cobayes d’un vaccin expérimental qui ne sera pas homologué avant 2022 pour Moderna et 2023 pour Pfizer ?

Vu les résultats déplorables rencontrés par ce dernier vaccin en Israël, où il a été le principal utilisé, n’est-il pas normal et légitime que des employées prudentes et sensées préfèrent attendre d’en savoir plus sur son efficacité et sa sécurité ?

Peut-on continuer à ignorer l’échec vaccinal israélien ?

Rappelons qu’Israël, « exemplaire » quand au taux de vaccination, est le pays qui a connu la pire flambée de cas de la planète :

« Avec plus de 1000 contaminations pour 100.000 habitants, Israël est le pays au monde ayant recensé le plus de nouveaux cas de Covid-19 cette semaine par rapport à sa population. 

(…) C’était aussi le troisième jour de suite où plus de 10.000 nouveaux cas ont été comptabilisés, ce qui fait dire à l’épidémiologiste français Antoine Flahault qu'"Israël connaît sa pire vague depuis le début de la pandémie". »

Si vraiment le vaccin le plus utilisé au monde doit signifier le plus que mythique « retour à la vie normale », quelque chose m’échappe.  Rappelons également que la situation est à ce point critique que l’Union européenne a interdit aux citoyens israélites de fouler son territoire :

« Face à la hausse du nombre de cas en Israël, l'Union européenne a décidé lundi de réimposer des restrictions aux voyages non essentiels depuis ce pays. »

Et l’on s’étonne du scepticisme de celles qu’on continue stupidement de qualifier d’« antivax » et que l’on traite d’irresponsables, d’égoïstes et de complotistes  ?

La parole aux travailleuses

Le quotidien Le Nouvelliste a donné récemment la parole à trois infirmières « récalcitrantes », initiative louable dans un contexte où toute contestation de l’intégrisme sanitaire du gouvernement se voit aussitôt rabrouée par les médias, son bras armé.  L’une d’elles affirmait :

« « Là où je travaille, j’ai vu des gens (vaccinés) faire une péricardite, des gens qui restaient essoufflés et des femmes qui n’ont pas eu leurs menstruations pendant un mois. Je me suis dit que j’attendrais un peu de voir l’évolution du vaccin avant de décider si je le prends ou non », précise-t-elle. »

Avons-nous affaire à une fanatique enragée qui traite toute personne vaccinée d’imbécile, de « brainwashée » ou d’ignorante ?  En aucun cas.  Il s’agit d’une professionnelle qui préfère se fier à son expérience sur le terrain plutôt qu’aux statistiques fédérales citées par le quotidien mauricien à l’effet que seulement 0,032 % des 56 millions de doses administrées auraient eu des effets secondaires et à peine 0,008 %, des effets secondaires jugés graves.  Elle ajoute :

« « Mme Mayer précise par ailleurs qu’elle n’est pas anti-vaccin: elle dit avoir reçu ceux contre la rubéole, la rougeole, l’hépatite et le tétanos. Elle craint cependant que le virus continue à muter et que les vaccins actuels ne soient plus efficaces contre les prochains variants. Elle affirme par ailleurs qu’elle pourrait éventuellement changer d’avis, mais pas pour des raisons financières. »

Oh surprise, cette autre infirmière non plus n’est pas une « antivax », comme nos médias mal intentionnés s’entêtent à vouloir présenter ceux et celles qui optent pour la prudence :

« Marjolaine Normandin, infirmière pour le CIUSSS de la Mauricie et du Centre-du-Québec, assure aussi ne pas être opposée aux vaccins, qui ont permis, reconnaît-elle, d’éradiquer plusieurs maladies graves.

« Quand le vaccin est sorti, j’ai refusé de le prendre parce que je trouvais qu’on manquait de données, notamment sur les effets secondaires. Je voulais attendre qu’il y ait des études plus poussées », affirme-t-elle. »

Nous n’avons pas davantage affaire à une travailleuse persuadée que la mort l’attend au cours des prochains mois si elle se fait piquer pas plus qu’à une femme qui refuse obstinément toute vaccination future.  Elle fait simplement preuve de la bonne vieille prudence envers un vaccin expérimental.  Et il faudrait lui faire perdre son emploi pour ça ?

Le chantage, ça passe pas !

Mme Normandin, qui a reçu une première dose de vaccin, affirme qu’elle est peu encline à recevoir la deuxième puisqu’elle pense subir du chantage.  Comment lui donner tort ?  Elle ajoute :

« « On a suspendu nos conventions collectives, appliqué des décrets, rehaussé nos postes et on nous a enlevé nos vacances. J’ai été transférée dans une zone COVID, je fais des quarts de 12 heures avec des patients positifs. Et dans les dernières négociations, je trouve que le gouvernement nous a offert des conditions ridicules. Donc, me faire faire du chantage avec mon emploi après qu’on se soit fait dire pendant des mois qu’on était essentielles, ça ne passe pas pour moi », soutient-elle. »

Une troisième infirmière, elle aussi généralement favorable aux vaccins, fait valoir cet argument qui tombe sous le sens et qui fait tranquillement son chemin chez plusieurs esprits éveillés :

« Je considère qu’en étant dépistée régulièrement, et puisque je respecte les mesures sanitaires, je ne suis pas dangereuse (pour les patients). Alors que les infirmières vaccinées peuvent être porteuses du virus et être asymptomatiques, mais on ne le saura pas parce qu’elles ne se font pas dépister systématiquement », avance l’infirmière, qui a demandé à garder l’anonymat. »

Il reste à souhaiter que ces témoignages d’infirmières et de leurs motivations à refuser le vaccin viendront nuancer la portrait caricatural, injuste, grossier et injurieux que nos commentateurs s'acharnent à brosser d’elles.  Quand cette crise sera derrière nous et que la poussière sera retombée, espérons qu’ils auront alors l’humilité de reconnaître qu’ils auront été trop loin.  Mais ne soyons pas trop optimistes…

samedi 9 octobre 2021

Le sanitarisme, nouvelle religion planétaire ou fer de lance du wokisme ?

Joe Biden, président des Etats-Unis
Est-il possible que le vide entraîné par le rejet massif du catholicisme depuis les années soixante ait laissé à eux-mêmes une multitude d’êtres humains sans repères au point que les plus fragiles d’entre eux éprouvent le besoin de se jeter sur la première idéologie venue, si bidon soit-elle ?

Après tout, le phénomène des sectes, dont la scientologie, le mouvement Raëlien, ou le tristement célèbre Ordre du temple solaire, ne représente que quelques exemples de dérives idéologiques dogmatiques vers lesquelles se tournent trop d’esprits faibles et dépourvus de libre arbitre intellectuel, psychologique ou moral.  

En tâchant de définir ce qu’est une secte, il est difficile de ne pas tracer d’inquiétants parallèles avec l’aveuglement volontaire dont souffrent les sanitaristes, ces citoyens persuadés, contre toute évidence, que la covid-19 représente un danger mortel aussi sévère que la grippe espagnole, que nos dirigeants se dévouent sincèrement corps et âmes pour les sauver, et que la vaccin reste l’ultime solution afin de mettre fin au cauchemar sanitaire actuel et de préparer une sortie de crise vers le plus qu’illusoire « retour à la vie normale ».

Naïveté, quand tu nous tiens…

« Suspectés d’étouffer la liberté individuelle »

Or, selon Wikipédia :

« Les responsables des groupes dits « sectaires » sont souvent suspectés d'étouffer la liberté individuelle au sein du groupe ou de manipuler mentalement leurs membres, en s'appropriant parfois leurs biens et les maintenant par divers procédés dans un état de sujétion psychologique ou physique, entre autres par la fatigue, et en outre de menacer l'ordre public3. »

Ne s’agit-il pas précisément de l’ensemble de tactiques employées par le gouvernement Legault envers la population du Québec ?  N’est-il pas en train, depuis 18 mois, d’étouffer notre liberté individuelle, de nous manipuler mentalement en soufflant le chaud et le froid, en promettant une chose pour revenir presque aussitôt sur sa parole ?  Par la guerre des nerfs qu’il nous livre, n’entretient-il pas chez nous un état de fatigue permanent ?

En graissant abondamment la patte des médias, plus alarmistes les uns que les autres, et qui invitent des experts bidons sans expertise sur les virus, ne nous maintient-il pas dans un état de sujétion psychologique ou physique, notamment en affaiblissant notre système immunitaire par des confinements prolongés et par le port d’un masque inutile, sinon dommageable ?

La stigmatisation des non vaccinés

En privant les travailleuses de la Santé (qu’aucune association féministe ne défend, en passant) et les médecins, qui refusent le vaccin, de leur droit de travailler ou de pratiquer, ce gouvernement n’est-il pas en train de les déposséder de leur bien légitime : le droit de jouer un rôle social indispensable au maintien de la bonne santé physique, psychologique et morale de la collectivité ?

En stigmatisant les non vaccinés en les traitant d’antivax, la CAQ et son bras armé, les médias, ne menacent-ils pas l’ordre public en antagonisant la population ?  Ces réfractaires, pour la plupart inquiets devant l’inoculation d’un vaccin expérimental dont on commence timidement à découvrir des effets secondaires indésirables, doivent-ils se sentir coupables de faire preuve de prudence et de bon sens ? 

Et s’ils représentent une menace pour les vaccinés, dont la charge virale reste identique à la leur, n’est-ce pas là la preuve que le vaccin est peu efficace ?  Alors pourquoi diable se faire vacciner ?

Le sanitarisme, idéologie indépendante ou la partie d’un tout ?

Une question s’impose, après 18 mois de délire et de paranoïa sanitaires :  Le sanitarisme est-il une idéologie indépendante, autonome, ou s’inscrit-il dans un contexte plus général ?  Il suffit d’observer l’effondrement actuel de la société américaine pour trouver des éléments de réponse.  Sous le président Biden, l’influence mortifère de l’extrême gauche du parti démocrate corrode peu à peu le tissu social de ce pays comme jamais auparavant.

Les catastrophes s’accumulent à une vitesse vertigineuse depuis janvier dernier : une crise frontalière sans précédent au Sud du pays; l’abandon de civils américains et des sympathisants afghans, sans compter celui d’un arsenal militaire de fine pointe évalué à 85 milliards $ après le départ prématuré des troupes américaines d’Afghanistan; la dépendance énergétique accrue envers l’OPEP après l’abandon du projet d’oléoduc Keystone; la montée fulgurante de la criminalité domestique favorisée par le sous-financement des services de police gérés par les démocrates; une flambée des prix de l’essence et des produits essentiels, etc.

Totale incohérence sanitaire

C’est dans ce contexte d’effondrement national que Joe Biden, tout en permettant la dispersion d’immigrants illégaux non testés à travers le pays, cherche à imposer la vaccination obligatoire à tous ses concitoyens ainsi que le masque aux enfants en bas âge dans les écoles.  24 États républicains, soit près de la moitié du pays, s’opposent à ces abus de pouvoir.

Son parti a également permis à des hommes biologiques de participer aux compétitions sportives féminines sous prétexte qu’ils se sentent femmes, en plus d’instaurer dans les écoles un programme dénonçant le « racisme systémique » en inculquant aux enfants blancs la honte d’être des Américains de souche.   

Ajoutez à cela le désastre actuel des politiques migratoires démocrates et vous avez un portrait on ne peut plus clair d’une administration woke.

Le wokisme, ce cancer sociétal

Le wokisme s’insinue hypocritement mais assurément, non seulement aux États-Unis, qui sont leur berceau, mais dans toutes les sphères des sociétés occidentales, dont la nôtre, à commencer par le milieu scolaire, où les jeunes se voient exposés aux théories les plus fanatisées telles que les études de genres, qui nient les différences sexuelles; l’ouverture beaucoup trop précoce à la transsexualité; la lutte à  « l’hétérosexisme » ou à « l’hétéronormativité », qui présente l’hétérosexualité comme une négation « patriarcale » de l’homosexualité; la survalorisation des cultures et religions étrangères, dont l’islam; la dévalorisation des cultures occidentales, présentées comme oppressives, et le néo-féminisme, qui entre dans la tête des enfants la démonisation du sexe masculin et la survalorisation victimaire du sexe féminin.

À ce florilège d’aberrations idéologiques, dépourvues de fondements scientifiques, vient s’ajouter le sanitarisme, cette nouvelle religion dont les cardinaux, incluant Justin Trudeau et François Legault, se font les porte-parole des papes sanitaires que sont devenus Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial et artisan de la grande réinitialisation, et bien sûr Bill Gates, qui a décrété comme parole d’évangile qu’il n’y aurait pas de retour à la vie normale tant que sept milliards d’individus ne seront pas vaccinés.

Hors du vaccin, point de salut !

Comme toute religion, le sanitarisme comporte son lot de prêtres fanatisés pour qui le simple fait de s’interroger sur sa pertinence mérite l’excommunication.  C’est avec un sourire en coin que l’on peut voir les Martineau, Dumont et Bombardier, jadis dénonciateurs de toute idéologie woke, se montrer encore plus hystériques que les idéologues qu’ils dénonçaient et dénoncent encore à l’occasion.

À leurs yeux, douter de la pertinence du vaccin équivaut à remettre en question l’existence du Christ chez un prêtre dogmatique et fanatisé du temps jadis.

Ce triste portrait ne laisse présager rien de bon pour l’avenir de l’Occident, de la liberté, dont celle d’expression, et de la démocratie, de plus en plus muselée par les GAFAM, qui s’arrogent le droit de décréter ce qui est vrai et ce qui est faux. 

Trop souvent, il faut traduire chez eux « vrai » par conforme au wokisme, et « faux », par ce qui vient légitimement le contester…

samedi 2 octobre 2021

François Legault, ou l’art d’abattre le Québec en sept étapes…

François Legault
Imaginons, pour le « plaisir » de l’exercice, que vous soyez le dirigeant sans âme et sans scrupules d’un parti majoritaire nouvellement élu au Québec, quelles seraient les étapes que vous devriez suivre afin de soumettre la belle province à une « grande réinitialisation » dont nos médias subventionnés évitent si soigneusement de parler ?

1-    Devenez la groupie d’un gourou

Comme François Legault, vous avez d’abord habilement conquis le pouvoir en vous présentant comme nationaliste soucieux de préserver la culture québécoise et de limiter les seuils d’immigration.  Vous pouvez ainsi dissimuler la réalité que vous êtes en fait un mondialiste (Oui, je sais, ça fait « complotiste » d’utiliser ce mot, mais il faut bien appeler un chat un chat.) qui a fait de Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial, votre maître à penser, pour ne pas dire votre idole.

Comme nos médias évitent soigneusement de parler de ce triste sire qui, pourtant, influence, plus que vous le pensez peut-être, nos vies et nos devenirs, précisons que cet individu préconise une quatrième révolution industrielle, également appelée « grande réinitialisation » ou « great reset ».  On pouvait jusqu’à tout récemment trouver cet extrait expliquant la « vision » de Schwab :

« Il est un partisan du transhumanisme, il prévoit l'implantation de puces d'abord dans les vêtements puis dans le cerveau, pour établir une « communication directe entre notre cerveau et le monde digital »8. Il défend et promeut l'avènement de l'intelligence artificielle pour nos vies dans La quatrième révolution industrielle paru en 2017. »

Étrangement, cet extrait a disparu de cet article de Wikipédia…  On se demande bien pourquoi.  Mais Legault l’admire, donc il doit s’agir d’un homme irréprochable…

2-    Associez-vous à un allié puissant et sans scrupules

Tout travail mérite salaire et, bien sûr, vous ne vivez pas de l’air du temps.  Pourquoi alors ne pas vous acoquiner avec la plus grande firme conseil au monde pour orienter vos décisions ?  Bien sûr, le fait que la firme McKinsey, pour ne pas la nommer, soit également la plus corrompue, avec un lourd historique de fraudes et autres malversations, ne saurait vous arrêter.  Vous avez trimé dur pour conquérir le pouvoir, il n’est plus temps de vous embarrasser de scrupules inutiles pour le conserver.  Et puis, vous pourrez toujours trouver en cette firme un responsable de vos bévues, si notre bon peuple finissait par comprendre que vous l’avez roulé dans la farine pendant des mois ou bientôt des années.

3-    Dites une chose et son contraire

À la manière d’un pervers narcissique, au terme d’une lune de miel durant laquelle vous avez joué le rôle d’un dirigeant exemplaire (Par exemple, devant un Justin Trudeau passif incapable de se résoudre à fermer les frontières canadiennes), vous avez mis la table pour la suite des choses. 

Une fois votre bon peuple bien ferré, vous allez pouvoir vous amuser à le manœuvrer à votre guise.  Faut dire que les Québécois, des êtres en perpétuelle quête d’un père absent, sont particulièrement malléables.  Du vrai bonbon…

Vous-même en quête d’un père absent trouvant refuge auprès d’un Klaus Schwab ou de la firme McKinsey, vous obéissez aux directives de cette dernière en annonçant une chose et son contraire, ceci afin d’entretenir un état perpétuel de panique et de confusion chez la majorité des Québécois. 

Le masque est nuisible; il devient essentiel.  Les confinements prolongés ne sont pas souhaitables; ils deviennent aussi incontournables qu’interminables. Le couvre-feu, c’est bon en temps de guerre; ça devient notre planche de salut.  Le passeport vaccinal ne sera envisagé que dans des domaines précis; il devient une norme sociale.  La vaccination ne sera pas obligatoire; elle le devient pour les employées de la santé… pour commencer.

4-    Divisez pour régner

Pas besoin d’une firme conseil pour savoir que le meilleur moyen de contrôler une population reste de susciter parmi elle un antagonisme croissant à propos d’enjeux vitaux.  Ainsi, une majorité de confinés mentaux se voit plus ou moins subtilement amenée par nos médias à détester la minorité qui ose douter de votre sainte parole. 

Comme du temps de Duplessis, quand le clergé en menait large et que le moindre doute sur l’existence du Christ pouvait attirer sur les « hérétiques » les foudres de bons chrétiens fanatisés, le fait de s’interroger sur l’efficacité et, surtout, sur la sécurité du vaccin peut valoir aux sceptiques un sort similaire.

Il ne vous restera qu’à marteler ad nauseam que si votre bon peuple se voit confiné à nouveau, ce sera la faute des vilains « antivax », et vous trouverez des coupables tout désignés de votre embarrassante incompétence.

5-    Supprimez les obstacles à la mondialisation de l’économie

Maintenant que vous suivez docilement les directives de McKinsey visant l’instauration d’une économie mondiale dominée par les géants tels qu’Amazon, Walmart ou Costco, parmi d’autres, vous pouvez commencer à torpiller par le fond les PME, ces irritants qui grugent leurs profits, en instaurant des confinements prolongés, un couvre-feu interminable, des exigences sévères envers les gyms et les restaurants en plus de l’interdiction de vendre des biens « non-essentiels », dont la définition reste délibérément floue.

Bien sûr, vous pousserez quantité de commerçants vers la faillite, la dépression, voire le suicide, mais on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs.

6-    Forcez l’abandon des personnes âgées

Comment concilier l’existence même des aînés avec la société futuriste préconisée par un visionnaire tel que Klaus Schwab ?  Impossible.  Comme l’affirmait si judicieusement Justin Trudeau, lui aussi groupie de ce grand homme, la « pandémie » représente une formidable opportunité de nous préparer à une grande réinitialisation.

En instaurant un climat de panique incitant les travailleuses de la santé à quitter massivement CHSLD et résidences privées, en plus d’interdire l’accès aux aidants naturels et aux familles proches, et de supprimer l’essentielle vitamine d, vous vous décernerez une « note parfaite » en laissant mourir ces hommes et ces femmes qui auront par leur travail contribué à construire le Québec actuel.  

On vantera ainsi votre réussite dans les médias :

« Les proches de trois aînés hébergés en CHSLD dénoncent les conditions dans lesquelles ceux-ci sont décédés durant la pandémie de COVID-19. Privés d’eau, de nourriture et de soins d’hygiène, ils se sont éteints dans des circonstances inhumaines. 

« (…) Si j’avais un petit bébé et que je le laissais mourir de soif, on me poursuivrait au criminel, et puis on aurait raison de le faire. Pourquoi c’est plus correct de laisser mourir de soif une personne âgée ? » se demande Amélie Brodeur, qui a perdu son père, Yvan, en mai. »

N’ayez crainte, au Québec, on oublie si vite, et puis on dira que tout est de la faute de vos prédécesseurs, et que vous aurez été victime de leur négligence. comme si chaque année se produisait pareille hécatombe...

7-    Cassez le caractère des jeunes

Du temps de nos ancêtres, il était de mise de « casser le caractère » des jeunes afin de leur apprendre l’obéissance à coups de règle et de strappe. Devant l’évolution des mœurs des dernières décennies, durant laquelle les jeunes sont devenus les enfants des enfants-rois, il vous faudra recourir à une médecine de cheval afin de transformer ces futurs contestataires en dociles moutons.

Pourquoi ne pas les isoler en distillant en eux la peur de leur semblable, en hypothéquant leur développement physique et mental en leur imposant un masque toute la journée, affaiblissant par le fait même leur système immunitaire en attendant de leur infliger un vaccin dont ils n’ont pas besoin et dont plusieurs spécialistes déconseillent l’injection ?  Qu’importe si des myocardites se manifestent plus souvent qu’auparavant parmi cette tranche d’âge.  Pure coïncidence…

En conclusion

Comme vous pouvez le constater, exemples à l’appui, cette recette s’avère remarquablement efficace afin d’instaurer un contrôle de la population par une clique d’individus sans âme et sans scrupules.  Qui plus est, les auteurs de cette lente détérioration du Québec se méritent les bravos d’une majorité de gogos qui s’imagine qu’ils travaillent pour eux et qui pourrait voter encore majoritairement pour leurs tortionnaires dans un an.

De la Suède, notre bon peuple semble n'avoir retenu qu’un seul concept : le syndrome de Stockholm.

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ?   C'est la première fois depuis ...