Philippe
Couillard, maintenant flanqué du «
philosophe » Charles Taylor, n’avait pas assez de courber l’échine devant les
islamistes en bannissant tout interdit aux signes religieux, allant même jusqu’à
affirmer qu’il ne s’était « jamais préoccupé d’être isolé sur des questions de
principes »…
Lui et son caucus viennent maintenant
de trouver des plus éthiques de sacrifier Gerry Sklavounos, leader
parlementaire adjoint, élu quatre fois de suite dans la même circonscription,
pour satisfaire aux cris stridents de nos féministes chéries et des gogos qui
prennent leurs lubies pour argent comptant.
Parlez-moi d’un chef d’État doté d’une colonne vertébrale…
Philippe Couillard, premier ministre « éthique »... |
Sans doute les jérémiades de
Manon Massé, de Québec solidaire, les manifestations dénonçant une culture du
viol imaginaire qui sévirait au Québec, le délire à ce sujet qui envahit nos
fédérations étudiantes et, détail peu banal, les mensonges réitérés par Alice
Paquet à l’effet qu’elle aurait été violée par Sklavounos, ont pesé lourd dans
la balance des « questions de principes ».
Potinage et patinage...
Alors
que l’ex leader parlementaire adjoint a été publiquement blanchi par le Directeur des poursuites criminelles et pénales,
Philippe Couillard, notre éthique premier ministre, a déclaré, à l’issue d’une rencontre de deux heures du
caucus du PLQ, le 14 février dernier, « qu’ un faisceau d'allégations ou
de possibilités qui demandent à être éclaircies » persistaient. C’est donc ce motif, aussi mince que du
papier à cigarette, qui a suffi pour que Couillard et son caucus excluent
définitivement Sklavounos. Ça ne prend
pas grand-chose…
Après avoir fait état de cette «
décision très claire », le premier ministre a vite fait de s’enliser
dans le flou et le patinage : « Je dirais de façon large qu’il y a
des raisons qui expliquent ça, sans aller dans les détails. » Sans aller dans les détails, c’est le moins
qu’on puisse dire, alors que les médias ont fait état de « témoignages anonymes
» à l’effet d’une balourdise à connotation sexuelle de la part du député
désormais indépendant. Balourd n’est pas synonyme de prédateur…
Gerrry Sklavounos, blanchi, mais condamné... |
La décision du DPCP avait pourtant été d’une limpidité
cristalline : aucun acte criminel n’avait été commis sur la personne
d’Alice Paquet. Aucun, aucun,
aucun… Alors si aucun acte criminel n’a
été commis et que l’intéressée prétend le contraire, à qui avons-nous affaire ?
Eh oui, bien sûr, à une menteuse !
Un
innocent exclu, une coupable intouchable
Or, puisqu’il est clair
qu’Alice Paquet n’a pas dit la vérité et a lancé une enquête policière sous de faux
prétextes, en plus de s’obstiner maintenant dans le mensonge, elle devrait
répondre de ses actes en vertu de l’article 140 du code criminel canadien, soit
le délit de méfait public, dont la sentence peut aller jusqu’à cinq ans de
prison.
Un cabinet d’avocats en
droit criminel vulgarise ainsi ce délit :
« Le méfait public se définie principalement comme le fait
d’accuser quelqu’un faussement d’une infraction criminelle auprès de la police
ou encore de prétendre qu’un geste criminel a été commis tout en sachant que ce
n’est pas vrai (article 140 Code criminel). Ces gestes sont faits avec la connaissance
que le policier va débuter une enquête sur la base de fausses informations. »
Que faut-il
de plus à l’appareil judiciaire, qui a reconnu l’innocence de Sklavounos, pour
entreprendre des poursuites ? Cette définition
correspond sur mesure aux gestes posés par Paquet. Loin d’adopter un profil bas, l’agresseuse
verbale, commentant la déclaration faite par Sklavounos avant son éviction, en a rajouté :
«M. Sklavounos nous a démontré qu’il
ne ressentait pas de remords, si ce n’est que ‘‘d’être ce qu’il est’’,
c’est-à-dire un homme ‘‘extraverti, volubile et passionné’’», écrit la jeune
femme dans une lettre ouverte parue sur le site Web du média de gauche Ricochet.
«Ces paroles sont violentes, poursuit-elle. Sa réponse
est la définition même de ce qu’est la culture du viol: il nous invite en fait
à tolérer la contrainte sexuelle, à l’excuser, à la minimiser. M. Sklavounos
n’a pas présenté d’excuses formelles parce que s’excuser, c’est avouer ses
torts.»
Alice Paquet, menteuse intouchable... |
Même
en tenant compte du fait que la plume de Paquet a visiblement été guidée par
des groupes féministes, elle ne manque pas de culot ! Qui, présentement, ne ressent « pas de
remords » après avoir saboté la carrière politique d’un homme qui n’a commis
aucun geste criminel sur sa triste personne ?
Qui a prononcé des « paroles violentes » sinon l’intéressée elle-même par
ses accusations mensongères ? Et qui
devrait présenter des « excuses formelles » à sa victime sinon Alice Paquet ?
Au fait,
Mme Paquet, comment votre ex-amant pourrait-il avouer des torts qu’il n’a pas
commis ?
L’attitude
irresponsable d’Alice Paquet, du lobby féministe qui la soutient dans ses
mensonges, la décision condamnable du PLQ d’exclure un homme public en ne se
fondant que sur des témoignages non vérifiés, et le lynchage médiatique dont ce-dernier a été
victime commande une riposte légale énergique qui sonne le glas de la
récréation féministe : les accusations mensongères doivent être punies et
leurs victimes, publiquement réhabilitées.
En tolérant l’intolérable, notre appareil judiciaire démontre que ce n’est
plus lui, mais les féministes les plus fanatisées, qui font désormais la loi.
4 commentaires:
Olivier,
Si vous me permettez ainsi, j’aimerais lancer un appel à la région de Laurier-Dorion et de lancer un message a ce gouvernement sans épine vertébrale. La prochaine élection Provincial, votez en bloc, en masse, comme vous voulez, mais voter pour Gerry Sklavounos, ne votez pas rouge ! Comme société, on ne peut plus envoyer nos hommes à l’abattoir. Dernièrement, plusieurs cas s’est avérer non-coupable, mais ses homme-là ne retrouve plus le travail (ou le même travail). Du fait, je crois c’est l’objectif des féministe, détruire toute homme, un a un, il restera que des Musulman qui vont imposer la loi Sharia.
Et quand ça arrivera, il sera trop tard, leurs jérémiades ne toucheront plus personne...
Que de lamentable plaigne-gnarde c'est folle-la!
Quand le system judiciaire ne permet même plus d'acquitter un homme dans un acquittement acquitté d’un individu
Oui, le féminisme radical a remplacé le Barreau du Québec, et ce, quand il ne l'oriente pas.
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