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Inna Zhvanetskaya |
Et c’est dans un pays présumément démocratique et
respectueux des droits de ses citoyens que cet événement surprenant se déroule,
soit l’Allemagne. En effet, les
autorités allemandes, sans doute pétries des intentions les plus bienveillantes,
ont jugé pertinent de faire interner une survivante de l’holocauste, Inna
Zhvanetskaya, une Juive ukrainienne de 85 ans, et de lui administrer par la
force, si nécessaire, deux doses de vaccin contre la covid. Tout ça bien sûr dans son meilleur intérêt.
Vous avez bien lu.
Les mauvaises habitudes meurent difficilement
Les mauvaises habitudes meurent difficilement,
semble-t-il, ce qui a amené le site Report24, à l’origine du scoop de cette
nouvelle affligeante, à poser cette
question aussi insolente que justifiée : « La vaccination forcée des Juifs est-elle
une bonne vieille tradition allemande ? »
Le même site renchérit :
« Tout information
additionnelle qui peut et doit être rapportée à propos de ce cas est consternante,
puisqu’elle démontre que, dans le pays de la Shoah, certains descendants de ses
perpétrateurs ont appris bien peu ou rien du tout. »
Pas de danger que pareille atteinte aux droits humains ne
survienne chez nous, direz-vous. Pourquoi
ne pas vous demander à quoi pourraient bien servir les sites d’isolement
« volontaires » que Justin Trudeau a fait construire à travers tout
le pays au cours des deux dernières années ? J’avais déjà traité ce sujet dans ce billet, dont la lecture pourrait
vous fournir des éléments de réponse.
Menacée d’être internée
« pour son bien »…
Une
ordonnance de tribunal vient donc d’autoriser les autorités allemandes à
retirer contre son gré la musicienne de son domicile de Stuttgart en vue de
l’interner dans un établissement psychiatrique, bien sûr, « pour son
bien », selon l’expression consacrée et ô combien hypocrite justifiant
trop souvent l’injustifiable.
Heureusement
pour elle, des alliés sont venus à son secours et l’hébergent présentement dans
un lieu resté secret. Apparemment, même
la musique serait une nuisance pour sa santé mentale, aurait décrété le
tribunal, sans doute sous les judicieux conseils de soi-disant experts. Une vidéo, enregistrée dans sa cachette, et
recueillie par le site Report24, la présente, affirmant :
« La musique, c’est ma vie, et s’ils m’enlèvent
la musique, ils m’enlèveront ma vie. »
Le
site Report24 précise :
« Selon le verdict émis par le juge
du district judiciaire de la cour de Stuttgart-Bad Cannstatt, la réclusion de Mme
Zhvanetskaya au sein d’un hôpital psychiatrique
ou d’un établissement de soins de santé a été approuvée par le soignant de
garde jusqu’au 5 décembre 2024, au plus tard.
Dans l’intervalle, deux doses de vaccin contre la covid (coronavirus)
aux fins d’immunisation de base ont été approuvées en tant que mesures médicales
imposées, à chaque fois après examen de l’aptitude à vacciner, jusqu’au 16
janvier 2023, au plus tard, avec le consentement du soignant de garde. »
Un
juge déconnecté
Le
jugement précise que la vaccination forcée de la musicienne est, on les croit
sur parole, nécessaire au bien-être de la personne visée afin d’éviter des
« dommages significatifs pour sa santé ». À notre époque où les morts subites
« inexpliquées » se multiplient et que la surmortalité devient de
plus en plus endémique dans les pays les plus vaccinés, on cherche en vain sur
quelles bases scientifiques s’appuie le juge à l’origine de ce verdict digne
d’une dictature sanitaire.
Or,
voilà le souci : Mme Zhvanetskaya, faisant
preuve de bon sens, ne croit pas aux bienfaits de la vaccination, contrairement
au magistrat qui, lui, considère que les bénéfices de cette mesure plus que
douteuse surpassent les inquiétudes de la dame.
Encore un égaré qui s’appuie sur un improbable « consensus
scientifique » qui relève davantage de la manipulation médiatique que de
la réalité. Autant confier à une
danseuse topless le soin de se prononcer sur un problème de chirurgie du
cerveau.
Vague de sympathie
Le site Report24, qui le premier a publié cette nouvelle effarante, souhaite qu’elle soit relayée le plus possible.
Plusieurs
personnalités et organismes voués à la santé et à la liberté de choix se sont
insurgés contre ce verdict pour le moins inquiétant, qui semble constituer un
précédent et qui pourrait faire jurisprudence.
La society of physicians and scientists for
health, freedom and democracy, a publié la lettre ouverte d’une autre femme juive
vivant en Allemagne, qui conjure la cour de Stuttgart de réviser sa décision.
Parmi les voix qui protestent contre cette aberration, mentionnons
ces deux porte-parole :
Le docteur Bodo Shiffmann, qui enjoint ses lecteurs à partager au
plus grand nombre la nouvelle de cette situation, a déclaré :
« Cette femme, une survivante de
l’holocauste en Allemagne, a consciemment décidé qu’elle ne voulait pas de ce
vaccin et se voit maintenant assujettie à une mesure de contrainte médicale. »
De son côté, Beate Bahner, auteure et avocate spécialisée en droit
médical, s’est indignée :
« Cette décision est un gigantesque
scandale judiciaire. Exécutable
immédiatement ! Demain, la compositrice
sera raflée. Ensuite, elle sera vaccinée
demain midi, et, en plus, elle sera probablement sédatée avec médication. Je suis abasourdie. Un avocat (Holger Fischer) a déjà porté
plainte. Cependant, ceci n’empêche pas
le pouvoir judiciaire et policier d’exécuter immédiatement cette décision
scandaleuse. Ce cas doit être communiqué
au public et aux médias. Tout le monde
doit agir ! »
Moment de répit
Pour le moment, Mme Zhvanetskaya, toujours hébergée dans un lieu tenu secret, connaît un moment de répit, mais
pour combien de temps ? Son cas nous paraît
lointain, mais il évoque tout de même une problématique mondiale, celle de la
coercition sanitariste et du fanatisme vaccinal. Pensons au chantage éhonté que François Legault
et Justin Trudeau ont exercé sur le peuple québécois et à la démonisation fortement
médiatisée qu’ils ont infligée aux non vaccinés.
Ces crapules sont allées jusqu’à menacer de perdre leur emploi des
employés dépendant d’eux pour vivre s’ils ne se faisaient pas vacciner. Même nos enfants ne sont plus à l’abri de
leur démence sanitaire depuis que le sous ministre de la Santé, Lionel Carmant,
a supprimé le principe de primauté parentale, ce qui pourrait permettre à l’État
de vacciner votre progéniture sans votre consentement.
Trudeau et Legault en arriveront-ils par ailleurs à s’abaisser au même niveau que les autorités allemandes ? Il est à souhaiter que non, mais rien, désormais, n’est garanti.
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