samedi 8 janvier 2011

Violence conjugale : policières à déontologie variable…

Serge Ferrand
Il est de ces faits divers, vite oubliés, qui laissent cependant un impact dans nos mémoires qu’un incident peut instantanément raviver.  C’est en 2005, que le documentariste Serge Ferrand et ses invités voyaient son domicile pris d’assaut par un groupe de féministes radicales, flanquées de malabars masqués.  Cette meute forcenée entendait ainsi faire valoir sa farouche désapprobation envers le documentaire-choc intitulé La machine à broyer des hommes, qui avait le double mérite de dénoncer le harcèlement judiciaire envers les pères québécois, érigé en système, et le mensonge de la prétendue statistique voulant que 300 000 femmes étaient battues, chroniquement, s’il vous plaît, chaque année au Québec.  En l’on prétend que les hommes ne font pas d’exercice…

Rien ne fut épargné à Ferrand : insultes proférées à porte-voix, bombes puantes, accès bloqué à son domicile, bousculades, agressions physiques, troubles de l’ordre public et j’en passe.  Tout ça, pour empêcher une diffusion privée de son documentaire, objet de scandale.  Cinq policières et un seul confrère masculin arrivèrent enfin.  « Plutôt que d’arrêter les manifestantes en infraction et leur poser des questions sur le motif de leur présence en cagoule dans l’entrée d’une maison privée, explique dans son blog François Brooks, témoin de l’incident, c’est nous qui devions nous expliquer pendant que les manifestantes s’en allaient incognito.  Elles les ont laissées partir comme si de rien n’était. »  Si ces policières-là sont compétentes, Lise Payette est danseuse de flamenco. 

Un grand moment de militance... (double-cliquez pour agrandir)

Une politique tacite de non-intervention

Cet incident m’est revenu en mémoire à la réception d’un courriel de l’Action des nouvelles conjointes et nouveaux conjoints du Québec (ANCQ), portant à mon attention un cas présentant d’étranges similarités.  Alors que, chaque année, de 13 000 à 14 000 hommes se voient incarcérés sur simple dénonciation de leur conjointe, et que 70 % d’entre eux le sont apparemment sans motif valable, puisque relâchés dès le lendemain, la même rigueur ne semble pas aller de soi quand une femme agresse son conjoint… pour vrai.

C’est du moins l’opinion de Gérard (nom fictif) qui, après un premier incident de violence subi en novembre dernier par sa conjointe, avait obtenu de la police municipale de Québec la présence d’agents quand Johanne (nom fictif) reviendrait récupérer ses affaires dans ce qui avait été le domicile du couple, maintenant séparé.  Aucune arrestation n’était cependant survenue.  Vous avez bien lu.  Pourquoi s’en faire ?  Ici même, en Mauricie, une femme a été remise en liberté, en attente de son procès, après avoir poignardé un homme à mort.  Croyez-vous le scénario inverse possible ?  Moi non plus.

L’affaire devint assez sérieuse pour que Gérard, épaulé par Jean-Marc Bessette, du groupe de défense des pères appelé Papa pour toujours, dépose une plainte en bonne et due forme au Système déontologique policier du Québec, pour incompétence policière, après un deuxième incident de violence dont il a été victime. 

Des agentes très spéciales...

C’est début décembre, à un jour et à une heure convenus, que l’ex-conjointe devait se présenter à la maison de Gérard.  Loin de respecter cette condition, Johanne arrive avant le temps.  Gérard compose le 911 à deux reprises, afin de hâter la venue des agents, tandis que son ex trépigne, menace et lance des objets.  Peine perdue.  Lorsque les déménageurs se présentent, Johanne, précise-t-il dans sa plainte, l’attaque par derrière, après avoir pris des objets ne lui appartenant pas.  Tout ça se passe devant témoins.

Tout arrive, dans la vie, même deux policières.  Alors que l’un des déménageurs se dit prêt à témoigner et que les bris matériels sauteraient aux yeux d'une taupe, l’une des policières, pense Gérard, se montre plus désireuse de s’assurer que lui, ne cèdera pas à un accès de violence, que de le protéger et de constater l’inconduite de Madame.  Il y a des scénarii, comme ça, auxquels on reste attaché…

La même policière semble tout faire, croit-il, pour que le déménageur ne « se mêle pas de ça » et ce n’est que sur l’insistance de Gérard, ainsi conseillé par son avocat, qu’elle finit par inscrire son nom au rapport.  L’agente semble très pressée d’en finir avec cette « visite ».  Finalement, l'ex-conjointe est autorisée à quitter les lieux !

Bilan de ces deux épisodes de violence alléguée : aucune arrestation et, semble-t-il, une tentative de dissimulation de preuve.  Pour tout arranger, l'enquêteuse chargée du dossier donne l'impression de remettre au calendes grecques toute intervention.  Rien d'une Madame Columbo.

Pourquoi ne suis-je pas surpris ?

Vous me direz : « pourquoi croire cet homme ?  Au fond, vous n’avez qu’un point de vue : le sien. »  Très juste.  Même si la police de Québec était irréprochable dans ce dossier, ce dont je doute fortement, croyez-vous que l’un – ou l’une – de ses représentants prendrait le temps de me donner des explications ?

Si vous vous intéressez à la situation des hommes en regard de la justice et des corps policiers dans les litiges conjugaux, vous avez certainement constaté des dérives comparables.  Il y en a de bien pires.  Le cas de Gérard a ceci de particulier qu’il n’a précisément rien… de particulier.  C’est un incident parmi plusieurs autres qui démontre un parti pris flagrant envers les femmes et ex-conjointes, une situation à laquelle nous nous sommes mollement résignés, en espérant que la foudre de ces incompétents des deux sexes ne nous frappent pas, nous ou ceux que nous aimons.

Et voilà pourquoi je trouve capital de dénoncer ces abus.  Parce que nous sommes en train de nous y habituer, de les trouver normaux, de céder à une quelconque fatalité.  Devant un tel abattement, je dis : hors de question !  Je ne veux pas vivre dans une société qui tolèrerait pour mon fils ou pour mes amis masculins les dérives que subissent des hommes comme Gérard, ou pire encore.

Certains de mes copains trouvent mes derniers textes peu rassurants.  Tant mieux, d’une certaine façon.  L’inquiétude, c’est souvent le début d’une prise de conscience.  Ce n’est que par la dénonciation soutenue d’incuries policières et judiciaires qu’il sera possible d’en réduire le nombre.  Je suis sûr qu’il existe parmi les juristes et les policiers des gens compétents et intègres qui seraient heureux de voir leurs collègues s’acquitter enfin de leur travail correctement.  L’estime du public envers leur profession ne pourrait que s’en mieux porter…

20 commentaires:

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Merci, Will, de votre commentaire et des sources d'information que vous nous apportez. Les médias ont gagné la guerre du Vietnam, et je crois qu'Internet gagnera celle de la lutte contre les abus familialistes. C'est pourquoi il importe tant de faire circuler une information qui, dans une ou des sociétés vraiment démocratiques, aurait dû depuis longtemps être véhiculée par les médias. Le Web et les réseaux sociaux ont ceci de particulier qu'ils se dérobent à cette censure de dame patronnesse. Il y a encore du chemin à faire, mais les mentalités évoluent. Le droit familial ne s'amendera qu'un genou à travers la gorge, malheureusement, celui de l'opinion publique. Merci encore de votre participation.

Anonyme a dit…

Aussi certain que le réchauffement planétaire va atteindre un sommet ABSOLUMENT apocalyptique, les relations hommes-femmes vont s'envenimer. Ce n'est qu'une question de temps avant que les femmes prennent entièrement le pouvoir absolu et total. En réalité, nous serions mieux, nous hommes, d'abdiquer immédiatement. Ce n'est qu'alors que le monde entier, pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, aura la preuve entière et ultime que les femmes ne sont pas meilleures que les hommes, comme elles se plaisent d'ailleurs si souvent à le dire. Ce n'est seulement qu'à se moment que les vraies négociations pourront peut-être débuter. Ou dans le cas contraire, une reprise du pouvoir, mais de manière très brutale. Tellement brutale, et nécessaire, malheureusement, que la Deuxième Guerre mondiale ressemblera peut-être à une cour d'école.
Psychologue, mais pas endormi. J'examine ce problème depuis une trentaine d'années. Donc, pas depuis hier.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Ouf ! Quelle perspective, dites donc. Je partage en bonne partie votre pessimisme, en espérant qu'une troisième option se présente... À mon avis, les femmes ne sont pas les êtres de pouvoir, au sens politique de ce mot, que l'on semble croire. Au Québec, il a fallu créer de toute pièce une parité ministérielle à partir d'une minorité de députées à la compétence plus que relative. Une dame avait apostrophé Téléfilm Canada pour n'avoir soi-disant accepté qu'un projet de film sur six présenté par une femme. Le président de cet organisme lui a répondu qu'à peine une demande sur six avait été présentée par une femme. Aurait-il fallu créer une parité artificielle là aussi ?

En sciences pures et appliquées, en mathématiques, en ingénierie et en informatique, notamment, les femmes tirent toujours largement de l'arrière sur les hommes. On insiste lourdement sur une prétendue réussite académique au féminin, parce que les femmes réussissent mieux en médecine et en recherche biologique. Je ne crois toujours pas qu'elles supplanteront les hommes, de façon générale, dans les années à venir.

Leur seul pouvoir en est un de lobbying féministe et de manipulation sur les sentiments par un discours victimaire, qui passe de moins en moins. Regardez la dernière marche des femmes : la FFQ a failli se voir éviscérée sur la place publique.

Je crois que les féministes radicales reculent, mais qu'il y a encore beaucoup de chemin à faire pour séparer le féminisme de l'État. Alors là, verrons-nous, du moins je l'espère, un peu plus de justice sociale. Merci de votre commentaire.

Anonyme a dit…

Des féministes se manifestent pour dénoncer les féministes extrémistes par vengeance du mal intérieur de leurs âmes...
Il est plus que temps qu'elles se manifestent ! Honneurs à elles !

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

C'est bien vrai, ce que vous dites : il est temps qu'elles se manifestent, ce féministes lucides, et certaines le font. Il y aurait certainement une étude exhaustive à faire pour cerner la psychologie dévastatrice de la féministe radicale.

Élisabeth Badinter reste l'exemple le plus éloquent d'une voix salvatrice à s'être élevée afin de dénoncer les dérives du féminisme dominant. Elle a beau parler surtout de la situation française, en la mettant à l'occasion en parallèle avec l'influence des féministes extrémistes américaines, ses constats généraux valent tout autant pour le Québec.

Je tire mon chapeau à cette femme pour son courage. Merci de votre participation.

Anonyme a dit…

Il n'y à là rien de bien suprenant si l'on considère que nos policières sont instruites et formées dans un sexisme complet. Les mecs sont tenus à des standards élevés de performances, elles non. Les hommes doivent apprendre à se battre contre tout attaquant, elles seulement contre des filles de leur gabarit. Les mecs doivent courir le mile en moins de 3 minutes 40 tandis qu'elles ont un passe-droit et ne doivent le faire qu'en 4 minutes 20. Les aspirants policiers doivent produire 17 "chin-ups" en moins d'une minutes tandis qu'elles ne doivent que se tenir à la barre, aucun autre efforts requis.
pour ce qui est de la partie théorique- là ou les filles excellent nous dit-on- aucun ajustement d'aisance pour les garcons.
Il ne faut donc pas s'étonner que nos policières soient sexistes et biaisées. Leur propre formation- et la réalité qu'on octroie un salaire égale à une policière aux compétences nettement inégales- leurs indiquent clairement qui a la dragée haute et qui ne mérite que les miettes au Québec.
On ne leur a pas inculqué la moindre notion de justice entre les sexes à Nicolet. Pourquoi diable nous attendons-nous à ce que ces dames l'applique ensuite...?

Anonyme a dit…

Je suis dans le regret de vous dire que vous faites fausse route. Le Québec, par exemple, toute proportion gardée, détient le record de toute l'histoire de l'humanité en ce qui concerne le taux de célibataire, Lanaudière en particulier. Le féministe y est très fort et les femmes ne s'intéressent qu'au millionnaire, pour les dépouiller il en va de soit. Sur Réseau-Contact, par exemple, il y a plus de 350 000 femmes du Québec célibataire. Ceci représente environ 3.3 femmes sur 5,de ceux qui sont adultes, donc entre 18 et 65 ans disont, dans le statut de célibataire. Ceci s'explique par le manque de millionnaire, de Tom Cruise, Brad Pit, Robert Redford, Tom Selleck, etc....
Les femmes sont non seulement autonomes financièrement, mais indépendantes. Elles n'ont absolument pas besoin d'un homme, sauf pour les commodités qu'il peut apporter. Les partys de lesbiennes avec des vibrateurs 100 fois plus performants que n'importe quel pénis, laisse les hommes loin derrière avec leurs fesses. En ce qui concerne les études, les femmes sont plus performantes en français, en maths, etc...
En politique, elles font leur place, et lorsqu'elles font des erreurs, là encore, elles mettent le blâme sur ce que les hommes leur ont appris, y compris les erreurs et les gaffes. Une politicienne québécoise l'a dit dit clairement à la télévision. Je n'invente absolument rien.

Dans la série Twilight zone (au-delà du réel) une épisode montrait des femmes dominant complètement la planète. Seulement dans quelques petites villes, quelques hommes avaient été congelés. Un fût décongelé pour une voir si les hommes avaient changée. Elles donnèrent donc la chance à l'homme de démontrer un meilleur comportement. Il fût de nouveau recongelé même si les femmes furent responsables de son échec. Car pour la femme, tous les tords reviennent aux hommes. Un épisode montrant le contraire n'aurait jamais passé à la télévision messieurs. Cette mentalité, comme je l'ai démontré, dans la région de Lanaudière, est déjà très répandue. Ce qui explique le taux astronomique de célibataires et bien d'autres choses. 14 000 fausses accusations au criminel par années, seulement au Québec, expliquent également très clairement la situation. Situation qui prendra de l'ampleur indubitablement.
La femme n'est pas tout à fait l'être angélique que vous pensez messieurs.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

"Il n'y à là rien de bien suprenant si l'on considère que nos policières sont instruites et formées dans un sexisme complet"

Assez documenté et pertinent, votre bilan comparatif des deux sexes. Je me souviens avoir été interviewé par Jan Caseault, de Québec, il y a quelques années, à propos de l'un de mes textes. Il m'expliquait que, ayant suggéré, après que deux policières eurent été passées à tabac par une brute, qu'une agente devrait toujours être jumelée à un collègue masculin, il s'était fait traiter de sexiste, pour ne pas dire d'arriéré.

Étant moi-même dans le domaine de la sécurité, je peux confirmer que son commentaire était tout à fait pertinent. J'ai déjà travaillé comme agent de service privé (chargé d'assurer la sécurité des patients psychiatrisés en milieu hospitalier) et je peux vous confirmer que, non seulement nous étaient confiés les cas les plus lourds mais que, si nos compagnes rouspétaient quand nous devions nous occuper de patientes, elles conservaient un mutisme absolu alors que seuls les agents masculins étaient affectés à l'urgence psychiatrique, où tout pouvait arriver. Comme vous dites, deux poids, deux mesures.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

"Je suis dans le regret de vous dire que vous faites fausse route."

Je n'ai pas encore saisi en quoi nous faisions fausse route, veuillez m'en excuser. Votre discours sur une prétendue autosuffisance féminine me laisse perplexe en ce sens qu'il se généralise, sans me convaincre. En fait, plus je l'entends, plus il me persuade du contraire. Si je n'ai pas besoin de quelqu'un, je ne me sens pas obligé d'en faire un mantra.

Ceci dit, je suis moi-même célibataire depuis plusieurs années, avec un enfant en garde partagée, et je conçois très bien que l'on puisse vivre heureux ainsi sans être pour autant fermé ou absolument désireux de se mettre en couple. Pour moi, l'autre doit être un "plus" dans une vie qui va déjà bien, sinon, pour vous paraphraser, on fait fausse route.

Je ne sais que conclure de votre commentaire sur les partys de lesbiennes et les super-vibrateurs, franchement... Vous allez me trouver vieux jeu, mais je crois, comme le psychologue Yvon Dallaire, que les femmes restent nettement plus relationnelles que les hommes et que le sexe seul ne leur suffit pas. Alors vous savez l'érotisme à plusieurs... qui ne toucherait, si j'ose dire, que 2 % de la population...

Remarquez, on pourrait tout autant prétendre à l'autosuffisance masculine par le fait que les hommes ne draguent plus, mais là non plus je ne marche pas.

Je tiens cependant à vous rassurer sur un point : il y a belle lurette que je ne crois plus en l'angélisme de la femme. L'ex-conjointe du protagoniste de cette chronique n'est qu'un exemple parmi d'autres...

Anonyme a dit…

À mon avis, les femmes ne sont pas les êtres de pouvoir.(Olivier Kaestlé)

Erreur. Le pouvoir des femmes est sexuel et psychologique. Et à ces titres, elles ont tous les pouvoirs horizontaux et verticaux, et cela depuis l'aube de l'humanité. Esther Vilar explique très bien cela dans son livre: L'homme subjugué, Edition Stock, 1971. C'est facile à comprendre, car l'homme est dominé par le sexe et la femme domine les sexe. Donc, la femme domine totalement l'homme.
L'homme a effectivement eu un certain pouvoir, mais il était contrôlé et c'est en fait un pseudo-pouvoir. Ce pseudo-pouvoir laissé à l'homme de manière très calculé, est contrôlé par la femme. C'est dire à quel point nous n'avons aucun pouvoir ou presque. Il est vraiment très limité dans les vrais faits. Un simple exemple. Qui est-ce qui allait jouer de la harpe sous-marine avec les hippocampes et Jules Vernes 20 000 lieux sous les mers lorsque qu'un paquebot faisait nauvrage ? Les enfants et les femmes prennaient les chaloupes de secours, pas les hommes. Lorsque des reines se firent la guerre en-elles ou avec un roi, qui est-ce qui allaient recevoir des épées ou des lances dans l'estomac ?

Anonyme a dit…

Je ne sais que conclure de votre commentaire sur les partys de lesbiennes et les super-vibrateurs, franchement... Vous allez me trouver vieux jeu, mais je crois, comme le psychologue Yvon Dallaire, que les femmes restent nettement plus relationnelles que les hommes et que le sexe seul ne leur suffit pas. Alors vous savez l'érotisme à plusieurs... qui ne toucherait, si j'ose dire, que 2 % de la population...
----------------------
Les 3.3 femmes célibataires sur 5 au Québec ne prouve-t-il pas que les femmes se passent d'homme facilement ????? Sauf si un intérêt pécunier la porte à séduire un homme soumis et millionnaire ?????

Le femme plus relationnelle est très souvent la femme qui cherche et recherche des bibittes partout. Dallaire le dira lui-même à la télé il y a quelques années à l'émission Deux filles le matin. Ce qui avait scandalisé la Vachon amplement. évidemment. Dallaire avait rajouté que l'homme désire une relation paisible et seraine. Ce qu'il ne retrouve point avec la femme.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

"Le pouvoir des femmes est sexuel et psychologique. Et à ces titres, elles ont tous les pouvoirs horizontaux et verticaux, et cela depuis l'aube de l'humanité."

Il y a beaucoup de vrai dans ce que vous dites, malgré un brin de fatalisme. Quand je parlais d'un manque d'ambition féminin envers le pouvoir, j'entendais surtout le pouvoir politique, au sens de son exercice le plus terre à terre, envers certains projets d'envergure et postes de direction, qu'ils soient dans le public ou le privé.

Il est vrai que les mentalités changent, et que les femmes tâtent de plus en plus de ces pouvoirs-là, plus pragmatiques, avec tous les effets secondaires (stress,horaires exténuants, toxicomanies, double vie et perte de vie familiale) qu'ils entraînent. Qui sait, peut-être que la parité ministérielle au Québec finira par être atteinte pour vrai, avec un nombre de députées comparables à celui de leurs confrères masculins.

J'en doute personnellement, dans un avenir rapproché. Que voulez vous, moi aussi, j'ai mes zones de fatalisme...

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

"Les 3.3 femmes célibataires sur 5 au Québec ne prouve-t-il pas que les femmes se passent d'homme facilement ?????"

Vous me l'aviez déjà écrit, merci. J'avais répondu que mon scepticisme augmentait avec l'insistance à me convaincre. C'est toujours le cas.

Anonyme a dit…

Les systèmes de la santé, dans tous les domaines sont contrôlés par les femmes. Il y a de moins en moins d'hommes, car ils sont écartés. En psychologie, pour n'en citer qu'un, les départements sont maintenant contrôlés par les femmes. Maintenant, imaginez juste deux secondes. La psychologie et la psychiatrie aux mains des femmes. On se raproche de plus en plus de l'épisode du Twilight Zone. Conclusion: La sexualité et la psychologie (domaine du contrôle direct et intellectuel des facultés mentales) sous contrôle féminin. Je ne suis pas pessimiste Olivier, je suis réaliste, et les faits sont là. Les stratégies sont en place depuis longtemps.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Pas rassurant, ce que vous dites, mais malheureusement très plausible. On pourrait ajouter les budgets universitaires pour le moins substantiels consentis à la recherche dite féministe. Les conclusions souvent biaisées qui en découlent n'amélioreront en rien le tableau d'une présumée humanité nouvelle régie par des diktat idéologiques sans fondements empiriques qui accentueront des stéréotypes déjà abusivement propagés.

Anonyme a dit…

"Les 3.3 femmes célibataires sur 5 au Québec ne prouve-t-il pas que les femmes se passent d'homme facilement ?????"

Pour moi, j’estime que cela ne prouve pas qu’elles se passent des hommes !
En effet, s’il y a bien 3.3 femmes célibataires sur 5 (au Québec) cela veut dire que 3.3 femmes sur 5 sont considérées comme célibataires par l’état civil. Cela veut dire qu’elles ne vivent pas en couples. Cela ne veut donc pas dire qu’elles se passent d’homme facilement ! Elles ont tout simplement choisi de vivre dans le célibat. Depuis 1994, je suis divorcé, donc célibataire. Mais je sors avec des femmes célibataires qui aiment la bibite ! MDR

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Un grand merci pour ce commentaire rafraîchissant qui confirme fort bien un précepte sans cesse renouvelé voulant que l'on peut faire dire aux statistiques ce que l'on veut.

En effet, être célibataire ne signifie pas que l'on soit par le fait même abstinent ou homosexuel. En tout respect pour ces hommes et ces femmes, il ne représentent environ que 10 % de la population. Il n'y a pas là de quoi susciter une épidémie de partys lesbiens autosuffisants à travers le Québec. Merci de ce commentaire qui resitue le débat dans une juste perspective.

Anonyme a dit…

Encore dans l'erreur. Désolé pour vous. Le 3.3 des 5 femmes québécoises célibataires comprennent les femmes vivant seules. Certaines d'entre-elles ont sporadiquement des aventures qui ne dépasse pas la plupart du temps que les expériences sexuelles. Et les élus sont les plus beaux mâles de la province. Le mâle esthétiquement moyen passe son temps dans la section discrète des club vidéo. Le taux d'homosexuel et de lesbienne est d'ailleurs bien plus grand que vous pouvez le croire.
Esther Vilar avait déclaré: En réalité, dans l'univers de la femme, l'homme n'existe pratiquement pas. Il n'est qu'une merveilleuse machine à travailler qui prend soin de moi et de mes enfants. Pour la femme, l'homme ne représente rien de spécial tant qu'il n'est pas millionnaire.

Anonyme a dit…

Je corrige une erreur dans mon précédent commentaire:

Encore dans l'erreur. Désolé pour vous. Le 3.3 des 5 femmes québécoises célibataires SONT des femmes vivant seules. Elles n'ont ni mari ni conjoint. Et je parle des québécoises, non des immigrantes qui sont moins portées, pour le moment, vers le féminaziste. Certaines d'entre-elles ont sporadiquement des aventures qui ne dépasse pas la plupart du temps que les expériences sexuelles. Et les élus sont les plus beaux mâles de la province. Le mâle esthétiquement moyen passe son temps dans la section discrète des club vidéo. Le taux d'homosexuel et de lesbienne est d'ailleurs bien plus grand que vous pouvez le croire.
Esther Vilar avait déclaré: En réalité, dans l'univers de la femme, l'homme n'existe pratiquement pas. Il n'est qu'une merveilleuse machine à travailler qui prend soin de moi et de mes enfants. Pour la femme, l'homme ne représente rien de spécial tant qu'il n'est pas millionnaire.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Bon, puisque vous insistez, nous prendrons acte de votre insistance...

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ?   C'est la première fois depuis ...