Barack Obama et Joe Biden |
Je parle ici d’équipe,
puisqu’il est évident, d’un point de presse à un autre donné par ce pauvre
bougre qu’est l’actuel président, que nous assistons au spectacle affligeant d’un
homme sénile, confus, désorienté au point de se référer à des fiches touchant
des sujets brûlants qu’il devrait normalement maîtriser, quand il ne dit pas
ouvertement redouter de se « mettre dans le trouble » s’il se gourre
dans ses réponses aux journalistes, ce qui ne manque pas d’arriver.
Neuf mois de gaffes
En à peine neuf mois, les
gaffes soi-disant commises par cet homme de paille, porte-parole fantoche d’une
gauche woke des plus extrémistes, se sont multipliées : annulation du
projet d’oléoduc Keystone qui devait garantir l’autonomie énergétique des
États-Unis; à-plat-ventrisme devant les pays de l’OPEP qui refusent les demandes
du président d’augmenter leur production de barils; crise migratoire sans
précédent à la frontière Sud et déplacement, à travers le pays, de centaines de
migrants illégaux non-testés covid; vaccination obligatoire des entreprises
privées et services publics, en plus du masque tout aussi obligatoire dans les
écoles; retrait désastreux d’Afghanistan, l’armée laissant derrière elle civils
américains, alliés afghans et un arsenal de haute technologie militaire de 85
milliards $, entre autres dossiers désastreux.
Imaginez si Trump s’était
rendu coupable d’un bilan aussi calamiteux.
La planète médias serait en feu.
Un contraste affligeant
Quel contraste entre cette
présidence et celle de Donald J Trump, un homme certes peu diplomate, mais
efficace, pragmatique et capable de réalisations impressionnantes : aucune
guerre en quatre ans; signature de quatre accords de paix au Moyen-Orient; rapatriement
de plusieurs sièges sociaux au pays, augmentation et préservation de nombreux
emplois perdus sous les administrations précédentes; réfection entière de l’armée;
frontière Sud adéquatement sécurisée, retrait prévu de l’Afghanistan qui aurait
permis le rapatriement sécuritaire de citoyens américains et d’alliés afghans,
sans compter celui de l’arsenal mentionné plus haut.
Popularité en chute libre
Nos médias pro-démocrates,
subventionnés par les alliés de ce parti que sont Justin Trudeau et François
Legault, n’en font pas les gorges chaudes, mais la cote de popularité de Biden est en chute libre :
« Le
président Joe Biden a vu son taux d’approbation chuter brutalement parmi les
indépendants, passant de 61% en février à seulement 34% au bout de neuf mois de
sa présidence, selon un nouveau sondage publié vendredi.
À l’échelle nationale, la cote du président est restée
stable le mois dernier à 42%, après une forte baisse de six points en
septembre. Son approbation publique est en baisse de 14 points
de pourcentage au total depuis juin, selon le dernier sondage Gallup.
Les données, tirées du 1er au 19 octobre, ne suggèrent
aucune amélioration du soutien public, ce que Gallup attribue aux revers
récents tels que le débat sur le projet de loi sur les infrastructures et à des
problèmes tels que l’inflation et les pénuries de travailleurs. »
Qui dirige vraiment la Maison blanche ?
En observant ce président biodégradable, visiblement
en état de délabrement moral, mental, psychique et physique avancé, il devient évident
qu'il est incapable d’exercer ses fonctions et qu’un impeachment lui
serait salutaire. En irait-il autant pour
le pays ?
Rien n’est moins sûr puisque la redoutable
incompétente que s’est révélée la vice-présidente ricaneuse Kamala Harris
serait à l’évidence désignée comme la successeure de Biden. Sa « performance » désastreuse dans
la crise frontalière est suffisante pour la disqualifier aux yeux de nombre d’Américains.
Et elle n’a même pas l’excuse de la
sénilité.
Le troisième mandat d’Obama ?
Plusieurs commentateurs croient que Barack Obama
préside aux destinées de la Maison blanche au point d’avoir entamé son
troisième mandat. Hypothèse audacieuse ? Pas tant que ça. Après tout, les deux hommes sont habitués de
travailler ensemble et Biden a toujours été le subalterne d’Obama. Ce dernier ne pouvant se présenter une
troisième fois à la présidence, pourquoi n’aurait-il pas choisi son ancien vice-président
comme homme de paille pour atteindre ses objectifs ?
Avant même que Biden ne soit « élu », Jean-Éric Branaa,
maître de conférences à l’université Panthéon-Assas et spécialiste des
États-Unis, avait publié « Joe Biden, le 3ème mandat de Barack Obama ». Plus récemment, Jeanine Pirro,
analyste politique à Fox news, défendait également cette hypothèse :
« (…) avez-vous remarqué
que Joe Biden perpétue les mêmes politiques que défendait Obama ? Frontières ouvertes, dénigrement de la
police, affirmations qu’il soutient une « communauté internationale »
alors que c’est faux… Et en passant, comment se fait-il que Kamala Harris, qui
serait le choix de Joe Biden comme vice-présidente, s’est vu offrir cette opportunité
alors qu’elle avait dénoncé ses opinions racistes ? Et pourquoi une personne aussi
paumée que la caqueteuse Kamala, qui a dû renoncer aux primaires présidentielles
puisqu’elle ne pouvait récolter un pour cent d’appuis, a pu devenir vice-présidente
des États-Unis ? Rappelez-vous de l’affection
de Barack Obama envers Kamala Harris… »
Obama s’était dit « très
à l’aise » avec l’idée d’un homme de paille…
Le plus troublant, dans l’exposé
de Jeanine Pirro, reste cet extrait d’une entrevue donnée par Obama à Steven
Colbert après l’élection de 2020, à propos de ce à quoi aurait pu ressembler un troisième mandat pour l’ancien président (6 min
4) :
« J’avais l’habitude de dire :
si j’avais l’opportunité de faire un arrangement selon lequel j’installerais un
présentateur ou présentatrice (frontman or frontwoman) avec un équipement dans
l’oreille que je pourrais diriger de mon sous-sol dans mes cottons ouatés et
lui transmettre ses « lignes », et que ce quelqu’un d’autre ferait la
conversation et le cérémonial, je serais très à l’aise avec ça. »
Bien sûr, il ne s’agit pas ici d’aveux, mais n’y a-t-il pas matière à questionnement ? Et si Biden avait été choisi en raison de l’ascendant d’Obama sur lui ? Au fond, lors de ses débats avec Trump, Biden ne portait-il pas un écouteur dans l’oreille dont il avait refusé l’inspection, comme le soulignait Jeanine Pirro ? Attendait-il ses « lignes » ?
Incontestablement, un dossier à suivre.
1 commentaire:
Qu'ils soient rouges ou bleus, il faut qu'on se le dise : les États-Unis ne sont pas nos amis.
Les États-Unis ne sont amis qu'avec eux-mêmes.
Ils vont dire qu'ils sont nos amis lorsqu'ils ont des armes et d'autres produits à nous vendre.
Quand nous voulons leurs vendre nos produits ils se protègent derrière le Buy America Act .
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