Avez-vous remarqué à quel point, si les valeurs changent,
certains comportements
perdurent ? Prenons la bien-pensance,
par exemple. C’est fou comme cette
attitude semble être passée d’un extrême à l’autre au cours des quelque
cinquante dernières années, au point où les parias d’hier sont devenus les
dames patronnesses d’aujourd’hui.
La bien-pensance n'est plus ce qu'elle était... |
Comme
leurs prédécesseurs, les bienpensants « modernes » sont persuadés que leurs
valeurs sont les seules bonnes, que de s’en écarter ne peut mener qu’au chaos
et que toute remise en question de leurs dogmes figés dans le marbre relèvent
de l’hérésie. Ils croient et affirment
le plus sérieusement du monde qu’il vaut mieux réduire leurs opposants au
silence que de tolérer leurs propos décadents, réducteurs, méprisants, quand
ils ne sont pas haineux, selon leurs standards, bien sûr.
Quiconque
tente d’afficher, même sans volonté de provocation, une opinion contraire à leurs idées fixes
qu’ils prennent pour la vérité avec un grand V sera immédiatement pris à partie
et deviendra dans l’instant même la cible d’insultes et de procès
d’intention. Naturellement, aux yeux de
ces sublimes détenteurs exclusifs de vérité, l’interprétation la plus nauséeuse
de vos propos sera toujours la meilleure, même si elle n’a plus rien à voir
avec ce que vous avez dit.
Dans la maison, point de salut !
Nos
bienpensants du temps jadis croyaient dur comme fer que la place d’une femme ne
pouvait se trouver qu’à la maison. Toute
volonté de s’aventurer dans le maléfique marché du travail annonçait un
comportement délinquant, peu compatible avec le destin tracé d'avance de toute
jeune femme de se consacrer à la vocation maternelle et aux soins
prodigués à l’époux.
En
ce début de 21e siècle, ce sont les femmes qui font le choix de
rester à la maison pour élever leurs enfants qui se voient condamnées par nos
bienpensants contemporains. L’indignation
de ces dames patronnesses des deux sexes atteint son paroxysme si d’aventure
une femme ainsi « aliénée » ose déclarer aimer se faire belle pour son homme au
retour du travail…
Non
mais, est-elle assez attardée, celle-là !
Ne voit-elle pas qu’elle joue le jeu du patriarcat oppressant, qu’elle a
abandonné tout libre arbitre, qu’elle n’est devenue qu’une prostituée
exclusive, une bête de somme dont le travail ne sera jamais reconnu, qu’elle
fait le sacrifice de sa carrière, et j’en passe, et des meilleures, sans doute…
Et
moi qui croyais candidement que la vraie libération des femmes résidait dans
leur droit de choisir le style de vie qui leur convient, qu’elles souhaitent
rester à la maison ou conquérir le marché du travail… Sans doute suis-je moi aussi dépossédé de mon
libre arbitre…
Sein-féminisme, riez pour nous…
Duplessis, icône d'une bienpensance révolue... |
Au
temps de Maurice Duplessis et de l’emprise du clergé catholique sur le bon
peuple, une jupe trop courte ou un décolleté plongeant avait vite fait
d’attirer à celle qui osait pareille tenue des qualificatifs peu
flatteurs : putain, guidoune, trainée, salope, fille à matelots, etc. Une jeune fille ou une femme ainsi affublée
courrait le risque de se voir ostracisée et considérée comme une femme « de
mauvaise vie », une fille « facile ». Et
puis, peut-être avait-elle perdue sa virginité avant le mariage ? Juste ciel !
De
nos jours, en partie sous l’influence de cette mode, lancée par les femen, qui
consiste à montrer ses seins partout au nom de l’égalité homme femme, nos
bienpensants, apparemment toujours hantés par notre passé collectif religieux,
semblent croire dur comme fer que le soutien-gorge est resté l’arme ultime du
patriarcat misogyne et toute manifestation de pudeur, la résultante d’une
oppression religieuse fanatisée.
L’argument
« massue » de ces gentils idéologues réside dans le fait que, si les hommes
peuvent se promener torse nu, les femmes devraient avoir le même droit, surtout
en période de canicule. Comme la vaste
majorité des hommes que je connais ou que je croise sur la voie publique, je ne
sors jamais de chez moi sans avoir le torse couvert, pour des raisons
élémentaires et évidentes de pudeur et de respect de ma personne. Que quelques douchebags improvisés ressentent le besoin d’afficher leurs abdos
ne me parait pas une raison suffisante pour les imiter. Mais je suis sans doute cléricalement aliéné.
Le Huffington Post a publié récemment
deux articles sur la revendications des seins nus en public, le premier à
propos d’une initiative prônant ce choix et ayant pour thème GoTopless, instaurée par nul autre que…
Raël (Féministes et extraterrestres, quand les grands esprits se rencontrent…)
et l’autre, rédigé par une journaliste ayant choisi de se promener les seins
nus, sans doute dans le but louable d’écrire une page d’histoire du journalisme
d’investigation, au risque d’attraper un coup de soleil sur les mamelons. Ces articles restent davantage instructifs et
divertissants par les interventions de bienpensants qui les suivent que par
leur contenu.
Mais
les bienpensants ne sont pas toujours d’accord.
Prenez l’exemple de la blogueuse Judith Lussier, d’Urbania, qui se
disait terrorisée (ses propres
termes) par les regards masculins quand elle marchait dans la rue vêtue de sa petite robe blanche. Imaginez comment
elle pourrait se sentir, les seins nus sur la voie publique ? Comment, par ailleurs, afficher des poitrines
féminines dénudées devant le plus grand nombre d’une part, et dénoncer d’autre
part l’hyper sexualisation de nos jeunes filles ? On s'interroge encore...
La
poursuite d’idéaux « élevés » ne va par
toujours de… pair avec la cohérence, apparemment ! Voilà ce qui arrive quand on se prend pour
des agents de changement de notre devenir collectif… Misère !
L’hétérosexualité, une preuve d’homophobie
?
Cette intolérance qui naît de l'intolérance... |
Avant
la Révolution tranquille, la reconnaissance de l’homosexualité restait la
revendication d’esprits jugés dépravés et nécessairement pédophiles. Les malheureux qui osaient afficher pareille
orientation sexuelle se voyaient stigmatisés sur le champ par des âmes
sensibles aussi ulcérées qu’intolérantes.
De
nos jours, c’est à se demander, devant certaines prises de position du lobby
LGBT, invariablement acoquiné avec celui des féministes radicales, si l'on n’est
pas en train d’assister à l’émergence d’une nouvelle tare appelée hétérophobie. En effet, le mouvement qui défend becs et
ongles le mariage gay et l’homoparentalité se révèle curieusement le même qui
s’oppose à la garde alternée, n’hésitant pas à présenter les pères
hétérosexuels comme des batteurs des femmes et des prédateurs pédophiles.
En
France, des slogans plus qu’évocateurs illustrent bien cette tendance hétérophobe :
Mieux vaut une paire de mères qu’un père
de merde ! ou Les lesbiennes font des
parents hors père !
Sous
l’influence de féministes radicales comme Andrea Dworkin et Catharine MacKinnon,
notamment, qui affirment que l’hétérosexualité n’est rien de moins qu’un
instrument d’oppression patriarcale envers les femmes, des bienpensants, sous
le couvert de l’ouverture à la différence, se livrent à de curieuses manœuvres
de prosélytisme homosexuel par le biais des études de genre, cette idéologie
fumeuse qui prétend que l’hétérosexualité n’est pas biologique mais
exclusivement culturelle.
La
fumisterie – pour ne pas parler d’idiotie - voulant qu’on peut choisir son
orientation sexuelle comme on choisi un manteau dans un magasin est en train de
se répandre auprès des enfants des systèmes scolaires suédois, français et,
bientôt, chez nous au Québec. Nos
bienpensants, prenant leurs lubies pour la réalité, semblent davantage
préoccupés par l’idée fixe de prouver leur point de vue absurde que par le
bienêtre des enfants qu’ils risquent de perturber pour longtemps. Ces illuminés ne savent plus faire la
différence entre nécessaire tolérance de la différence quant à l’orientation
sexuelle et prosélytisme forcené.
Haro sur « l’islamophobie » !
Toujours
avant la révolution tranquille et les swinging sixties, il était bien vu, chez
les bienpensants d’alors, d’afficher la plus profonde réserve, pour ne pas dire
le plus farouche mépris, envers tout ce qui n’était pas Canadien français de
souche, blanc et catholique pratiquant.
L’étranger était regardé de haut et soupçonné des pires bassesses. Même les Français, nos plus proches parents
par la culture et la religion, étaient perçus comme des dépravés potentiels,
enclin à l’athéisme, à l’alcoolisme, à l’adultère et à l’homosexualité.
Mieux vaut éviter les photos de particuliers musulmans, ces temps-ci... |
Nos
bienpensants actuels se sont persuadés d’une illusoire ouverture d’esprit en
prêchant, par réaction à notre passé collectif, l’attitude exactement
contraire. Ainsi les militants inclusifs
croient que toute immigration doit se voir accueillie comme un cadeau du ciel,
pourquoi pas d’Allah lui-même, qui ne peut qu’enrichir notre culture, du coup
perçue comme nécessairement limitée et repliée sur elle-même. Hors de l’immigration, point de salut !
Aux
yeux de ces braves gens, aussi naïfs que décalés, il demeure plus adéquat de
s’intéresser aux multiples variétés de couscous que de se demander si les
valeurs de nos nouveaux venus sont bien compatibles avec les nôtres. Quiconque tentera de mettre en doute cette
capacité d’adaptation de la faction extrémiste de la communauté musulmane, par
exemple, qui suscite tensions et inconfort partout en Occident, se verra taxé
de racisme, de xénophobie, et affublé du substantif si commode d’islamophobe…
Les
bienpensants jugeront louable de trouver arriérés et réactionnaires des
gens qui contestent et dénoncent des coutumes et positions aussi barbares que
l’homophobie (que ces mêmes idéologues n’hésitent pas à dénoncer chez des gens d'ici), la misogynie (même
incohérence), la séquestration des femmes à domicile, les heures de piscine pour
musulmanes seulement, les femmes médecins exclusivement pour ces dernières,
l’exigence de lieux de prières dans des établissements publics mais le refus
des sapins de Noël dans les mêmes espaces, l’imposition d’aliments halal dans
les cafétérias d’écoles et ailleurs, les cabanes à sucre sans jambon, la tentative d'imposer le niqab
dans les garderies familiales (position défendue par la FFQ), et j’en passe.
Au
nom du respect de la différence, les bienpensants jugent inconvenant de
critiquer pareilles aberrations mais trouvent judicieux de tenter de museler
par une culpabilisation malhabile quiconque dénonce ces dérives flagrantes qui
érodent peu à peu notre sérénité sociale au mépris de la culture d’une société
d’accueil beaucoup trop tolérante. Des étudiants britanniques sont allés jusqu'à refuser de condamner l'État islamique au nom de la lutte à l'islamophobie. Comme quoi même pour la bêtise, il existe une relève...
En conclusion…
De
par la rigidité de sa pensée et sa manie d’ériger en dogmes des pseudos
vérités, la bien-pensance actuelle ressemble à une maladie de l’esprit, un cancer de la
lucidité qui poussent ceux et celles qui en sont atteints à se croire seuls
dépositaires de valeurs suprêmes, quand ils ne se prennent pas pour des leaders spirituels ou des pionniers d’un
changement social dont les bénéfices illusoires n’existent que dans leur esprit
surmené et inconsciemment fanatisé.
Tenter
de les réveiller reste peine perdue.
Gardons-nous à tout le moins de laisser radoter ces idéologues à gogo,
non pas en tentant, comme eux, de les museler, ni même en perdant notre temps à
les contredire, mais bien en affirmant nos positions – authentiquement –
humanistes et en ne redoutant pas le jugement de ces malades qui s’ignorent.
8 commentaires:
Le Marxisme Culturel-Social, le nouveau fachisme du 21ieme siècle.
Composer des supremaciste-féministe-anti-homme et des multiculturaliste-anti-blanc.
On peut y ajouter d autre groupe comme les environnementalistes anti-développement et les extrémiste animalistes qui considère les animaux plus important que les humains.
L existence surtout des deux premiers groupes ne serait pas trop grave si ce n était que maintenant ces groupes contrôlent a peut près tout les secteurs important de nos société..les gouvernements, les mass-médias, le système d éducation, le système de justice, ect
Ce nouveau fachisme s attaque constament a plusieurs liberté de l homme dont la liberté de parole et de pensé. Les supremaciste feministes elles, sont en train de criminalisé de plus en plus la sexualité hetéro-masculine avec des lois comme celle sur la prostitution qui criminalise les simple clients innoffensifs...Et la nouvelles lois hystérique sur le consentement sexuelle des université americaine que si on lit la loi a la lettre rend pratiquement 90% des relation sexuelle normal dans l histoire de l humanité...des Crimes. Et ce genre de loi hysterique va se rependre a tout le monde bientôt compte tenu de l immense pouvoir feministe dans la société.
Cette loi consiste: le simple fait de touché ou embasser sa copine sans auparavant avoir demander sa pemission Verbalement et recevoir un Oui-Entousiaste..et ce a plusieurs reprise et a toute les étapes de la relation physique ..sinon cela constitue un viol selon nos chere femifachiste au pouvoir. Et meme si vous avez procedé selon cette horrible lois..ca enleve pas le droit de la femme en question de *changer d idée* quelque jours plustard et retirer son consentement par caprice ..car cela aussi est admissible.
Pour ce qui est du *mouvement* des seins nus..je n ai aucun probleme avec cela...sauf que conaissant les feministes..la prochaine étape sera de criminaliser les hommes qui oseront les regarder dans la rue.
Consernant la grande tolerance de la gauche caviar elitiste a propos de l Islam...Rien de surprenant car dans plusieurs pays sauf au Québec..ces gens font parti des meme parti politiques. Obama a été elu grace a une coalition de tout ce qui est pas homme blanc hétéro.
C est ironique en effet de les voir si tolant envers une religion qui traite ainsi la femme et les homosexuelle 10fois pire que les catholiques..sur qui ils ont craché depuis 50ans.
Mais faut jamais oublié...leur ennemis qu ils meprisent est l homme blanc hétéro, ..alors ca passe. Si on trouvait en region un pasteur quebecois de souche qui forcait les femmes a porter des voiles..vous pourriez etre sur que ce serait le scandale et meme une intervention de la police.
Je vois que nos conceptions de la bien-pensance sont passablement voisines. Merci du commentaire.
Le Code Criminel Canadien condamne et pénalise l'action de toucher les seins d'une femme sans son consentement.
Donc, au point vue de la loi, les seins d'une femme sont des organes sexuels et pas ceux des hommes.
Les femmes peuvent flatter le torse d'un homme sur la place publique ou ailleurs avec et sans son consentement et il n'y aura pas de conséquences pour elle.
Très judicieuse observation, Gentil Astineux ! Merci.
Avez-vous suivi la campagne #womenagainstfeminism sur twitter?
Les féministes disent qu'elles sont pour l'égalité et le libre choix mais quand des femmes se prononcent contre le féminisme, on (les féministes) les traite d'ignorantes, d'idiotes, de sales privilégiées blanches...
Le noyau radical du féminisme est un groupe haineux, misandre, misogyne, hétérophobe et raciste envers les blancs. Pour preuve, cet article dont la lecture peut provoquer une fracture du cerveau et une crampe au ventre a force de rire tellement c'est une situation inimaginable http://www.nationalreview.com/article/390425/students-transgender-woman-cant-be-diversity-officer-because-shes-white-man-now
Un peu hors-sujet mais pas trop. L'endoctrinement des troupes doit commencer vraiment tôt, si vous n'avez pas vu ce vidéo....
http://proteinwisdom.com/?p=55355
Globalement je suis d'accord avec ce que vous dites sauf
1/ D'abord "
Nos bienpensants du temps jadis croyaient dur comme fer que la place d’une femme ne pouvait se trouver qu’à la maison. Toute volonté de s’aventurer dans le maléfique marché du travail annonçait un comportement délinquant, peu compatible avec le destin tracé d'avance de toute jeune femme de se consacrer à la vocation maternelle et aux soins prodigués à l’époux."
Ca c'est une généralité. Car en ayant lu premier sexe de Zemmour par exemple, on peut constater, que Zemmour d'après des relevés historiques, indique que sous le Directoire en France en 1794, les femmes étaient à peu près comme à notre époque. Famille monoparentale, adultère. D'où le code Napoléon.
Bon vous allez dire que Zemmour c'est du léger, maintenant passons à Régina "la violence des femmes." Ce dernier a démontré que malgré les moeurs bien différents des époques anciennes, il y a eu des femmes combattantes depuis ... l'Antiquité. Les femmes Révolutionnaires de la fin du 18 ème siècle est la preuve que les femmes étaient réellement émancipées à cette époque.
En réalité le féminisme est une réponse au code Napoléon qui est lui-même une réponse à la fin du 18ème siècle qui ça ne fait pas l'ombre d'un doute était féministe.
2/ Je suis moi-même musulman, mes ascendants étant arrivé dans la vague des années 70 suite au chant des sirènes que le patronat a fait miroiter à mes propres parents et à cause du colonialisme, dont je n'accuse personne d'autre que les mêmes qui ont orchestré cette immigration: les descendants de ceux qui ont pillé les richesses de nos pays d'origine.
Maintenant pour revenir dans la terre de mes ancêtres qui me semble être la seule solution, celà m'est impossible.
Je suis moi-même musulman, je ne fais partager ma religion à personne d'autres qu'à ceux qui sont intéressés.
Puis chez les Maghrébins c'est soit trop voilée, soit trop déshabillée ;)
Encore une fois, à l'époque du débat sur le mariage gay en France, le principal argument des "anti" était qu'ils étaient là "pour défendre les enfants" de parents homosexuels forcément pédophiles.
https://www.youtube.com/watch?v=cedXJZkDQp4
https://www.youtube.com/watch?v=jiadFY7HNlc
Admirez au passage ces merveilleux enfants pas du tout manipulés :
https://www.youtube.com/watch?v=5ZNc5Qle1gc
Apparemment les extrêmes se rejoignent (pourquoi ne suis-je pas surpris). D'ailleurs, vous nous expliquez : "Sous l’influence de féministes radicales comme Andrea Dworkin et Catharine MacKinnon, notamment, qui affirment que l’hétérosexualité n’est rien de moins qu’un instrument d’oppression patriarcale envers les femmes, des bienpensants, sous le couvert de l’ouverture à la différence, se livrent à de curieuses manœuvres de prosélytisme homosexuel par le biais des études de genre, cette idéologie fumeuse qui prétend que l’hétérosexualité n’est pas biologique mais exclusivement culturelle."
C'est drôle, ça ressemble beaucoup au discours de la droite religieuse qui explique que l'homosexualité est une question de choix, donc qu'on peut y renoncer d'un claquement de doigt et passer du côté de l'hétérosexualité. On devrait les marier, tous ceux-là.
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