samedi 28 août 2021

Les médias subventionnés, bras armé de la malveillance de la CAQ envers les non vaccinés

Patrick Lagacé

Vous êtes célibataire, sans enfant, ou bien père ou mère de famille qui désirez ce que la vie peut offrir de meilleur à votre progéniture comme à vous-même.  Dans cette dernière optique, sans être surprotecteur, vous souhaitez écarter de vos enfants tout danger pour leur santé physique et mentale.  Vous vous êtes donc documenté sur les vaccins contre la covid 19 et avez constaté, bien sûr, qu’ils ne sont qu’expérimentaux et n’ont pas passé l’indispensable batterie de tests nécessaires à leur homologation.  Une question légitime se pose à vous : le jeu en vaut-il la chandelle ?

Qui plus est, une abondante documentation vous informe que les jeunes sont à faible risque de contamination et de transmission et même, que la vaccination peut s’avérer dangereuse pour eux, comme ont tenté d’avertir notre irresponsable gouvernement des scientifiques nettement plus qualifiés que le « bon » docteur Arruda, ou le ridicule « urventologue » François Marquis :

« «Le principe de précaution joue, selon nous, contre une utilisation à grande échelle des injections de Pfizer chez les mineurs», peut-on lire dans un article daté du 27 mai, cosigné par cinq scientifiques québécois, dont le professeur honoraire de pharmacologie médicale de l’Université de Montréal, Pierre Biron. »

Bien sûr, les cabochons qui nous « gouvernent », selon les directives de la plus que douteuse firme McKinsey, continuent de faire la sourde oreille à ces avertissements et encouragent la vaccination des jeunes, quitte à voir notre ministre de la Santé s’improviser vendeur de hot-dogs itinérant.  Ces « dirigeables », aussi scientifiques que les animaux d’un zoo, exposent sans vergogne nos jeunes à des problèmes de santé évitables dont la myocardite.

« Est-ce que le risque vaut le coup de d’être pris ? » - Didier Raoult

De son côté, le professeur Didier Raoult, étiqueté complotiste depuis le début de la « pandémie », a émis de sérieuses réserves sur la vaccination, tout en admettant qu’elle puisse rassurer les confinés mentaux dans leur terreur hypocondriaque :

« Et si, dans la grande époque de terreur dans laquelle nous vivons, ça rassure les gens d’être vaccinés, il faut qu’ils se vaccinent. »

La vaccination aurait-elle davantage de vertus sécurisantes que sanitaires ?  La question se pose, surtout à la lumière de ces réserves émises ensuite par cette sommité mondiale :

« Mais il y a plus d’inconvénients que ce que l’on dit. Il y a un travail qui vient de sortir dans Nature qui montre qu’il existe 70% d’effets secondaires avec le vaccin Pfizer. On n’avait jamais vu ça avec un vaccin : c’est deux à trois fois plus que le vaccin contre la grippe. Il y a également quelques effets mortels. Est-ce que le risque vaut le coup de d’être pris ? Certainement quand on fait partie d’une population à risque, mais, quand on fait partie de la population sans risque, on peut se poser la question, c’est le choix de chacun. »

Et justement, les jeunes représentent la population le moins à risque.  Quant au choix de chacun, il est de plus en plus menacé par le spectre de la vaccination obligatoire, brandi par la CAQ.  Les parents pourraient même se voir imposer la vaccination de leurs enfants avec l’abolition du principe de primauté parentale qui conférerait à l’État, par le biais de la DPJ, le droit de se substituer à l’autorité parentale :

« « Un des éléments qui pourraient être modifiés est la notion de primauté parentale, dit M. Carmant. Il faut que ce soit le bien-être de l’enfant qui prime. La science nous montre que les choses ont changé. Ça n’a pas nécessairement besoin d’être la famille biologique ; il faut que l’enfant soit dans un environnement aimant. »

Une mère de famille, étiquetée « complotiste » par une juge du tribunal de la Jeunesse, s’est ainsi déjà vu imposer de voir son enfant testé et éventuellement vacciné contre sa volonté malgré le risque encouru.

Pensez-vous qu’il se serait trouvé ne serait-ce qu’un seul chroniqueur de médias subventionnés pour s’élever contre cet évident abus de pouvoir ?  Aucun danger.  La vaccination, assortie des mesures sanitaires les plus répressives et les plus nuisibles au Canada, comme de masquer les jeunes dans les écoles, est devenue LA religion devant laquelle nous devons tous courber respectueusement, voire docilement, l’échine, faute de quoi, c’est l’excommunication !

 

Hors du vaccin, point de salut !

Les chroniqueurs de nos médias subventionnés sont devenus les nouveaux curés de cette religion fanatisée qui nous injurient, nous méprisent, nous « dénoncent », bref, nous condamnent si seulement nous voulons exercer notre liberté (« Libaaaarté !», ânonnent-ils.) de choisir ce qui entre dans notre corps ou celui de nos jeunes.  Oser remettre en cause les bienfaits très hypothétiques de la vaccination équivaut maintenant à se déclarer athée au temps de Duplessis.  On est simplement passés des accusations de « communiste » à celle de « complotistes ».

 

« On ne peut pas être plus con qu’un con anti-vaccin. »  - Richard Martineau

Parmi ces redresseurs de torts à la petite semaine, le nom de Richard Martineau arrive en tête de liste.  Ordurier, vulgaire, méprisant, haineux, ridicule, bref, imbuvable, il sévit sur ses tribunes contre les « antivaccins », en réalité pour la plupart des pro-choix du vaccin, avec la rage vindicative d’un grand inquisiteur sur l’acide :

« Le mont Everest de la connerie, que dis-je, le terminus de l’imbécillité. 

Après ça, y a rien. 

C’est l’extrême limite. 

On ne peut pas être plus con qu’un con anti-vaccin.

(…) Ils se sont approchés du point limite de la connerie, mais ne l’ont pas dépassé.

Le mouvement anti-vaccin est comme un trou noir : il aspire toute lumière pour ne renvoyer que ténèbres et obscurité. »

Voilà comment cette brute épaisse traite les citoyens suffisamment prudents pour attendre d’en savoir davantage sur un vaccin expérimental qui sème de plus en plus d’inquiétudes.  À la limite, on pourrait toujours traiter de téméraires ou d’étourdis ceux que rien n’oblige à se faire vacciner à passer aux actes, mais voilà, se faire vacciner ou refuser le vaccin doit rester un choix personnel et personne n’a à s’en prendre à son prochain parce qu’il a choisi telle avenue plutôt que telle autre.

Contre toute vérité scientifique touchant la vaccination des jeunes, Martineau affirme :

(…) on connaît tous des parents qui sont des imbéciles finis — qui « hésite » à se faire vacciner.

Notons que ce bon citoyen a jugé opportun de faire vacciner son enfant.  Et pourtant, dès le 4 juin, sa conjointe, Sophie Durocher, avouait qu’elle regrettait presque d’avoir fait vacciner son fils si vite dans son émission de QUB radio dont le balado est devenu mystérieusement non disponible.



Martineau va-t-il conclure que sa conjointe est aussi « conne » qu’un anti-vaccin, qu’elle a été entraînée dans « un trou noir » qui « aspire toute lumière pour ne renvoyer que ténèbres et obscurité » ?  Trône-t-elle désormais au sommet du « mont Everest de la connerie » ?  S’est-elle arrêtée au « terminus de l’imbécilité » ?  Il y a des paroles, comme ça, qui peuvent se retourner contre soi…

« Ils revendiquent au fond le droit de mourir eux-mêmes ou de tuer leurs semblables en les contaminant. »  - Denise Bombardier

Fermant les yeux sur le langage ordurier de Martineau, la très orthodoxe langagière Denise Bombardier, comme son collègue, prend pour exemple les plus outranciers parmi les contestataires du vaccin, afin d’en faire une généralisation abusive :

« Le plus choquant, ce sont les propos orduriers que tiennent ces Québécois errants sur la pandémie actuelle, sur la science en général et inévitablement sur la démocratie dont ils abusent. »

Incroyable de lire pareille projection de ses propres comportements et de ceux de plusieurs de ses collègues, car les reproches qu’elle adresse aux « anti-vaccins » seraient bien davantage pertinents s’ils visaient Martineau.  Citons encore ce si distingué chroniqueur qui s’en prend cette fois à ceux qui – ô damnation ! – contestent le passeport vaccinal, le missel sans lequel tout citoyen responsable ne saurait désormais vivre :

« Je vais essayer de rester poli...

Savez-vous ce que je fais de vos droits, ô chères personnes qui ne voulez pas être vaccinées ?

Je les prends, je les roule très serré et je me les fous dans le schtroumpif. 

Le plus profondément possible. 

J’en ai strictement rien à cirer de vos droits. »

Ne sont-ce pas là des « propos orduriers », Mme Bombardier ?  Ne s’agit-il pas de « démocratie dont Martineau abuse » ?

Contrairement aux fausses certitudes affichées par la chroniqueuse, plusieurs sources affirment que les vaccinés sont autant à risque d’attraper que de transmettre le coronavirus.  Bombardier martèle cette fausse vérité, destinée à démoniser encore davantage ceux qui ne pensent pas comme elle :

« En refusant les vaccins et le passeport vaccinal, ils revendiquent au fond le droit de mourir eux-mêmes ou de tuer leurs semblables en les contaminant. Et ce, en n’ayant que le mot liberté à la bouche. »

« Rouvrir Gagnon pour leur créer un habitat en circuit fermé ? Je blague à peine. »  - Mario Dumont

Qui a pu oublier ce moment d’hystérie proprement démentielle de Mario Dumont enjoignant, le 16 mai 2020, les « personnes sensées » à couper les liens avec les « complotistes » qui refusent de s’incliner devant le pape Legault et ses consignes sanitaires, rappelons-le, les pires au Canada et parmi les pires en Amérique du Nord avec les résultats les moins concluants.

Une quinzaine plus tôt, le même individu préparait le terrain de sa montée de lait en envisageant la ville désaffectée de Gagnon comme destination vacances pour les « antivaccins » :

« J’ai pensé à Gagnon ces derniers jours en cherchant une solution pour ces gens qui ont déjà décidé de ne pas recevoir un éventuel vaccin contre la COVID-19. »

Pour Dumont, visiblement, les non vaccinés ne devraient même se voir autorisés à vivre dans notre société :

« Mais les tragédies provoquées par ce damné virus sont trop lourdes pour qu’on accepte de laisser courir, magasiner et travailler parmi nous ceux qui refuseraient le vaccin.

Rouvrir Gagnon pour leur créer un habitat en circuit fermé ? Je blague à peine. Dans le difficile équilibre entre libertés individuelles et obligations envers la collectivité, le cas présent est extrême. »

Faut-il avoir atteint un point de non-retour hallucinant dans la démence tranquille pour tenir de tels propos ?  Je ne serais pas pour autant favorable à expatrier Dumont pour ses lubies.  Un simple cabinet de psychiatre ferait l’affaire.  Ne manquait à son errance mentale que le classique amalgame des « antivaccins » avec les afficionados de la « terre plate » :

« Apprendre que son voisin de bureau croit que la Terre est plate, ça peut être comique. Apprendre que son voisin de bureau refuse le vaccin de la COVID-19 dû à ses croyances bizarres, ça risque de moins bien passer. »

Pas sûr qu’avec le temps et le recul envers l’hystérie collective de cette « pandémie », le rappel de tels propos « risque de bien passer ».

« Vous me voyez venir ? »   - Patrick Lagacé

Un tour d’horizon des chroniqueurs les plus hostiles aux pro-choix du vaccin serait incomplet sans l’imbuvable Patrick Lagacé, spécialiste des raccourcis faciles, des généralisations ordurières et du mépris alterné de condescendance : un minable qui trempe sa plume fétide dans un encrier putride, pour ne pas dire pire.  Voici quelques extraits d’un torchon qui n’est pas passé inaperçu :

« Il y a au Québec quelque chose comme 50 % d’analphabètes fonctionnels. Des gens qui ont toutes sortes de difficultés à lire. Ça va de ne pas savoir lire du tout à ne pas comprendre le sens d’un texte moyennement complexe.

Vous me voyez venir ? »

Et comment qu’on te voit venir, chose !  Dans la foulée des amalgames associant « complotistes » à adeptes de la platitude terrestre, Lagacé prétend, en citant hors contexte des sources qui appuieraient ses lubies, que ceux qu’il traite avec mépris d’édentés, sous-scolarisés et misérables, ne doivent qu’à leur ignorance de douter de la bonne parole médiatique et d’une science qui ne cesse de se contredire sur tout.

Je ne compte plus le nombre d’insultes, de commentaires méprisants et d’inexactitudes flagrantes qui me sont adressés en un langage d’une pauvreté extrême par des « édentés » pro mesures sanitaires, pro vaccin obligatoire et pro passeport vaccinal.  Je n’en arriverais pas pour autant à m’abaisser aux mêmes généralisations foireuse adressées cette fois aux pro mesures.

Je suis arrivé cependant au même constat que Lagacé sur la faillite de notre système d’éducation, générateur d’autant d’individus crédules, manipulables, des tévéastres (adeptes finis de TVA) qui, échauffés par des gérants d’estrade fanatisés, pourraient en arriver à adopter des comportements sectaires, méprisants, haineux et peut-être même violents. 

Si la culture de la peur et de la haine, générée par ce gouvernement toxique et soutenu par son bras armé, les médias, continue de s’intensifier, le climat social deviendra irrespirable.  Les responsabilités devront être identifiées tout comme les coupables, à défaut d’être châtiés par notre Justice défaillante.  Qui sait, peut-être un séjour à Gagnon pourrait-il s’avérer salutaire pour eux…

samedi 21 août 2021

Vaccination massive : plus rien ne s’oppose aux géants pharmaceutiques…

Albert Bourla, directeur général de Pfizer
Avez-vous remarqué l’étrange absence d’esprit critique, pour ne pas évoquer la complaisance, des médias envers les grandes compagnies pharmaceutiques ?  Alors même qu’une quinzaine de pays avait renoncé au vaccin Astra Zeneca, nos chroniqueurs, si prompts à bouffer de « l’anti-vax » jusqu’à la rage et au délire, restaient muets devant l’entêtement du ministre Dubé à encourager les Québécois à se faire inoculer cette substance potentiellement dangereuse pour leur santé.

Il fut un temps, cependant, où cette « tare » qu’était alors la liberté d’expression autorisait certains empêcheurs de tourner en rond à fustiger la puissance toxique - à plus d’un titre - et généralement intouchable du lobby pharmaceutique.  Or, c’est dans le média aujourd’hui le plus soumis au premier ministre François Legault, lui-même à plat ventre devant le lobby pharmaceutique, que l’un de ces troublions, en l’occurrence Léo-Paul Lauzon, s’exprimait en ces termes à propos de la multinationale Pfizer le 8 novembre 2012 :

« La société américaine Pfizer est la plus grosse compagnie pharmaceutique au monde et elle n’est pas mal plus importante et plus riche que le Canada. En termes de ressources économiques, le Québec est un nain par rapport à Pfizer et à la tyrannie du cartel pharmaceutique qui font la pluie et le beau temps dans le monde grâce à leurs milliers de lobbyistes, d’universitaires franchisés, de groupes de recherches commandités et d’ex-politiciens à leur emploi. »

En 2021, ce serait différent ?

Pensez-vous vraiment qu’en 2021, la situation de cette compagnie soit différente ?  Que le Canada de Justin Trudeau soit plus solide que celui de Stephen Harper ? Qu’il n’existe plus de lobbyistes, d’universitaires franchisés, ou de groupes de recherche commandités ?  Prenons par exemple le cas de l’Institut de cardiologie de Montréal, qui a empoché en mai 2020 une subvention de 3 M $ de la part de la Fondation Bill et Melinda Gates, qui finance également Pfizer :

« L'institut de cardiologie de Montréal a reçu une subvention de 3 millions de dollars de la Fondation de Bill et Melinda Gates pour son vaste chantier de recherche sur les effets de la colchicine dans la lutte contre la COVID-19. »

Bien sûr, vous me direz que ce montant sert à soutenir une recherche en soi fort louable sur la colchicine, un médicament anti-inflammatoire connu et peu coûteux, qui pourrait représenter un remède préventif contre la covid-19.  Il faut cependant garder à l’esprit que la fondation des Gates subventionne depuis longtemps le géant Pfizer, notamment, bien sûr pour le plus grand bien de l’humanité en souffrance.

Oseraient-ils si…

Pensez-vous que les heureux bénéficiaires de ce pactole versé par Gates se sentiraient à l’aise de tirer la sonnette d’alarme s’ils devaient un jour constater des anomalies, même fatales, chez certains vaccins ?  Je n’accuse ici personne de tirer un profit personnel, mais avouez qu’il serait malaisé de mordre la main qui vous nourrit, au risque éventuel de perdre votre emploi et de vous retrouver par la suite sur la paille ou sur une liste noire.

Lauzon poursuit ainsi sa chronique lapidaire :

« Mentionnons aussi que comme à l’accoutumée, Québec est chiche envers le monde ordinaire mais très généreux avec la caste supérieure, ce qui se concrétisera par le versement annuel de plusieurs centaines de milliers par année en fonds publics versés par la province à des pharmaceutiques milliardaires. »

Si vous pensez qu’un gouvernement de la CAQ agit différemment aujourd’hui d’un gouvernement libéral qui venait juste de laisser une province hypothéquée aux mains d’un fragile gouvernement minoritaire péquiste, vous rêvez en couleurs.  Pour ce qui est des vaccins, cependant, qui « nous rendront la liberté (sic !) », Il faut préciser que leur achat relève du gouvernement fédéral. Il s’agit de montants pharaoniques :

« Vacciner 37 millions de Canadiens contre la COVID-19 coûtera 1,6 milliard de dollars sur trois ans, d’après les calculs du Journal. Mais ce n’est pas tout. La facture colossale de la plus vaste opération de vaccination jamais orchestrée au pays se multiplie par trois quand on compte aussi le combat scientifique et biomanufacturier contre le virus. »

Une vaccination qui s’échelonnera sur… trois ans ! 

Notez qu’il est question ici d’une vaccination qui s’échelonnera sur… trois ans !  Voilà qui pourrait donner matière à réflexion aux gogos qui croient encore au mythe du « retour à la vie normale » après leurs deux doses.  Que l’on croie à la « mortifère » dangerosité du coronavirus ou non, force est d’admettre que la « lutte » contre cette « terrible menace sanitaire » reste une affaire de gros sous :

« Mais le compteur continue de tourner : au coût direct de la vaccination s’ajoutent les millions versés par Ottawa pour le développement de candidats vaccins au pays, pour le renforcement de l’industrie biomanufacturière, et pour l’aide à la vaccination à l’international. »

Autant de frais qui ne seront pas assumés par l’industrie pharmaceutique, qui au contraire en bénéficiera… Reconnaissons par ailleurs ici que le Journal de Montréal a réalisé une enquête digne de mention.  

Dommage qu’il ne se trouve personne au poste pour questionner ensuite la légitimité de toutes ces dépenses pour un virus dont la léthalité ne dépasse pas les 0,03 % alors que les hospitalisations, au Québec, tournent quotidiennement autour d’une centaine pour une population de 8,5 millions de résidents.  Un moment donné, gouvernement et médias ne pourront pas éternellement rouler les gens dans la farine avec leur dopage statistique aux « cas »…

Mais ce n’est pas tout, toujours selon le Journal :

« On obtient ainsi une facture fédérale totale de plus de trois milliards de dollars uniquement pour acheter, fabriquer, distribuer et développer des vaccins pour la campagne d’immunisation actuelle et pour les futures, ici et ailleurs.

La santé publique a le dos large !  Et pourquoi ce serait au Canada à payer pareille facture pour ensuite acheter à prix d’or des vaccins plus que douteux ainsi obtenus de Pfizer et compagnie ?  Il y a de quoi tomber à la renverse.  Mais comme si ces dépenses n’étaient pas suffisantes :

En plus, Le Journal a retracé 1,7 milliard de dollars d’investissements supplémentaires pour soutenir des initiatives scientifiques diverses, qui vont de la génomique des variants au développement d’antiviraux, en passant par l’aide internationale. » 

Encore heureux qu’on ne finance pas des études d'impact sur les vents dominants afin de déterminer l’évolution des différents variants.  À la lumière de ces informations, ce constat de Lauzon semble toujours d’actualité :

« Et dire que nos gouvernements récidivent et nous enfoncent encore plus dans les entrailles du cartel pharmaceutique en sortant la recherche fondamentale pour de nouveaux médicaments des universités afin de les sous-traiter à des bineries biotechnologiques privées subventionnées à fonds par des fonds publics et à des fonds d’investissement spéculatifs qui s’associent aux transnationales pharmaceutiques. Ça, ça fait que les affairistes, les spéculateurs et les multinationales s’enrichissent et la population s’appauvrit et devient toujours à la merci du diktat des géants pharmaceutiques. » 

Dire qu’il y a encore des naïfs pour croire que politiciens et lobby pharmaceutique travaillent d’arrachepied pour le bien de l’humanité…

D’une corruption à l’autre…

J’ai évoqué, dans un récent billet, exemples à l’appui, le haut degré de corruption de la firme McKinsey que notre premier ministre provincial a engagé pour lui dicter la stratégie davantage politique que sanitaire qu’il nous inflige depuis le début de la « crise ».  De son côté, Lauzon dénonçait avec vigueur le lourd passé de Pfizer :

« Tiens, prenons le titre de cet article de journal du 8 août 2012 : « Pfizer versera 60 millions$ US pour une affaire de corruption » et de celui-ci du 3 septembre 2009 : « Pfizer paie une amende record pour publicité abusive ». Un petit 2,3 milliards$ US en amende auquel, selon moi, il aurait fallu aussi condamner les dirigeants de l’entreprise à la prison. Il y a aussi cet article du 10 décembre 2010 qui nous signale que « Pfizer a embauché des enquêteurs privés chargés de trouver des informations incriminantes sur le ministre de la justice du Nigéria qui poursuivait le géant pharmaceutique pour 75 millions de dollars » et également cet autre du 31 mai 2008 intitulé « Depo-Provera. Le recours collectif contre Pfizer peut aller de l’avant ». Et après, ils ont le culot de se faire les apôtres de l’éthique et de la responsabilité sociale. »

Lauzon cite plusieurs autres exemples d’accrocs pour le moins spectaculaires de Pfizer aux règles les plus élémentaires d’intégrité entrepreneuriale, tel que l’abolition massive de postes, que devaient pourtant protéger d’importantes subventions fédérales, et des pénuries artificielles de médicaments peu rentables en vue d’en augmenter le prix.

À la croisée des chemins…

C’est ainsi que notre si intègre premier ministre se situe à un bien étrange carrefour : obnubilé par la quatrième révolution industrielle de son idole, le psychopathe Klaus Schwab, sous l’emprise de la firme McKinsey, la plus puissante et la plus corrompue au monde, et sous la férule du lobby pharmaceutique, dont la vampirique Pfizer reste la figure de proue.

Vous envisagez une sortie de crise prochainement, vous ?...

samedi 14 août 2021

Fausse pandémie en 2009, toute aussi fausse en 2021…

Arruda, Legault et Dubé en représentation
L’histoire est un perpétuel recommencement et si nous n’en tirons pas les leçons, nous sommes condamnés à en perpétuer les erreurs tandis que des instances dominantes et parasitaires tireront profit des leurs pour mieux nous asservir.  Cette triste vérité semble se répéter avec une ampleur jamais vue dans le cas du psychodrame mondial actuel, qui ressemble à s’y méprendre à une pièce de théâtre dont l’épisode de la grippe h1n1 n’était que la répétition générale.

Dans le cas de la h1n1, cependant, les médias ont fini par jouer leur rôle de dénonciateurs de l’incurie de l’OMS et du lobby pharmaceutique. Avant cette minute de gloire, cependant, au mépris de toute rigueur journalistique, ils se sont fait les complices d’une imposture maintenant connue de quiconque a des yeux pour voir, un cerveau alerte et une mémoire fonctionnelle.

Une majorité dormirait au gaz…

Ces trois dernières qualités semblent aujourd’hui faire défaut à une majorité de Québécois, du moins si l’on se fie aux questionnables sondages Léger.

Je suis tombé récemment sur un article costaud en date du 8 février 2010, qui faisait un bilan sévère, pour ne pas dire implacable mais justifié, de la « pandémie » bidon de 2009.  Si nos médias n’étaient pas devenus à ce point menottés par le financement gouvernemental, il y a fort à parier qu’un article encore plus dur serait publié de nos jours et que les dirigeants de la CAQ se verraient contraints de prendre leur trou pour ne plus en sortir.

Fausse pandémie et conflits d’intérêt…

Je reproduirai ici des extraits de l’article en question, au titre prophétique Fausse pandémie et conflits d’intérêt. Vous pouvez substituer mentalement « covid-19 » à « h1n1 » et voir si ces énoncés ne sont pas toujours aussi valables en 2021 qu’en 2009 :

« Des experts québécois et européens accusent l'Organisation mondiale de la santé (OMS) d'avoir exagéré l'importance de la grippe h1n1 et d'avoir favorisé volontairement l'enrichissement de l'industrie pharmaceutique.

Nullement épargné par cette controverse, le gouvernement du Québec est blâmé d'avoir « naïvement » suivi le mouvement mondial. »

Nous passerons cependant ici sur la « naïveté » du gouvernement Legault, dont les décisions restent dictées par la firme McKinsey, première au monde en son domaine tant aux plans du rayonnement que de la corruption.  Le simple fait que François Legault se soit abaissé à engager cette firme au montant de 1,7 M $ en dit long sur son intégrité défaillante.  J’ai consacré à McKinsey, cette inquiétante gestionnaire de la CAQ, un billet qui vient de battre des records de visite sur mon blog.

L’OMS a mêlé les cartes avec une définition tronquée de « pandémie »

L’extrait suivant est très important et explique comment un virus de faible impact a pu acquérir, folie médiatique aidant, le statut d’une menace mondiale mortelle contre laquelle il n’existe pas de petits sacrifices, incluant perte de libertés, séquestrations à domicile, imposition à nos enfants d’un masque et, pire encore, d’un vaccin potentiellement risqué, destruction de nos PME, oppression accrue d’un système de santé défaillant qu’infirmières et préposées, à bout de résistance, quittent en grand nombre et, pour finir, l’infamie du passeport de la honte imposé par la division de la population en deux camps : les pro-choix du vaccin, qui préfèrent judicieusement en savoir davantage avant de servir de cobayes à un « vaccin » expérimental, et les ayatollahs vaccinaux, persuadés que quiconque n’est pas vacciné représente un danger pour ces petites têtes.  

Mais voyons plutôt :

« Dans une étude parue lundi dans le magazine Protégez-vous on rapporte que dans la foulée de l'éclosion du virus, l'OMS aurait allégé sa définition de pandémie, laissant ainsi la belle part aux compagnies pharmaceutiques qui auraient profité de cette « hystérie pandémique ». »

Cet « allégement » consiste à laisser de côté des critères pourtant essentiels afin de définir une pandémie et son étendue, soit les nombres d’hospitalisations, de patients en soins intensifs et, bien sûr, de morts.  Voilà la raison pour laquelle nos dirigeants ne parlent qu’en termes de « cas », facilement obtenus par la surmultiplication de tests PCR, beaucoup trop sensibles à 45 cycles, et générateurs de faux positifs.  

Comment pourraient-ils entretenir la panique populaire avec ces chiffres miteux, pour tout le Québec, mais pourtant bien réalistes, en date du 14 août :

  • 0 nouveau décès, pour un total de 11 242 décès;
  • 80 hospitalisations, soit une diminution de 1 par rapport à la veille;
  • 27 personnes aux soins intensifs, soit une diminution de 1 par rapport à la veille;
  • 17 844 prélèvements réalisés le 11 août.

Mieux vaut, pour maintenir la panique populaire, continuer à parler de « cas » :

  • 426 nouveaux cas, pour un total de 380 833 personnes infectées;

Pas mal plus « vendeur », non ?  À noter que le même dopage statistique a prévalu lors de la deuxième et de la troisième vague.  Une quatrième vague, tout aussi bidon, s’en vient ?  Vous verrez nos confinés mentaux grimper aux barricades et s’en prendre aux « antivaccins » pour leur égoïsme, leur insouciance et leur narcissisme.

Et ce sont eux qui les traiteront de « covidiots »…

C’était vrai en 2009, ça l’est tout autant en 2021

Toujours à propos de « l’allégement » des critères de l’OMS :

« « C'est cette modification qui a rendu possible la transformation d'une banale grippe en pandémie mondiale », a notamment dénoncé au magazine, Wolfgang Wodarg, épidémiologiste allemand et ex-président de la sous-commission de la Santé du Conseil de l'Europe. »

Faut-il vous faire un dessin ?  C’était vrai en 2009, ça l’est tout autant en 2021.  L’OMS et ses mandataires nous roulent prodigieusement dans la farine.  Mais cette fois, aucun média ne songerait à publier des propos tels que ceux-ci :

« Les liens entre les l'OMS et l'industrie pharmaceutique ont été également soulevés comme cause possible de ce dérapage. »

À qui le crime profite ?

En 2021, le dérapage est certain.  Mais voyons à qui le crime profitait alors et profite toujours :

« En 2006 déjà, les États ont commencé à conclure de gros contrats avec des sociétés pharmaceutiques pour faire face à d'éventuelles pandémies. Ces engagements de commercialisation devaient prendre effet dès que l'OMS déclarerait officiellement une pandémie. Quand l'OMS l'a fait, elle a joué un rôle clé et cela a accru de 18 milliards de dollars les dépenses de santé dans le monde. Les sociétés pharmaceutiques s'étaient préparées, elles n'attendaient en fait que cela », ajoute le Dr Wodarg. »

En 2021, elles raflent à nouveau la mise !  La « pandémie » manufacturée a fait récemment neuf milliardaires.  Loin de dénoncer cette fois un quelconque conflit d’intérêt, nos médias les présentent comme des philanthropes :

« La fortune cumulée des neuf milliardaires cités, 19,3 milliards de dollars, « permettrait de vacciner 1,3 fois l’ensemble des pays à faibles revenus », qui « n’ont reçu que 0,2 % des vaccins produits dans le monde, notamment en raison de l’important déficit de doses disponibles », selon Oxfam. »

N’est-ce pas touchant ?

Les États n’apprennent pas de leurs « erreurs »

En 2009, tout comme aujourd’hui, les États se sont empressés de dilapider les fonds publics dans des campagnes de vaccination injustifiées.  En 2021, le cirque sanitaire mondial a été orchestré de façon encore plus répressive, particulièrement en Australie, en Nouvelle-Zélande, en France et au Québec qui restent les pires États au monde.  Déjà en 2009, l’OMS se lavait les mains des dégâts qu’elle avait provoqués :

« Alors que l'OMS soutient n'avoir « rien à se reprocher », un expert en pharmacovigilance à l'Université de Montréal questionne les agissements des pays occidentaux qui, à l'exception de la Pologne, se sont tous empressés de mettre sur pied des campagnes massives de vaccination, sans même s'interroger sur les recommandations de l'OMS. »

Quand des dirigeants n’apprennent pas de leurs erreurs…  Déjà en 2009, le gouvernement québécois se distinguait par son zèle injustifié et par sa bêtise viscérale, à moins qu’il ne se soit déjà agi de conflits d’intérêt :

« « On a déclenché une fausse alerte. Le gouvernement du Québec s'est conduit comme un bon petit soldat et a mené la campagne de vaccination la plus efficace au monde. Il a été naïf et tout cela été un gaspillage d'argent. Il n'y a pas eu des millions de morts et rien ne justifiait cet état d'urgence », déplore Pierre Biron, ex-professeur de pharmacologie en médecine. »

Ils ne pourront pas toujours mentir…

À l’échelle planétaire, la covid aurait tué entre quatre et six millions de personnes.  Le tabac tue deux fois plus…

Le jour où, inévitablement, le pot aux roses de cette immense arnaque mondiale sera découvert, on pourra aisément prévoir la réponse du gouvernement, qui sera vraisemblablement similaire à celle faite par Dominique Breton, porte-parole du ministère de la Santé, en 2009 :

« « Nous avons agi comme des autorités responsables et nous avons suivi les recommandations de l'OMS. Finalement, le virus n'était pas aussi virulent qu'on aurait pu le croire, mais on aurait pu se retrouver devant un très grand nombre de personnes infectées », a-t-elle affirmé. »

Mondialisation des conflits d’intérêt

Aucun observateur un tant soit peu allumé ne sera alors dupe de cette dérobade. Il est aisé de suivre le fil conducteur des conflits d'intérêt qui émanent notamment des gestionnaires privés de l’OMS, acoquinés cette fois encore avec le lobby pharmaceutique, qui s’en met présentement plein les poches. 

Ces tristes sires sont servis, pour exécuter leurs desseins mercantiles, par des agents troubles, comme la très corrompue firme McKinsey, que notre non moins douteux premier ministre a engagé à raison de 1,7 M $ de notre argent.  C’est encore avec notre argent que Legault soudoie nos médias à raison de 133,5 M $ en dépenses publicitaires.  

Voilà pourquoi les « journalistes » se la ferment quand ils devraient dénoncer une supercherie et une escroquerie sans précédent dont auront résulté, en dommage collatéraux, la division du peuple québécois, la destruction de notre économie, la précarisation accrue de notre système de santé déjà hypothéqué, les traumatismes infligés à notre jeunesse assortis des problèmes de santé (myocardites) que généreront le chantage à la vaccination, et l’infamie du passeport de la honte.

Les médias, eux aussi, auront à répondre de leur lâcheté, de leur bassesse et d’une complaisance qui bascule dans la déchéance.  Reste à savoir quand le déclic se produira, et dans quel état alors sera le Québec à ce moment…

dimanche 8 août 2021

McKinsey, la firme au lourd passé de corruption qui dirige François Legault…

François Legault
Si vous vous intéressez un tant soit peu à la crise politico-sanitaire, vous avez sans doute remarqué qu’il suffit de prendre connaissance des « décisions » du président français, Emmanuel Macron, pour savoir ce que François Legault, notre premier ministre chéri, va faire.  Une bonne raison à cela : l’un et l’autre demeurent des pantins à la merci du cabinet international de conseil en stratégie McKinsey qui leur dicte toutes leurs décisions.  Mais quelle est cette instance mondiale si puissante que des dirigeants deviennent dirigeables entre ses mains ?  Voici :

« En 2021, McKinsey compte plus de 130 bureaux répartis dans 65 pays et réunissant près de 30 000 personnes.5,6 Avec Bain et BCG, ils forment les « MBB »7, les trois plus grands cabinets de conseil en stratégie au monde en termes de chiffre d'affaires. Selon le classement annuel Vault, McKinsey est fréquemment considéré comme le plus prestigieux au monde8,9,10. 

(…) Forbes a estimé le chiffre d'affaires de l'entreprise à 7,8 milliards de dollars pour 201319. En 2020, McKinsey a été classé à la première position du classement Vault20 des cinquante meilleurs cabinets de conseil mondiaux et a été jugé l'employeur post-MBA le plus attrayant par les diplômés des dix programmes MBA les plus sélectifs21[source insuffisante]. »

500 000 Américains morts des suites de ses conseils

Vous ne le savez peut-être pas, mais ce vernis de prestige cache un long historique de corruption et, dans certaines occasions, impliquant le milieu pharmaceutique au mépris de la santé publique.  Plus récemment :

« En , l’entreprise est impliquée dans le scandale des opioïdes avec Purdue Pharma, qui commercialise l’OxyContin aux USA39, et Johnson & Johnson. La société de conseil est notamment accusée d’avoir fait des recommandations marketing à ces fabricants d’opioïdes afin d’accroitre leurs ventes. D’après les documents judiciaires produits par les plaignants, le cabinet de conseil a recommandé au groupe pharmaceutique de se concentrer sur les dosages élevés considérés comme les plus lucratifs. »

Si vous vous demandez encore pourquoi Legault va jusqu’à recourir au chantage et à la coercition du passeport vaccinal pour vous forcer à vous vacciner avec un produit des plus douteux, dont un vaccin Johnson & Jonson, ne cherchez plus d’explication.  Tous les moyens sont bons, aux yeux de McKinsey, pour augmenter les profits de produits pharmaceutiques hasardeux au mépris de la santé publique, comme le révèle cette précision :

« On estime que la consommation de telles substances sur ordonnance a quadruplé entre 1999 et 2018, période visée par ces procédures, et pendant laquelle près de 500 000 Américains sont morts des suites d’un usage abusif d’opioïdes. En , la presse révèle que McKinsey accepte de verser 573 millions de dollars pour clore les procédures engagées par 49 États américains. L’entreprise n’a ni reconnu ni rejeté les faits qui lui étaient reprochés40,41. »

En clair, si on meure massivement au Québec, McKinsey paiera l’amende et Legault et ses sbires seront vraisemblablement défendus par un cabinet d’avocats affilié à cette firme.  On prétextera que la CAQ aura agi de bonne foi en suivant notamment les recommandations de l’OMS et l’affaire sera classée.

1,7 M $ de votre argent

Dans un billet publié hier, je relevais que François Legault avait versé 1,7 M $ de votre argent afin que cette firme « de prestige » lui dise quoi faire et quand afin de « gérer » la crise, à moins qu’il ne s’agisse de la prolonger à des fins peu avouables.  Comme Emmanuel Macron suit les mêmes directives du même mentor, il n’est donc pas surprenant de voir le président français et le premier ministre québécois poser les mêmes gestes aberrants presque simultanément.

Macron n’a pas reçu de félicitations pour avoir confié la direction de l’État français sur la crise à ce cabinet, qui, comme nous allons le constater, est loin d’être sans taches aux plan éthique et de l’honnêteté :

« Le recours par le gouvernement français à ce cabinet de conseil pour les questions logistiques de la campagne de vaccination contre le covid-19 suscite la polémique42,43, coûtant des millions d'euros au contribuable pour un résultat peu probant. Un rapport de la Cour des comptes de 2018 prévenait pourtant déjà que « en matière de conseil stratégique, la qualité des travaux est souvent faible, les préconisations très générales et laconiques »44.

Un historique de scandales et de corruption

McKinsey a beau posséder un vernis de prestige et de respectabilité, sa feuille de route reste jalonnée de taches indélébiles qu’un dirigeant éthique et intègre aurait dû prendre en compte avant de recourir étourdiment à ses services.  Examinons ici les nombreux autres faits d’armes de cette douteuse entreprise :

« McKinsey est le cabinet de conseil qui a incité l'entreprise Enron à mettre en place des pratiques comptables douteuses et à orienter la stratégie de l'entreprise vers le trading d'électricité et de matières premières. En 2001, le scandale financier Enron éclate et l'entreprise fait faillite23. La responsabilité de McKinsey est soulignée par la presse financière24,25.

Cool, non ?  Un cas flagrant de corruption. C’est de cette entreprise que Legault et Macron suivent les judicieux conseils.  Sont-ils simplement stupides ou malhonnêtes ?  Poursuivons :

« En 2006, McKinsey aurait recommandé à l'entreprise Boeing de corrompre des fonctionnaires indiens afin d’exploiter une mine de titane. Dans une présentation PowerPoint, les consultants de McKinsey auraient identifié, pour les dirigeants de Boeing, huit fonctionnaires indiens à corrompre26. McKinsey a réfuté ces accusations27. »

Nous avons clairement affaire à une entité puissante, mondiale, qui incite à mentir, à tricher et à manipuler.  À ce que l’on sait, cette firme fait toujours affaire avec le gouvernement Legault.  Comment pouvons-nous continuer à prendre au sérieux les propos alarmistes, culpabilisateurs, biaisés de la CAQ et fondés sur la foi de tests PCR dopés à 45 cycles alors que l’OMS recommande de ne pas dépasser les limites définies par les fabricants ?  Le faible nombre d’hospitalisations et de morts dément sans arrêt les chiffres himalayens de « cas ». 

 Mais poursuivons notre exploration du lourd passé de McKinsey :

« McKinsey a contribué à la crise économique et financière de 2007-2008 en encourageant les banques à titriser les crédits immobiliers de leurs clients via des MBS (Mortgage Backed Securities) et à augmenter les montants de dette dans leur bilan afin de bénéficier d'effets de levier contribuant ainsi à augmenter leur exposition au risque28. »

Visiblement, les conseils de McKinsey pour une bonne santé économique nationale laissent quelque peu à désirer…  Faut-il voir alors une nouvelle manifestation de sa marque de commerce dans les décisions mortifères « prises » par Legault en fermant PME « non-essentielles » et restaurants pendant des périodes interminables avant d’asséner à ces entreprises un couvre-feu catastrophique qu’il a été le seul à promouvoir en Amérique du Nord ? 

De combien de faillites, de dépressions, voire de suicides, Legault s’est-il rendu responsable, lui qui avait poussé l’arrogance jusqu’à s’attribuer une « note parfaite » pour la gestion lamentable qu’il faisait et fait encore de la covid.

C’est pas fini…

L’enfilade de scandales impliquant la firme McKinsey s’est poursuivie au gré du temps :

« En 2012, Rajat Gupta, directeur général de McKinsey de 1994 à 2003, est reconnu coupable de délits d'initié et est condamné à 2 ans de prison29.

N’est-il pas réconfortant de savoir que la CAQ s’en est remise à pareille entreprise pour diriger le Québec ?  Et dire que nous pensions mettre fin à la corruption en tournant le dos au parti libéral.  Bien sûr, nous n’avons pas de preuves concrètes qui nous permettent d’accuser formellement Legault et ses acolytes de corruption.  Mais avouez qu’il y a ici largement de quoi s’interroger.  Si votre avocat ou votre médecin était copain avec des mafiosi, continueriez-vous à lui faire confiance ?  Dans l’affirmative, peut-être seriez-vous vous-même du « milieu »…

Continuons nos intéressantes découvertes :

« En 2016, le cabinet McKinsey est impliqué dans le scandale et l'effondrement en bourse de Valeant Pharmaceuticals32. Le New York Times révèle un potentiel conflit d'intérêts entre les consultants de McKinsey et le hedge fund MIO Partners appartenant au cabinet McKinsey33.

McKinsey, accoquinée à la Chine ?

En 2018, le New York Times révèle que le cabinet McKinsey travaille pour le compte de plusieurs gouvernements autoritaires comme celui de la République Populaire de Chine34. McKinsey a estimé que l'article du New York Times peignait « une image trompeuse » du cabinet35. »

Tiens, la Chine… Et qui nous dit que cette firme n’a pas conservé ses liens avec cet État totalitaire ?  Qui nous prouve que ces liens éventuels n’influencent pas McKinsey dans les directives qu’elle donne à Legault dans une crise sanitaire que la Chine a elle-même créé, fut-ce involontairement ?  Mais encore :

« En 2018, McKinsey est impliqué dans un scandale de corruption et de blanchiment d'argent pour la famille Gupta en Afrique du Sud36,37. En 2018, McKinsey accepte de rembourser près d'1 milliard de rands perçus en commissions via les contrats liés à l'affaire et rembourse 650 millions de rands supplémentaires en 36,38. »

Ce remboursement constitue une admission de culpabilité.  Le dernier remboursement date de décembre 2020, soit sept mois après que Legault ait engagé cette firme.  Sachant cela, en plus du scandale pharmaceutique mentionné au début de ce billet, Legault continue de faire affaire avec McKinsey ?  Il ne se garde pas une petite gêne ?  Notre argent sert à défrayer les honoraires d’une firme dont la passé de corruption ferait rougir plus d’un escroc.

Au cas où vous espérez encore un « retour à la vie normale »…

Si vous vous demandez ce qui nous attend à court, moyen, et long terme, pas de souci.  Coercition vaccinale en vue de deux doses, trois doses, puis un calendrier vaccinal annuel, puis de moins en moins de libertés, des PME de plus en plus torpillées au profit de la grande entreprise, tel les Amazon, Walmart, Ikea, Costco et cie.

Seul un réveil collectif pourrait nous sauver d’un destin aussi médiocre que calamiteux.  Le contrôle de la pensée par les médias et les sondages subventionnés ont hélas de bons mois devant eux avant les élections. 

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ?   C'est la première fois depuis ...