Il n'en est pas question dans nos médias québécois, comme c'est le cas pour la plupart des événements en lien avec la condition masculine, mais le Printemps des pères connaît en France un intérêt certain, au fur et à mesure que des pères excédés par l'injustice des lois familiales françaises recourent à des moyens spectaculaires pour arriver à sensibiliser l'opinion publique.
L'incident de ces pères, privés de contact avec leurs enfants, juchés au sommet de grues en février dernier a été l'amorce d'un mouvement qui a connu un retentissement international, n'en déplaise à nos médias obnubilés par une rectitude politique digne du Conseil du statut de la femme. De tels faits d'armes ne sont pas sans évoquer le geste d'éclat d'un certain Andy Srougi qui avait bloqué en 2005 le pont Jacques-Cartier, afin de dénoncer les mêmes iniquités vécues par nombre de pères québécois.
Nicolas Moréno, père à grue. |
On comprend que semblables événements viennent perturber la quiétude des féministes radicales françaises, aussi soucieuses que nos activistes québécoises de préserver des privilèges étatiques, tant légaux que monétaires, si chèrement acquis au prix de luttes héroïques. La simple perspective d'entrevoir des hommes opprimés demeure contraire à l'ordre sociétal qu'elle ont voulu imposer. Pour l'instant, ces militantes bourdonnent fébrilement comme des guêpes surprises dans leur nid par quelques bonnes dégelées d'insecticide. Comment faire taire ces hommes, empêcheurs de tourner en rond (tourner en rond reste l'une des activités préférées des féministes étatiques) ? Que faire pour éteindre l'incendie médiatique que ces béotiens viennent d'allumer ?
Vers un nouveau complot patriarcal...
Parmi les présumés whistle blowers de ce nouveau complot patriarcal n'existant que dans leurs esprits surchauffés, mentionnons Patrick Jean, ce documentariste persuadé qu'il ne pourra retourner au Québec, après avoir abusé de la confiance de masculinistes québécois, sans s'exposer aux représailles d'une milice armée ! Toujours en proie aux mêmes lubies, Jean affirmait récemment que les associations masculinistes misogynes préparaient des actions coup de poing dans toute la France ce jeudi 21 mars. Elles avaient selon lui planifié d’escalader grues et monuments pour alerter les médias et pour véhiculer des idées réactionnaires à caractère homophobe, misogyne et raciste. À Paris, leur projet aurait été, toujours selon ce douteux informateur, de monter sur la Tour Eiffel pour y déplier une banderole.
Nous imputant à nous, infâmes masculinistes québécois, une part de responsabilité dans ce déferlement de revendications, le cinéaste prétend observer notre influence pernicieuse en territoire français depuis qu’il a tourné au Québec La Domination masculine, sorti en 2009, pathétique long-métrage féministe pour lequel il s’est infiltré dans les milieux qualifiés par lui de masculinistes à Montréal.
Ce collectif ayant pour dénomination Un parent de trop, qui rassemble une vingtaine de membres, a déjà été reçu le 6 mars dernier par la présidente du tribunal du Puy-en-Velay et participera prochainement à la marche des pères, une action nationale organisée à Paris le 9 juin prochain. Vite, M Jean courrez vous cacher sous votre lit, en récitant votre chapelet, le cul à l'air, de crainte qu'un vilain masculiniste ne vienne vous y traquer, armé d'une kalachnikov...
L'imposture du féminisme universitaire
J'ai déjà dénoncé le féminisme universitaire, si déviant qu'il est impossible, dans nos universités québécoises, de discuter de condition masculine autrement qu'à travers le prisme déformant de l'habituelle ritournelle d'un mouvement d'extrême droite, frustré des percées légitimes des femmes et désireux de les ramener à l'âge des cavernes, à mâcher des peaux d'animaux et à faire la lessive avec une planche au coin d'une rivière. Mes seuls contacts avec un universitaire français, Romain Carnac, basé à l'université de Rennes, ne m'ont pas convaincu que la situation était plus reluisante en France, mais je reste ouvert à un point de vue différent. Ce doctorant tient des thèses aussi réactionnaires à la nécessaire reconnaissance de la condition masculine qu'un certain Francis Dupuis-Déry, directeur du Groupe interdisciplinaire d'observation de l'antiféminisme, à l'UQÀM. C'est tout dire.
Une doctorante en sociologie à l'Institut universitaire européen, Aurélie Fillod-Chabaud (AFC), n'a pas donné sa place, au chapitre de la désinformation et de la négation d'une problématique pourtant évidente. Comme c'est l'habitude chez les féministes militantes, quand une réalité leur déplait, qu'il s'agisse de violence féminine, de fausses accusations, du syndrome d'aliénation parentale, de parité homme femme en violence conjugale, la négation de l'évidence la plus manifeste est de mise. Vous l'aurez deviné, c'est le drame des pères privés de leurs enfants - et des enfants privés de leur père - qui se voit à son tour nié avec la plus consternante mauvaise foi.
Elle enchaîne avec cette autre question : (...) demandons-nous si la justice aux affaires familiales est à l'origine de la rupture du lien parental. Excellent questionnement, cette fois. Oui, en quoi la perspective probable d'une pension alimentaire, parfois à vie, la facilité avec laquelle une femme peut exiger et obtenir le remboursement de frais additionnels, et la garantie presque béton pour la mère de conserver la garde de ses enfants peuvent bien favoriser la rupture d'un lien parental ? Franchement, je ne vois pas...
Se fermant les yeux devant semblable évidence, AFC poursuit sur sa lancée, commentant le fait que 70 % des mères ont la résidence de leurs enfants : (...) ce pourcentage n'est en aucun cas lié à un jugement arbitraire du juge mais bien à un accord des deux parents. Vous connaissez l'expression Mieux vaut un mauvais arrangement qu'un bon procès ? Elle connaît ici son heure de gloire, mais bien sûr, aux yeux d'idéologues comme cette doctorante, tout va bien, madame la marquise...
Connaissant les réserves et les appréhensions légitimes des hommes à entreprendre des procédures judiciaires quand la bataille s'annonce ardue, sinon perdue d'avance, que vaut la prochaine affirmation d'AFC : (...) seuls 2% des divorces et 6% de séparations se soldent par un désaccord sur la résidence des enfants, obligeant le juge à statuer selon l'intérêt de l'enfant. Ces prétentions deviennent biodégradables...
S'ensuit un nouveau questionnement, particulièrement tendancieux : Comment un catégorie statistique si infime peut-elle être surreprésentée à ce point par des associations (de pères NDA) ? Cette question me paraît aussi pertinente que de remettre en question la nécessité de secourir les victimes de viol sous prétexte qu'elles ne représentent qu'une minorité. AFC réalise-t-elle l'aberration de son propos ?
Une véritable enquête devient incontournable
Je terminerai cette chronique avec la conclusion de l'article émaillé de non-sens et de fausses affirmations d'AFC. Après s'être demandé pourquoi, selon elle, pères et mères s'entendent pour que, aussi bien avant qu'après la désunion du couple, les mères restent les principales garantes des enfants, la doctorante lance cette affirmation hasardeuse : Plutôt que de s'engager vers une remise en cause profonde de l'ordre sexué, le pouvoir de la grue semble s'accommoder de celui déjà en place.
Pour le plaisir d'argumenter, je remplacerais, dans cette phrase lapidaire, pouvoir de la grue par pouvoir du féminisme d'État. Devant le penchant marqué par les idéologues du même tonneau qu'AFC pour le statu quo juridique, ne serait-il par plus pertinent de reformuler ainsi la conclusion de son texte : Plutôt que de s'engager vers une remise en cause profonde de l'ordre sexué, le pouvoir du féminisme d'État semble s'accommoder de celui déjà en place.
Pas mal plus exact, non ?
Vers un nouveau complot patriarcal...
Parmi les présumés whistle blowers de ce nouveau complot patriarcal n'existant que dans leurs esprits surchauffés, mentionnons Patrick Jean, ce documentariste persuadé qu'il ne pourra retourner au Québec, après avoir abusé de la confiance de masculinistes québécois, sans s'exposer aux représailles d'une milice armée ! Toujours en proie aux mêmes lubies, Jean affirmait récemment que les associations masculinistes misogynes préparaient des actions coup de poing dans toute la France ce jeudi 21 mars. Elles avaient selon lui planifié d’escalader grues et monuments pour alerter les médias et pour véhiculer des idées réactionnaires à caractère homophobe, misogyne et raciste. À Paris, leur projet aurait été, toujours selon ce douteux informateur, de monter sur la Tour Eiffel pour y déplier une banderole.
Nous imputant à nous, infâmes masculinistes québécois, une part de responsabilité dans ce déferlement de revendications, le cinéaste prétend observer notre influence pernicieuse en territoire français depuis qu’il a tourné au Québec La Domination masculine, sorti en 2009, pathétique long-métrage féministe pour lequel il s’est infiltré dans les milieux qualifiés par lui de masculinistes à Montréal.
Patrick Jean |
Finalement, l'action des pères rebelles aura été des plus pacifistes, bien que subversive, avec pour but avoué de demander au gouvernement français de réagir concrètement et rapidement à ce problème de société, des pères divorcés privés de leurs enfants. Ces militants auront mené une action symbolique au Puy-en-Velay, en affichant plusieurs banderoles au sommet d'une grue du chantier du musée Crozatier, pour s'inscrire concrètement dans le mouvement national intitulé Le printemps des pères. On constate sans peine toute la dangerosité terroriste d'une telle association coup de poing...
Ce collectif ayant pour dénomination Un parent de trop, qui rassemble une vingtaine de membres, a déjà été reçu le 6 mars dernier par la présidente du tribunal du Puy-en-Velay et participera prochainement à la marche des pères, une action nationale organisée à Paris le 9 juin prochain. Vite, M Jean courrez vous cacher sous votre lit, en récitant votre chapelet, le cul à l'air, de crainte qu'un vilain masculiniste ne vienne vous y traquer, armé d'une kalachnikov...
L'imposture du féminisme universitaire
J'ai déjà dénoncé le féminisme universitaire, si déviant qu'il est impossible, dans nos universités québécoises, de discuter de condition masculine autrement qu'à travers le prisme déformant de l'habituelle ritournelle d'un mouvement d'extrême droite, frustré des percées légitimes des femmes et désireux de les ramener à l'âge des cavernes, à mâcher des peaux d'animaux et à faire la lessive avec une planche au coin d'une rivière. Mes seuls contacts avec un universitaire français, Romain Carnac, basé à l'université de Rennes, ne m'ont pas convaincu que la situation était plus reluisante en France, mais je reste ouvert à un point de vue différent. Ce doctorant tient des thèses aussi réactionnaires à la nécessaire reconnaissance de la condition masculine qu'un certain Francis Dupuis-Déry, directeur du Groupe interdisciplinaire d'observation de l'antiféminisme, à l'UQÀM. C'est tout dire.
Une doctorante en sociologie à l'Institut universitaire européen, Aurélie Fillod-Chabaud (AFC), n'a pas donné sa place, au chapitre de la désinformation et de la négation d'une problématique pourtant évidente. Comme c'est l'habitude chez les féministes militantes, quand une réalité leur déplait, qu'il s'agisse de violence féminine, de fausses accusations, du syndrome d'aliénation parentale, de parité homme femme en violence conjugale, la négation de l'évidence la plus manifeste est de mise. Vous l'aurez deviné, c'est le drame des pères privés de leurs enfants - et des enfants privés de leur père - qui se voit à son tour nié avec la plus consternante mauvaise foi.
Aurélie Fillod-Chabaud |
Dès le début de son article, AFC biaise le propos : Dès lors, plutôt que de nous demander pourquoi les pères n'ont pas la garde de leurs enfants après le divorce, demandons-nous s'ils la réclament. À cette question, on pourrait répliquer sans hésiter par une autre : Pourquoi ne la demandent-ils pas ? Le premier quidam venu sait très bien que le père part perdant devant la mère devant la justice et devra, pour conserver le contact avec ses enfants, livrer une lutte acharnée, onéreuse, éprouvante émotionnellement, sans aucune garantie de succès, les juges entretenant un préjugé favorable envers les mères. Est-il possible qu'une chercheuse universitaire vive à ce point dans une tour d'ivoire sans avoir constaté pareille évidence ? Semblable ignorance - délibérée - est impardonnable.
Elle enchaîne avec cette autre question : (...) demandons-nous si la justice aux affaires familiales est à l'origine de la rupture du lien parental. Excellent questionnement, cette fois. Oui, en quoi la perspective probable d'une pension alimentaire, parfois à vie, la facilité avec laquelle une femme peut exiger et obtenir le remboursement de frais additionnels, et la garantie presque béton pour la mère de conserver la garde de ses enfants peuvent bien favoriser la rupture d'un lien parental ? Franchement, je ne vois pas...
Se fermant les yeux devant semblable évidence, AFC poursuit sur sa lancée, commentant le fait que 70 % des mères ont la résidence de leurs enfants : (...) ce pourcentage n'est en aucun cas lié à un jugement arbitraire du juge mais bien à un accord des deux parents. Vous connaissez l'expression Mieux vaut un mauvais arrangement qu'un bon procès ? Elle connaît ici son heure de gloire, mais bien sûr, aux yeux d'idéologues comme cette doctorante, tout va bien, madame la marquise...
Connaissant les réserves et les appréhensions légitimes des hommes à entreprendre des procédures judiciaires quand la bataille s'annonce ardue, sinon perdue d'avance, que vaut la prochaine affirmation d'AFC : (...) seuls 2% des divorces et 6% de séparations se soldent par un désaccord sur la résidence des enfants, obligeant le juge à statuer selon l'intérêt de l'enfant. Ces prétentions deviennent biodégradables...
S'ensuit un nouveau questionnement, particulièrement tendancieux : Comment un catégorie statistique si infime peut-elle être surreprésentée à ce point par des associations (de pères NDA) ? Cette question me paraît aussi pertinente que de remettre en question la nécessité de secourir les victimes de viol sous prétexte qu'elles ne représentent qu'une minorité. AFC réalise-t-elle l'aberration de son propos ?
Une véritable enquête devient incontournable
Les motifs de la non-judiciarisation de causes possibles de revendications paternelles légitimes ne peuvent être connues puis qu’aucune étude n'existe sur la question. Il faudrait impérativement effectuer une vaste enquête statistique sur le sujet, selon le modèle des enquêtes sociales générales de Statistique Canada, qui ont permis d'établir la réciprocité en violence conjugale, au grand dam de nos féministes canadiennes, qui préfèrent les chiffres mensongers du ministère de la Sécurité publique, faisant obstinément passer des signalements pour des infractions. Une étude objective, effectuée par des spécialistes chevronnés, permettrait de recueillir l'opinion des pères, loin de toute interférence indue.
Je terminerai cette chronique avec la conclusion de l'article émaillé de non-sens et de fausses affirmations d'AFC. Après s'être demandé pourquoi, selon elle, pères et mères s'entendent pour que, aussi bien avant qu'après la désunion du couple, les mères restent les principales garantes des enfants, la doctorante lance cette affirmation hasardeuse : Plutôt que de s'engager vers une remise en cause profonde de l'ordre sexué, le pouvoir de la grue semble s'accommoder de celui déjà en place.
Pour le plaisir d'argumenter, je remplacerais, dans cette phrase lapidaire, pouvoir de la grue par pouvoir du féminisme d'État. Devant le penchant marqué par les idéologues du même tonneau qu'AFC pour le statu quo juridique, ne serait-il par plus pertinent de reformuler ainsi la conclusion de son texte : Plutôt que de s'engager vers une remise en cause profonde de l'ordre sexué, le pouvoir du féminisme d'État semble s'accommoder de celui déjà en place.
Pas mal plus exact, non ?
14 commentaires:
Pet peeve of the week.
Tourner en rond et tourner rond.
Quand tout tourne rond, ca va bien. Quand ca tourne en rond, ca ne va nulle part.
Un empecheur de tourner rond, c'est un emmerdeur, un fouteur de merde.
Un empecheur de tourner en rond, c'est celui qui regle les problèmes et s'assure que tout baigne dans l'huile.
Tourner rond=good; tourner en rond= perdre son temps.
M'just sayin'
Malthus
Lorsqu'un couple divorce, ce sont les deux amants qui se séparent, non les deux parents qui restent liés à vie à cause de la présence des enfants. Or, la définition d'un bon parent, c'est celui qui sait reconnaître l'importance de l'autre parent dans l'acquisition de l'identité de l'enfant. Il serait plus que temps que les amants, devenus ennemis intimes, comprennent que ce n'est pas seulement à l'autre parent et à eux-mêmes qu'ils font mal : ils hypothèquent aussi l'avenir de leurs enfants (lesquels représentent généralement le fruit de leur amour). Il serait temps que les deux amants se pardonnent de ne pas avoir été celui qu'ils ou elles espéraient. Le non pardon, c'est comme avaler du poison en espérant que ce soit l'autre qui soit malade.
Yvon Dallaire
Psychologue
Commentaire plein de bon sens et de sagesse, Yvon, et qui devrait être communiqué à tout couple désireux de se séparer, avant de commettre l'irréparable en prenant ses enfants en otage. Merci !
Cher Yvon, faudra promouvoir ta philosophie aux frères musulmans, aux frères africains et aux canadiens anglais et les québécois. Entre la théorie du bon sens et la réalité, il manque des ponts.
Et avant de faire des enfants, il faut devenir très intelligent et responsable.
St-Paul a dit: "Celui qui se mari fait bien. Celui qui ne se mari pas fait mieux."
Que celui qui peux comprendre comprenne. Serge
Serge, si on ne faisait des enfants que dans la mesure où les deux critères que vous évoquez étaient respectés, on assisterait probablement à un problème de dénatalité mondiale. Mais bon, la vie a, semble-t-il, décidé que l'on pouvait se passer de ces prérequis...
Patric Jean, est un gros pervers... avec toutes les caratéristiques d'un gros pervers ! Il a piégé bons nombre de braves gars en les qualifiant de ''masculinistes'' terme vide de sens, de non sens et de contre-sens !
Patric Jean est un imposteur, un escro intellectuel, à la fois misandre et misogyne qui s'est basé sur quelques exemples de machos, pervers et dominateurs destructeur... sans s'inquiéter qu'un grand nombre de femmes pourrissaient la vie des hommes... et encore davantage lorsqu'ils sont papas !
Et dire que ce gros pervers fut financé, pour son film, par de l'argent public belge ! Une honte !
Car son but était bien de créer des bagarres entre les femmes et les hommes à la sortie de son film de merde !
Il y a bien d'autres pervers sexistes et misandres de tous bords... comme Jacqueline Phélip, le Docteur Berger, la psychiatre... Martin Dufrene, et toutes ces associations féministes toxiques pour l'humanité (sexistes et misandres) qui sont très nombreuses... comme Vie Féminine et Femmes Prévoyantes Socialistes (en Belgique) et plus de 100 autres associations toxiques payées avec des subsides publics belges !
En France... et en Belgique, les mouvements féministes toxiques répandent des mensonges tels que ''1 femme sur 5 vit avec un criminel'' ou ''90 % des femmes subissent la violence de leurs conjoints... sans soulever les indignations des pères et des mères de familles... Cela nous tombera encore plus sur la gueule si nous ne réagissons pas !
En France, des mamans privées injustement de leurs enfants... vont entamer des actions spectaculaires ! Que dira Patric Jean et ses acolytes ?
Oui, ces mamans sont aussi privées injustement de leurs enfants (comme nous les papas) car des juges ont mal appréciés (comme chez nous) les situations conflictuelles et en particulier, les fausses accusations portées contre les pères ou contre les mères ! Et les ''Experts Psys'' (pour la plupart des apprentis sorciers) se trompent trop souvent... La situation actuelle est pire qu'il y a 20 ans !
En France, il y a 70.000 divorces avec enfants... (chiffre INSEE 2006)... et si l'on compte 60 % de conflits avec accusations fondées et fausses accusations (+-70 %) on peut appréhender le nombre de papas et de mamans qui sont lésés par cette justice perverse !
Sans compter, aussi plus que 34 % des enfants du divorce ne voient plus jamais leur père ! (INSEE)
http://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/02/10/societe-alienee-insee-34-des-enfants-ne-voient-plus-jamais-leur-pere/#comment-3714
Sans compter, non plus, qu'il y a 1,3 millions de papas qui ne voient plus leurs enfants...
Un génocide social qui n'intéresse toujours pas le Législateur et nos élus politiques... Mais un courant d'espoir déferle sur la France depuis novembre 2012, depuis la grève de la faim de Nicolas Moreno, privé aussi injustement de ses enfants !
Michel O. Willekens
Belgique
Expert d'expériences
Plus de 10,000 cas conflictuels en 20 ans
Moi je dirai que... en tant que parent, nous le restons durant tout le reste de notre vie... même si nous ne sommes plus le conjoint de la mère de nos enfants !
Michel O. Willekens
Le Québec a très bien ''cassé'' le mouvement de ces féministes sexistes, misandres (qui font fausse route et toxique pour l'humanité)... en publiant un livre : ''300.000 femmes battues, y avez-vous cru?'' !
On peut donc très bien ''casser'' les mensonges /actions de ces femmes toxiques sans entrer dans une guerre avec elles ! Il ne faut pas qu'elles aient des adversaires comme des ''masculinistes'' pour continuer cette guerre de sexes qu'elles veulent à tout prix !
En ce qui concerne le féminisme toxique, une amie Française m'a donné son avis sur ce mouvement qui détruit les familles...
'' ... en France la guerre féministes/masculinistes est assez / toute nouvelle.. Je pense que les gens ne se rendent pas encore bien compte de ce que c'est...
... j'ai découvert ce féminisme... maintenant il y en a encore plus : OLF. (osez le féminisme)... effectivement, elles classent Elisabeth Badinter dans les ''masculinistes'', elles est désormais leur ennemie, c'est fou... tout ça parce qu'elle n'est pas misandre ni puritaine, etc...
... en France, et ailleurs... OLF a une influence énorme, elles sont partout et elles diffusent à fond la théorie du genre et leur parano (les hommes tous violeurs,etc.). Les gens ne se rendent pas encore compte... le féminisme a toujours une bonne image dans l'opinion publique... alors je fais comme vous, je dénonce leurs excès, leur hystérie, leur misandrie...
... Les françaises d'OLF avec leurs acolytes Patric Jean et quelques autres font juste un copié-collé de ce qui se passe aux US et au Canada; ils reprennent tous les thèmes du féminisme radical outre-atlantique : misandrie, puritanisme, paranoia victimaire délirante, abolitionnisme, jérémiades, lutte obsessionnelle contre le soit-disant patriarcat - qui n'est en réalité que la lutte contre les pères-, et cerise sur le gâteau, vielles lunes marxistes remises au gout du jour... C'est intéressant.
Ces associations sont subsidiées avec l'argent public...
Par leurs impôts, les hommes les paient donc pour être diabolisés ! Et les pères sont doublement lésés : par ces féministes et par cette justice qui est le bras armé de ce féminisme toxique pour l'humanité... sexiste, misandre... qui fait fausse route !''
Un excellent article de Elisabeth Badinter... à lire aussi
"L'homme n'est pas un ennemi à abattre"
http://www.lexpress.fr/culture/livre/l-homme-n-est-pas-un-ennemi-a-abattre_818755.html
Bravo pour ton article, Olivier ;-)
Michel O. Willekens
Pourquoi illustrer de la photo de Nicolas MORENO à l'égo surdimensionné un article sur la grue jaune que l'on ne doit qu'au discret Serge CHARNAY?
MORENO ne s'est pas privé de l'insulter, de le traiter de misogyne et autre... un travail de sape systématique organisé avec son équipe de proches!
Belle image!
Pourquoi raconter des bobards ? Nicolas MORENO à l'égo surdimensionné ? Et quoi encore ? Il n'a vraiment pas l' ego surdimensionné !!! Mais il a eu le courage de faire la grève de la faim de +- 1 mois... en novembre 2012 (si j'ai bonne mémoire) comme moi, en 1995 !
Il a ensuite eu le courage de grimper sur une grue ! Serge a suivi... aussi courageusement ! Malheureusement, si l'entente ne semble pas se passer le mieux possible... entre ces 2 papas privés de leurs enfants... il faut quand même savoir qu'ils sont écorchés vifs !
C'est aussi une des raisons de leurs échecs s'ils tentaient de refaire leurs vie avec une nouvelle femme ! Car, selon les statistiques... ils ont +- 75 % d'échec ! Il faut le savoir !
Moi aussi, je pourrais être en pétard avec plusieurs papas privés injustement de leurs enfants... dont certains sont quand même de gros pervers... mais je sais qu'ils souffrent... et je prends patience. J
Bientôt j'inviterai 2 papas au resto... et à faire une belle balade sur la Grand' Place de Bruxelles ! Cela leur fera du bien ! (Will)
Oui, Michel, Patrick Jean trouve le moyen d'attirer sur lui une attention inversement proportionnelle à sa crédibilité, inexistante. Merci pour tes commentaires étoffés et documentés, indéniablement un plus pour ce blog.
C'est certainement par la cohésion et la concertation que nous parviendrons à déjouer les fumistes qui prétendent parler au nom des femmes tout en ignorant délibérément certaines des dérives qui les menacent, comme la montée de l'islamisme.
Il importe plus que jamais d'afficher un front uni devant les dérives du féminisme d'État, si nous ne voulons pas que ses représentants n'utilisent certaines divergences secondaires pour nous enfoncer. Nous devons persévérer et aller droit à l'essentiel, afin qu'il devienne visible pour tous les yeux... Salutations. ;-)
Ce que je trouve terrible et un rien déprimant, c'est la quasi-absence de résistance en France, à l'inverse de chez vous ; on a vraiment l'impression de crier dans le désert! ça rappelle inévitablement la montée du nazisme en Allemagne dans les années 20. Combien croyaient à la solution finale? Peu, on haussait les épaules d'un air désabusé en soupirant et en disant que tout finirait par se calmer... On a vu. Aujourd'hui, pour moi, il est clair que ces féministes radicales et misandres veulent ni plus ni moins parvenir à la suppression physique des hommes : mais cette fois-ci, pas de camps, pas de barbelés, pas de fours : juste la propagande, le lobbying, la prise de pouvoir : leur grande trouvaille, c'est d'amener les hommes à se supprimer eux-mêmes en les décourageant de vivre ; un jour ou l'autre, la génétique permettra de fabriquer un enfant à partir de la seule mère... A votre avis, quel en sera le sexe?
J'aimerais tant pouvoir vous contredire et affirmer que vous exagérez. Ce serait mentir. Un seul bémol : au Québec, le féminisme se montre moins agressif en visibilité qu'en France, mais n'en demeure pas moins très puissant et toxique pour le tissus social. Il faut cependant admettre qu'une prise de conscience citoyenne émerge de plus en plus et que nos féministes d'État devront rendre des comptes. Le plus tôt sera le mieux, devant les dommages collatéraux accumulés.
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