SPVM : un programme du bon vieux temps... |
Jusqu’à quand faudra-t-il répéter à ces esprits ankylosés que trois enquêtes sociales générales de Statistique Canada, des études de l’Institut de la statistique du Québec, sans compter l’enquête psychosociale du Saguenay-Lac-Saint-Jean et les quelque 282 études répertoriées par Martin S. Fiebert, chercheur du département de psychologie de la California State University, établissent sans conteste la parité homme femme en violence conjugale ? Bien sûr, la violence la plus lourde demeure attribuable à la force physique masculine. Les concepteurs de ce programme unidirectionnel seraient-ils affligés d’analphabétisme, d’aveuglement volontaire, ou se sentent-ils terrorisés à l’idée de contredire les dogmes de cette religion d’État aussi occulte que puissante et toxique : le féminisme radical ?
Ces plaintes que l’on prend pour des agressions
Ce n'est sans doute pas assez de se voir arrêté sans motif... |
« S’ils y consentent, nous apprend le Journal de Montréal, les hommes écroués pour une plainte de violence conjugale peuvent désormais être rencontrés par des spécialistes lors de leur détention. » Des « spécialistes »… Cette stratégie semble faire très peu de cas d'une étude maintes fois citée dans ce blog, intitulée Entre les attentes face à la judiciarisation et l’issue des procédures, de Sonia Gauthier, de l’université de Montréal, et de Danielle Laberge, de l’UQÀM, révélant qu'à peine 31,4 % des arrestations d'hommes pour violence conjugale menaient à un verdict de culpabilité tandis que 68,4% débouchaient sur des remises en liberté. Est-ce à dire que l’on relâche autant de coupables ? Leurs accusatrices ne sont pas le moins du monde interpellées, et encore moins accusées de méfait public pour fausses allégations.
Un organisme appelé Pro-Gram, appellation d’une finesse inouïe, se rend sur demande au centre opérationnel du SPVM et « communique » avec les hommes arrêtés. Normand Bourgeois, le directeur de l’organisme en question, se confie candidement : « C’est habituellement un bon moment pour essayer de rentrer en dialogue avec cette personne-là, lui offrir des références, lui montrer qu’il y a quelque chose à faire. » Touchant, n’est-ce pas ? Imaginez un pauvre homme, faussement accusé qui, non content de se voir arrêté sans motif, doit affronter ce curieux spécimen de thérapeute pour qui la présomption d’innocence relève de la légende urbaine. Y a-t-il une limite à ce qu’un homme doit endurer dans un tel contexte ?
Confrontés au précepte « Avoue n’importe quoi si tu veux sortir », faut-il que ces gars séquestrés s’inventent un passé de violence pour complaire à ces « intervenants » chez qui, apparemment, la parole féminine reste sacrée et ne saurait être remise en cause ? C’est sûrement les yeux pétillants que Stéphane Lemieux, assistant-directeur de SPVM, renchérit : « On pense que ça va nous aider beaucoup à prévenir la récidive, à éviter que ces gens-là retombent dans le même panneau. La récidive, souvent, peut se rendre jusqu’à l’homicide. Ce n’est pas toujours le cas, mais une fois est une fois de trop. » Louable intention préventive, sans doute, mais moi, vivre à Montréal, je songerais à déménager, de crainte de tomber entre les mains de ces fanatiques jovialistes…
Et c’est pas fini…
Est-ce toujours l'homme arrêté qui ne comprend pas ?... |
Le Journal cite aussi Steven Bélanger, psychologue au Pro-Gram : « Les hommes qui se font arrêter pour violence conjugale ont souvent l’impression que leur arrestation est injuste (sic !) et ne comprennent pas pourquoi ils ont été arrêtés (re-sic !). » Psychologue, le mec… Il en rajoute : «{Ils se disent} « Voyons donc, c’est une chicane de ménage ! On s’est engueulés, c’est normal de se chicaner. » En effet, M Bélanger, ça arrive même chez les meilleurs couples de hausser le ton et de s’engueuler. On n’a pas pour autant affaire à un cas de violence conjugale, c’est aussi simple que ça. Autrement, il faudrait réaménager le stade olympique en prison pour hommes… et pour femmes. Qui plus est, de fausses allégations, c’est aussi de la violence conjugale, et vous vous en rendez complice, par votre aveuglement idéologique.
M Bélanger en rajoute encore : « Et ils en veulent à leur conjointe d’avoir appelé la police (pas possible !). Il y a un désir de vengeance. » Il n’y aurait pas de « désir de vengeance » chez moi, comme chez la plupart des hommes vivant pareille situation, sans doute, mais je crois bien que je serais furieux envers la conjointe qui m’aurait faussement accusé, au point de rompre et d’effacer cette femme de ma vie, non par la violence, mais par la distance. Mais peut-être m’accuserait-on cette fois de violence psychologique, et me retrouverais-je à nouveau entre les griffes misandres et bon enfant de M Bélanger ? Au secours !
Qui a besoin d’une thérapie ?
C’est ainsi que nous apprenons, en fin d’article du Journal, que 40 hommes ont été « orientés » vers une thérapie… Reste à savoir s’ils en avaient tous vraiment besoin. Ces thérapeutes étant manifestement incapables d’envisager le mensonge féminin, de braves hommes sont probablement en train de perdre un temps précieux sur un sofa. « Sur l’île de Montréal, il y a trois ans, près de 40 % des homicides étaient liés à un drame conjugal, nous précise-t-on. Ce taux avoisine les 10 % aujourd’hui. » N’allez pas croire que le programme fantaisiste dont il est fait mention ici y soit pour quelque chose : il vient tout juste d’être implanté…
Jovialisme et thérapie : un douteux mélange... |
Selon cette équipe de bons samaritains, « les hommes aux prises avec des problèmes de violence peinent à l’admettre (et il dit ça sérieusement…) : 87 % de ceux qui se font interroger en détention pour cette raison admettent n’avoir jamais consulté.» Que doit-on penser de ceux qui n’ont pas de problèmes de violence, aux prises avec cet engrenage « thérapeutique » ? N’est-il pas normal qu’ils ne consultent pas ? Faut-il le rappeler : près de 70 % des hommes arrêtés dans le cadre de la politique d’intervention en violence conjugale le sont sans motif. « Cesse de nier ton problème, méchant garçon, si tu veux que mon oncle te laisse sortir », doivent-ils s’entendre dire.
Reste à espérer que ces spécialistes, idéologiquement intoxiqués, tombent de temps en temps sur un homme vraiment dangereux et évitent effectivement une tragédie. Après tout, même une montre arrêtée donne l’heure juste deux fois par jour...
19 commentaires:
Durant la vague des campagnes sur la violence envers les femmes, le gouvernement a financé une ribambelle de Tables de concertation sur la violence conjugale. Des protocoles entre les intervenants et la police furent signés.. et tu connais le reste. L'Après-rupture, fut présent à la Table de la Jacques Cartier, après tout, la majorité des membres avaient subit une forme de violence. À la troisième rencontre, il fut mis à la porte, parce que l'Après-rupture avait mis sur son site web une caricature de sa BD les Vaginocrates. L'AP reçu une belle lettre signée par 2 org d'aide aux hommes, GAPI et Autonomie, plus la Maison de la Famille, etc. On lui avait dit d'aller à une Table de la violence envers les hommes, la Table de la Jacques Cartier avait comme mandat seulement les femmes-filles et enfants. Éloquent!
Pour moi, rendu à ce stade, dissimuler la violence conjugale envers les hommes revient à dire : "Non, il n'y a pas d'animaux dans ce zoo, absolument pas. Que des zèbres, des girafes, des éléphants, des tigres, des lions, des hippopotames, des éléphants, des alligators, des singes, des hyènes, des panthères, etc." Y aura-t-il un jour des limites à nous cacher l'évidence ?
Olivier, je suggère la lecture du compte rendu de la conférence: The Silence is Over, donnée en 1999.
Par le groupe Amen d'Irlande. Le nœud du problème des hommes violentés, se trouve dans la culture de masculinité. Faut-il que les hommes pleurent au moindre bobo? Là est la question!
Non, sûrement pas, mais on tente de banaliser et de minimiser les préjudices qu'ils endurent et qui sont considérables, tout en comportant les caractéristiques particulières que sont les fausses accusations et le harcèlement policier et judiciaire qu'elles entraînent. Ça aussi, c'est de la violence. À ces tares, il faut ajouter maintenant, semble-t-il, le risque du harcèlement thérapeutique...
Un suicide sur deux survient dans un contexte de séparation et aucune étude visant à mesurer l'impact policier et judiciaire dans ces tragédies n'existe. Selon les féministes radicales telles que Micheline Carrier, s'il n'y a pas d'étude, c'est qu'il n'y a pas de problèmes...
On pourrait parler longtemps de l'indifférence ou même de l'agressivité des policiers et des magistrats envers les hommes maltraités, ce qui double la violence subie. Non, tout reste à faire dans la reconnaissance de la violence faite aux hommes.
J'ai envoyé mes commentaires au SPVM ma foi, je m'interroge sur celui ou celle qui prend ces décisions...Pour qu'elle raison le font-t-il (est-ce que les citoyens ont été consulté ou seulement quelques membres de regroupement douteux...........les dirigeant du SPVM mérite un bon coup de pied dans le cul en bon Québécois. Le Québec est rendu bas pas à peu près! Le Québec un honte national en matière familiale.
Vous avez bien fait de communiquer votre point de vue. Pour ma part, j'ai envoyé ma chronique à tous le députés de l'Assemblée nationale.
Ce n'était pas assez d'un système policier et judiciaire inquisitorial, encore faut-il y mêler les psys ? On se demande s'il y aura un jour une limite à ce délire paranoïaque.
Bonjour Olivier,
J'espère moi aussi qu'un jour on ouvrira les deux yeux sur la violence conjugale.
Deux commentaires suite à ton billet :
1. C'est 2,4 suicides sur 3,11 suicides quotidiens au Québec ont lieu dans un contexte de rupture selon Yves Coutu (anc. Gepse) Réf. Homme et fier de l'être, p 146.
2. Attention de ne pas mettre tous les psys dans le même panier. La majorité des psys que je connais reconnaissent l'équité de la violence conjugale et la voit comme la résultante d'une escalade.
Yvon Dallaire, psychologue
Nul doute dans mon esprit, Yvon, que tous les psys ne ressemblent pas aux exemples peu encourageants de ma chronique.
Je suis tout de même heureux d'apprendre qu'une majorité reconnaît la parité homme femme dans la violence conjugale. Il y a donc de l'espoir que le bon sens triomphe un jour de l'idéologie victimaire dont le discours va bientôt bourdonner, à l'approche du 25 décembre... Merci de ces éclaircissements.
1. C'est 2,4 suicides sur 3,11 suicides quotidiens au Québec ont lieu dans un contexte de rupture selon Yves Coutu (anc. Gepse) Réf. Homme et fier de l'être, p 146.
==> Je ne veux pas virée dans la paranoïa mais d’après mes observations et de quelques proches (très subjectifs) un homme qui veut tuer le fera directement et avec la force physique ou autre force visible (armes).
Une femme qui veut tuer le fera par la violence morale, la destruction qui pousse au suicide.
Et je pense que la majorité des hommes qui se suicident lors de la séparation ou avant on était poussé à ce suicidé via une violence morale continue de leur conjointes et quelque fois avec le concours des instances public.
On arrive donc au point crucial ou les victimes de violences conjugales auraient un genre, le genre masculin.
(Je ne nie en aucun cas les violences faites aux femmes).
Quand aux psychologues et plus largement thérapeute pour la plupart d’entre eux la pédophile féminine n’existe pas, on peut leurs montrés des cas ils nieront en bloc, ce que je veux dire c’est quelle crédibilité peuvent avoir des personnes autant aveuglé par leurs idéologies (ou leurs fonds de commerce).
Pour ce qui est de la violence morale des ex et du système qui peuvent pousser un homme au suicide et, qui sait, au meurtre, je vous donne raison : il se pourrait fort bien que les hommes soient les principales victimes de ce genre de violence.
Cette hypothèse gagnerait grandement à faire l'objet d'études et j'espère que le comité d'experts sur les drames familiaux mis sur pied par le ministre Bolduc se penchera sur la question sans interférences indues.
Pour ce qui est des psychologues, je crois qu'il faut se garder de jugements trop radicaux : comme dans la plupart des professions, le meilleur côtoie le pire. Je fais cependant une importante distinction entre ceux qui pratiquent dans le privé et les autres qui travaillent au sein de la fonction publique, dont un grand nombre ressemble assurément au portrait que vous dressez, interférence idéologique indue oblige...
Venez raconter votre Vérité sur les violences conjugales: http://www.maveritesur.com/
N’’hésitez pas et venez faire entendre votre (vos) vérité(s) sur maveritesur.com.
J'ai vécu cette situation d'un boute à l'autre. Je suis traumatisé à vie et pense encore au suicide après 7 ans. Je ne suis plus capable de vivre une relation amoureuse, j'ai une méfiance absolue envers les autorités policières et d'intervention totalement biaisées qui les rendent totalement sourdes à ce que tu dis. Tu parles pendant une heure, quand ils te laissent parler sans t'humilier et te bafouer, et ils retiennent 2 3 mots qu'ils remettent dans leur contexte idéologique et te réfèrent ensuite au suivant avec leur dossier comme prémisse à ta présentation. En 2006, je travailais seul homme intervenant dans une equipe de 20 femmes en relation d'aide avec une clientèle majoritairement féminine que j'aidais à reprendre confiance en elle pour un retour sur le marché du travail, un démarrage d'entreprise, une réorientation etc... 10 minutes après que j'ai annoncé la rupture à ma conjointe et qu'elle ait tout fait pour me séquestrer à l'intérieur comme sa derni`re stratégie de contrôle visant à me garder après la grossesse et le contrôle financier et la violence, je me fais engueuler par une psychiatre comme quoi je suis un mysogine, elle ne veut rien entendre de ma version et refuse de m'apporter tout soin me signifiant que si je veux guérir et faire autre chose que de la prison, va falloir admetttre... Carrière, finances, réseau social scrappe... 3 ans plus tard... suicide manqué... La police fait passer cela pour un simple accoident et me repoursuis pour conduite avec facultées affaiblies avec un taux d'alcool en bas du .08...
et le plus hilarant, c'est que la fille a menti non seulement pour cacher sa violence à mon endroit mais aussi les viols de son père sur elle et ses soeurs, la complicité de sa mère et sa soeur travaille dans un centre de femme de Montréal à pourfendre les hommes tandis qu'elle dine tous les dimanches en famille dans le bonheur le plus parfait d'une famille qui a choisi d'ainsi vivre sa sexualité...
Je rêve du jour où une indispensable commission d'enquête fera la lumière sur les nombreux abus des services policiers, de la DPJ et des tribunaux en lien avec les fausses allégations. Je reste persuadé que le scandale des abus des prêtres catholiques sera de la petite bière en comparaison d'une déviance sociétale aussi répandue en Occident. Les féministes d'État, dont la propagande haineuse a fortement conditionné de contexte social déplorable seront-elles pour autant tenues responsables de leurs actes ?
A différents postes de police, on m'a dit qu'on n'arrêtait pas les femmes car je suis capable de me défendre... Je parlais de comment elle m'avait frappé au visage d'un coup de poing lors d'une première discussion sur la rupture, de comment elle a ensuite pris mon argent et refusé de me le remettre "000 dollars que j'avais besoin pour la quitter, de comment elle m'a tapoché, barré la porte... Et non, je suis capable de me défendre mais n'ai même pas le droit de fuir. D'autres policiers du SPVM m'ont dit: 'Ben t'avais juste à rester là... Ce la, je me le suis fait dire au poste de quartier sur St-Joseph... A cet endroit aussi, on a refusé de prendre ma déposition, le policier jugeant que j'Étais trop maigre et trop l'air malade (j'avais des cernes sous les yeux et rien à manger, overstressé par la procédure et le genre de réponses que je me faisais faire
A différents postes de police, on m'a dit qu'on n'arrêtait pas les femmes car je suis capable de me défendre... Je parlais de comment elle m'avait frappé au visage d'un coup de poing lors d'une première discussion sur la rupture, de comment elle a ensuite pris mon argent et refusé de me le remettre "000 dollars que j'avais besoin pour la quitter, de comment elle m'a tapoché, barré la porte... Et non, je suis capable de me défendre mais n'ai même pas le droit de fuir. D'autres policiers du SPVM m'ont dit: 'Ben t'avais juste à rester là... Ce la, je me le suis fait dire au poste de quartier sur St-Joseph... A cet endroit aussi, on a refusé de prendre ma déposition, le policier jugeant que j'Étais trop maigre et trop l'air malade (j'avais des cernes sous les yeux et rien à manger, overstressé par la procédure et le genre de réponses que je me faisais faire
Bonjour Monsieur Kaestlé,
Si vous prenez le temps de lire quelques documents disponibles sur le site de l'organisme Pro-Gam que vous mentionnez dans votre texte (http://www.pro-gam.ca/pages/fr/documentation.php?lang=FR, et notamment le texte de Monsieur Bélanger datant de 2002 « Au nom du bien: Réflexion sur l’effet polarisant de la violence, ses impacts sur les thérapeutes et les organisations »), vous verrez qu'il y dénonce une forte pression de la société (police, justice, féministes, etc.) sur la question de la violence masculine et la difficulté que ça peut représenter pour les psychologues qui essayent d'aider ces personnes-là. Donc, Monsieur Bélanger plutôt partage avec vous quelques opinions sur ce sujet. Je vous invite à consulter ces documents, vous trouverez ça sans aucun doute fort intéressant et utile.
Je vais juste brièvement citer M. Bélanger : « Dès mes tous débuts dans le domaine, j'ai été frappé par la ferveur et le dévouement avec lesquels ls intervenants de tous les secteurs s'attaquaient à la problématique (de la violence conjugale). Les militantes féministes en avaient fait leur cheval de bataille dans leur lutte pour l'égalité des femmes. Elles firent pression sur le gouvernement qui fit pression sur les juges, les procureurs de la couronne et les corps de police. Les services pour les conjoints violents furent pour leur part l'objet de pressions des groupes de femmes et du système judiciaire en général. »
Merci de vos commentaires et de cette référence.
Je vous prie de recevoir mon appréciation sur votre article et aussi, j'aimerais ajouter quelque chose, si vous le permettez. Il est rare d'observer des désaccords et de la violence, lorsque dans une discussion, il y a des questions qui offrent la liberté de choix à l'autre !
Toute notre vie, nous avons exécuté les ordres des autres et nous avons à notre tour, donné des ordres aux autres. L'habitude est tellement profonde, que ça prendrait un miracle pour en prendre conscience. Dites-moi ce qu'il faut faire, dites-le moi pour l'amour du ciel ! Comprenez-vous ?
Ce n'est pas parce que l'autre personne est votre enfant, votre conjoint ou est un employé, que l'amabilité n'existe plus, ni la possibilité de vous dire non en toute liberté, sans condamnation ! Est-ce que notre volonté ne devrait-elle pas être la volonté de l'autre aussi ? Pourquoi obliger l'autre, quand la liberté de choix, que nous donnons à l'autre, apporte des résultats magnifiques ?
La motivation d'agir n'est pas dans un ordre ni dans une action, mais bien dans une question.
Qu'en pensez-vous ?
http://www.relationplus.org/2015-connaissance/violence-verbale.html
Enregistrer un commentaire