Justin Trudeau et François Legault |
Hormis l’évidence des faits, rien
ne vient accréditer une perspective aussi sombre que celle vécue dans ces États rétrogrades. Après tout, Justin Trudeau, a bien qualifié
de « volontaires » les centres de confinement qu’il fait construire
partout à travers le pays au coût de 100 M $.
Il s’agit du même individu qui,
après avoir insulté, démonisé et refusé de rencontrer les camionneurs
pacifiques qui contestaient l’obligation vaccinale fédérale, a invoqué sans
motif la loi des mesures d’urgence, gelé les comptes bancaires non seulement
des camionneurs mais de ceux qui les avaient soutenus sous forme de dons. Trudeau est même allé jusqu’à menacer les
contestataires, dont un juge a reconnu plus tard la légalité de la démarche, de
leur faire perdre leur permis de travail.
Un admirateur de la Chine et de
Klaus Schwab
Vous croyez toujours que les
centres de confinement de ce triste sire, qui admettait avec sa stupidité
coutumière son admiration pour la Chine, resteront « volontaires »
s’il se bute à une résistance citoyenne croissante devant une vaccination en
voie de devenir rituelle aux trois mois, preuve évidente, s’il en faut
davantage, de l’inefficacité du vaccin toujours présenté par nos médias achetés
comme l’ultime solution de sortie de « crise ».
Trudeau doit fourguer à 38,7 millions de Canadiens un maximum de 220 millions doses en trois ans, sans
compter les quelques 100 millions de doses qui seront produites au Québec par
la nouvelle usine Moderna, en espérant qu’un pourcentage significatif sera
destiné à l’exportation. Le premier
ministre a des comptes à rendre à Pfizer, Moderna, ainsi qu’au Forum économique
mondial dont il reste un « young leader », tel que confirmé par Klaus
Schwab, qui ajoutait candidement que le FEM contrôlait plus de la moitié de son
cabinet.
Pendant ce temps, le dossier de
l’identité numérique, déjà fortement implanté en Chine, suit son bonhomme de
chemin au Canada, et particulièrement au Québec, qui semble devenu un terrain
de prédilection expérimental pour toute nouvelle mesure abusive, vu la
passivité intellectuelle et la mollesse de caractère d’un trop grand nombre de nos
concitoyens.
L’identité numérique, un pas de
plus vers le crédit social ?
Entre les mains de dirigeants
honnêtes et vertueux, l’identité numérique constituerait un véritable progrès
scientifique et social : meilleur accès aux services gouvernementaux,
réduction de la bureaucratie et de la paperasserie, facilité accrue à déceler les
vols d’identité, etc.
Entre les mains de dirigeants
corrompus, cette nouveauté peut facilement devenir un instrument de contrôle et
de répression, domaines de prédilection tant de François Legault et de Justin
Trudeau, deux psychopathes pour qui réprimer et gouverner sont synonymes.
La propagande haineuse et la
répression visant les non vaccinés, incluant un impôt spécifique, ensuite
abandonné par Legault devant l’occupation d’Ottawa par les camionneurs, et
l’interdiction de quitter le pays par Trudeau, restent des indices probants des
tendances lourdes chez ces petits Napoléons.
Trudeau a déjà gelé des comptes
bancaires. Pareille tactique deviendra
une « nouvelle norme sociale » avec l’identité numérique, qui
comprendra tant nos coordonnées d’assurances, bancaires que de crédit, ce qui
permettra à nos geôliers de bloquer encore plus aisément notre accès à notre
argent, si nous ne nous comportons pas en « bons citoyens » acceptant
de bon cœur une énième dose de vaccin, par exemple.
Le modèle chinois en marche
Et puis les fortes têtes
pourraient se voir offrir un séjour forcé en centre de confinement, histoire de
leur faire comprendre leur erreur et réaliser que « la vaccination est le
seul moyen de revenir à la vie normale ».
Tu parles d’une vie normale ! De
plus en plus contrôlés avec une vaccination aux trois mois, si la tendance
actuelle se maintient.
Cet
article précurseur, paru une première fois en septembre 20220, nous
explique :
« Développé et vanté par la Chine
qui l’applique sur son peuple, chaque individu est numériquement tracé et
contrôlé grâce à son smartphone et une application officielle, et ce, par un
système de notation. Le citoyen qui agit « bien » aura des avantages (meilleure
prise en charge de santé, meilleure chance d’évoluer socialement, meilleure
place pour les enfants dans les écoles, meilleure chance de pouvoir voyager ou
de pouvoir assister à un spectacle, etc.) et le citoyen qui agit « mal » se
verra perdre tous ses avantages, voir sanctionné. La notion de bien et de
mal étant dicté par le pouvoir politique. »
Une telle approche est déjà en
voie d’implantation au Québec et au Canada.
Legault avait interdit les restos, les salles de spectacles ou de
rencontre sportives aux non vaccinés.
Les aidants naturels étaient contraints de recevoir la « piqure »
s’ils voulaient continuer de soutenir les plus vulnérables. La perspective « d’affamer » les
« délinquants » avait même été évoquée par quelques collabos parmi
les personnalités publiques du Québec.
En ce moment même, les non vaccinés ne peuvent toujours pas quitter le
pays.
L’identité numérique dès cet été
Donc, le modèle chinois est déjà
en route et l’identité numérique est prévue pour cet été même. Voilà qui promet si la CAQ rentre encore
majoritaire ce 3 octobre car il ne faut pas se faire d’illusions sur les
« allègements » actuels. Ce
gouvernement hypocrite recule toujours pour mieux sauter. Toujours selon le même article :
« Les divers gouvernements
du monde qui ont toujours critiqué le régime politique chinois, ont bizarrement
décidé pour une fois, d’appliquer les mêmes mesures que la Chine, c’est-à-dire
de confiner les populations. Il est d’ailleurs intéressant de voir que les
pays et les états d’Amérique ayant appliqué le confinement généralisé ont tous
ce projet de contrôle social par l’identité numérique. »
Une fois bien ferré par la CAQ pour un autre mandat de quatre ans, le pire sera à redouter et même certains confinés mentaux parmi les plus obtus pourraient éventuellement finir par mesurer l’étendue de leur erreur d’avoir reporté au pouvoir pareils bandits.
Comment créer un problème…
Comment en est-on venu à faire
confiance à nos geôliers, à nous réfugier sous l’égide du syndrome de
Stockholm, la seule inspiration qui nous soit venue de la Suède ? L’article, qui parle de la France, mais dont
les constats s’appliquent tout aussi bien au Québec et au Canada, nous présente
cette explication :
« Il fallait donc créer un
sentiment d’isolement avec des règles de sorties strictes et répressives,
n’avoir comme informations qu’un égrainage quotidien des morts en France et
dans les autres pays confinés et voisins, des messages contradictoires sur les
traitements, sur les masques, sur les tests. Tout cela s’apparente aux prisonniers que l’on isole et que l’on
conditionne en créant un environnement anxiogène, pour qu’ils donnent soit des
informations, soit pour créer le chaos mental et en faire des soldats de la
cause. »
C’est donc par la confusion, la désinformation, les interventions officielles présidentielles et l’isolement qui ont contribué à créer une nouvelle réalité, celle d’un monde de peur où il n’y a aucun espoir. »
Des Chinois se révoltent
Ce qui nous menace actuellement
est devenu le quotidien en Chine, où le délire sanitaire du président a atteint
un nouveau sommet avec la poursuite du « zéro covid ». Des
Chinois s’insurgent contre les confinements draconiens, la censure, le
manque d’approvisionnements, de ressources médicales hors covid, et contre l’isolement
en centres de quarantaine de personnes testées positives à la covid.
Mais c’est si loin tout ça, aucun danger que ça nous arrive, direz-vous… Vraiment ? Regardez bien ce qui se passe sous votre nez depuis deux ans et dites-moi si la Chine est une autre planète. La Chine, c’est de l’autre côté de la rue…
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