samedi 18 juin 2022

Trump et le 6 janvier 2021, au-delà du délire des médias main stream…

Donald J Trump
Devant les énormités véhiculées par nos médias québécois et la majorité des médias américains - il faut préciser à 90 % démocrates - sur l’insurrection présumée survenue au Capitole le 6 janvier 2021, il importe de remettre les pendules à l’heure en réaction aux mensonges et autres propos diffamatoires proférés contre Donald J Trump par nos oracles. 

À ce titre, la palme revient à Mario Dumont, qui n’a pas hésité à évoquer la thèse d’un assassinat projeté par Trump sur la personne de son vice-président d’alors, Mike Pence, ou celle de la prise d’otages de représentants qui aurait été trouvés sur place.  Quand on ne sait plus quoi dire pour des cotes d’écoute…

Si l’on résume les positions de ces coqs de basse-cour qui se font passer pour des commentateurs chevronnés, Donald Trump a fomenté un coup d’État en réaction au refus de Mike Pence d’autoriser le recomptage des votes de l’élection de 2020.  En passant, un véritable coup d’État implique la participation de l’armée.  Où étaient les troupes de Trump ?

Trump, ce « dément » …

Fou de rage, en proie à un accès de démence, Trump aurait ordonné à ses dangereux Proud Boys d’assiéger le Capitole et d’y détruire tout ce qu’ils pouvaient en signe de protestation contre la reconnaissance légitime d’une élection propre, sans bavure, et accomplie avec une telle honnêteté que certains commentateurs – démocrates – n’ont pas hésité à la qualifier de « plus honnête jamais tenue ».

Les hostilités auraient débuté avec un discours soi-disant incendiaire.  Pourtant, Trump n’y a jamais enjoint qui que ce soit à recourir à la violence lors des événements en question, bien au contraire.  Il a été prouvé, lors de son procès en impeachment, demandé et perdu par les démocrates, que les troubles avaient commencé bien avant son discours soi-disant séditieux…

Or il faut savoir que des vidéos, étrangement devenues introuvables, avaient montré que les services de sécurité avaient ouvert grand leurs portes cette journée-là à nombre de manifestants, la plupart pacifiques.  D’autres, plus belliqueux, se sont rajoutés par la suite.  Et c’est de ces gens-là dont on retrouve encore les exactions.

D’autres vidéos, non moins mystérieusement disparues, montraient des individus vêtus en antifas, terroristes domestiques pro-démocrates, en train d’initier des actes de vandalisme tandis que des partisans de Trump tentaient de les en empêcher.  Mais qu’on se rassure, CNN, chapelle démocrate par excellence, nous garantit que les antifas n’étaient pour rien dans cette insurrection.

D’autres vidéos, disparues également, montraient des partisans de Trump en train d’interpeller des représentants des forces de l’ordre afin qu’ils interviennent, sans succès.  Ils sont restées immobiles malgré la casse évidente.

Steven A. Sund, bouc-émissaire de Pelosi ?

Bien que les démocrates aient été prévenus des semaines à l’avance de cette manifestation, les effectifs de sécurité du Capitole avaient été réduits à 25 % de leur capacité. Une telle inefficacité a semblé si évidente, que le chef de la sécurité de l’établissement, Steven A. Sund, a dû remettre sa démission illico.

Cet homme est-il vraiment le principal responsable d’une aussi évitable incompétence ?  Il faut savoir que la sécurité du Capitole relève ultimement de la Chambre des représentants à majorité démocrate dont Nancy Pelosi est la présidente. 

Et si Sund n’était que le bouc-émissaire de celle qui a par la suite demandé l’impeachment de Donald Trump et qui préside maintenant la commission d’enquête sur le 6 janvier après en avoir exclu les républicains les plus intègres et les plus articulés ?

Quand même Radio-Canada se pose des questions…

La sous-estimation des besoins en sécurité en regard d’une telle « menace » a semblé si incompréhensible que même Radio-Canada s’est interrogée à ce sujet :

« On s'explique toujours très mal au lendemain de cette émeute historique comment les forces de sécurité du Capitole, qui comptent 2000 agents, ont pu être si facilement débordées.

Visiblement en infériorité numérique et non préparées à cet assaut de milliers de manifestants galvanisés par le discours du président Trump à quelques coins de rue de là, les forces de sécurité du Capitole ont été refoulées en quelques minutes jusqu'aux portes de la chambre du Sénat, où les élus ont dû être évacués en catastrophe. »


En résumé, le nom de Pelosi peut être associé à trois événements d’importance quant à l’insurrection du 6 janvier : une importante brèche de sécurité au Capitole, une demande farfelue d’impeachment d’un président sortant et la tenue d’une commission d’enquête totalement bidon et partisane ayant pour but ultime de discréditer Trump au point d’empêcher son éventuelle réélection en 2024.

Les démocrates aux abois

On peut comprendre la panique des démocrates à l’idée d’un retour à la présidence de Donald J Trump, leur cauchemar depuis six ans.  Ils sont en chute libre dans les sondages : crise frontalière, retrait catastrophique de l’Afghanistan, inflation galopante, prix record de l’essence, ruptures des chaines d’approvisionnement et, notamment, du lait maternisé, hausse consternante de la criminalité dans les États et villes démocrates, dépôt du rapport Durham, accablant sur la fabrication par Hillary Clinton du hoax sur la collusion de Trump avec la Russie, coulage de l’info sur le laptop de Hunter Biden, qui place de lourds soupçons de conflits d’intérêt de son père avec une entreprise ukrainienne, acceptation des hommes dans des compétitions pour femmes, cours de sexualité pour les jeunes enfants à la sauce drag queen, etc.

Commencez-vous à comprendre les enjeux de cette vaste farce qu’est devenue cette commission d’enquête bidon ?  Elle représente une tentative désespérée de détournement de l’attention de la médiocrité démocrate et de suppression de ce danger permanent que représente pour ces idéologues wokes finis Donald J Trump.

Trump, vraiment à l’origine d’un coup d’État ?

À la lumière de ces faits, il devient difficile de voir Trump en instigateur d’un coup d’État.  L’homme est bouillant, coléreux même, certes, mais ni hystérique et encore moins suicidaire au plan politique.   Qu’il y ait eu parmi ses supporters des gens qui ont causé du trouble, c’est très probable, mais faut-il pour autant le rendre responsable de leurs agissements perpétrés avant son discours soi-disant déclencheur ?  Personne ne peut cautionner la criminalité, qu’elle provienne des supporters de Trump ou des antifas.

 

Au fait, à quand une commission d’enquête sur les ravages de ces terroristes domestiques que sont les Black Lives Matter ?  Du moment que vandalisme, destruction de monuments publics, violence et meurtres sont commis au nom d’une « juste cause », ces crimes deviennent acceptables ?  Les événements du 6 janvier restent de la petite bière si on les compare aux dommages commis par les BLM depuis des années.

 

Les affres du « Trump derangement syndrome »

 

La plupart des détracteurs de Trump ne savent même pas pourquoi ils le détestent, sous l’emprise irrationnelle qu’est le Trump derangement syndrome.  Au Québec, où l’analphabétisme politique est tel qu’on s’apprête à réélire François Legault, je ne serais pas surpris si 75 % de notre bon peuple détestait Trump, sous l’influence de la bonne nouvelle TVA.

 

Au-delà d’une personnalité explosive, ce « dégénéré » aura cumulé des réalisations déplorables telles que de n’entreprendre aucune guerre en quatre ans de pouvoir, d’avoir signé quatre accords de paix au Moyen-Orient, d’avoir atteint l’autonomie énergétique nationale par le pipeline Keystone - aussitôt fermé par Biden une fois élu, cause de la hausse du litre d’essence -, d’avoir rapatrié quantité de siège sociaux évaporés sous Obama et Bush - favorisant ainsi la classe moyenne que les démocrates ont depuis longtemps délaissée -, d’avoir soutenu et financé des programmes et institutions voués aux minorités - dont le pourcentage d’électeurs lui étant favorable a doublé -, d’avoir développé l’industrie pharmaceutique nationale - entraînant ainsi une baisse marquée du prix des médicaments -, d’avoir sécurisé la frontière sud des États-Unis, maintenant ouverte stupidement par Biden, ou par ceux qui le dirigent, le pauvre homme ne sachant visiblement pas quel jour on est.


En clair, Trump a accompli davantage en quatre ans que Biden, politicien de carrière réputé pour son incompétence, en cinq décennies.  Ne comptez ni sur TVA, ni sur les médias main stream amériains pour lui rendre cette justice élémentaire.  Cependant, ces charognards médiatiques répondront toujours présents pour le dénigrer, quitte à inventer les scénarios les plus atterrants et les plus ridicules.  

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