samedi 14 août 2021

Fausse pandémie en 2009, toute aussi fausse en 2021…

Arruda, Legault et Dubé en représentation
L’histoire est un perpétuel recommencement et si nous n’en tirons pas les leçons, nous sommes condamnés à en perpétuer les erreurs tandis que des instances dominantes et parasitaires tireront profit des leurs pour mieux nous asservir.  Cette triste vérité semble se répéter avec une ampleur jamais vue dans le cas du psychodrame mondial actuel, qui ressemble à s’y méprendre à une pièce de théâtre dont l’épisode de la grippe h1n1 n’était que la répétition générale.

Dans le cas de la h1n1, cependant, les médias ont fini par jouer leur rôle de dénonciateurs de l’incurie de l’OMS et du lobby pharmaceutique. Avant cette minute de gloire, cependant, au mépris de toute rigueur journalistique, ils se sont fait les complices d’une imposture maintenant connue de quiconque a des yeux pour voir, un cerveau alerte et une mémoire fonctionnelle.

Une majorité dormirait au gaz…

Ces trois dernières qualités semblent aujourd’hui faire défaut à une majorité de Québécois, du moins si l’on se fie aux questionnables sondages Léger.

Je suis tombé récemment sur un article costaud en date du 8 février 2010, qui faisait un bilan sévère, pour ne pas dire implacable mais justifié, de la « pandémie » bidon de 2009.  Si nos médias n’étaient pas devenus à ce point menottés par le financement gouvernemental, il y a fort à parier qu’un article encore plus dur serait publié de nos jours et que les dirigeants de la CAQ se verraient contraints de prendre leur trou pour ne plus en sortir.

Fausse pandémie et conflits d’intérêt…

Je reproduirai ici des extraits de l’article en question, au titre prophétique Fausse pandémie et conflits d’intérêt. Vous pouvez substituer mentalement « covid-19 » à « h1n1 » et voir si ces énoncés ne sont pas toujours aussi valables en 2021 qu’en 2009 :

« Des experts québécois et européens accusent l'Organisation mondiale de la santé (OMS) d'avoir exagéré l'importance de la grippe h1n1 et d'avoir favorisé volontairement l'enrichissement de l'industrie pharmaceutique.

Nullement épargné par cette controverse, le gouvernement du Québec est blâmé d'avoir « naïvement » suivi le mouvement mondial. »

Nous passerons cependant ici sur la « naïveté » du gouvernement Legault, dont les décisions restent dictées par la firme McKinsey, première au monde en son domaine tant aux plans du rayonnement que de la corruption.  Le simple fait que François Legault se soit abaissé à engager cette firme au montant de 1,7 M $ en dit long sur son intégrité défaillante.  J’ai consacré à McKinsey, cette inquiétante gestionnaire de la CAQ, un billet qui vient de battre des records de visite sur mon blog.

L’OMS a mêlé les cartes avec une définition tronquée de « pandémie »

L’extrait suivant est très important et explique comment un virus de faible impact a pu acquérir, folie médiatique aidant, le statut d’une menace mondiale mortelle contre laquelle il n’existe pas de petits sacrifices, incluant perte de libertés, séquestrations à domicile, imposition à nos enfants d’un masque et, pire encore, d’un vaccin potentiellement risqué, destruction de nos PME, oppression accrue d’un système de santé défaillant qu’infirmières et préposées, à bout de résistance, quittent en grand nombre et, pour finir, l’infamie du passeport de la honte imposé par la division de la population en deux camps : les pro-choix du vaccin, qui préfèrent judicieusement en savoir davantage avant de servir de cobayes à un « vaccin » expérimental, et les ayatollahs vaccinaux, persuadés que quiconque n’est pas vacciné représente un danger pour ces petites têtes.  

Mais voyons plutôt :

« Dans une étude parue lundi dans le magazine Protégez-vous on rapporte que dans la foulée de l'éclosion du virus, l'OMS aurait allégé sa définition de pandémie, laissant ainsi la belle part aux compagnies pharmaceutiques qui auraient profité de cette « hystérie pandémique ». »

Cet « allégement » consiste à laisser de côté des critères pourtant essentiels afin de définir une pandémie et son étendue, soit les nombres d’hospitalisations, de patients en soins intensifs et, bien sûr, de morts.  Voilà la raison pour laquelle nos dirigeants ne parlent qu’en termes de « cas », facilement obtenus par la surmultiplication de tests PCR, beaucoup trop sensibles à 45 cycles, et générateurs de faux positifs.  

Comment pourraient-ils entretenir la panique populaire avec ces chiffres miteux, pour tout le Québec, mais pourtant bien réalistes, en date du 14 août :

  • 0 nouveau décès, pour un total de 11 242 décès;
  • 80 hospitalisations, soit une diminution de 1 par rapport à la veille;
  • 27 personnes aux soins intensifs, soit une diminution de 1 par rapport à la veille;
  • 17 844 prélèvements réalisés le 11 août.

Mieux vaut, pour maintenir la panique populaire, continuer à parler de « cas » :

  • 426 nouveaux cas, pour un total de 380 833 personnes infectées;

Pas mal plus « vendeur », non ?  À noter que le même dopage statistique a prévalu lors de la deuxième et de la troisième vague.  Une quatrième vague, tout aussi bidon, s’en vient ?  Vous verrez nos confinés mentaux grimper aux barricades et s’en prendre aux « antivaccins » pour leur égoïsme, leur insouciance et leur narcissisme.

Et ce sont eux qui les traiteront de « covidiots »…

C’était vrai en 2009, ça l’est tout autant en 2021

Toujours à propos de « l’allégement » des critères de l’OMS :

« « C'est cette modification qui a rendu possible la transformation d'une banale grippe en pandémie mondiale », a notamment dénoncé au magazine, Wolfgang Wodarg, épidémiologiste allemand et ex-président de la sous-commission de la Santé du Conseil de l'Europe. »

Faut-il vous faire un dessin ?  C’était vrai en 2009, ça l’est tout autant en 2021.  L’OMS et ses mandataires nous roulent prodigieusement dans la farine.  Mais cette fois, aucun média ne songerait à publier des propos tels que ceux-ci :

« Les liens entre les l'OMS et l'industrie pharmaceutique ont été également soulevés comme cause possible de ce dérapage. »

À qui le crime profite ?

En 2021, le dérapage est certain.  Mais voyons à qui le crime profitait alors et profite toujours :

« En 2006 déjà, les États ont commencé à conclure de gros contrats avec des sociétés pharmaceutiques pour faire face à d'éventuelles pandémies. Ces engagements de commercialisation devaient prendre effet dès que l'OMS déclarerait officiellement une pandémie. Quand l'OMS l'a fait, elle a joué un rôle clé et cela a accru de 18 milliards de dollars les dépenses de santé dans le monde. Les sociétés pharmaceutiques s'étaient préparées, elles n'attendaient en fait que cela », ajoute le Dr Wodarg. »

En 2021, elles raflent à nouveau la mise !  La « pandémie » manufacturée a fait récemment neuf milliardaires.  Loin de dénoncer cette fois un quelconque conflit d’intérêt, nos médias les présentent comme des philanthropes :

« La fortune cumulée des neuf milliardaires cités, 19,3 milliards de dollars, « permettrait de vacciner 1,3 fois l’ensemble des pays à faibles revenus », qui « n’ont reçu que 0,2 % des vaccins produits dans le monde, notamment en raison de l’important déficit de doses disponibles », selon Oxfam. »

N’est-ce pas touchant ?

Les États n’apprennent pas de leurs « erreurs »

En 2009, tout comme aujourd’hui, les États se sont empressés de dilapider les fonds publics dans des campagnes de vaccination injustifiées.  En 2021, le cirque sanitaire mondial a été orchestré de façon encore plus répressive, particulièrement en Australie, en Nouvelle-Zélande, en France et au Québec qui restent les pires États au monde.  Déjà en 2009, l’OMS se lavait les mains des dégâts qu’elle avait provoqués :

« Alors que l'OMS soutient n'avoir « rien à se reprocher », un expert en pharmacovigilance à l'Université de Montréal questionne les agissements des pays occidentaux qui, à l'exception de la Pologne, se sont tous empressés de mettre sur pied des campagnes massives de vaccination, sans même s'interroger sur les recommandations de l'OMS. »

Quand des dirigeants n’apprennent pas de leurs erreurs…  Déjà en 2009, le gouvernement québécois se distinguait par son zèle injustifié et par sa bêtise viscérale, à moins qu’il ne se soit déjà agi de conflits d’intérêt :

« « On a déclenché une fausse alerte. Le gouvernement du Québec s'est conduit comme un bon petit soldat et a mené la campagne de vaccination la plus efficace au monde. Il a été naïf et tout cela été un gaspillage d'argent. Il n'y a pas eu des millions de morts et rien ne justifiait cet état d'urgence », déplore Pierre Biron, ex-professeur de pharmacologie en médecine. »

Ils ne pourront pas toujours mentir…

À l’échelle planétaire, la covid aurait tué entre quatre et six millions de personnes.  Le tabac tue deux fois plus…

Le jour où, inévitablement, le pot aux roses de cette immense arnaque mondiale sera découvert, on pourra aisément prévoir la réponse du gouvernement, qui sera vraisemblablement similaire à celle faite par Dominique Breton, porte-parole du ministère de la Santé, en 2009 :

« « Nous avons agi comme des autorités responsables et nous avons suivi les recommandations de l'OMS. Finalement, le virus n'était pas aussi virulent qu'on aurait pu le croire, mais on aurait pu se retrouver devant un très grand nombre de personnes infectées », a-t-elle affirmé. »

Mondialisation des conflits d’intérêt

Aucun observateur un tant soit peu allumé ne sera alors dupe de cette dérobade. Il est aisé de suivre le fil conducteur des conflits d'intérêt qui émanent notamment des gestionnaires privés de l’OMS, acoquinés cette fois encore avec le lobby pharmaceutique, qui s’en met présentement plein les poches. 

Ces tristes sires sont servis, pour exécuter leurs desseins mercantiles, par des agents troubles, comme la très corrompue firme McKinsey, que notre non moins douteux premier ministre a engagé à raison de 1,7 M $ de notre argent.  C’est encore avec notre argent que Legault soudoie nos médias à raison de 133,5 M $ en dépenses publicitaires.  

Voilà pourquoi les « journalistes » se la ferment quand ils devraient dénoncer une supercherie et une escroquerie sans précédent dont auront résulté, en dommage collatéraux, la division du peuple québécois, la destruction de notre économie, la précarisation accrue de notre système de santé déjà hypothéqué, les traumatismes infligés à notre jeunesse assortis des problèmes de santé (myocardites) que généreront le chantage à la vaccination, et l’infamie du passeport de la honte.

Les médias, eux aussi, auront à répondre de leur lâcheté, de leur bassesse et d’une complaisance qui bascule dans la déchéance.  Reste à savoir quand le déclic se produira, et dans quel état alors sera le Québec à ce moment…

Aucun commentaire:

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ?   C'est la première fois depuis ...