dimanche 26 septembre 2021

Jean-Claude Boucher, pionnier de la défense de la condition masculine, nous a quittés

Jean-Claude Boucher
Jean-Claude Boucher, l’un des plus importants pionniers québécois militant pour la reconnaissance de la condition masculine, s’est éteint ce 25 septembre, à Saint-Pie, à l’âge de 77 ans, des suites d’un accident cardio-vasculaire.  Il laisse dans le deuil sa conjointe Louise, et ses enfants de deux mariages, Marie-Ève, Roseline, Simon et Louis-Bernard.

L’Après-Rupture

Surtout connu pour son engagement à titre de président du groupe de soutien aux hommes en difficulté L’Après-Rupture, Jean-Claude Boucher a consacré plusieurs décennies non seulement à leur venir en aide afin de surmonter le choc d’une rupture houleuse et conflictuelle, mais il a également fortement contribué à dénoncer les dérives du féminisme d’État et son impact néfaste sur les politiques gouvernementales démonisant les hommes en plus de les défavoriser sur les plans légal, des soins de santé et de services sociaux et sur le plan éducatif.

Il a dénoncé à plusieurs reprises de façons claire et documentée le dogmatisme de la politique d’intervention en violence conjugale, qui permet toujours l’arrestation arbitraire d’un homme accusé sans preuve, même quand il fait lui-même appel aux services de police.

Il s’est élevé inlassablement sur plusieurs tribunes médiatiques contre le parti pris judiciaire favorisant trop souvent indûment la garde des enfants accordée à la mère, au détriment du droit parental du père et du droit des enfants à entretenir un lien significatif avec lui.

Dans la même perspective, il n’a cessé de dénoncer la problématique des fausses allégations de violence conjugale et d’agressions sexuelles, qui cause autant de tort aux hommes accusés qu’aux véritables victimes, que les manipulatrices font passer pour aussi menteuses qu’elles.

Il a également piloté au sein de son organisme un groupe de recherche menant à la parution de nombre de rapports et d’articles rigoureux dont l’un d’eux exprimant une dénonciation implacable du dopage statistique entretenu par le ministère de la Santé et des Services sociaux.

300 000 femmes battues, y avez-vous cru ?

Jean-Claude Boucher est également co-auteur d’un collectif intitulé 300 000 femmes battues, y avez-vous cru ?, véritable attaque frontale contre les dogmes du féminisme étatique.

Il y a co-signé, avec Jean-Pierre Gagnon, un texte démontrant avec une rigueur et une précision chirurgicales l’imposture dont le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec avait fait preuve en forgeant de toute pièce une statistique dopée à l’hélium, à l’effet que 300 000 femmes étaient chroniquement battues par leur conjoint chaque année au Québec.  Ce chiffre himalayen ne reposait finalement que sur la fabulation d’une présumée chercheuse soutenue et financée par le gouvernement fédéral.

Sa plume incisive ne s’est toutefois pas limitée qu’à cette parution.  On peut y lire, en préambule, l’extrait suivant :

« Il a publié en 1984 un livre sur les agissements de l'Office du Crédit Agricole du Québec en regard de la façon dont cet organisme du gouvernement assurait le financement des exploitations agricoles et les menait à la faillite. Suite à cette publication et aux différentes pressions exercées, tout le régime de financement a été modifié et ce fut la fin des faillites. »

Un communicateur hors pair

Jean-Claude Boucher avait un rare talent pour exprimer de façon claire et précise les réalités touchant la condition masculine, qu’il s’agisse du décrochage des garçons, du suicide des hommes, de l’itinérance en majorité masculine ou des accidents de travail également majoritairement masculins.  Aucune problématique touchant les hommes et les garçons ne lui était étrangère et il devenait facilement intarissable mais toujours intéressant.

Un choc

J’ai souvent échangé avec Jean-Claude par le biais de Facebook mais je n’ai jamais eu la chance de le rencontrer.  L’annonce de son décès par sa conjointe m’a toutefois donné un choc.  Jean-Claude fait partie de ces forces de la nature qu’on imagine, bien sûr à tort, éternelles.  Son décès laisse un grand vide, comme un cratère, à notre époque bouleversée qui le préoccupait grandement.  Rien de ce qui touchait l’être humain ne le laissait indifférent.  

Si, comme je le crois, la vie existe après la mort, Jean-Claude doit être en route vers de nouvelles péripéties, vers de nouveaux combats, au cours desquels sa faconde naturelle trouvera de nouvelles causes à défendre.  Il y a des habitudes, comme ça, que même la mort ne peut nous faire perdre…

Repose en paix, Jean-Claude.

samedi 25 septembre 2021

Ayatollahs vaccinaux : la chasse aux non vaccinés est ouverte !

Vous êtes un père ou une mère responsable qui travaille, paie ses impôts, veille aux meilleurs intérêts de sa famille et désire ce qu’il y a mieux pour elle.  Dans la même optique, vous souhaitez la protéger de tout danger potentiel ou imminent qui pourrait nuire à son bien-être physique, mental et psychologique.  Rien de plus normal.

Comme tout le monde, vous suivez l’actualité mais, pas comme tout le monde, vous vous documentez ailleurs qu’auprès de Quebecor ou Radio-Canada, chez qui la propagande sanitaire de notre premier ministre, François Legault, a remplacé toute démarche journalistique alliant esprit critique et objectivité. 

Aux yeux de ces médias subventionnés, la religion sanitaire, dont le vaccin représente le salut de l’humanité, a succédé au catholicisme et à Jésus, sauveur des pécheurs en souffrance.  

Croyez aveuglément en la « Science »…

On vous enjoint à croire aveuglément en un simulacre de science défendu par des « experts » aussi peu compétents en infectiologie, en virologie ou en microbiologie que François Marquis, l’urgentologue éolien, Diane Lamarre, pharmacienne, ou Alain Vadeboncoeur, cardiologue.  

Pour tout arranger, on vous conjure de considérer comme complotistes de véritables spécialistes des questions virales malgré leurs feuilles de route impressionnantes.  Citons les Didier Raoult, Christian Perronne, Alexandra Henrion-Caude, parmi d’autre dissidents de l’intégrisme sanitaire actuel.

Le refus d’être cobaye

Ainsi, devant l’évidence que les différents vaccins contre la covid-19 n’en sont qu’à un stade expérimental et qu’ils contiennent une technologie jamais développée auparavant, vous vous dites que vos proches et vous-même n’avez pas à vous improviser cobayes de remèdes qui ne seront pas homologués avant 2022 et 2023 (J’exclue ici l’homologation d’urgence de l’OMS, dont la crédibilité devient de plus en plus biodégradable).  Ça s’appelle la prudence résultant de l’élémentaire bon sens.

Pas aux yeux du gouvernement et de son bras armé, les médias subventionnés. 

Ainsi, Christian Dubé, un monument ambulant d’incompétence qui a attendu que l’Union européenne proscrive l’Astra Zeneca avant de se réveiller, qui sabote notre système de santé au nom de son hystérie vaccinatrice, en plus de se préparer à vacciner nos enfants, malgré les sonnettes d’alarme de spécialistes, considère que les non vaccinés représentent un véritable danger social, pour eux-mêmes et pour les autres.

Vous retrouverez le même discours chez le président américain, Joe Biden, qui n’hésite pas, en se fiant sans doute sur les petites cartes que lui glisse son état-major, à parler de « pandémie des non-vaccinés ».  

Les morts ne mentent pas

J’ai cité dans un récent billet un article de La Presse qui faisait état de 14 morts chez les doubles vaccinés contre 13 chez les « non adéquatement vaccinés » au Québec pour le mois d’août.  Certains m’ont accusé de faire du « cherry picking » puisqu’on dénombre dans la belle province trois fois plus de vaccinés que de non vaccinés.  Il est donc normal qu’il y ait proportionnellement davantage de morts dans nos hôpitaux.

Il s’agit d’une objection valable sauf pour une chose : le discours gouvernemental et médiatique nous martèle que ce sont les non vaccinés qui envahissent les urgences quant aux cas, aux hospitalisations et aux décès.  On peut toujours faire mentir les chiffres pour les cas avec des tests PCR dopés à 45 cycles administrés aux non vaccinés, avec des faux positifs qui en résultent éventuellement, mais les morts ne mentent pas.

Le vaccin est-il vraiment efficace ?

Voilà une question à ne pas poser devant un ayatollah vaccinal.  On ne peut cependant plus croire aveuglément en l’efficacité à 95 % vantée par les fabricants de vaccins.  Ainsi, selon Agence France Presse, que l’on ne peut suspecter de complotisme :

« L'efficacité des vaccins de Pfizer et Moderna contre l'infection à la COVID-19 a baissé de 91 % à 66 % depuis que le variant Delta est devenu dominant aux États-Unis, selon des données publiées mardi par les autorités sanitaires américaines. »

J’ai déjà évoqué la situation qui prévaut en Israël, avec 40 à 50 % de nouveaux cas doublement vaccinés, et en Angleterre, avec 43 % de décès avec une majorité (60 %) ayant reçu au moins une dose. Le Québec doit par contre avoir supplanté Israël au titre de terre promise si ce sont les « non adéquatement vaccinés » qui encombrent à 95 % nos hôpitaux, du moins si l’on se fie à… notre ministre de la Santé, aux « experts », comme François Marquis et à nos chroniqueurs subventionnés.

Le salut résiderait donc dans le vaccin, l’ultime remède, la sacro-sainte garantie d’un « retour à la vie normale », l’équivalent terrestre du royaume des cieux, aux yeux des chrétiens sanitaires ?  Il doit donc s’agir d’un salut à efficacité variable alors, sur le plan géographique.  

Que dire de l’Alberta ?

Au plan de la vaccination, l’Alberta se situe dans la moyenne canadienne avec une forte majorité de vaccinés : 82,3 % des plus de 12 ans, une dose, et 73,4 %, deux doses.   Malgré cet état de fait, cette province enregistre présentement sa pire série d’éclosions depuis 18 mois, au point où son premier ministre, Jason Kenney, a dû déclarer l’état d’urgence et s’excuser publiquement pour sa décision d’un déconfinement rapide.

Fort de l’expérience d’Israël, dont les citoyens sont interdits de séjour dans l’Union européenne, et de l’Angleterre, deux pays présentés comme des modèles de vaccination, il est tout de même pertinent de s’interroger sur l’efficacité d’un vaccin qui semble déjà dépassé en regard du variant Delta.

Les ayatollahs sanitaires à l’attaque…

« À l’attaque », n’est pas une expression exagérée quand on lit les commentaires haineux, méprisants, injurieux, voire diffamatoires des nouveaux curés sanitaires que sont devenus nos chroniqueurs de médias subventionnés.  Je citerai ici l’exemple récent de Denise Bombardier qui, ayant perdu, au fil des mois, tout sens des proportions et des réalités, vient de déclarer la guerre aux « antivax », car ils lui font peur :

« C’est bien pour cette raison, comme je l’écrivais hier, qu’il faut leur déclarer la guerre. »

Bombardier ne s’arrête pas en aussi bon chemin, amalgamant sans vergogne les contestataires les plus extrémistes à une majorité sceptique, pacifique et simplement prudente.  Vous doutez de l’efficacité du vaccin ?  Honte à vous !  Vous préférez, comme Guillaume Lemay-Thivierge, attendre d’avoir confirmation de l’efficacité (Ça se comprend.) et de la sécurité (Ça se comprend encore plus.) d’un médicament expérimental ?  Hérétique, vous qui rejetez la parole sacrée de la Science !  Lisez plutôt :

« Ces hordes de gens, qui se disent même pacifistes en affichant leur haine, en insultant les politiciens avec leurs pancartes affichant F... Legault, en portant fièrement des croix gammées et en désacralisant nos drapeaux, ces admirateurs de gourous autoproclamés croient mener une sorte de guerre sainte. Ils se considèrent victimes de notre « système de merde », car, dans leurs têtes fêlées, tout se tient, tout est entremêlé. Nos gouvernements seraient corrompus, les médias empocheraient des enveloppes brunes et les chercheurs scientifiques seraient des imposteurs et des menteurs. »  

Tous des « fêlés »…

Je serais mort de rire si ce portrait ne trahissait pas une pathologie alliant paranoïa, fanatisme et intolérance « religieuse ».

Passons sur la description générale de béotiens qui se pavaneraient en arborant des croix gammées, et traduisons en langage clair et serein ce que Mme Bombardier a affirmé :

Oui, il y a lieu de s’interroger sur la probité de notre gouvernement quand notre premier ministre se laisse diriger par la firme McKinsey, qui croule depuis des années sous les scandales de corruption.  Oui, il y a lieu de douter de l’intégrité des médias quand on réalise que François Legault leur a versé 133,5 M $, soit quatre fois plus que ce que dépense le reste du Canada à leurs médias.  Oui, il y a lieu de s’interroger sur l’indépendance des « experts » subventionnés par de puissantes fondations.

 Non, Madame Bombardier, se poser des questions n’a rien à voir avec la haine, le fanatisme, les insultes, et l’adulation de gourous autoproclamés se livrant à une guerre sainte. 

Votre attitude, oui.

samedi 18 septembre 2021

Vaccination obligatoire : des travailleuses de la Santé à toute la population…

François Legault et Christian Dubé
Il n’y a pas à sortir de là, selon les propos mêmes des deux comptables qui s’improvisent spécialistes en Santé depuis 18 mois.  Le vaccin est à ce point inefficace que même doublement vacciné – du moins, on le présume - , le premier ministre du Québec, François Legault, refuserait qu’une infirmière non vaccinée l’approche s’il était patient dans un hôpital :

« « Moi, si j’étais patient dans un hôpital, je n’accepterais pas qu’une infirmière non vaccinée soit proche de moi », a-t-il dit en mêlée de presse. »

Son commentaire s’avère aussi stupide et infantile qu’il en a l’air.  Comment imaginer que pareil individu puisse assumer la responsabilité de gérer le Québec quand il entretient artificiellement un état d’urgence sanitaire qui n’a plus lieu d’être depuis l’été 2020, alors que les Québécois auraient pu reprendre graduellement leur vie en main en développant une immunité collective naturelle, nettement plus efficace qu’un vaccin.  Et gratuite, en plus.

Je me demande si, en danger de mort imminente, Legault réitèrerait sa déclaration péremptoire s’il avait le choix entre une infirmière non vaccinée et… aucune infirmière.  Si son refus d’être soigné par une telle travailleuse était inscrit à son dossier médical, celle-ci ne devrait-elle pas s’en tenir à sa décision ?  Après tout, ne doit-on pas respecter les dernières volontés d’un mourant ?  Oblige-t-on un Témoin de Jéhovah majeur et… vacciné à recevoir une transfusion sanguine ?

Tant de gens le regretteraient…

Imaginez la peine que ce grand Québécois pourrait susciter chez ceux auprès de qui il n’a cessé de se commettre : Pfizer, toujours favori au Québec, Moderna, dont le président, ainsi que huit autres fabricants, sont devenus milliardaires, Astra Zeneca, même lorsque 15 pays y avaient renoncé, Amazon, qui ouvrira prochainement cinq succursales au Québec, Walmart, dont les ventes en ligne ont doublé, malgré une récente régression, Canadian Tire, qui affichait des résultats « exceptionnels » auxquels le Québec a contribué, Costco et Ikéa, dont le rendement, sur la scène mondiale, pour la première moitié de 2021, a été remarquable.  Gageons que le Québec n’a pas fait exception, alors que notre vaillant premier ministre a multiplié confinements en plus d’un couvre-feu toxique et destructeur pour nos PME, le cœur et les poumons de notre économie.  

Dire qu’il se trouverait encore une majorité de confinés mentaux pour affirmer que cet être déjanté fait un excellent travail tandis qu’il s’est déjà attribué une note parfaite.  Ici, son négationnisme frôle la démence.

La démonisation des « antivax ».

La démonisation des non vaccinés, qu’on rendra bientôt responsables des changements climatiques et de la montée de la violence au Moyen-Orient, se poursuit dans nos médias, qui en arrivent à se contredire dans leurs mensonges, comme l’illustre cet article de La Presse :

« Le taux de décès des personnes pleinement vaccinées est quatre fois moins élevé que celui des personnes n’ayant pas eu leurs deux doses. Du 14 août au 13 septembre, 27 personnes sont mortes de la COVID-19 au Québec. Du nombre, 14 étaient pleinement vaccinées et 13 n’étaient pas adéquatement vaccinées, selon les données du MSSS transmises à La Presse. »

 

Faut-il vraiment commenter ?  Cet article, tout en nous affirmant que le taux de décès des pleinement vaccinés est quatre fois moindre que celui des non-vaccinés nous prouve le contraire : sur 27 décès attribuables à la covid, plus de la moitié, soit 14 décès, étaient le fait de personnes doublement vaccinées

 

Des chiffres qui évoquent Israël…

Ces chiffres ne sont pas sans évoquer ceux enregistrés en Israël, qui affiche la pire performance mondiale chez le pays pourtant le plus vacciné de la planète :

« Avec plus de 1000 contaminations pour 100.000 habitants, Israël est le pays au monde ayant recensé le plus de nouveaux cas de Covid-19 cette semaine par rapport à sa population. »

Mais qu’on se rassure.  On peut lire dans le même article :

« Les scientifiques continuent de souligner que le vaccin Pfizer/BioNTech, seule injection utilisée dans la campagne de vaccination israélienne, reste efficace pour prévenir les formes graves de la maladie et les décès. Ainsi, sur 100.000 personnes, le nombre de cas positifs chez les non-vaccinés est bien plus élevé que chez les vaccinés, et ce, peu importe les groupes d’âge. »

« Bien plus élevé », vraiment ?  Pourtant, un autre article contredisait cet énoncé :

« « Malgré une couverture vaccinale importante en Israël, 40% des nouvelles contaminations sont des personnes vaccinées selon Gabi Barbash, l'ancien directeur général du ministère de la Santé, qui craint la flambée du variant Delta. »

Les médias ne nous rouleraient pas dans la farine, des fois ?

Comme chaque année…

Comme chaque année, l’automne ouvre ses portes à une augmentation d’infections virales, covid ou pas.  Aussi faut-il s’étonner que ce phénomène se reproduise avec la rentrée ?  Des études affirment que le nombre de virus en circulation dans l’atmosphère passe de deux millions, l’été, à 40 millions, à l’automne. 

Comme nous vivons à une époque où la panique virale est soigneusement entretenue par les médias subventionnés auprès d’un public particulièrement influençable, il ne faut pas s’étonner que les confinés mentaux voient en chaque personne non vaccinée un coupable tout désigné, responsable de tout ce qui les empêche de retrouver « une vie normale »… que leur refuseront encore et toujours le gouvernement Legault, même si toute la population du Québec était vaccinée deux doses… en attendant les suivantes.

Les travailleuses de la Santé non vaccinées, première cible de Legault…

Malgré toute l’hypocrisie de ce gouvernement, dont il est clair qu’il poursuit l’objectif de faire de la vaccination obligatoire une nouvelle norme sociale au nom de l’intérêt public, une minorité grandissante de citoyens n’est pas dupe de sa manipulation.  La première cible, ou première étape, de la CAQ, est de forcer par le chantage ces employées essentielles à céder leur droit à décider pour elles-mêmes de ce qui entre dans leurs corps. 

À noter qu’en droit criminel, la contrainte par le chantage peut être invoquée comme une cause de viol.

Au moment d’écrire ces lignes, 89 % des employées de la Santé sont vaccinées deux doses.  Mais ce n’est pas encore assez, aux yeux des cabochons qui nous gouvernent.  Au point où ces fanatiques du vaccin sont prêts à suspendre sans solde 20 000 travailleuses de la Santé, hypothéquant ainsi sévèrement les soins à la population en plus de priver des employées compétentes de leur droit de gagner leur vie.

Les Laurel et Hardy de la gestion sanitaire

Mais il ne faudrait surtout pas blâmer Legault et Dubé, les Laurel et Hardy de la gestion sanitaire (avec Arruda, les trois Stooges) du désastre à venir : si le système craque de tout coté et que les hôpitaux ne peuvent répondre à la demande, ce sera la faute des non vaccinés qui engorgeront présumément les urgences et des infirmières non vaccinées qui auront préféré s’entêter dans leur décision au lieu de servir la population.

Legault et Dubé trouveront encore le moyen de s’attribuer une note parfaite, tout en continuant à suivre docilement les directives mortifères de la firme conseil McKinsey, au lourd historique de fraudes et autres malversations, en collaboration avec la cheffe du parti libéral du Québec, Dominique Anglade, elle-même ancienne employée de ladite firme, qui réclame à corps et à cris l’extension de la vaccination obligatoire à tous les employés de la fonction publique et à toute personne fréquentant une institution collégiale ou universitaire.

Le plan de match de la firme qui dirige Legault et fort probablement Anglade est limpide : rendre la vaccination obligatoire à toute la population, sans exception, et ce, autant de fois que « nécessaire ».  C’est dans ce but que « travaille » Dominique Anglade, quand elle affirme qu’il faut que tous les fonctionnaires soient vaccinés.  Legault a parti le bal avec les travailleuses de la Santé, Anglade déroule le tapis afin que toute la fonction publique soit vaccinée. 

En attendant d’étendre l’obligation vaccinale à toute la population, dans le cadre d’un calendrier de vaccination annuel.  Il faut vraiment souffrir d’aveuglement volontaire pour ne pas comprendre les enjeux de la première étape…

samedi 11 septembre 2021

Après nos PME, nos aînés, nos jeunes, nos familles, Legault s’en prend à nos travailleuses de la Santé

François Legault
Ce n’était pas assez de torpiller nos PME au profit des grandes entreprises; d’abandonner nos aînés, certains morts déshydratés, isolés de leurs proches, avec trois culottes remplies d’excréments; de compromettre le développement physique et mental de nos jeunes avec un masque inutile en attendant de les « inciter » à se voir injecter un vaccin expérimental potentiellement dangereux; d’entretenir la division, voire les conflits, au sein des familles et parmi les amis, en encourageant jusqu’à la délation.

Encore fallait-il que notre premier ministre, François Legault, s’attaque cette fois aux travailleuses de la Santé en les forçant à se faire vacciner sous peine de suspension sans solde, au risque de détruire davantage un système de santé déjà hypothéqué et qui le sera davantage après le départ de nombre d’entre elles.

Je me demande comment ce triste sire arrive encore à se regarder dans une glace.  Il faut être étranger à toute valeur d’altruisme, de respect, d’empathie, de compassion, de bon sens et d’efficacité pour se comporter comme il le fait.

Comment croire à son intégrité ?

Comment croire à l’intégrité d’un pareil personnage, quand il décide de suivre les directives de la plus puissante et la plus corrompue firme conseil de la planète, la firme McKinsey, payée par nos taxes, dont le lourd passé reste jalonné de crimes et de fraudes en tout genre.

McKinsey s’est d’ailleurs récemment illustrée de terrible façon auprès d’une grande entreprise pharmaceutique qui a eu le tort de mettre sur le marché, sous ses recommandations, une formule beaucoup trop forte d’opioïdes qui a occasionné la mort de 500 000 Américains :

« En décembre 2020, l'entreprise (McKinsey) est impliquée dans le scandale des opioïdes avec Purdue Pharma, qui commercialise l'OxyContin aux USA39, et Johnson & Johnson. La société de conseil est notamment accusée d'avoir fait des recommandations marketing à ces fabricants d'opioïdes afin d'accroitre leurs ventes. D'après les documents judiciaires produits par les plaignants, le cabinet de conseil a recommandé au groupe pharmaceutique de se concentrer sur les dosages élevés considérés comme les plus lucratifs. On estime que la consommation de telles substances sur ordonnance a quadruplé entre 1999 et 2018, période visée par ces procédures, et pendant laquelle près de 500 000 Américains sont morts des suites d'un usage abusif d'opioïdes. En février 2021, la presse révèle que McKinsey accepte de verser 573 millions de dollars pour clore les procédures engagées par 49 États américains. L'entreprise n'a ni reconnu ni rejeté les faits qui lui étaient reprochés40,41. »

C’est à cette firme que Legault fait confiance !

Imaginez, c’est à cette firme que Legault fait confiance pour gérer la situation sanitaire actuelle au Québec !  Si, comme l’avenir pourrait le révéler, les risques de vacciner surpassent les bénéfices, pensez-vous que des gestionnaires sans scrupules feront intervenir le sacro-saint principe de précaution ? 

N’avez-vous pas encore envisagé que ce sont fort probablement ces gestionnaires sans scrupules qui recommandent la passe sanitaire et une vaccination rendue de plus en plus obligatoire par le chantage et la coercition ?  Un indice : le président français Emmanuel Macron, également « géré » par la même firme conseil, précède pas à pas toutes les mesures suivies docilement par Legault.

Un cabinet dont les conseils ont entraîné de la mort de 500 000 Américains…  Pensez-vous que les risques encourus par les Québécois de se faire vacciner les empêcheront de dormir ?

La majorité des « cas », non vaccinés, vraiment ?

C’est fou comme les données sur la vaccination se contredisent.  Alors que le ministre de la Santé, Christian Dubé, aussi crédible qu’un vendeur d’autos usagées sans moteur, affirme que la majorité des malades qui engorgent le système sont non vaccinés, Israël, le pays le plus souvent cité en exemple pour son haut taux de vaccination, avec 60 % de la population totale, affiche pourtant une performance désastreuse :

« Avec plus de 1000 contaminations pour 100.000 habitants, Israël est le pays au monde ayant recensé le plus de nouveaux cas de Covid-19 cette semaine par rapport à sa population. 

(…) C’était aussi le troisième jour de suite où plus de 10.000 nouveaux cas ont été comptabilisés, ce qui fait dire à l’épidémiologiste français Antoine Flahault qu'"Israël connaît sa pire vague depuis le début de la pandémie". »

C’est à la suite d’un accord avec Pfizer que le gouvernement israélien a reçu des millions de doses qui auraient fait chuter le nombre de cas, jusqu’à l’apparition du variant Delta qui a, semble-t-il, changé la donne.  S’ensuit la success story suivante :

« Face à la hausse du nombre de cas en Israël, l'Union européenne a décidé lundi de réimposer des restrictions aux voyages non essentiels depuis ce pays. »

Toute une performance, non ?

Quelles vertus notre vaccin possède-t-il que celui d’Israël n’a pas ?

Pfizer reste le vaccin le plus populaire au Québec.  Il s’agit de la même marque que celle utilisée en Israël.  Alors que l’efficacité d’un tel vaccin est loin d’être prouvée, pour dire le moins, au sein de l’État hébreu, notre comptable ministre de la Santé a jugé opportun d’imposer une passe sanitaire afin de contraindre, par le chantage et la coercition, les Québécois à se faire vacciner.

En ce qui me concerne, comme plusieurs citoyens pantouflards, je me fiche éperdument des interdits du petit caporal Dubé, qui, finalement, m’empêche d’aller là où je ne vais pas de toute façon.  Il y a bien les restos, mais on peut toujours se faire livrer, alors…

Les premières victimes de l’obligation vaccinale

Pendant sept ans, j’ai travaillé dans plusieurs milieux hospitaliers mauriciens et, plus occasionnellement, en CHSLD et en résidences privées, en tant qu’agent de service privé, un type d’agent de sécurité en civil chargé de veiller à la sécurité des patients psychiatrisés et du personnel qui s’en occupe.

J’ai vu, bien avant la « crise sanitaire », des infirmières et des préposées travailler inlassablement, malgré des conditions de travail aberrantes, malgré un mépris constant du personnel cadre chargé de les gérer, malgré les remontrances et les injures de certains patients et visiteurs, malgré des locaux souvent mal adaptés et le manque d’équipement, malgré une pénurie d’effectifs qui forçait le temps supplémentaire obligatoire et malgré un nombre effarant d’employées sur appel et sans vie personnelle ou familiale.

Ces « travailleurs de la Santé », dont on n’ose dire qu’elles sont à 90 % des travailleuses, tiennent à bout de bras depuis toujours un système de santé déficient et terriblement mal géré par tous les ministres de la Santé qui se sont succédé à la tête du gouvernement, incluant, bien sûr, François Legault.

Plus facile d’insulter des « travailleurs » que des « travailleuses »

C’est plus facile pour certains chroniqueurs particulièrement déconnectés de parler de travailleurs de la Santé plutôt que de travailleuses.  Ils peuvent alors allégrement distiller le doute sur leur dévouement et leur compétence quand ils ne joignent pas l’injure à l’insulte comme Richard Martineau, qui a poussé la dégueulasserie jusqu’à les traiter d’ « imbéciles », en affirmant qu’il sortirait à « coups de pied dans le cul » celles qui refusaient de jouer à la roulette russe avec un vaccin expérimental.  Tout un respect envers les femmes.   Il devait ajouter :

« « C’est comme si tu es végétarien et que tu travailles dans un abattoir, une boucherie! C’est pas ta place. Je ne comprends pas qu’ils ne croient pas au système de santé, aux vaccins et aux médicaments », déplore Richard Martineau. »

Au fait, pourquoi un végétarien ne travaillerait pas dans une boucherie ?  Il y va pour travailler, pas pour manger.  Visiblement, Martineau ne comprend rien, tout comme son acolyte, Mario Dumont, guère plus brillant, qui ajoutait, de son côté :

« « Moi, si ma mère était dans votre centre, vous m'auriez sur le dos “big time”, et vos employés se feraient rincer solide de se promener sur les étages pas vaccinés », a réagi avec vigueur l’animateur Mario Dumont. »

Je doute que le personnel du CHSLD aurait été très impressionné de voir Dumont, avec ses allures d’assistant comptable, débarquer à leur poste de garde pour les enguirlander. Ces travailleuses sont habituées de voir des malotrus de tout acabit.  Un coup de fil au poste d’agents de sécurité et la petite frappe sortirait « big time » également.

Où sont passés le Conseil du statut de la femme et la Fédération des femmes du Québec ?

On en arriverait à se demander si les militantes féministes n’ont pas plié bagage tant elles restent silencieuses devant la coercition gouvernementale et les pressions médiatiques allant jusqu’à l’insulte dont sont victimes infirmières et préposées.  Auraient-elles peur de voir leurs subventions diminuées ou supprimées ?  Après tout, il ne se passe pas une année sans que le financement de ces éléphants blancs, devenus inutiles avec l’atteinte de l’égalité de droits, sinon de faits, entre les hommes et les femmes, ne soit remis en cause.

Mais qu’il soit question d’écriture inclusive, de « viol par le regard », de lutte à « l’hétéronormativité », de pubs de bière sexistes, de violence par la galanterie, d’oppression climatique patriarcale ou de toute autre lubie idéologique, on peut toujoiurs compter sur elles pour déchirer leur chemise sur la place publique.

La répression de la CAQ se poursuit

La passe sanitaire et la coercition exercée sur les travailleuses de la Santé par la CAQ représentent un nouvel épisode consternant de la trop longue saga de manipulations, de répressions, de promesses non tenues et de mensonges qui sont devenus la marque de commerce de ce parti dictatorial.  De leur côté, les Québécois n’ont importé de la Suède qu’une seule trouvaille : le syndrome de Stockholm, comme l’indique cet article :

« « L’appui à la CAQ, qui est énorme, n’a pas vraiment bougé dernièrement. Les partis qui vont mal, ce sont ceux qui, traditionnellement, sont dans l’axe fédéraliste-souverainiste », soit le Parti libéral et le Parti québécois, résume le président de Synopsis, Youri Rivest. »

En revanche, le parti conservateur du Québec et son chef, Éric Duhaime, réalisent des gains intéressants.  Tout n’est peut-être pas perdu.  La crédulité des confinés mentaux, toujours convaincus qu’ils verront, après deux doses vaccinales, le « retour à la vie normale » risque de céder le pas à la désillusion.  Legault et ses acolytes auront beau détourner leur hostilité sur les « antivax », ils ne pourront éternellement maintenir leur contrôle sur leurs brebis. 

Espérons-le, parce que la répression sanitaire de ce gouvernement étouffant ne s’arrêtera ni à deux doses de vaccin, ni à l’obligation vaccinale imposée qu’aux travailleuses de la Santé.  Le pire pourrait bien devenir notre destin si nous restons « dociles ».

samedi 4 septembre 2021

Contestataires de « l’urgence sanitaire » ? Trudeau vous « hébergera » dans ses centres de confinement…

Justin Trudeau
Bien sûr, ce sera pour votre bien.  Pour vous guérir de votre irresponsabilité, de votre égoïsme, de votre narcissisme. Pour vous faire voir la lumière de la vérité, et vous faire marcher – de plus d’une façon – vers le nirvana sanitaire de demain qui vous offrira vos trois doses vaccinales annuelles minimum, vos comprimés Pfizer anti-coronavirus, et, bien sûr, votre QR code, votre ami quotidien sans lequel vous ne pourrez plus vous déplacer.  

Vous connaîtrez un paradis terrestre qui aura de quoi réjouir les confinés mentaux les plus amortis, terrifiés par leur ombre non vaccinée.

Randy Hillier, lanceur d’alerte

C’est Randy Hillier, député ontarien indépendant, qui devait aborder le sujet épineux des centres de confinement prévus par le gouvernement Trudeau pour des « raisons sanitaires » à l’Assemble législative de l’Ontario :

« Ma question s’adresse au premier ministre.  Dans ma question supplémentaire d’hier, j’ai demandé si le peuple ontarien devait se préparer à des camps d’internement. En septembre, le gouvernement fédéral a lancé un appel d’offres adressé à des contractants en vue de fournir et d’administrer des camps de quarantaine et d’isolement à travers chaque province et chaque territoire du Canada. 

« Ces camps de quarantaine et d’isolement ne se limitent pas qu’aux gens atteints de covid, mais offrent une grande latitude afin de détenir d’autres personnes. Je suis sûr que ce gouvernement est au courant de ce projet de construire ces camps d’isolement d’un océan à l’autre.

« Ma question au premier ministre est : combien de ces camps seront-t-ils construits et combien de personnes ce gouvernement compte-t-il y détenir ?

De quoi laisser perplexe

Avouez que ces questions ont de quoi laisser perplexe.  Il ne s’agit pas ici de délire paranoïaque entretenu par des « complotistes » de sous-sol en mal de sensations fortes.  Ces interrogations, pour ne pas dire, ces inquiétudes, étaient formulées et adressées au premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, par un membre élu du parlement ontarien.  Le leader parlementaire du gouvernement, Paul Calandra, devait répondre en ces termes :

« Il est très vrai que lorsque des gens quittent le pays et reviennent, le gouvernement suggère, en accord avec le gouvernement fédéral, que les gens s’isolent.  Il s’agit d’une pratique qui a porté ses fruits non seulement ici en Ontario mais aussi à travers le Canada et nous allons bien sûr redoubler d’efforts afin de nous assurer que la population de l’Ontario reste protégée, Monsieur le président. »

Hillier, peu impressionné…

Peu impressionné par cette réponse, Hillier devait revenir à la charge :

« Encore, toujours au premier ministre.  Voici la demande de proposition, et dans cette demande de proposition, est utilisé un langage clair pour exprimer que ces camps peuvent être utilisés pour un vaste éventail de gens, autres que voyageurs.  En fait, il n’y est même pas question de voyageurs internationaux.  Il s’agit simplement d’une grande variété de gens. Et je ferai parvenir (aux membres présents) une copie de la demande de proposition après (mon allocution). 

« Donc votre gouvernement doit être présentement en négociations (avec le fédéral) et au courant de ces desseins de détenir potentiellement et d’isoler des citoyens et résidents de notre pays, et de notre province.   Donc, Monsieur le président, au premier ministre : quand ces camps seront-t-ils construits, combien de personnes y seront-elles détenues, et pour quelles raisons ces gens seront détenues dans ces camps ? Et j’aimerais que le premier ministre rassure la population de l’Ontario… »

Silence imposé

À ce moment, le président de l’Assemblée législative a subitement mis fin à l’allocution de Randy Hillier…  À votre avis, si Doug Ford, premier ministre de l’Ontario, est au courant des ce projet de camps d’isolation, ne pensez-vous pas que notre premier ministre, François Legault, l’est tout autant ? 

Croyez-vous que le dirigeant à l’origine des mesures les plus liberticides et les plus destructrices de l’histoire du Québec serait très ému et défendrait son peuple contre les camps d’isolement de Justin Trudeau ? Si vous répondez oui, songez à consulter…

Rien n’est trop cher pour votre sécurité…

Au cas où vous douteriez de la « bonne » volonté du gouvernement fédéral en vue de construire ces sites sûrs d’isolement « volontaires », considérez cette annonce, émise le 13 août dernier, par ledit gouvernement :

« Le gouvernement du Canada collabore avec des partenaires pour protéger la santé et la sécurité des Canadiens et des Canadiennes et pour limiter la propagation de la COVID-19 et de ses variants au Canada. L’isolement est l’un des moyens les plus efficaces de prévenir la propagation de la COVID‑19. Cela dit, il peut être dangereux ou impossible pour certaines personnes au Canada de s’isoler en raison du surpeuplement des logements ou du prix élevé, ce qui augmente le risque pour celles-ci, leur famille et leur collectivité indépendamment de leur volonté. »

L’enfer est pavé de bonnes intentions… mais peut-on encore parler de bonnes intentions ?  Le communiqué évoque cette fois les problèmes de logements pour justifier son projet.  Les voyageurs ne sont même pas mentionnés.  Toutefois, Randy Hillier s’appuyait sur un document fédéral qui visait « un vaste éventail » de gens...  Que doit-on conclure ?

Une initiative douteuse encore aux frais du contribuable 

Bien sûr, ce projet ne sera pas réalisé bénévolement.  C’est encore le contribuable qui devra payer pour cette lubie, au mieux inutile, au pire, potentiellement dangereuse pour nos droits :

« Le gouvernement fédéral versera au total environ 100 millions de dollars à des municipalités et à des régions sanitaires en vue de l'établissement de sites sûrs d'isolement volontaire partout au pays. Ce financement fait partie des mesures d'intervention rapide prises par le Canada pour freiner la propagation de la COVID-19. »

« Le Programme de sites sûrs d'isolement volontaire a accordé jusqu'à présent 100,6 millions de dollars pour établir des sites en Ontario, en Saskatchewan, en Colombie-Britannique et en Nouvelle-Écosse. »

Les propos sans équivoques de Theresa Tam

Si vous croyez toujours que seuls les voyageurs ou les mal-logés sont visés par ces établissements, les propos que Theresa Tam, administratrice en chef de la santé publique du Canada, tenait en 2010 pourrait troubler votre quiétude.  La haute fonctionnaire évoquait, cette année-là, dans un documentaire de l’Office national du film, les mesures qu’elle entendrait prendre en cas de pandémie.  Considérez-vous prévenus.  On retrouve ces dispositions énoncées dans cet article :

« L’administratrice en chef de la santé publique du Canada, Theresa Tam, évoquait le traçage des gens à l’aide de « bracelets » et le recours à la police en vue « d’assurer » leur coopération. »

On ne rappellera jamais assez que Mme Tam est toujours en poste à l’heure actuelle.  Elle ajoutait, toujours en 2010 :

« Si des gens refusent de coopérer, il existe définitivement des lois et des pouvoirs publics sanitaires en vue de les placer en quarantaine par des paramètres obligatoires. »

Pensez-vous que ces pouvoirs et ces lois se soient assouplis depuis ce temps ?  Commencez-vous à comprendre ?  Un narrateur ajoute :

« Des contrôles policiers sont installés sur tous les ponts et quiconque quitte la ville doit montrer une preuve de vaccination.  Ceux qui refusent de coopérer sont placés dans des centres de détention temporaires. »

Faut-il vous faire un dessin ?

Me semble que le portrait ne peut pas être plus clair.  Bien sûr, Justin Trudeau, politicien fourbe et hypocrite, ne viendra pas vous aviser tout de suite que son administratrice en chef entend passer de la théorie de 2010 à la pratique de 2021, mais vous pouvez parier que les plans de la haute fonctionnaire sont dans les cartons de celui qui affirmait qu’il n’écartait pas le recours à la loi des mesures d’urgence, soutenu par ailleurs par le NPD…

Préparez-vous à vivre la folle aventure d’un perpétuel État sanitaire…

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