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Donald J Trump |
Se fiant sans esprit critique à ces derniers, la majorité des gens qui détestent Trump, sans trop savoir pourquoi, adulent Barack Obama, qu’ils imaginent comme un grand président, sans bien sûr savoir davantage pourquoi. Trump ressemble à un volcan ambulant, obèse, à la coiffure impossible, au visage peu avenant et qui s’exprime de façon prompte et percutante. À l’opposé, Obama reste le président Hush Puppies par excellence, athlétique, décontracté, posé, super cool et charismatique.
Ceux qui rient des femmes qui adorent
Trudeau parce qu’il est cute mais qui adulent Obama devraient se garder
une petite gêne…
Des amalgames risibles
Il en résulte donc que, aux yeux
de plusieurs, Trump, qui a passé quatre ans sans faire de guerre, aurait pu
déclencher un cataclysme nucléaire à tout moment, tandis qu’Obama, prix Nobel
de la paix, reste un ambassadeur pacifiste des plus méritants malgré ses huit
ans de conflits internationaux. Toute
personne sensée et informée réalise la totale aberration de tels amalgames.
Dans cette perspective, les détracteurs
de Trump méprisent allégrement, toujours sans savoir pourquoi, les médias
conservateurs, centre droite, tels, notamment, Fox News et New York Post, alors
qu’ils représentent les derniers bastions du journalisme d’enquête. Ces deux médias ont été à l’origine de la
nouvelle du lap top de Hunter Biden, impliquant son père dans un conflit d’intérêt
avec une entreprise ukrainienne, scandale censuré en pleine campagne électorale
de 2020 par les GAFAM, et présenté comme de la désinformation russe par les
médias main stream à 90 % démocrates.
17 mois plus tard, The New York
Times, chapelle démocrate s’il en est, reconnaissait l’authenticité de la
nouvelle, en ménageant toutefois Biden, du moins pour le moment. The Washington Post et CNN, également
inféodés aux démocrates, emboitaient le pas au NYT. Un sondage récent indique que 16 % des
électeurs ayant voté pour Biden auraient choisi Trump s’ils avaient été au
courant de ce scandale. Ce dernier serait
donc resté en poste, dans le meilleur intérêt des Américains.
Nos médias devraient s’inspirer
de Fox News…
Nos médias, qui sont devenus des
organisations de propagande subventionnées, présentent les médias conservateurs
comme arriérés, quétaines, peu articulés et malhonnêtes alors qu’ils sont tout
le contraire. Ces derniers ont-ils toujours raison ? Non, mais leur
moyenne au bâton reste nettement supérieure à celle de nos pathétiques Radio-Canada et
Quebecor, et de leurs prétendus experts en politique américaine,
inconditionnellement, pour ne pas dire hystériquement pro démocrates et anti-Trump.
Nos médias ont-ils rendu compte
du rapport Durham sur le hoax de Hillary Clinton à propos de la
collusion de Trump avec les Russes, ou des courriels de Fauci qui indiquent
clairement que la covid vient d’une fuite du labo de Wuhan ? Ont-ils évoqué la
thèse plus que probable que ces expériences étaient bel et bien des recherches
de gains de fonction financées par un organisme gouvernemental dirigé par Fauci
?
Ces exemples démontrent qu’il
est impossible de comprendre quoi que ce soit à la politique américaine en ne
s’en tenant qu’à la majorité des médias main stream, aveuglément soumis aux
démocrates, même au Québec, allant même jusqu’à passer sous silence des
nouvelles accablantes.
Ce que nos médias n’admettront
jamais
Je sais que j’ai déjà évoqué plusieurs
réalisations de Trump, mais je crois qu’il mérite que
je récidive, tant nos médias ferment délibérément les yeux sur des mérites
pourtant bien réels.
En plus de n’avoir entrepris aucune
guerre en quatre ans, d’avoir démantelé Daesh et d’avoir signé quatre accords
de paix au Moyen-Orient, ce « dégénéré » aura rapatrié quantité de
siège sociaux évaporés sous Obama et Bush, favorisant ainsi la classe moyenne
que les démocrates ont depuis longtemps oubliée. Il a soutenu et financé des
programmes et institutions voués aux minorités dont le pourcentage d’électeurs
lui étant favorable a doublé, particulièrement chez les Afro-américains et les
latinos.
Trump avait sécurisé la
frontière sud des États-Unis, maintenant ouverte stupidement par Biden, attirant
ainsi aux États-Unis près de trois millions d’immigrants illégaux en provenance
de 151 pays, un autre « exploit » que nos médias ignorent
délibérément. La Floride et le Texas restent
durement éprouvés par cette décision irresponsable digne d’un Justin Trudeau,
mais avec des conséquences encore plus lourdes.
Trump, cet « incompétent »,
est également responsable d’avoir rendu son pays autonome énergétiquement par
le biais du pipeline Keystone qui reliait l’Alberta à son pays. La
toute première initiative de « Biden » aura été de le
fermer. Il est pathétique de voir ce pauvre hère blâmer ensuite
Poutine, puis l’industrie pétrolière, pour la hausse des prix causée par une
rareté qu’il a lui-même provoquée. La prochaine fois que vous ferez un plein,
ayez une bonne pensée pour Biden…
Ce « dégénéré » de
Trump a également nui au puissant lobby pharmaceutique en favorisant la
fabrication locale de médicaments, abaissant ainsi leur coût en éliminant celui
ou ceux qu’il appelait « the middle man ». Il n’a pas dû se faire beaucoup d’amis parmi
les multinationales…
Biden : la médiocrité au
pouvoir
Si Trump était resté président,
comme il aurait dû, sans la dissimulation de l’affaire du Laptop de Hunter
Biden incriminant son père et la fraude électorale probable favorisée par
l’envoi record de 75 millions de ballots postaux (alors que la France a banni
depuis 1975 le vote postal pour risque de fraude), le prix de l’essence
n’aurait pas augmenté, aucun mandat de vaccination n’aurait été imposé, donc
aucune désertion de camionneurs et pilotes d’avion ne serait survenue, ni aucune
rupture de chaînes d’approvisionnement.
La guerre en Ukraine n’aurait fort probablement pas eu lieu, Trump
s’étant toujours opposé au pipeline liant la Russie à l’Allemagne, autorisé par
Biden et grâce auquel le président russe finance son invasion.
Les démocrates connaissent une chute
vertigineuse historique dans les sondages et tentent désespérément de
capitaliser la sympathie des Américains autour de la décision de la cour suprême
d’abolir l’arrêt Roe contre Wade, qui garantissait le droit à l’avortement dans
tous les États. Les mid terms approchent et les Républicains ont les
meilleures chances de remporter la Chambre des représentants et le Sénat.
Entre le droit à l’avortement
et celui d’assurer la subsistance de leurs familles alors que de plus en plus d’Américains
en arrivent à devoir choisir entre l’essence et la nourriture qui se rarifie
sur les étagères des épiceries, il y a fort à parier que les prétentions des
démocrates resteront lettre morte.
Les mid terms n’arriveront jamais assez vite…