Ce 25 novembre, journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes, la Fédération des femmes du Québec (FFQ) a dénoncé ce qu'elle considère comme étant la banalisation de la violence faite aux femmes. Au premier rang des accusés de cette problématique sociale, ainsi décrétée par ces militantes : les « masculinistes » qui tournent en dérision ses propos, quand il ne la poursuivraient pas ou ne la menaceraient pas de poursuites.
Bien que Mme Riendeau ne précise pas de quelle campagne il s'agit, il y a de fortes probabilités qu'il soit question de celle qui avait inondé les médias en 2008. Vous vous souvenez peut-être de cette pub nous montrant une jeune femme qui affirmait sans sourciller qu’« au Québec, une femme sur trois sera la victime d’une agression sexuelle au cours de sa vie ».
Commanditée par le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec au coût de 1,3 M $, cette affirmation troublante était présentée comme une donnée officielle de Statistique Canada. Jean-Pierre Gagnon, de l'Après-Rupture, allait plutôt démontrer à l'animateur Michel Gauthier, le 30 avril 2008, que ce chiffre himalayen provenait en fait d'un sondage de perceptions mené par Isos Reid auprès de 803 répondants. Une information que la ministre titulaire de l'époque, Christine St-Pierre, devait, plus qu'embarrassée, confirmer à l'animateur Sylvain Bouchard, du FM 93.
Est-il possible qu'une ancienne journaliste de Radio-Canada ne puisse faire la différence entre un sondage subjectif et une statistique scientifique ? Comment ne pas parler de duperie et de dopage statistique en pareilles circonstances ? Comment expliquer qu'après avoir menti délibérément au peuple québécois, et avoir été publiquement confondue pour l'avoir fait, Mme St-Pierre soit restée en poste. Des ministres ont été « démissionnés » pour moins que ça.
À l'appui de ses doléances, la FFQ invoque la cyberintimidation, affirmant que 73 % des victimes seraient des femmes. Dans les faits, selon l'Institut de la Statisitque du Québec, à peine 7 % des filles et 4 % des garçons ont affirmé en être victime. Le phénomène deviendrait-il soudainement dévastateur chez les femmes adultes ? Plus qu'improbable. Peut-on parler d'un problème aussi endémique que le prétendent les médias ? Plus qu'improbable encore.
Concédons tout de même que la gent féminine reste la première cible de ce type d'agression, même si les garçons demeurent, et de loin, les premières victimes d'intimidation en général. En effet, sur 63 200 élèves interrogés, 42 % des garçons ont déclaré avoir été intimidés à l'école ou sur le chemin menant de l'école à la maison, en comparaison de 29 % des filles. Cette statistique intéresse-t-elle seulement ces militantes ? Plus qu'improbable.
La statistique présumée de la FFQ, dont la source n'est pas mentionnée, ajoutée à un incident isolé où des lesbiennes ont été « agressées » par un groupe d'hommes - en fait insultées par eux - et le drame - plus sérieux, cette fois - d'une femme battue à mort par son conjoint, les poussent à déclarer que la violence faite aux femmes est un problème de société majeure. Pas de doute, tout geste de violence envers une personne, peu importe le sexe, l'âge, la nationalité ou la religion, reste inadmissible et condamnable.
Alexa Conradi, présidente, et ses acolytes. |
Comme ces militantes refusent d'identifier leurs tortionnaires, « pour ne pas leur faire de publicité », disent-elles, impossible de vérifier cette information, ni par conséquent de la valider. « Des antiféministes ont tenté d'avoir une injonction contre une campagne du gouvernement sur les agressions sexuelles parce qu'ils jugeaient que les statistiques étaient fausses. Et ça a des impacts », a déclaré Louise Riendeau du Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale. Le public commencerait-il à remettre en cause certains diktats par l'exercice d'un nouvel esprit critique ?
Bien que Mme Riendeau ne précise pas de quelle campagne il s'agit, il y a de fortes probabilités qu'il soit question de celle qui avait inondé les médias en 2008. Vous vous souvenez peut-être de cette pub nous montrant une jeune femme qui affirmait sans sourciller qu’« au Québec, une femme sur trois sera la victime d’une agression sexuelle au cours de sa vie ».
Commanditée par le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec au coût de 1,3 M $, cette affirmation troublante était présentée comme une donnée officielle de Statistique Canada. Jean-Pierre Gagnon, de l'Après-Rupture, allait plutôt démontrer à l'animateur Michel Gauthier, le 30 avril 2008, que ce chiffre himalayen provenait en fait d'un sondage de perceptions mené par Isos Reid auprès de 803 répondants. Une information que la ministre titulaire de l'époque, Christine St-Pierre, devait, plus qu'embarrassée, confirmer à l'animateur Sylvain Bouchard, du FM 93.
Est-il possible qu'une ancienne journaliste de Radio-Canada ne puisse faire la différence entre un sondage subjectif et une statistique scientifique ? Comment ne pas parler de duperie et de dopage statistique en pareilles circonstances ? Comment expliquer qu'après avoir menti délibérément au peuple québécois, et avoir été publiquement confondue pour l'avoir fait, Mme St-Pierre soit restée en poste. Des ministres ont été « démissionnés » pour moins que ça.
La violence ne vise que les femmes, naturellement...
À l'appui de ses doléances, la FFQ invoque la cyberintimidation, affirmant que 73 % des victimes seraient des femmes. Dans les faits, selon l'Institut de la Statisitque du Québec, à peine 7 % des filles et 4 % des garçons ont affirmé en être victime. Le phénomène deviendrait-il soudainement dévastateur chez les femmes adultes ? Plus qu'improbable. Peut-on parler d'un problème aussi endémique que le prétendent les médias ? Plus qu'improbable encore.
Concédons tout de même que la gent féminine reste la première cible de ce type d'agression, même si les garçons demeurent, et de loin, les premières victimes d'intimidation en général. En effet, sur 63 200 élèves interrogés, 42 % des garçons ont déclaré avoir été intimidés à l'école ou sur le chemin menant de l'école à la maison, en comparaison de 29 % des filles. Cette statistique intéresse-t-elle seulement ces militantes ? Plus qu'improbable.
La statistique présumée de la FFQ, dont la source n'est pas mentionnée, ajoutée à un incident isolé où des lesbiennes ont été « agressées » par un groupe d'hommes - en fait insultées par eux - et le drame - plus sérieux, cette fois - d'une femme battue à mort par son conjoint, les poussent à déclarer que la violence faite aux femmes est un problème de société majeure. Pas de doute, tout geste de violence envers une personne, peu importe le sexe, l'âge, la nationalité ou la religion, reste inadmissible et condamnable.
Les garçons, vraies premières victimes d'intimidation. |
L'ennui cependant, alors qu'elles parlent de banalisation, réside dans leur entêtement à ne voir que dans les femmes les seules victimes de la violence, la gent masculine se voyant réduite au rôle ingrat d'éternel tortionnaire. S'il ne s'agit pas là de banalisation de la violence faite aux hommes, de quoi s'agit-il ? Après tout, ces derniers ne constituent-ils pas plus de 72 % des victimes d'homicides au pays, selon Statistique Canada ? Pas de sondage de perception ici...
« On ne peut plus parler de la spécificité de la violence envers les femmes sans se faire rappeler qu'il faut aussi des services pour les hommes», a candidement affirmé Diane Matte, de la Concertation des luttes contre l'exploitation sexuelle (CLES), comme s'il s'agissait là de propos blasphématoires. Voilà une militante particulièrement douée pour se tirer dans le pied… S'agirait-il d'auto-violence ?
Des chiffres présentés sans perspectives
Le ministère de la sécurité publique affirme dans son tout dernier rapport de 2012, sorti à temps pour le 25 novembre, que, sur 19 731 présumées victimes de violence conjugale, « les données policières montrent que les femmes sont majoritaires parmi les victimes d’infractions commises dans un contexte conjugal (80 %), leur nombre s’établissant à 15 790 comparativement à 3 941 pour les hommes.»
Ce que ce ministère omet, année après année, de nous préciser, c'est que ces pourcentages concernent des signalements, et non des infractions validées par un verdict de culpabilité. Certains signalements sont fondés, d'autres pas. La difficulté que les hommes éprouvent à dénoncer diminue également d'autant leur représentativité réelle parmi les victimes.
Certains braves ayant osé se plaindre à la police ont déclaré avoir été tournés en ridicule, quand ils n'étaient pas eux-mêmes arrêtés, en vertu du protocole d'intervention en violence conjugale. Cette procédure, pratiquement inconnue du grand public, ne laisse aucun pouvoir discrétionnaire aux policiers. Quand un litige survient entre un homme et une femme, on arrête l'homme automatiquement. La loi, c'est la loi.
Des hommes injustement arrêtés à répétition. |
Certains hommes sont ainsi incarcérés à répétition, par des policiers dont ils connaissent tous les prénoms, qui s'excusent de les cueillir à leur domicile avant de les coffrer pour la nuit ou le week-end. Il s'agit là d'une aberration courante dont les médias ne font jamais mention. Les hommes aux prises avec cette situation dégradante l'endurent le plus souvent pour rester auprès de leurs enfants ou par dépendance affective.
Le ministère de la Sécurité publique émet toutefois un constat étonnant, compte tenu de la perspective discutable de ses interprétations statistiques : « Il est important de souligner que, depuis dix ans, ce taux (de violence faite aux hommes) a augmenté de 36 % tandis que le taux de victimes féminines a crû de 4 %. » En clair, ce chiffre signifie que le nombre officiel de victimes masculines de violence conjugale a cru neuf fois plus vite au cours de la dernière décennie que celui des victimes féminines. Une violence davantage commise ou admise ?Cette statistique ne tient pas compte du fait que les hommes dénoncent peu, ni de la problématique des fausses allégations, impunies dans notre système juridique quand elles sont commises par une femme dans un contexte de violence conjugale ou d'agression sexuelle présumée. Cherchez autant que vous voudrez dans les médias, vous ne trouverez aucun cas de femme reconnue coupable au criminel d'avoir proféré de fausses accusations, hormis la mythomane qui avait menti en se prétendant victime de violence conjugale de la part d'un Éric Lapointe qu'elle n'avait jamais rencontré. Absolument aucun.
Mais voilà, le commun des mortels n'est pas une vedette acclamée comme Lapointe qui, victime d'un crime aussi flagrant laissé impuni, aurait pu soulever dans la population une indignation aussi légitime que contagieuse. Dans ce cas précis, l'enquête policière a été menée avec compétence et l'agresseure, condamnée. Dammage control obligeait. Quand des fausses allégations détruisent cependant la vie d'hommes méconnus, soit la presque totalité des victimes, la justice trahit son rôle de redresseur d'injustice.
Demandez à n'importe quel magistrat ou policier un tant soit peu franc et honnête, et il vous confirmera, probablement à voix très basse et en vous prévenant qu'il ne vous aura rien dit, que la gent féminine bénéficie d'une immunité diplomatique absolue en pareille situation. Imaginez la porte qu'une attitude aussi irresponsable peut ouvrir aux abus et aux ravages causés sur la réputation d'hommes intègres par des femmes vindicatives ou écervelées.
Que penser du silence apathique des médias ? |
Il est clair que ces hommes demeurent les cibles d'une violence banalisée, voire dissimulée, qui passe carrément sous notre écran radar, les médias ne remplissant pas le rôle de défendre le droit du public à l'information dont ils se targuent. Au lieu de cela, les voilà chaque année, fidèles au poste, à jouer aveuglément le rôle de courroie de transmission du discours des groupes féministes qui prétendent que la violence faite aux femmes serait la seule à sévir et, par conséquent, la seule à se voir banaliser.
9 commentaires:
Bravo pour ton blog...Ca fait un peu de bien de voir que d autre pense comme nous dans cette société profondément misandrine..J ai trouvé ton blog presque par hasard...pourtant j ai souvent cherché sur google des site/blog masculiniste..sans aucun succès...tous ce qu on trouve c est des textes de féministe haineuse anti-masculiniste. Y-a-t-il d autre site web ou blog masculiniste quebecois qui existe? Merci.
En passant, tu écris très bien..mieux que moi..tu devrais écrire plus souvent...Moi je vois des sujet presque chaque jour..mais ca...c est moi..hehe
Certains sites voués à la cause des hommes sont disponibles sur ma liste de blogs.
J'écris en moyenne un texte par semaine, repris ensuite sur le Huffington Post.
Merci de tes encouragements.
Dans la même veine, demain (dimanche) on recevra à Tout Le Monde en Parle trois "survivantes"- des mères dont le conjoint a assassiné le(s) enfants et demandant à l'état d'être elles mêmes traitées comme des victimes de crime grave- sorte d'écho plus structuré que de pour quoi milite l'ex de Guy Turcotte.
Le problème, à mon sens, n'est pas tant dans la revendication pour plus de fonds dédiés aux victimes secondaires d'un crime grave- qui n'est pas sans mérite, il faut bien l'admettre- mais bien dans le fait, qu'encore et toujours, on ne nous présente la souffrance que sous un visage féminin, comme si les hommes ne faisaient jamais parti de ces victimes secondaires.
Et pourtant, jusqu'à tout récemment, la femme emportait la palme du filicide, laissant dans leur vague meurtrière moult hommes profondément blessés par la perte sauvage de leurs enfants. Ou seront-ils ces "survivants" demain ;a TLMEP?
Nowhere.
Bien au contraire, afin de s'assurer du biais de perception souhaité (femme victime, homme méchant sans la moindre nuance) on opposera à ces dames deux hommes au pedigree peu reluisant soit par leur réthorique injurieuse, soit par leurs discours blâmant les mères pour les crimes commis par leur ex.
Misandrie formatée, s'il en est une.
Un beau programme que je ne manquerai pas de... manquer.
Malthus
Observations très pertinentes, Malthus. Merci.
J avais remarqué la liste. J ai posé la question au cas ou il y en aurait d autres. C est triste de voir qu il y en a si peu et que la plupart sont maintenant inactif ou effacé. Probablement un cause direct ou indirect de censure ou de notre société sexiste anti-homme. Il y a aussi le blog Gentiblog que je connais mais c est a peu près tout. Je connais aussi un site américain Voiceformen et quelque canal youtube comme BernardChapin ramzpaul PaulElam Stardusk MenOnStrike MRAgreatesthits girlwritewhat manwomanmyth AlainSoral et quelques autres ..mais ca reste très marginal face au pouvoir mass-médiatique étatique énorme des supremaciste-feministe....J utilise ce mot car le féministe moderne n a plus rien a voir avec son origine de l égalité des sexes..c est devenu un mouvement sexiste de domination, de privilège, de double standard et de mépris et dénigrement systématique de l homme..ce citoyen *monstrueux* de 2ieme classe.
Une idéologie qui est maintenant profondément incruster a tout les niveau, elle contrôle les mass-médias, internet (de plus en plus) les gouvernements, la politique, le système judiciaire criminel et matrimonial, la culture, la télé, la publicité, le système d éducation, la *morale social* et j en passe.
Que ce soit des hommes dans certain poste de pouvoir n a plus d importance..car il vont prendre des décision politique ou d entreprise en fonction de plaire aux femmes et lobby féministe d abord et avant tout...on peut voir toute les programmes et lois adopter au Québec et Canada dans les 20 dernières années...les example sont tres nombreux. Je crois qu il ne reste qu une option fasse a ce bulldozer oppressif, c est de s impliquer au plan politique comme crér un parti pour la cause des hommes.
Pour ajouté sur le sujet de l article, j ai été moi même victime de violence conjugale de la part d une ex et menace de son nouveau chum il y a 20ans...J ai pu moi-même constater le sexisme épouvantable du système judiciaire et social que j ai du subir. Ce sexisme fut aussi destructeur et souffrant que les évènements de violence comme tel.
A commencer par le traitement policier qui ont pris 3 appels et 2 semaines avant d intervenir, pour ensuite *oublier* des preuves-photos au procès. Même la procureure de la couronne a été plus hostile envers moi qu envers l accusé avec des remarques scandaleuse genre *Elle peut pas t avoir frappé vu qu elle est plus petite que toi* faut le faire venant d une représentante des victimes. Elle a eu une attitude méprisante tout au long du processus.
Sans compter le fait qu il existait aucun ressource de refuge hébergement pour homme victime a l époque (et probablement encore le cas) J avais appeler au service SOS Violence Conjugale du Gouvernement du Québec...et la téléphoniste m avait cavalièrement répondu que *On s occupe juste des femmes ici* (c est encore le cas sur le site du gouverment)
Je vivais dans l extrême pauvreté a l époque et je ne pouvais pas financièrement déménager et me trouver un nouvel appart...de plus j étais responsable du bail de l appartement, et j avais payé le mois en cours.
La fille en question poussait l odieux jusqu a invité son nouveau chum a coucher a notre appartement...j étais obliger de me refugier dans une petite pièce barré de l appart.. parfois durant 10 heure de temps...car j avais peur des menaces reçu par le chum qui semblait être un violent. Il aura fallu que je me rendre moi même au poste de police après 3 fois pour que les policiers décident de faire quelque chose. Il l ont arrêter pour une petite période de 24h seulement. Heureusement ca correspondait avec le moment ou j avais réussi a trouver un peu d argent et un endroit ou déménager durant son absence.
Le procès fu une véritable farce..ou je me suis senti ridiculisé et j ai eu plus le sentiment d être traité comme accusé que comme victime...La fille a écopé d aucune sentence bien entendu sauf un avertissement a garder la paix et ne pas me contacter pour 1 an.
Cette expérience horrible m a plongé ensuite dans une profonde dépression pour plusieurs année ainsi que causé des problèmes de santé.
Elle faisait des crise de colère régulièrement ou elle me donnait coups de poing et pied..ainsi que m avoir frappé sournoisement avec crayon et fourchette.
Bien que j étais naïf a l époque, j avais quand même conscience de la société sexiste dans lequel je vivais..je savais que si je répliquais ou me défendait le moindrement...c est moi qui allait me ramasser en prison, et ce, pour une véritable sentence et un dossier criminel a vie.
C est ce que notre société sexiste comprend pas quand on nous sert la sauce *Comment ca que tu t es pas défendu ou que elle peut t avoir violenté alors que tu es un homme* Les gens ont pas l air de comprendre qu on se retrouve dans une situation impossible. La seule chose qu on peut faire c est d essayer d évité les coups...et ce quand on les voit venir..ce qui était pas toujours le cas dans mon histoire.
Elle avait un caractère colérique au départ, mais elle est devenu très violente a partir de la rencontre de son nouveau chum qui je crois lui donnait de la drogue. Et les causes de violence était qu elle voulait m expulser du logement même si j en étais le locataire officiel, et que j avais ni argent pour déménager ou endroit ou aller. (Explique pour ceux qui se demandait les pretextes de la violence)
Dommage que l'ont ne tiennent pas compte non plus des cas d'agression commis par les juges dans les cours de justice familial", envers les hommes, digne d'une république de bananes, je vous en signes un papier Olivier.
À l'Anonyme du 3 décembre 2013 14:04.
Un fait demeure, Olivier Kaestlé est celui qui est le mieux structuré et organisé pour faire la démonstration de l'injustice de l'univers misandre du Québec.
Mais, n'hésitez pas à faire le tour des blogues qui en parle.
Merci de votre confiance, Gentil Astineux. J'en profite pour recommander également votre blog, qui présente une parenté de pensées assez proche du mien.
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