Avertissement : ce billet, bien qu’inspiré d’un événement
réel, est une « fake news » rédigé avec la plus insouciante
préméditation. Prière de savoir y
déceler le second degré, si possible, bien sûr…
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Mesdames, cet ado pourrait être votre ennemi ! |
La
perversité masculine frappe de plus en plus jeune les femmes naïves et sans
défense trop naturellement tournées vers ce que l’humanité a de plus noble et
de plus élevé. La preuve, ce nouveau
fait divers nous apprenant qu’un adolescent américain a, pendant trois ans, abusé sexuellement de Marissa Mowry, une femme de 25 ans, au point de lui faire
un enfant !
Le geste est d’autant plus indigne
que le coupable d’une telle monstruosité n’était âgé que d’à peine 11 ans
lorsque les sévices ont commencé ! C’est
s’engager bien tôt sur la pente abrupte de l’oppression systémique par la
dépravation systématique !
Des
agressions endémiques
Cette nouvelle attaque est
d’autant plus révoltante qu’elle survient dans un contexte si particulier où un
nombre sans cesse croissant de femmes majeures et vulnérables se voit abusé
sexuellement par des jeunes adolescents, quand il ne s’agit pas d’enfants
! Oui, chers amis, la domination
masculine n’a pas d’âge et frappe sans merci des dames respectables et sans
malice, les précipitant vers des abîmes de désolation et d’errance mentale dont
elles ne ressortiront certes pas indemnes, contrairement à leur agresseur, né
pervers.
N'en n’avons-nous pas assez vues,
de ces enseignantes abusées et leurrées par des garçons dépravés et
machiavéliques, qui ont profité d’une tendresse toute maternelle pour assujettir des
êtres dénués de la plus petite intention sexuelle à leurs lubriques desseins, à
leurs retors projets, à leur dégradante débauche hétérosexuelle ?
« On
vous croit ! »
Concerné et consterné au plus
haut point par la progression dévastatrice de cette problématique endémique, le
Regroupement québécois des centres d’aide et de lutte contre les agressions à
caractère sexuel lance un cri d’alarme à nos dirigeants afin que ces femmes
abusées trouvent chez leurs groupes membres soutien et réconfort :
«
Les victimes de détournement majeur sont en nette croissance et nous ne
disposons pas de suffisamment de ressources pour leur venir en aide. Non seulement elles sont victimes d’abus
évidents, mais elles ont honte de demander de l’aide, se sentant injustement
condamnées par une société patriarcale cis genre hétérosexiste et
hétéronormative.
« Elles souffrent en silence, dans la désolation et la honte, mais
leurs agresseurs s’en tirent sans jugement, ni condamnation, protégés par leurs
privilèges phallocrates. C’est une honte
! Quand ces survivantes nous disent en pleurant qu’elles sont victimes,
nous prenons fait et cause pour elles et leur répétons ‘’ On vous croit ! ‘’ »
Interrogée à savoir quelles
pistes de solution son regroupement envisage, une porte-parole a répliqué avec
ferveur : « Des sous, quelle question ! »
Des
manipulateurs qui passent pour victimes…
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Tania Pontbriand, enseignante victime d'un ado... |
Au RQCALACS, pas question
d’inverser les rôles et de faire passer les agresseurs pour les victimes. Cette position est d’autant plus inébranlable
que cet organisme si méritant a excommunié un de ses groupes membres et en a « démissionné »
deux autres pour avoir osé offrir leurs services à des supposées victimes
masculines.[i] De qui se moque-t-on, je vous le demande ! Autant imaginer des nazis soi-disant sans
défense jetés dans des fours crématoires par des Juifs psychopathes, un coup
parti !
Pas de doute qu’il existe
encore des tabous entourant l’oppression des femmes par les hommes de tout âge
et qu’il y a encore bien du chemin à parcourir avant que ces abus ne soient enfin
reconnus et éradiqués. Comment y
arriverons-nous, si nous continuons à fermer les yeux sur les filouteries
délibérées et froidement vicieuses ourdies par des mâles qui se barricadent
derrière leur jeunesse pour opprimer leurs victimes ?
Une seule solution envisageable : croyons sans nous - ni les - interroger les victimes, châtions sans
complaisance les coupables !