Il m'est souvent arrivé, lorsque je traitais de violence féminine en m'appuyant sur des faits divers publiés dans les médias main stream, de me voir reprocher de généraliser des incidents précis à toutes les femmes, d'alimenter une guerre stérile entre les sexes, de prendre un plaisir malsain à salir le genre féminin, quand on ne me reprochait pas tout simplement d'haïr les femmes de façon viscérale. Misogyne, antiféministe et masculinise demeurent des épithètes qui me sont par moments attribués, preuve que mes constats dérangent la bien-pensance d'idéologues qui se prétendent - à mon avis, à tort - entièrement dévoués à ce qu'ils appellent la cause des femmes.
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La rectitude politique, préférable à l'évidence ? |
Est-il donc nécessaire d'expliquer encore en 2013 que, bien que la violence au féminin existe, elle fait l'objet d'une omerta tenace de la part des médias, au sein des gouvernements comme des universités, et qu'il devient indispensable, autant pour ceux qui en sont victimes que dans l'intérêt de celles qui la ressentent et l'exercent, de la circonscrire, afin de la circonvenir, sinon intégralement, du moins, le plus possible ? Dans cette perspective, les rituelles campagnes de violence contre les femmes font fausse route, pour employer une expression à la mode. La violence infligée et subie par l'humanité entière, incluant bien sûr celle opprimant les femmes, doit être dénoncée, prévenue, et soulagée, quand on n'est pas arrivé à l'empêcher.
De telles luttes à sens unique, par leur côté réducteur et caricatural, en plus de bafouer et de démoniser la moitié de l'humanité sans leur reconnaître leur statut de victime (Les hommes représentent plus de 73 % des victimes d'homicides au Canada, nous indique Statistique Canada), finissent par lasser le public par leur côté larmoyant et victimaire, ce qui entraîne exactement l'effet contraire à celui escompté. Qui plus est, les gens, aussi bien informés par les médias officiels que sociaux, réalisent de plus en plus la différence entre le sort réservé aux femmes occidentales et celui de celles qui vivent en Iran, en Irak, en Arabie saoudite, en Afghanistan, en Algérie ou en Égypte, pour ne nommer que ces pays où la vie féminine vaut moins que celle d'un animal.
Des incidents de plus en plus nombreux...
.... Ou de plus en plus relatés, je ne saurais dire. Ceux qui détestent mes narrations d'événements où les femmes n'ont pas le beau rôle peuvent toujours aller surfer sur la page web du Conseil du statut de la femme et s'abreuver aux préceptes dépassés et mélodramatiques de cet organisme. Ils peuvent également prendre un douteux plaisir à pester contre moi à la lecture des faits divers qui suivent. Nous avons tous besoin d'un hobby.
Une autre femme, de Garden Grove, en Californie, s'est vue infligée une peine d'emprisonnement à vie pour avoir sectionné le pénis du mari qui avait demandé le divorce deux mois plus tôt. Catherine Kieu, 50 ans, avait drogué l'homme avant de commettre son crime et de jeter l'organe de sa victime. Selon le juge Richard F Toohey, « Ses gestes (de la criminelle) ont été aussi calculés, froidement exécutés et dénués d'émotion que lors de n'importe quel meurtre au premier degré. »
Les luttes pour la garde des enfants débouchent parfois sur des drames pires que ceux couronnés par une décision inique de la part d'un magistrat partial. À témoin, cette femme qui a fait assassiner le père de son enfant de 18 mois, Théo, pour avoir ce dernier à elle seule. David Ervinckx a été attiré le 28 mars à Mellet, Belgique, dans un traquenard tendu par un faux client qui lui proposait de tenir la comptabilité d'une société fictive. À peine arrivé, le pauvre homme a été abattu de deux balles. Le lendemain du drame, le tribunal de la jeunesse devait précisément rendre une décision sur la garde de l'enfant. Le père désirait simplement le voir plus souvent.
Des apprenties sorcières...
Elle ajoutait : « Si vous pouviez aussi le tuer hors de la maison, ce serait bien, sinon ça va être le désordre (Une fille rangée, c'est une fille rangée.). Une prime d'assurance vie de 400 000 dollars pourrait être le mobile de ce complot.
Une autre apprentie meurtrière, de Rio Preto, au Brésil, a su faire preuve de créativité et tentant d'éliminer son mari de manière inusitée. Désireuse de se séparer de lui, elle avait empoisonné son vagin par injection en vue de l'inciter à lui faire un cunnilingus fatal. Mis au parfum, si j'ose dire, par une odeur inhabituelle, l'homme devait interrompre ses ébats et se rendre au plus vite à l’hôpital pour y subir un lavage gastrique. Aucune substance toxique ne fut détectée, mais la femme n'en confessa pas moins ses malodorants projets.
Small is beautifull
En Nouvelle-Zélande, cette fois, un gamin également âgé de 11 ans s'est retrouvé père malgré lui. Une femme de 36 ans est allée jusqu'à saouler le gamin, un ami de son fils, à la bière pour l'attirer dans son lit. Le manège se serait répété plusieurs fois au cours des derniers mois. Résultat : l'agresseure, négligente au plan contraception, en plus de ses autres talents, est maintenant enceinte. Selon la loi de ce pays, malgré l'évidence des faits, une femme ne peut jamais se voir accusée de viol. Il doit sans doute s'agir de cours d'éducation sexuelle qui seraient cautionnés par les Regroupement québécois des Centres d'aide et de lutte contre les agressions sexuelles...
Judith Collins, ministre de la Justice du pays, a assuré qu'elle tenterait d'agencer la loi avec la réalité. Espérons que le jeune ne sera pas condamné à verser une pension alimentaire pour son rejeton...
Être parent, c'est pas toujours facile...
Elle a beau avoir voulu faire porter l'odieux de ses gestes à son conjoint, une mère d'Abitibi-Témiscamingue, âgée de 22 ans, a été accusée en mai dernier d'avoir mutilé, blessé et défiguré son fils. La victime conserve des séquelles, mais la Direction de la protection de la jeunesse de Val-d'Or se refuse à toute précision sur son état de santé. Aurait-elle fait preuve de la même discrétion si l'auteur des sévices avait été un homme ?
Si vous avez trouvé cet incident, et ceux qui précèdent, horribles, et que vous êtes toujours persuadé qu'aucune femme ne peut faire preuve de violence, de perversion, ni de cruauté, vous n'êtes pas au bout de vos surprises. Suite à la prochaine chronique...
La suite en question, ici.
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Oui, ça arrive parfois à des hommes... |
Imaginez qu'on vous apprenne qu'un costaud passionné d'arts martiaux a été insulté, giflé, puis battu par une femme, mannequin de profession, avant de se voir attaché et sodomisé, le croiriez-vous ? Il faudra vous en persuader, puisque cet incident hors norme est survenu à Lyon au printemps 2009. L'agresseure, âgée d'une trentaine d'années, devra purger deux ans de prison, dont un ferme, sentence prononcée en mai dernier. La jalousie de la femme et la fragilité psychologique de l'homme ont été à l'origine de cette événement où la violence a su tirer parti de la dépendance affective.
Une autre femme, de Garden Grove, en Californie, s'est vue infligée une peine d'emprisonnement à vie pour avoir sectionné le pénis du mari qui avait demandé le divorce deux mois plus tôt. Catherine Kieu, 50 ans, avait drogué l'homme avant de commettre son crime et de jeter l'organe de sa victime. Selon le juge Richard F Toohey, « Ses gestes (de la criminelle) ont été aussi calculés, froidement exécutés et dénués d'émotion que lors de n'importe quel meurtre au premier degré. »
Les luttes pour la garde des enfants débouchent parfois sur des drames pires que ceux couronnés par une décision inique de la part d'un magistrat partial. À témoin, cette femme qui a fait assassiner le père de son enfant de 18 mois, Théo, pour avoir ce dernier à elle seule. David Ervinckx a été attiré le 28 mars à Mellet, Belgique, dans un traquenard tendu par un faux client qui lui proposait de tenir la comptabilité d'une société fictive. À peine arrivé, le pauvre homme a été abattu de deux balles. Le lendemain du drame, le tribunal de la jeunesse devait précisément rendre une décision sur la garde de l'enfant. Le père désirait simplement le voir plus souvent.
Des apprenties sorcières...
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Filmée, négociant le meurtre de son mari... |
Aux États-Unis, une jeune femme de 21 ans pourrait encourir une sentence à vie après avoir été piégée par un policier de Muskegon, au Michigan, averti par une délatrice. L'officier a enregistré la « stratège » alors qu'elle lui proposait de tuer son conjoint. L'assassiner lui paraissait préférable au divorce : « Ce n'est pas qu'on ne s'entend pas. Mais c'est juste plus facile que de divorcer (plus expéditif en tout cas NDA). Ainsi, je n'aurai pas à m'inquiéter de lui briser le cœur (trop de sensibilité peut tuer...). C'est pour trouver une sortie propre (et sans appel, apparemment).
Elle ajoutait : « Si vous pouviez aussi le tuer hors de la maison, ce serait bien, sinon ça va être le désordre (Une fille rangée, c'est une fille rangée.). Une prime d'assurance vie de 400 000 dollars pourrait être le mobile de ce complot.
Une autre apprentie meurtrière, de Rio Preto, au Brésil, a su faire preuve de créativité et tentant d'éliminer son mari de manière inusitée. Désireuse de se séparer de lui, elle avait empoisonné son vagin par injection en vue de l'inciter à lui faire un cunnilingus fatal. Mis au parfum, si j'ose dire, par une odeur inhabituelle, l'homme devait interrompre ses ébats et se rendre au plus vite à l’hôpital pour y subir un lavage gastrique. Aucune substance toxique ne fut détectée, mais la femme n'en confessa pas moins ses malodorants projets.
Small is beautifull
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Simple d'esprit ou perverse ? |
Megan Nicole Hayes, 21 ans, de Rockledge, en Floride, vient d'être accusée d'agression sexuelle sur la personne d'un jeune garçon de 11 ans. Elle en était la gardienne, en l'absence de ses parents. Comme dans le cas de la première apprentie meurtrière, l'agresseure a été dénoncée grâce à une confidente. Celle-ci a d'abord informé les parents de la victime. Bien que le père de Hayes la présente comme demeurée, la police la considère responsable de ses actes. La prévenue a déjà été condamnée pour fraude.
En Nouvelle-Zélande, cette fois, un gamin également âgé de 11 ans s'est retrouvé père malgré lui. Une femme de 36 ans est allée jusqu'à saouler le gamin, un ami de son fils, à la bière pour l'attirer dans son lit. Le manège se serait répété plusieurs fois au cours des derniers mois. Résultat : l'agresseure, négligente au plan contraception, en plus de ses autres talents, est maintenant enceinte. Selon la loi de ce pays, malgré l'évidence des faits, une femme ne peut jamais se voir accusée de viol. Il doit sans doute s'agir de cours d'éducation sexuelle qui seraient cautionnés par les Regroupement québécois des Centres d'aide et de lutte contre les agressions sexuelles...
Judith Collins, ministre de la Justice du pays, a assuré qu'elle tenterait d'agencer la loi avec la réalité. Espérons que le jeune ne sera pas condamné à verser une pension alimentaire pour son rejeton...
Être parent, c'est pas toujours facile...
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Il faut le voir pour le croire... |
... Et certains peuvent à l'occasion manquer de patience. Il semblerait que ce fut le cas d'une maman vivant à Xuzhou, en Chine, qui est allée jusqu'à poignarder son garçon de 90 coups de ciseau parce qu'il avait eu l'indélicatesse de la mordre en tétant. Le bébé, qui a survécu, après une centaine de points de suture, est considéré comme un miraculé.
Elle a beau avoir voulu faire porter l'odieux de ses gestes à son conjoint, une mère d'Abitibi-Témiscamingue, âgée de 22 ans, a été accusée en mai dernier d'avoir mutilé, blessé et défiguré son fils. La victime conserve des séquelles, mais la Direction de la protection de la jeunesse de Val-d'Or se refuse à toute précision sur son état de santé. Aurait-elle fait preuve de la même discrétion si l'auteur des sévices avait été un homme ?
Si vous avez trouvé cet incident, et ceux qui précèdent, horribles, et que vous êtes toujours persuadé qu'aucune femme ne peut faire preuve de violence, de perversion, ni de cruauté, vous n'êtes pas au bout de vos surprises. Suite à la prochaine chronique...
La suite en question, ici.