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Sébastien Potvin, alias Barbada |
Barbada commence son allocution ainsi :
« - LGBTQI2A+. Ok, moi, faut que j’essaie de vous expliquer ça, là ? »
Euh, non, qui te demande d’expliquer quoi que ce soit à qui que se soit ? Il poursuit :
« Bon ! Ce sera pas super simple, mais tiens-toi bien, on part ! »
Pour les enfants, bien au contraire, la vie est « super simple » : il y a les gars et les filles, qui deviennent plus tard des hommes et des femmes. C’est aussi simple que ça. Pourquoi veux-tu leur compliquer la vie ? Pourquoi semer la confusion dans leurs esprits candides et sans défense ? Pourquoi ne pas les laisser être des enfants ? Quel est le but de ton initiative ?
Barbada et le masturbate-a-thon
Note à nos dirigeants et commentateurs : ne me faites pas croire que vous ignorez toujours à l’heure actuelle que Barbada, de son nom véritable, Sébastien Potvin, organisait dès 2013 à Montréal un masturbate-a-thon, dont les profits devaient être versés à une maison de jeunes. C’est cet individu dont vous cautionnez les « doctes » enseignements auprès des enfants du Québec ?
Mais poursuivons avec la suite de son
discours si révélateur, à défaut d’être intéressant :
« - LGBTQI2A+.
C’est un acronyme qui rassemble les différentes
orientations sexuelles, les identités de genres et les expressions de genres. Euh
! Eh boy, OK. »
Message à Gaétan Barrette, Régine Laurent ou Patrick
Lagacé, parmi plusieurs autres idiots utiles du wokisme ambiant, qui font
semblant d’ignorer la dimension sexuelle du discours de Barbada, comme s’il s’en
tenait au Petit chaperon rouge ou à La Belle au bois dormant :
comment arrivez-vous à ne pas voir la dimension éminemment sexuée du discours
de votre idole ?
Message à « Barbada » : Franchement, Sébastien,
les jeunes t’ont complètement perdu à partir de… « acronyme » ! Je doute qu’ils saisissent le sens de 90 % de
tes aberrations. En revanche, tu auras
atteint un objectif : semer la confusion chez des esprits naïfs et
vulnérables, qui ont plutôt besoin de se construire à partir de modèles
inspirants.
Paraîtrait que les demandes de consultations en psychologie
pédiatrique seraient à la hausse, ces temps-ci.
Pas surpris.
La déconstruction des
enfants
Un drag queen n’a rien d’un modèle inspirant, bien au contraire. Sous le prétexte apparemment noble de « déconstruire les stéréotypes », ce sont les enfants que tu déconstruis, et c’est très grave, pour ne pas dire criminel.
Continuons ton délire :
« Là,
on va essayer de faire ça simple, parce que c’est quand même un peu complexe. En fait, chaque lettre de l’acronyme (sic !)
désigne une orientation sexuelle ou une identité de genres. »
Toujours aucune allusion sexuelle, les curés de la bien-pensance ? Est-il possible que vous soyez à ce point
bouchés ? J’ai pris la précaution
de mettre certains concepts en gras pour être sûrs que vous les identifiez, à
défaut de les comprendre, parce qu’on ne peut pas dire que vous soyez d’une
vivacité intellectuelle optimale…
En passant, Sébastien, il n’y a rien de complexe dans ton
propos. Tout y est au contraire
compliqué, au sens de réalités qui auraient dû rester simples, mais que tu
compliques artificiellement. Tu continues :
« Le L
pour lesbienne, le G pour gai, le B pour bisexuel, le Q pour queer, le I pour
intersexuel, le 2 pour two-spirited, le A pour asexuel et le +, en fait, c’est
pour rassembler tous les autres genres ou expressions de genres ou identités de
genres, qui ne seraient pas définies par cet acronyme. »
Charabia idéologique
Ouf ! Tu
crois vraiment que des gamins de 5, 6, 7 ans peuvent te suivre à travers un
pareil charabia, à travers pareil capharnaüm mental qui ne repose sur aucune
science véritable, hormis la fumisterie des études de genres ? Mais tu ne t’arrêtes pas en si bon chemin :
« - LGBTQI2A+, c’est un terme pour
rassembler tout ça, un terme pour te montrer que c’est pas toujours juste noir,
ou juste blanc, il y a plein, plein, plein de couleurs différentes et plein
de personnalités et d’orientations sexuelles différentes. »
Quel exposé déjanté et risible ! Qu’il faille expliquer la toxicité d’un tel
discours et son impact abrasif sur des enfants sans défense au motif en soi
louable, mais ici détourné, de respect de la différence, dépasse l’entendement.
Le Québec déteste ses
enfants.
Ce n’était pas assez de leur imposer un masque inutile,
voire nuisible, sept heures par jour, cinq jours par semaine, et de les avoir
vaccinés sans nécessité en les culpabilisant de mettre grand-maman en danger s’ils
refusaient ? Encore faut-il qu’on
les attaque psychologiquement avec des guignols déguisés grossièrement en
femmes, déversant dans leur esprit candide des fumisteries idéologiques.
Un coupable derrière tout ça : nos dirigeants qui, depuis
plus de trois ans, détruisent à petit feu notre province, et maintenant son
avenir, nos enfants.
Il y a de quoi frémir à la pensée de ce à quoi
ressemblera le Québec de demain si nous ne nous réveillons pas à temps.
C’est-à-dire immédiatement !