samedi 12 novembre 2022

TVA l’affirme : les mesures sanitaires ont affaibli notre système immunitaire

Vacciner les enfants, vraiment nécessaire ?
Étrange aveu de la part de la Pravda sanitaire subventionnée qu’est devenu TVA : ce média vient d’avouer candidement que les mesures sanitaires, en principe destinées à préserver notre santé collective, ont eu l’effet exactement contraire, selon cet article :

« Le système immunitaire plus faible de la population en raison des mesures sanitaires mises en place pour lutter contre la COVID dans les trois dernières années. »

On a intérêt à conserver une capture d’écran ou une copie PDF de cette nouvelle au cas où cette déclaration devait subitement disparaître… 

Comment créer un problème

Alors que des experts de pacotille lancent des ballons médiatiques sur la douteuse perspective de masquer une fois de plus nos infortunés enfants, mesure inutile, voire néfaste, s’il en fut, il devient pourtant évident que l’extrémisme sanitaire démontre une fois de plus sa dangerosité :

« Tous les experts sont unanimes sur ce point-là. Il va y avoir plus de gens très malades cette année que par les années passées », affirme le Dr Pierre Harvey, infectiologue et microbiologiste, en entrevue à TVA Nouvelles. 

« Plus de gens très malades cette année que par les années passées. »  Que faut-il dire de plus pour faire comprendre à un trop grand nombre de gogos que nous sommes gérés par des apprentis-sorciers et que leurs mesures aussi bidon que répressives ont fait plus de mal que de bien en regard d’un virus qui, depuis omicron, n’est pas plus dangereux qu’une grippe ?  

Une panique bien orchestrée

Jamais la panique sanitaire n’a été aussi bien orchestrée que depuis que la population du Québec a été massivement vaccinée.  Cherchez donc la cohérence dans un tel état de fait.  Cette fragilisation de notre santé collective vous semble-t-elle le gage d’un succès médical quand on lit cet extrait :

« « C’est un virus très agressif l’influenza [...] et pour se défendre, il faut avoir un système immunitaire qui est toujours aux aguets. Depuis deux ou trois ans, il a lâché ses gardes et donc il risque d’y avoir, pas tout le monde, mais sur une population de 8 millions de personnes, il va y en avoir beaucoup plus qui vont être malades et très malades », soutient le docteur. » 

Depuis deux ou trois ans, on a lâché les gardes, vraiment ?  Alors que les gouvernements Legault et Trudeau ont fait l’impossible pour nous pourrir l’existence avec des mesures aussi ridicules qu’inutiles depuis… exactement ce laps de temps, justement ?  Le lien de cause à effet est établi à mots couverts par ce médecin :  si l’on est devenu plus vulnérable à l’influenza, c’est justement en raison des mesures sanitaires arbitraires, répressives et hasardeuses de nos dirigeants.

Roulette russe

Leurs orientations sanitaires sont à ce point efficaces qu’on pourrait même assister à une mortalité accrue :

« À l’instar de la COVID-19, l’influenza sera « une roulette russe », c’est-à-dire que certaines personnes seront très malades en contractant le virus, tandis que d’autres les seront très peu. 

Il est donc difficile de prévoir combien de personnes pourraient en mourir, mais, évidemment, plus le nombre de malades est élevé, plus les risques sont grands. »

Et la situation n’est guère plus reluisante du côté de nos enfants, après qu’ils aient été stupidement masqués, et maintenant de plus en plus vaccinés, avec une piqûre expérimentale qui pourrait bien se substituer au développement normal de leur système immunitaire, les fragilisant davantage par le fait même.

Comme l’extrémisme sanitaire que nous avons connu a fait des ravages chez la population en général, s’attend-t-on à un résultat différent en ce qui concerne nos enfants ?

Le vaccin, la solution suprême…

Comme il fallait s’y attendre, nos « experts » nous implorent de nous tourner vers l’ultime solution, selon eux, afin de préserver notre humanité souffrante de l’influenza : le vaccin !  Voyez plutôt :

« Afin d’éviter que les personnes plus à risques, particulièrement les enfants en bas âge, qui n’ont jamais ou ont très peu été exposés au virus de la grippe, et les aînés, soient très malades, le Dr Harvey recommande la vaccination contre l’influenza. »

Et bien sûr, Santé Canada entonne le même refrain :

« Avec la pénurie de médicaments pour enfants et la montée des infections en tous genres, l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) supplie les parents de faire vacciner leurs enfants dans ce qui est un « moment critique » pour les hôpitaux pédiatriques. »

Mais d’où vient cette « montée des infections en tous genres » ?  Quelle part revient à une dégradation « naturelle » de notre environnement sanitaire et quelle autre, aux mesures sanitaires évoquées plus haut par TVA ?  La pénurie de certains médicaments explique-t-elle à elle seule cette montée ou cette montée explique-t-elle cette pénurie ?

Une « mauvaise compréhension », vraiment ?

On sourit involontairement devant cette déclaration de Theresa Tam, administratrice-en-chef de l’Agence de santé publique du Canada, qui s’est illustrée dans le passé par sa recommandation du glory hole pour limiter la propagation de la covid lors des rapports sexuels :

« La Dre Tam reconnaît que bien des parents ont encore une « mauvaise compréhension » de la vaccination et qu’il est plus difficile de convaincre les gens de l’efficacité de la vaccination après près de trois ans de pandémie. »

Comment reprocher à des parents responsables de se montrer sceptiques devant la vaccination ?  Bien que le vaccin contre l’influenza soit homologué et qu’il ne comporte pas les mêmes risques que la thérapie génique contre la covid, est-on sûr qu’il soit recommandé pour les enfants ?  Doit-on les considérer aussi vulnérables que les personnes âgées ?  Le vaccin ne risque-t-il pas d’affaiblir leur système immunitaire ? 

Je n’ai aucunement la prétention de pouvoir répondre à ces questions.  Je les pose dans un contexte où l’on apprend d’un expert que les mesures sanitaires ont affaibli notre système immunitaire.  Se peut-il que la vaccination ait pu faire partie desdites mesures qui nous ont collectivement fragilisés ? 

Ne sommes-nous pas en train de nous engager dans un cercle vicieux au cours duquel de nouvelles mesures sanitaires engendreront une vulnérabilité accrue de notre système immunitaire et une vulnérabilité accrue de notre système immunitaire, de nouvelles mesures sanitaires ?

La question se pose, non ?

samedi 5 novembre 2022

Crise sanitaire : allons-nous pardonner à nos gouvernements leurs abus de pouvoir ?

Emily Oster
Un vent de plus en plus dominant, mais pas celui préconisé par l’expert TVA en faux François Marquis, souffle de plus en plus intensément sur la plaine médiatique.  Il semble que d’autres experts que « l’urventologue », un peu plus crédibles, ceux-là, aient décidé de changer leur fusil d’épaule et d’envisager un avenir un peu plus serein pour la société québécoise.

Amir Khadir a osé avouer que le vaccin Pfizer n’était plus une solution – s’il l’a déjà été - tandis que Karl Weiss et d’autres collègues admettent que les mesures sanitaires telles que masque et distanciation sociale n’ont plus leur place. 

Sont-ils guidés par l’honnêteté et l’esprit scientifique ou parce qu’ils sentent la soupe chaude et que bientôt, dirigeants, médias et autres experts de pacotille atterriront sur le grill de la justice populaire, sinon légale, pour avoir fait vivre au peuple québécois un psychodrame stérile, destructeur et évitable ?  Nul ne peut le dire.

Des effets dévastateurs

Il devient de plus en plus évident pour une partie grandissante de la population que le dogmatisme sanitaire des gouvernements Trudeau et Legault était tout à fait injustifié.  Les effets sur la société québécoise, plus encore que sur les autres provinces canadiennes, ont été dévastateurs : hécatombe dans les CHSLD, PME en péril, enfants inutilement masqués et vaccinés, familles divisées, travailleuses de la santé menacées et harcelées, obligations vaccinales injustifiées, dépressions, suicides, etc.

Inévitablement, un retour de flammes guette les premiers ministres Trudeau et Legault pour la totale dérive de leurs administrations respectives, marquées au coin de l’abus de pouvoir, de potentiels conflits d’intérêt favorisés par l’urgence sanitaire, de l’octroi de contrats sans appels d’offre, et du copinage impliquant la firme McKinsey et son client, Pfizer.   Ne pas au moins suspecter les conflits d’intérêt dans lesquels seraient mouillés jusqu’au cou la CAQ et le PLC relève de l’aveuglement volontaire.

Doit-on vraiment pardonner ?

Une économiste de l’université Brown, Emily Oster, vient de publier un cri du cœur invoquant la nécessité d’une amnistie pandémique.  Dans son propos, qui n’identifie aucune responsabilité, ni culpabilité, elle exhorte un peu tout le monde, gouvernements, médias, industrie pharmaceutique mais, peut-on lire entre les lignes, surtout le bon peuple américain, à se pardonner mutuellement au nom, faut-il imaginer, d’une louable foi chrétienne et du droit à l’erreur. 

Bref, forgive and forget, selon le proverbe.  Toute perspective de corruption, de dogmatisme, d’abus de pouvoir se voit balayée sous le tapis d’une convivialité bisounours de bon aloi. 

Des voix réclament justice

Tout le monde ne partage pas cette vision déjantée du réel.  Un magazine en ligne conservateur (aux yeux de nos wokes fanatisés, donc « d’extrême droite ») The American Conservative, a tenu des propos nettement plus sévères… et justifiés :

« "Allons-nous effacer les résultats de ceux qui ont laissé des enfants malades dépérir seuls dans les hôpitaux, qui ont séparé des maris de leurs épouses, qui ont empêché des familles de tenir la main des mourants ou de se rassembler pour leurs funérailles ? Non, non, et encore, non", a martelé l'auteur. »

Ce tableau n’évoque rien pour vous ?  On pourrait ajouter les personnes âgées mortes dans l’État de New York sous la gouverne du désormais célèbre Andrew Cuomo.  Mais visez la suite :

« "Après que des ordres ont forcé des gens à quitter leur emploi et que le vaccin devenu thérapeutique n'a pas réussi à arrêter la transmission de la maladie, devons-nous vraiment cesser de nous interroger sur ses effets secondaires potentiels ou sur la relation entre les sociétés pharmaceutiques et la FDA ?", a encore demandé l'article. »

Un questionnement tout aussi essentiel au Canada qu’au Québec.  En effet, à quand une évaluation post vaccinale ?  De plus en plus de nouvelles circulent à propos de morts subites « inexplicables », de surmortalité « imprévue » et de myocardites infantiles « préoccupantes » sans que le statut vaccinal des victimes soit même invoqué.  Si elles étaient non vaccinées, ne croyez-vous pas que la planète serait en feu ?

Des voix s’élèvent également au Québec

Au Québec, Nathalie Elgrably s’est élevée à juste titre contre les propos déresponsabilisants d’Emily Oster :

« Désolée, mais on n’efface pas l’ardoise aussi facilement !

Depuis mars 2020, les mesures se sont enchaînées : confinements, distanciation sociale, couvre-feu, interdiction de rassemblements, fermeture des commerces, interdiction des déplacements interrégionaux, points de contrôle, fermeture des écoles, port du masque, passeport vaccinal, ostracisme à l’égard des non-vaccinés, incitation à la délation. Et comment oublier l’hécatombe des CHSLD, les personnes mortes dans la solitude, les enterrements dans l’indignité et les familles déchirées ? Quant à l’inflation qui nous appauvrit chaque jour davantage, elle résulte des décisions politiques prises pendant la pandémie.

Une véritable guerre civile sanitaire a eu lieu. Et les conséquences sur les plans humain et économique sont gravissimes. »

Un chercheur de l’UQÀM, Julien Simard, a également condamné les propos déjantés de Mme Oster :

« La posture d’indulgence amenée par Oster et d’autres plus près de nous est complètement aveugle aux idéologies, aux inégalités, aux problèmes actuels des soi-disant démocraties, aux pressions des intérêts privés sur l’action des gouvernements en santé publique, au refus obstiné des preuves scientifiques, aux effets de l’austérité budgétaire. Le problème est exactement le même dans le dossier de la pollution.

Alors, voilà, si on veut que cela change, si on espère un minimum de transparence, il faut tenir une Commission d’enquête, degré zéro de l’exercice de mémoire. Pour comprendre les cadres politico-économiques de l’action de la CAQ. Pour mettre en place des processus de démocratisation de la santé publique. Pour miser sur des approches communautaires et de réduction des méfaits lors de la prochaine pandémie. »

Place au débat !

Les propos d’Emily Oster n’ont pas fini de déclencher les réactions les plus vives et c’est heureux.  Par ses déclarations banalisant le drame humain vécu non pas à cause du virus mais bien davantage provoqué par la gestion dogmatique, inhumaine et irresponsable de nos dirigeants, la chercheuse a bien involontairement ouvert la porte à un débat de plus en plus nécessaire, pour ne pas dire vital.

Il est impossible et impensable de recoller les pots cassés comme si de rien n’était, en ne prétextant que l’ignorance et la bonne foi.  Où se situait la bonne foi des Legault et Dubé quand ils mentaient effrontément à la population en transformant les non-vaccinés en parias de la société en leur interdisant les SAQ et les SQDC, se ridiculisant même à l’échelle planétaire avec leur « vaccimpôt » stigmatisant ces citoyens encore davantage ?

« Experts » de pacotille et faiseurs d’opinion fanatiques

Que dire des « experts » de pacotille, radotant que le vaccin réduisait sensiblement la contagion et la transmission, allant même jusqu’à attaquer la crédibilité de véritables scientifiques comme Didier Raoult et Christian Perronne.  On sait maintenant qui a raison.

Et que dire des propos orduriers, haineux et d’une rare violence, tenus envers les non-vaccinés par les faiseurs d’opinion, véritables mercenaires appointés, que sont les Denise Bombardier, Richard Martineau, Patrick Lagacé, Mario Dumont, Josée Legault, Isabelle Hachey, Loïc Tassé, Sophie Durocher, parmi d’autres, transformés pour l’occasion en propagandistes fanatiques dignes de l’Allemagne nazie ?

Il faudrait pardonner à tout ce beau monde et passer à autre chose, vraiment ?  À supposer que cette faune d’irresponsables en situation potentielle ou réelle de conflits d’intérêt admette ses torts, ce qui n’est pas près d’arriver. 

À moins qu’ils sentent que notre bon peuple aura majoritairement compris ce qu’ils cachent obstinément.  Alors peut-être aurons-nous droit à des élans de repentir des plus bidons.  Il ne faudra pas se laisser avoir par leur comédie.

Pour paraphraser Mme Elgrably, ni amnistie, ni amnésie ! 

samedi 29 octobre 2022

Revers aux sanitaristes : des voix à la défense des non-vaccinés

Danielle Smith
La lutte reste âpre et dure contre l’intégrisme sanitariste qui ébranle la planète depuis plus de deux ans et demi, en plus de faire des non-vaccinés des ennemis publics numéro un encore plus toxiques que la covid-19 elle-même. 

Rien n’aura été épargné à cette minorité de citoyens prudents qui ont préféré s’abstenir de se faire inoculer une thérapie génique – et non un vaccin traditionnel et classique – pour se protéger d’un virus qui, depuis l’arrivée d’omicron, n’est pas plus dommageable qu’une grippe. 

À la défense des non-vaccinés

Quelques voix dissidentes se sont fait entendre publiquement afin de défendre cette minorité qui aura suscité plus de haine fanatique que les pédophiles, les batteurs de femmes, les meurtriers d’enfants, les abuseurs d’aînés, les maltraitants d’animaux et j’en passe. 

Saluons ici le courage de la nouvelle première ministre d’Alberta, Danielle Smith, une chef d’État dont ni François Legault, ni Justin Trudeau, ne sont dignes de cirer les chaussures.  Elle a osé affirmer que les non vaccinés « forment le groupe le plus discriminé que j’ai vu de ma vie », rien de moins.

Évidemment, les sanitaristes, wokistes et autres offensés professionnels se sont immédiatement insurgés contre cette déclaration audacieuse, objectant que d’autres minorités vivaient un sort bien pire encore.  Loin de reculer sur ses position, Mme Smith les a maintenues en les précisant :

« « Mon intention était de souligner le mauvais traitement d’individus qui ont choisi de ne pas se faire vacciner et qui ont été puni ont ne pouvant pas travailler, pas voyager ou, dans certains cas, ne pas voir leurs proches », a-t-elle affirmé en assurant ne pas avoir voulu comparer le sort des non-vaccinés à celui de communautés marginalisées. »

Je souligne que les fautes de frappe et d’orthographe de cette citation sont le fait du Journal de Montréal. 

Gracier les contrevenants non criminalisés

Clairement antisanitariste, la chef conservatrice sollicite de plus des avis juridiques en vue de gracier les contrevenants déclarés coupables de manquements non criminels aux mesures sanitaires en plus d’introduire des amendements afin d’interdire la discrimination fondée sur le statut vaccinal.  Il n’en fallait pas moins pour qu’un insignifiant comme Patrick Lagacé traite la première ministre de complotiste.  Je ne me donnerai même pas la peine d’un hyperlien vers son torchon.

« Le meilleur de l’humanité »

Une autre voix, bien sûr, tue dans les médias main stream, celle du général Christian Blanchon, va dans le même sens que Mme Smith :

« « Même si j’étais entièrement vacciné, j’admirerais les non-vaccinés pour avoir résisté à la plus grande pression que j’ai jamais vue, y compris de la part de conjoints, de parents, d’enfants, d’amis, de collègues et de médecins.

Les personnes qui ont été capables d’une telle personnalité, d’un tel courage et d’une telle capacité critique incarnent sans aucun doute le meilleur de l’humanité. *

(…) Exclus des tables de Noël de leurs familles, ils n’ont jamais rien vu d’aussi cruel. Ils ont perdu leur emploi, ils ont laissé leur carrière sombrer, ils n’avaient plus d’argent… mais ils s’en fichaient. Ils ont subi d’incommensurables discriminations, dénonciations, trahisons et humiliations… mais ils ont continué. »

Ce commentaire n’est pas sans évoquer celui de Luc Montagnier, assailli de critiques et d’insultes pour avoir déclaré que la covid-19 provenait d’une fuite accidentelle du désormais célèbre laboratoire de Wuhan, ce que, maintenant, tout le monde admet.  Le prix Nobel de médecine déclarait le 16 janvier 2022 que les non-vaccinés étaient « gardiens de l’humanité ».

La Cour suprême de New York ouvre une brèche

Bien que la nouvelle propagée sur le web affirmât que la Cour suprême de New York avait ordonné que tous les soignants non vaccinés soient réintégrés dans leurs fonctions avec compensations salariales rétroactives pour le préjudice subi, la décision de cette instance ne concerne en fait que 16 employés municipaux.  Cependant, force est d’admettre que le juge Ralph Porzio ouvre la porte à ce que sa jurisprudence s’étende bel et bien à tout le personnel soignant :

Bref, s’il est prudent de ne pas trop extrapoler, il le devient tout autant de ne pas minimiser la portée d’une décision, n’est-ce pas ?

Les soignants non-vaccinés réintégrés en Italie

En date du 29 octobre, l’Italie revient aussi de son côté à la raison et annonce la réintégration de ses soignants non-vaccinés :

« Les médecins et infirmières italiens suspendus de leur travail parce qu'ils ne sont pas vaccinés contre le Covid-19 seront bientôt réintégrés, a déclaré le 28 octobre le nouveau ministre de la Santé du pays, Orazio Schillaci, cité par l'agence Reuters.

Cette décision est motivée par une pénurie inquiétante de personnel médical et par la diminution des cas de Covid-19. Le nouveau gouvernement va également annuler les amendes imposées à toutes les personnes âgées de plus de 50 ans qui ne se sont pas fait vacciner, a-t-il ajouté. »

Car il faut préciser que même les quinquagénaires étaient soumis à l’obligation vaccinale en Italie…

Perronne exonéré

Triste moment pour les sanitaristes enragés qui rêvent de placer la tête de Christian Perronne sur une pique :  l’infectiologue de renom international vient d’être blanchi de toutes les accusations portées contre lui par ses pairs :

« Le Professeur Christian Perronne, ancien chef de service des maladies infectieuses et tropicales à l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches dans les Hauts-de-Seine, était poursuivi par le Conseil National de l’Ordre des Médecins pour ses prises de position très critiques envers la politique vaccinale du gouvernement lors de l’épidémie de Covid. Dans une décision en première instance rendue le 21 octobre, le professeur est blanchi de toutes les accusations dont il faisait l’objet. »

Et pourtant Perronne n’a jamais cessé d’émettre d’importantes mises en garde à propos de la thérapie génique contre la covid-19, présentée comme un vaccin, ce qui devait bien sûr lui attirer les épithètes de complotiste et d’antivax, si populaires par les temps qui courent.  Cette exonération annonce-t-elle un changement de discours vaccinal, comme celui dont nous avons été témoin de la part d’Amir Khadir, qui remettait en cause la pertinence du vaccin Pfizer ?

Loin de la coupe aux lèvres

Ces événements sont encourageants, mais il reste encore loin de la coupe aux lèvres avant que le délire politico-sanitaire qui ébranle la planète ne connaisse un dénouement judicieux, à défaut d’être heureux.  La corruption, tant politique, économique que sanitaire, semble mondiale. 

Pourtant, avant la pandémie, les reportages dénonçant la mainmise du lobby pharmaceutique sur les politiciens étaient fréquents.  Depuis plus de deux ans, tout ce joli monde est devenu honnête, ne vivant apparemment que dans l’optique de sauver l’humanité, sans rien exiger en retour. 

Dire qu’il y a encore tant de gogos pour avaler pareille couleuvre…

dimanche 23 octobre 2022

Des « services de gestion de risque » pour les « sites sûrs d’isolement volontaire » de Trudeau…

Justin Trudeau
Justin Trudeau affirme prendre très au sérieux les risques de contamination liés à la covid en provenance de l’extérieur du Canada au point d’avoir aménagé des centres de confinement dits « volontaires » destinés à héberger les voyageurs de retour au pays.  J’avais déjà abordé la question particulière de ces sites dans ce billet. 

Mais ces établissements ne concernent-ils vraiment « que » les voyageurs ? [1]

Une cage dorée ?

Rappelons que le gouvernement fédéral avait annoncé, le 13 août 2021, un projet de construction de tels centres à travers tout le pays en adoptant l’appellation si rassurante de « sites sûr d’isolement volontaire » au coût de quelques centaines de millions de dollars.

Aucune coercition, vraiment ?

Il est difficile de ne pas entretenir de soupçons concernant la présumée bonne volonté de Justin Trudeau, quand on considère que certaines lois sur la santé publique provinciales, dont celle du Québec, autorisent l’isolation forcée de « contrevenants » aux mesures sanitaires.  À peine la crise confirmée par l’OMS, on pouvait lire cette manchette, en date du 5 avril 2020 :

Dans un arrêté ministériel adopté samedi et signé par la ministre de la Santé Danielle McCann, Québec prévoit « qu’afin d’éviter toute contagion par la COVID-19, le directeur national de santé publique et tout directeur de santé publique soient autorisés à ordonner qu’une personne qui ne consent pas à s’isoler volontairement […] s’isole pour une période d’au plus 14 jours sans une ordonnance de la cour ». »

On ne pouvait être plus clair.  Et l’on renchérissait :

L’arrêté ministériel précise que « l’article 108 de la Loi sur la santé publique s’applique à un tel ordre d’isolement ». Cet article prévoit qu’un tel ordre de la santé publique « est suffisant pour que toute personne, y compris un agent de la paix, fasse tout ce qui est raisonnablement possible pour localiser et appréhender la personne dont le nom figure dans l’ordre et la conduire dans un lieu indiqué dans l’ordre ou auprès d’un établissement de santé et de services sociaux choisi par le directeur ».

« (…) dans un lieu indiqué dans l’ordre ou auprès d’un établissement de santé et de services sociaux choisi par le directeur ».  Si rendu là, vous n’avez toujours pas compris à quoi peuvent éventuellement servir les présumés « sites sûr d’isolement volontaires » (sic !), il n’y a plus rien à faire avec vous. 

Le fantasme de la vaccination obligatoire

C’est un secret de Polichinelle que Justin Trudeau rêve de pouvoir imposer la vaccination obligatoire à tout citoyen canadien, comme il l’a fait en 2021 pour tout employé fédéral.  De son côté, notre bien-aimé premier ministre, François Legault, a théoriquement le pouvoir, par le biais de la Loi sur l’urgence sanitaire, de faire de même.  Reste à savoir s’il peut agir ainsi pour la thérapie génique expérimentale et non homologuée vendue au gouvernement fédéral par Pfizer et Moderna.  

Mis en échec par Khadir et Weiss…

Legault, si petit dictateur soit-il, est tout de même conscient de la « lassitude vaccinale » des Québécois et a dû se trouver fort contrarié d’entendre les propos d’Amir Khadir, remettant en question la pertinence du vaccin Pfizer, et ceux de Karl Weiss, indiquant que les mesures telles que le masque et la distanciation sociale n’avaient plus leur raison d’être. 

Rendus à une huitième vague manufacturée et à une cinquième dose, il faut vraiment être naïfs pour continuer à participer au cirque médiatique d’une pandémie plus bidon que jamais. 

Les menaces de Trudeau

Trudeau menace tout de même de son côté les Canadiens en termes à peine voilés de nouvelles mesures de coercition sanitaire si au moins 80 % d’entre eux n’étaient pas « adéquatement vaccinés ».  Le chef libéral a malgré tout abandonné récemment cette disposition de la Loi sur la mise en quarantaine qui permettait au gouvernement fédéral « de rendre obligatoires certains vaccins pour les voyageurs qui entrent au Canada.»

Ne crions pas victoire trop vite : le gouvernement fédéral abandonne la preuve vaccinale et le masque « pour le moment », mais le ministre de la Santé, Jean-Yves Duclos prévient :

« Dans ce contexte, « le gouvernement du Canada maintiendra la capacité de rétablir certaines mesures frontalières, au cas où elles seraient nécessaires à l’avenir », a-t-il prévenu.

Mais pour ne pas en arriver là, « l’accent doit être sur la vaccination à jour », a ajouté M.Duclos. »

Toujours l’obsession de « la vaccination à jour » …  En clair, Trudeau abandonne la preuve vaccinale et le masque mais les « sites sûrs d’isolation volontaire », cependant, demeurent.  Loi fédérale ou pas, ces établissements prévus pour les voyageurs pourraient servir à l’application de lois provinciales permettant d’isoler des contrevenants aux mesures sanitaires.  On assouplit d’un côté, mais on pourrait serrer la vis de l’autre ?

Services de sécurité et de gestion de risque demandés !

Pour répondre à cette question, considérons ceci : une offre d’emploi concernant du personnel infirmier affecté aux sites en question a été affichée, ce qui correspondrait à la « logique » sanitaire « volontaire » du gouvernement fédéral, mais un autre affichage devrait davantage nous interpeller : celui de gardiens dévolus aux mêmes installations :

« L'Agence de santé publique du Canada a un besoin de services de sécurité et de gestion de risque pour soutenir son devoir de diligence dans ses installations de quarantaine désignées situées à York, Toronto et Halton, en Ontario.» 

Bon, vous me direz que l’on trouve des agents de sécurité même dans les hôpitaux et que leur présence n’indique en rien une volonté de coercition, mais vous seriez surpris d’apprendre que l’on peut isoler légalement pour une période de 72 heures des patients à risque, comme des personnes suicidaires, par exemple, et ce sans leur consentement. 

Imaginez la nécessité de services de sécurité concernant cette fois des « contrevenants » isolés pendant… 14 jours !

Bref, faire « profiter » les récalcitrants aux mesures sanitaires québécoises des installations canadiennes prévues pour les voyageurs, quelle « belle » coopération fédérale-provinciale ce serait, n’est-ce pas ?


[1] La publicité d’un tel centre à Ottawa ressemble à celle d’un Holiday Inn.  En fait, il s’agit bel et bien d’un hôtel, selon la documentation fournie.  Qu’on en juge :

« Ottawa a ouvert un centre d'isolement volontaire pour les personnes qui n'ont pas accès à un abri adéquat ou qui ne peuvent pas s’isoler en sécurité dans leur propre maison. Il n'y a pas de frais associés au séjour dans le centre. 

C’est une occasion pour ces personnes de se reposer et de récupérer sans crainte ou anxiété de transmettre le virus à leur famille, leurs proches, leurs colocataires et autres personnes avec lesquelles elles vivent. L’isolement volontaire est un moyen éprouvé de contribuer à réduire le risque de propagation du virus parmi les contacts faisant partie du même ménage. »

Vous serez apparemment traités aux petits oignons avec transport à destination et au départ du centre, connexion Wi-Fi, téléphone, télévision, repas fournis, articles de toilette, etc.  Une seule obligation : rester dans votre chambre pendant toute la durée de votre isolement et interdiction de recevoir des visiteurs.

samedi 15 octobre 2022

Des experts contredisent la propagande de peur de la CAQ et de TVA

Amir Khadir
Une déclaration fracassante a ébranlé le Parlement européen lorsqu’une représentante de la compagnie Pfizer a admis candidement que son entreprise n’avait jamais effectué de tests sur la transmission du virus avant de mettre son vaccin sur le marché. 

Or il appert que jamais Pfizer n’a prétendu avoir effectué de tels tests et certains médias semblent vouloir faire passer cet incident comme une tempête dans un verre d’eau.

Sauf que…

Lorsqu’une compagnie ose affirmer que son vaccin est efficace à 95 %, et pour plusieurs années, est-il si téméraire d’envisager que les risques de contamination et de transmission soient faibles, pour ne pas dire négligeables ?  Du moins en principe ?

Ne joue-t-on pas un tantinet sur les mots en dédouanant si facilement Pfizer ?  Quand un vaccin est si inefficace qu’il faille le renouveler aux cinq ou même aux trois mois, n’est-il pas temps d’en constater l’échec ?

Il y a de quoi s’étonner de la confiance aveugle que nos dirigeants, nos médias et une partie importante du public accordent encore à une compagnie marquée par un lourd passé d’études frauduleuses et d’incidents sanitaires graves. 

Une entreprise condamnée au criminel…

Pfizer a déjà été condamnée au criminel ce qui, en principe, aurait dû disqualifier cette entreprise quant à l’octroi de contrats gouvernementaux de vaccination.  Peut-on se surprendre qu’elle ait été privilégiée, maintenant qu’on sait que la firme McKinsey, compagnie elle-même caractérisée par un lourd historique de corruption, et qui « conseille » - ou dirige ? – le Québec et le Canada, a pour client nul autre que… Pfizer, tel que nous l’apprenait cet article de Radio-Canada ?

Un scandale de 2,3 milliards $...

Si vous voulez une bonne raison de vous inquiéter de la situation actuelle, ce petit rappel historique pourrait vous alerter :

« En 2009, Pfizer a dû payer une amende record de 2,3 milliards de dollars pour promotion illégale, déclarations fausses et trompeuses sur la sûreté des médicaments, et pots de vin aux médecins. Ce montant comprenait une amende criminelle de 1,2 milliard de dollars, la plus importante jamais décidée dans le cadre d’une poursuite pénale aux États-Unis.

L’un des lanceurs d’alerte dans cette affaire appartenait à une équipe commerciale dédiée chargée de la promotion du Viagra. Il a révélé que des médecins avaient été invités à des petits-déjeuners, des déjeuners, des dîners, des spectacles à Broadway, des parties de golf, desséjours au ski, des soirées au casino et à des clubs de strip-tease.

Si le passé est garant de l’avenir, croyez-vous que Pfizer aura appris de ses erreurs et saura éviter de « sous-estimer la dangerosité des effets secondaires, tels que les accidents vasculaires cérébraux » alors que de tels incidents se multiplient de par le monde, particulièrement chez les jeunes hommes de moins de 30 ans ?

Le vent (dominant ?) tourne…

Alors qu’on assiste à une montée fulgurante de cas de mort subite, de myocardites chez les jeunes, de troubles menstruels et de fausses couches depuis la vaccination de masse mondiale que nous connaissons, avez-vous remarqué que le statut vaccinal des victimes n’est jamais évoqué ? 

S’il s’agissait de non vaccinés, ne croyez-vous pas que la planète serait présentement en feu et que des manifs visant la vaccination obligatoire seraient mises sur pied ?

La population en a marre de la culture de peur médiatisée qui l’accable depuis deux ans et demi et risque de se faire tirer l’oreille si Legault ou Trudeau recommencent leur cirque sanitaire.  Aussi voyons-nous des experts de plateau changer leur fusil d’épaule, au grand dam des journalistes qui, scandalisés, les écoutent.

Amir Khadir : « Pas certain que les vaccins Pfizer soient la solution. »

Et pourtant, Khadir s’était déjà déclaré en faveur de la vaccination obligatoire.  Tout un changement de cap.  Déclaration sincère ou damage control en vue d’un scandale imminent ?  Les paris sont ouverts.  Il déclarait :

« La force et la faiblesse des vaccins de type ARN messager, c’est qu’il est plus facile à fabriquer ce genre de vaccins rapidement pour le diffuser à grande échelle. Cependant, ce genre de vaccin ne produit pas une protection qui est durable. On a eu la preuve avec les nombreuses campagnes de vaccinations », explique le médecin spécialiste. »

Enfin, un expert qui reconnaît ouvertement cette évidence divulguée depuis des mois par les « complotistes ». L’infectiologue a même lancé une pointe audacieuse envers la firme McKinsey, qui « conseille » Legault, et ses conflits d’intérêt potentiels avec Pfizer, son client :

« « Depuis que l’on connait l’implication de la firme-conseil McKinsey au gouvernement et que l'on sait qu'elle est en même temps est un lobbyiste pour la compagnie Pfizer sème des doutes sur les choix des dernières années. Pendant que le vaccin Pfizer prend les devants de la scène, on ne met pas l’accent et les investissements sur d’autres vaccins », souligne-t-il. »

Les tronches de Paul Laroque, Emmanuelle Latraverse et Mathieu Bock-Côté en disent long sur le malaise causé par ces déclarations…

Karl Weiss : « On ne peut pas vacciner la population de façon continuelle. »

Le microbiologiste énonce enfin une évidence qui aurait dû guider le gouvernement depuis deux ans et demi : protéger les populations à risque et sacrer patience aux gens en santé :

« « On ne peut pas vacciner la population de façon continuelle, croit le Dr Karl Weiss, épidémiologiste-infectiologue à l’Hôpital général juif de Montréal. Il va falloir instaurer une vaccination à géométrie variable. » »

D’autres experts se sont exprimés dans le même sens :

« « Il y a des gens qui n’écoutent plus. Il y a ce ras-le-bol, constate Bryn Williams-Jones, directeur de l’école de santé publique de l’Université de Montréal. Il faut changer le discours. » 

Selon eux, des campagnes de vaccination ciblées pour les gens à risque (âgés, malades, etc.) seraient davantage efficaces dans l’avenir, plutôt que de convaincre tout le monde de se faire inoculer chaque fois.  

« Pour continuer à être efficace, on a besoin de bien identifier les gens à risque, et les rejoindre », dit M. Williams-Jones, qui déplore les coupes dans les budgets de santé publique depuis des décennies. »

Nathalie Grandvaux : « Les vaccins ne sont peut-être pas la solution. »

Sanitariste modérée, la docteur Nathalie Grandvaux, professeure de biochimie à l’Université de Montréal, reconnaît tout de même que les vaccins ne sont pas la solution, tout en en recommandant toutefois la répétition :

« Les vaccins ne sont peut-être pas la solution, selon Dre Nathalie Grandvaux, professeure de biochimie à l’Université de Montréal, qui estime que d'autres technologies doivent être étudiées.

« La capacité (du vaccin) à protéger diminue avec le temps, alors, pour l’instant, on est pris à devoir répéter la vaccination », explique-t-elle. »

Peut-être serait-ce là la principale raison pour renoncer au vaccin, mais qui suis-je pour contredire une experte ?  Mme Grandvaux fait preuve d’un humour très involontaire :

« Dre Grandvaux incite la population à arrêter d’utiliser le terme « vague » parce que le virus est toujours là et, dit-elle, et qu’il y a « cette fatigue par rapport au terme de vague ». »

Euh, n’est-ce pas plutôt à Messieurs Legault, Trudeau, et aux médias qu’ils subventionnent que vous devriez adresser cette recommandation, Mme Grandvaux ? 

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ?   C'est la première fois depuis ...