Il
existe des gens qui, comme ça, restent imperméables à l’expérience,
téflons aux leçons de la vie, sourds au bon sens, indifférents au plus
élémentaire esprit de justice et handicapés devant la vérité, si
flagrante soit-elle, quand ils ne tentent pas de la travestir, de la
contourner ou de la dissimuler à des fins strictement égoïstes,
opportunistes et toxiques.
DeCoutere, vers un nouvelle errance mentale... |
«Je viens de quitter “Trailer Park Boys”», a écrit Mme DeCoutere.
«Lorsque je découvre que quelqu’un est un agresseur, je l’élimine de ma vie. C’est très simple», a-t-elle aussi déclaré.
Une
internaute lui a demandé si sa décision avait été prise en lien avec
l’arrestation de Mike Smith — qui incarne le personnage de Bubbles –,
Lucy DeCoutere a répondu «oui».
Or, figurez-vous que la présumée victime du comédien dément toute agression :
«
L’acteur et son amie, la présumée victime, démentent les accusations.
En effet, dans un communiqué publié samedi sur le site de «Trailer Park
Boys», la femme affirme qu’en aucun temps elle ne s’est sentie en danger
et que la police a mal interprété les événements.»
Mme
DeCoutere n’en a-t-elle pas assez de se ridiculiser de façon aussi
malveillante aux yeux du public ? Même les groupes féministes les plus
fanatisés, qui s’obstinent stupidement à voir en elle la victime de
Ghomeshi malgré l’évidence accablante des faits, vont finir par vouloir
s’en distancer. C’est tout dire…
La poussière n’est pas encore retombée…
Mike Smith, nouvelle cible de DeCoutere...
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Rappelons,
si besoin est, que Mme DeCoutere est cette femme en quête de publicité –
ou de duplicité - et de vengeance qui a déclaré avoir subi une
agression sexuelle de la part de l’animateur vedette de CBC, Jian
Ghomeshi, 13 ans après une relation bdsm mouvementée au lendemain de
laquelle elle lui avait toutefois déclaré qu’elle voulait le « baiser à
mort », avant de lui envoyer une lettre d’amour enflammée manuscrite de
six pages. Parlez-moi d’une vraie victime…
Comme
si ce n’était pas suffisant, après avoir nié avoir entretenu une
correspondance avec ses co plaignantes, voilà qu’on en a découvert une
de 5000 courriels échangés avec l’une d’elle, au cours de laquelle les
deux intrigantes ont clairement comploté afin de détruire la vie de
Ghomeshi, ce qu’elles ont réussi, malgré la victoire judiciaire de ce
dernier, maintenant ruiné, sans emploi et démonisé par les groupes
féministes les plus fanatiques et les plus hystériques.
Parmi
les plus importants mentionnons le Conseil du statut de la femme, la
fédération des femmes du Québec et le Regroupement québécois des centres
d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel, qui
aimeraient en arriver à l’éradication pure et simple d’une présomption
d’innocence déjà fort malmenée.
Elle n’a rien compris…
Le
comportement aussi stupide que dogmatique de DeCoutere revèle que la
leçon servie par son cuisant revers judiciaire, dans un procès qui
n’aurait jamais dû se dérouler, n’a pas suffi. Malgré les déclarations
de la présumée victime qui, semble-t-il, n’en est même pas une,
l’intrigante a déjà condamné publiquement un homme vraisemblablement
sans reproche.
De là à envisager que cette perverse narcissique n’hésiterait pas à récidiver à des fins personnelles envers un homme qui susciterait à nouveau son courroux, il n’y a qu’un pas. Aussi serait-il grand temps d’un salutaire rappel à l’ordre.
Ghomeshi, seule vraie victime de son procès...
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Le
délit de méfait public de notre code criminel reste le véhicule idéal,
le vêtement judiciaire sur mesure parfait, afin de mettre au pas des
gens comme Lucy DeCoutere et ses complices dans le procès Ghomeshi.
Mais voilà, les femmes qui portent de fausses accusations d’agression
sexuelle et de violence conjugale bénéficient la plupart du temps d’une
immunité diplomatique totale. Voici une définition du méfait public :
Le
méfait public se définit principalement comme le fait d’accuser
quelqu’un faussement d’une infraction criminelle auprès de la police ou
encore de prétendre qu’un geste criminel a été commis tout en sachant
que ce n’est pas vrai (article 140 Code criminel). Ces gestes sont faits
avec la connaissance que le policier va débuter une enquête sur la base
de fausses informations.
N’est-ce
pas exactement ce que les trois menteuses au procès Ghomeshi ont fait
? A-t-on seulement entendu évoquer la possibilité qu’elles aient à
répondre de leur imposture devant la justice ? On prétend que le
système a fonctionné avec le verdict d’acquittement de Jian Ghomeshi.
Je ne serais pas aussi laudatif. À la présentation d’une preuve aussi
inconsistante, il est évident que, si notre système judiciaire avait
vraiment fonctionné, jamais pareille parodie de justice n’aurait eu
lieu. Les trois manipulatrices auraient été éconduites sine die.
Notre
système de justice ne fonctionnera vraiment que lorsque les Lucy
DeCoutere de ce monde répondront de leurs actes, et seront inculpées et
condamnées en vertu du délit de méfait public. Tôt ou tard, une juste
fermeté devra s’appliquer envers pareilles criminelles, autant dans
l’intérêt des hommes principales victimes de fausses allégations, que
dans celui des femmes vraiment agressées, que les mensonges de ces
perverses narcissiques contribuent à discréditer.
6 commentaires:
Pourquoi avoir inscrit le délit de méfait public dans le code criminel si la moitié de la population peut ainsi mentir aux policiers, aux procureurs de la couronne, au juge, et ce, en toute impunité ?
Pourquoi les policiers n'effectuent pas des vérifications élémentaires avant de soumettre le résultat de leur 'enquête' aux substituts du procureur afin d'autoriser les accusations ? Nous sommes ici en matière criminelle et il n'y a pas de place pour le doute raisonnable.
Pourquoi ces mêmes substituts autorisent-ils ces accusations, nonobstant l'absence de preuve digne de ce nom à leur appui ?
En réalité, la 'politique d'intervention en matière de violence conjugale' adoptée à la sauvette dans le milieu des années '80 sur la base d'un grossier mensonge, réside au cœur du problème car cette 'politique' autorise les arrestations arbitraires, sans mandat, fait fi de la présomption d'innocence au point d'imposer des sentences avant jugement, et contrevient aux dispositions explicites du code criminel, le seul texte de loi ayant autorité en matière criminelle au Canada !
Ne serait-il pas venu le temps de mettre un terme à ce détournement de justice ?
Si le procès de Ghomeshi pouvait au moins servir à la prise de conscience collective que la parodie de justice servie sous le joug de l'idéologie fémisexiste doit venir à terme, il n'aura pas été conduit pour rien.
Tu es dans le mille, une fois de plus. Des gens comme De Coutere se délectent de l'attention et du pouvoir qu'elle leur confère. Dans sa bulle psychologique, inondée de messages de soutien et d'amour de féministes débiles, elle semble maintenant croire qu'elle est investie d'une mission messianique et qu'elle est le fer de lance des féministes contre le patriarcat et ces salopards d'hommes violents. Les féministes ont créé un monstre et tôt ou tard, elles vont le regretter. Parce que lorsqu'on crée un monstre, on en perd inévitablement le contrôle. Ce n'est pas moi qui le dit, c'est Mary Shelley! ;-)
«Lorsque je découvre que quelqu’un est un agresseur, je l’élimine de ma vie. C’est très simple», a-t-elle aussi déclaré. Vu de même, elle démontre une fois de plus, que Ghomeshi n'est pas un agresseur puisqu'elle en a redemandé. Une contradiction parmi tant d'autres dans cette histoire de fous.
Wow, Suzanne, tu as raison... je ne l'avais même pas vu passer celle-là!
Très juste, Suzanne. De toute façon, cette femme ne cesse de se torpiller publiquement. Laissons-la couler...
Toutes les relations que j'ai eues dans ma vie étaient avec des femmes qui sont devenues progressivement narcissiques. Les relations ont commencé avec le «nous», puis rapidement déplacé vers les bonheurs et désirs dans ca vie. Ce que je voulais a été laissé dans la poussière. Ceci est une autre grande raison pour laquelle je vais mon propre chemin.
Aucun homme ne pourra satisfaire les Lucy de ce monde. Elle on carte blanche face à les lois et justice, ce qui faits les bons hommes, s’éloigner plus loin encore. Du fait, je crois fermement que beaucoup de femmes ne veulent pas des bons hommes (surtout durant leurs meilleurs années), Une fois quelles sont "expirer", elles cherchent activement l’homme Beta. Elles cherchent les hommes qu’elle a traités comme des œufs pourris dans leurs vingtaines et jeune trentaine. Peut-être que je suis naïf et peut-être ça a toujours été comme ça. Peut-être que les femmes dans la vingtaine et la trentaine ont été autocentrées depuis le début des temps ?
Aujourd'hui, les femmes doivent avoir toujours raison, même quand elles ont tort et elles sont sensibles à la critique et les félicitant les rende heureuse. Ne même pas essayer de comprendre leur comportement. Et je l'ai remarqué que beaucoup de femmes célibataires dans la vingtaine et trentaine sont de plus en plus narcissique.
Longue vie aux hommes libre et heureux !
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