J’aimerais pouvoir dire que je n’avais pas oublié la Saint-Valentin cette année, mais ce serait mentir. J’ai au moins l’excuse du célibat engagé. Un envoi inopiné m’a fait souvenir de cette fête du chocolat et des soupers au resto : celui d’une caricature savoureuse signée Serge Ferrand, que ce dernier a eu l’amabilité de me faire parvenir. Je vous l’adresse donc, en souhaitant qu’elle saura pimenter vos tête à têtes. Vous n’avez qu’à cliquer sur l’illustration ci bas.
Serge Ferrand
Serge Ferrand |
Ferrand s’est également démarqué comme bédéiste, d’abord avec la série des Histoires dingues de l’oncle Barney et les courts récits ayant pour titre Larsène Lupin. C’est cependant sa série au titre provocant, les vaginocrates, sur les dérives grandissantes du deux poids, deux mesures que notre société affiche à l’avantage des femmes, qui restera le plus étroitement lié à son nom. En voici quelques extraits.
C'est donc en remisant exceptionnellement mon penchant de prédateur textuel pour l'hyperconceptualisation et l'hyporomantisme et que je m'associe à Serge Ferrand pour vous souhaiter à tous et à toutes une heureuse Saint-Valentin !
4 commentaires:
Le line vers « La machine à broyer les hommes » n'existe plus. Pourquoi ? Vraiment dommage ! Comment retrouver ce documentaire sur le web ?
Bonne question, j'ai été déçu de constater comme vous que le lien avait disparu. Mes recherches pour le retrouver ailleurs que dans You Tube se sont avérées vaines.
La meilleure St-Valentin est de se louer une grosse Georgita gonflable et une bonne bouteille de vin. Serge
Deux précisions: 1. Pour mon documentaire «LA MACHINE À BROYER LES HOMMES», le producteur Avanti Ciné Vidéo m'a dit qu'il travaillait sur une reprise éventuelle. Il y aurait une question de droits à régler. Vous pouvez le contacter si vous voulez pour réclamer ce documentaire toujours d'actualité. 2. Celui qui a signé Serge dans le blog de Olivier, ce n'est pas moi. Chacun, chacune vit sa St-Valentin comme il voulvoul comme je l'ai dessiné.
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