samedi 15 octobre 2022

Des experts contredisent la propagande de peur de la CAQ et de TVA

Amir Khadir
Une déclaration fracassante a ébranlé le Parlement européen lorsqu’une représentante de la compagnie Pfizer a admis candidement que son entreprise n’avait jamais effectué de tests sur la transmission du virus avant de mettre son vaccin sur le marché. 

Or il appert que jamais Pfizer n’a prétendu avoir effectué de tels tests et certains médias semblent vouloir faire passer cet incident comme une tempête dans un verre d’eau.

Sauf que…

Lorsqu’une compagnie ose affirmer que son vaccin est efficace à 95 %, et pour plusieurs années, est-il si téméraire d’envisager que les risques de contamination et de transmission soient faibles, pour ne pas dire négligeables ?  Du moins en principe ?

Ne joue-t-on pas un tantinet sur les mots en dédouanant si facilement Pfizer ?  Quand un vaccin est si inefficace qu’il faille le renouveler aux cinq ou même aux trois mois, n’est-il pas temps d’en constater l’échec ?

Il y a de quoi s’étonner de la confiance aveugle que nos dirigeants, nos médias et une partie importante du public accordent encore à une compagnie marquée par un lourd passé d’études frauduleuses et d’incidents sanitaires graves. 

Une entreprise condamnée au criminel…

Pfizer a déjà été condamnée au criminel ce qui, en principe, aurait dû disqualifier cette entreprise quant à l’octroi de contrats gouvernementaux de vaccination.  Peut-on se surprendre qu’elle ait été privilégiée, maintenant qu’on sait que la firme McKinsey, compagnie elle-même caractérisée par un lourd historique de corruption, et qui « conseille » - ou dirige ? – le Québec et le Canada, a pour client nul autre que… Pfizer, tel que nous l’apprenait cet article de Radio-Canada ?

Un scandale de 2,3 milliards $...

Si vous voulez une bonne raison de vous inquiéter de la situation actuelle, ce petit rappel historique pourrait vous alerter :

« En 2009, Pfizer a dû payer une amende record de 2,3 milliards de dollars pour promotion illégale, déclarations fausses et trompeuses sur la sûreté des médicaments, et pots de vin aux médecins. Ce montant comprenait une amende criminelle de 1,2 milliard de dollars, la plus importante jamais décidée dans le cadre d’une poursuite pénale aux États-Unis.

L’un des lanceurs d’alerte dans cette affaire appartenait à une équipe commerciale dédiée chargée de la promotion du Viagra. Il a révélé que des médecins avaient été invités à des petits-déjeuners, des déjeuners, des dîners, des spectacles à Broadway, des parties de golf, desséjours au ski, des soirées au casino et à des clubs de strip-tease.

Si le passé est garant de l’avenir, croyez-vous que Pfizer aura appris de ses erreurs et saura éviter de « sous-estimer la dangerosité des effets secondaires, tels que les accidents vasculaires cérébraux » alors que de tels incidents se multiplient de par le monde, particulièrement chez les jeunes hommes de moins de 30 ans ?

Le vent (dominant ?) tourne…

Alors qu’on assiste à une montée fulgurante de cas de mort subite, de myocardites chez les jeunes, de troubles menstruels et de fausses couches depuis la vaccination de masse mondiale que nous connaissons, avez-vous remarqué que le statut vaccinal des victimes n’est jamais évoqué ? 

S’il s’agissait de non vaccinés, ne croyez-vous pas que la planète serait présentement en feu et que des manifs visant la vaccination obligatoire seraient mises sur pied ?

La population en a marre de la culture de peur médiatisée qui l’accable depuis deux ans et demi et risque de se faire tirer l’oreille si Legault ou Trudeau recommencent leur cirque sanitaire.  Aussi voyons-nous des experts de plateau changer leur fusil d’épaule, au grand dam des journalistes qui, scandalisés, les écoutent.

Amir Khadir : « Pas certain que les vaccins Pfizer soient la solution. »

Et pourtant, Khadir s’était déjà déclaré en faveur de la vaccination obligatoire.  Tout un changement de cap.  Déclaration sincère ou damage control en vue d’un scandale imminent ?  Les paris sont ouverts.  Il déclarait :

« La force et la faiblesse des vaccins de type ARN messager, c’est qu’il est plus facile à fabriquer ce genre de vaccins rapidement pour le diffuser à grande échelle. Cependant, ce genre de vaccin ne produit pas une protection qui est durable. On a eu la preuve avec les nombreuses campagnes de vaccinations », explique le médecin spécialiste. »

Enfin, un expert qui reconnaît ouvertement cette évidence divulguée depuis des mois par les « complotistes ». L’infectiologue a même lancé une pointe audacieuse envers la firme McKinsey, qui « conseille » Legault, et ses conflits d’intérêt potentiels avec Pfizer, son client :

« « Depuis que l’on connait l’implication de la firme-conseil McKinsey au gouvernement et que l'on sait qu'elle est en même temps est un lobbyiste pour la compagnie Pfizer sème des doutes sur les choix des dernières années. Pendant que le vaccin Pfizer prend les devants de la scène, on ne met pas l’accent et les investissements sur d’autres vaccins », souligne-t-il. »

Les tronches de Paul Laroque, Emmanuelle Latraverse et Mathieu Bock-Côté en disent long sur le malaise causé par ces déclarations…

Karl Weiss : « On ne peut pas vacciner la population de façon continuelle. »

Le microbiologiste énonce enfin une évidence qui aurait dû guider le gouvernement depuis deux ans et demi : protéger les populations à risque et sacrer patience aux gens en santé :

« « On ne peut pas vacciner la population de façon continuelle, croit le Dr Karl Weiss, épidémiologiste-infectiologue à l’Hôpital général juif de Montréal. Il va falloir instaurer une vaccination à géométrie variable. » »

D’autres experts se sont exprimés dans le même sens :

« « Il y a des gens qui n’écoutent plus. Il y a ce ras-le-bol, constate Bryn Williams-Jones, directeur de l’école de santé publique de l’Université de Montréal. Il faut changer le discours. » 

Selon eux, des campagnes de vaccination ciblées pour les gens à risque (âgés, malades, etc.) seraient davantage efficaces dans l’avenir, plutôt que de convaincre tout le monde de se faire inoculer chaque fois.  

« Pour continuer à être efficace, on a besoin de bien identifier les gens à risque, et les rejoindre », dit M. Williams-Jones, qui déplore les coupes dans les budgets de santé publique depuis des décennies. »

Nathalie Grandvaux : « Les vaccins ne sont peut-être pas la solution. »

Sanitariste modérée, la docteur Nathalie Grandvaux, professeure de biochimie à l’Université de Montréal, reconnaît tout de même que les vaccins ne sont pas la solution, tout en en recommandant toutefois la répétition :

« Les vaccins ne sont peut-être pas la solution, selon Dre Nathalie Grandvaux, professeure de biochimie à l’Université de Montréal, qui estime que d'autres technologies doivent être étudiées.

« La capacité (du vaccin) à protéger diminue avec le temps, alors, pour l’instant, on est pris à devoir répéter la vaccination », explique-t-elle. »

Peut-être serait-ce là la principale raison pour renoncer au vaccin, mais qui suis-je pour contredire une experte ?  Mme Grandvaux fait preuve d’un humour très involontaire :

« Dre Grandvaux incite la population à arrêter d’utiliser le terme « vague » parce que le virus est toujours là et, dit-elle, et qu’il y a « cette fatigue par rapport au terme de vague ». »

Euh, n’est-ce pas plutôt à Messieurs Legault, Trudeau, et aux médias qu’ils subventionnent que vous devriez adresser cette recommandation, Mme Grandvaux ? 

5 commentaires:

l'Indépendant du Québec a dit…

Je vous souhaite un bon dénouement avec votre fil RSS. À 17:20 votre article bien que publié sur votre site n'est pas encore passé par le référencement.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Merci de m'informer.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Ce serait le troisième article qui subirait ce sort. Je ne vois pas ce que je peux faire, à part partager et repartager sur Facebook et Twitter.

l'Indépendant du Québec a dit…

Je ne sais pas quand (heure hier soir ou cette nuit) mais il a été référencé via le fil RSS mais à 8:00 ce matin il l'a été.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Merci de l'info. Il semble en effet gagner en fréquentation.

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