Buffet à volonté
Si je n’avais pas l’estomac solidement accroché, je serais saisi de nausées devant tant de manipulations émotive et chiffrées dont le solde est chaque année présenté au contribuable sous forme d’augmentation de subventions aux groupes de femmes les plus grinçants. Le vérificateur général du Québec, Renaud Lachance, a eu beau dénoncer la montée en flèche du financement des maisons d’hébergement, en seulement cinq années, alors que les établissements qu’il a visités étaient presque déserts, rien n’y fera. Le payeur de taxes continuera de défrayer un montant passé de 30 M $ à 60 M $, le double, depuis 2003, pour répondre à des besoins en bonne partie fictifs.
En passant, toujours pas un dollar consenti pour les hommes contraints de quitter précipitamment le domicile avec les enfants parce que maman a sauté les plombs ! Normal, les gars, ce sont les méchants de la fable.
Parlant de buffet à volonté pour les groupes de femmes, que dire du cas des Centres d’aide et de lutte contre les agressions sexuelles (CALACS) qui se présentent comme une ressource d’aide et de référence ? Aide aux victimes féminines, référence pour les victimes masculines, bien sûr. Par référence, comprenez : les gars, démerdez-vous à la DPJ ou à votre CLSC !
Ces groupes empochent pourtant plusieurs dizaines de millions des ministères de la Justice, de la Santé et des Services sociaux, de l’Éducation et de la Condition féminine et ne sont pas foutus d’offrir de l’aide directe aux garçons, enfants comme adolescents, qui font la manchette chaque semaine, pas plus qu’à ceux qui, devenus adultes, ont désespérément besoin de soutien pour affronter leurs séquelles permanentes. Mais ne vous inquiétez pas, certains CALACS trouvent le temps – et le culot ! – d’organiser des campagnes de financement !
Les femmes, seules victimes de la violence ?
Comprenons-nous bien. Je suis en faveur de la dénonciation de la violence faite aux femmes, honnête, sans concession, ni exagération, comme je le suis de la condamnation de tous les autres types de violences qui affligent enfants, personnes âgés, handicapées, itinérants et, bien sûr, celle qui vise les hommes, qu’il s’agisse des chauffeurs de taxi, des soldats qui partent à la guerre, des policiers qui risquent leur vie, des citoyens agressés par des malfaiteurs, de ceux qui sont victimes de violence familiale et conjugale ainsi que des pères accablés pas le harcèlement judiciaire.
Au cas où il faudrait encore le préciser, bien que la violence conjugale la plus lourde demeure le plus souvent le fait des hommes en raison de leur plus grande force physique, ce fléau est sans contredit bidirectionnel, réalité qui a l’art de faire suer nos primas donnas féministes. Le Québec se démarque comme un pionnier dans la recherche à ce sujet par la reconnaissance de la violence féminine et plus particulièrement, de la violence psychologique. C’est juste l’appareil policier et judiciaire qui ne comprend pas vite…
La violence, ça frappe aussi les hommes.
La levée d’un interdit officieux qui relevait de la désinformation pure et simple nous permet maintenant de brosser un portrait plus clair de la violence faite aux hommes. Ce n’est pas avant 1999 que Statistique Canada recensait enfin les signalements d’hommes agressés par leur conjointe. Des groupes de femmes avaient jusque-là réussi à faire pression pour taire ces informations de telle sorte que maintenant, tout l’historique de violence conjugale qui affecte les hommes restera à jamais lettre morte.
C’est ainsi que l’on a cru que les hommes étaient responsables de 98 % des cas de violence conjugale ! C’est à se demander qui pouvait bien avoir commis les 2 % qui restent. Le chien, le chat, le hamster du conjoint ? En 2005, Statistique Canada brisait enfin le silence en révélant que 546 000 hommes étaient victimes de violence conjugale au pays. Mieux vaut tard que jamais !
Une – autre – enquête dissimulée
Entendu parler de l’enquête psychosociale du Saguenay-Lac-Saint-Jean, réalisée en 2000 par la Direction de la santé publique et menée au coût de 85 918 $ ? Non ? Normal, des groupes de femmes ont tout tenté pour en camoufler les conclusions, qui ont de quoi vous jeter à terre. Selon ce document, 5,4 % des hommes qui ont vécu avec une partenaire au cours de l’année précédant l’enquête auraient subi de la violence physique, en comparaison de 2,4 % de femmes pour la même période. Il s’agit de plus du double de victimes masculines. On comprendra que de tels résultats aient pu faire pousser quelques fausses notes à nos Castafiores féministes…
C’est pas tout : 1,3 % des hommes auraient subi de la violence physique sévère, contre 0,8 % des femmes, tandis que, au chapitre de la violence psychologique et des agressions verbales, 35,8 % en ont vécu, soit 1,5% de plus que les femmes dans la même situation. Pour compléter le tableau, 5,4 % des hommes auraient subi de la violence physique mineure, en comparaison de 2,4 % de femmes.
L’Institut de la statistique confirme.
« Le contraste pourrait indiquer que les hommes demeurent plus longtemps que les femmes dans une union marquée par la violence conjugale », affirme Denis Laroche, de l’Institut de la statistique du Québec. L’enquête de ce dernier révèle que 3,9 % d’hommes ont rapporté au moins un événement de violence physique au cours des cinq dernières années en comparaison de 2,9 % de femmes, ce qui représente 70 200 hommes et 52 600 femmes respectivement.
Étonnés de ne pas connaître de tels chiffres ? Moi pas. C’est pourquoi il faut les communiquer le plus possible et faire échec au dopage statistique, qui relève du lavage de cerveau, auxquels nous sommes exposés depuis des décennies. L’exemple des 300 000 femmes « chroniquement » battues au Québec, chiffre dont son auteure a reconnu la fausseté, et celui du sondage travesti en statistique, voulant qu’une femme sur trois sera un jour victime d’agression sexuelle, demeurent des exemples déplorables de désinformation grossière et sexiste envers les hommes. La dénonciation répétée de telles incuries aura pour effet de contraindre nos dirigeants, sans compassion ni éthique, à un peu plus de justice sociale, de résistance aux préjugés… et à une meilleure gestion des finances publiques.
16 commentaires:
Petite anecdote qui illustre bien le double standard honteux qui afflige la pensée moderne en matière de violence domestique.
Lorsque la saga Tiger Woods éclata au grand jour- et qu'il ne fit aucun doute pour personne que Elin l'avait assailli avec un baton de golf- Le Club des Ex à RDI ne put s'empêcher de commenter le "swing" de Elin. Tous riaient de bon coeur:un homme qui se fait défoncer la tronche à coups de fer 9, c'est du vaudeville, de la grande comédie.
Mais le plus odieux dans cette réaction n'est pas tant la légèreté avec laquelle un acte de violence sérieux est acceuilli mais le propos que tint Liza Frulla ensuite; "J'ai dit à mon mari qu'il pouvait s'attendre à la même chose si jamais..."
Le double standard est si profondément ancré dans l'inconscient collectif que même les politiciens ne se gênenty pas pour l'afficher ouvertement: la violence envers les hommes C'EST OK!!!
Vous avez bien raison. Autre exemple d'une dérive de type "deux poids, deux mesures" illustrée par Tiger Woods : ses aveux sur-médiatisés d'infidélités, à une époque où les Lindsay Lohan et Brtney Spears multipliaient les incartades du même genre sans se sentir obligées du moindre mea culpa, d'ailleurs avec raison. La vie privée des gens publics ne regardent qu'eux. Vous souvenez-vous (comment faire autrement ?) de la traque républicaine à propos de le liaison de Bill Clinton ? Combien savent qu'Hillary menait également une double vie, en plein accord avec son mari ? Faut dire qu'en plus d'être femme, elle n'était pas président des É-U. Dire qu'il fut un temps où c'était les femmes qui avaient le plus à rougir de leurs incartades. Autre temps...
AVIS
Concerne les souffrances dans le contexte de séparation conflictuelle…
Merci de répondre soit sur cette page… alors votre réponse sera lue par tous, mais avec votre pseudonyme.
Vous pouvez aussi copier/coller le questionnaire et envoyer directement vos réponses au Docteur J-Emile Vanderheyden.
Merci de votre collaboration. (s) Michel
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Questionnaire pour l’évaluation des dégâts psychologiques dans le contexte de séparation conflictuelle
A. Si vos parents se sont séparés ou ont divorcé :
1. Comment avez-vous vécu le divorce de vos parents ?
2. Que pensez-vous de votre mère ?
3. Que pensez-vous de votre père ?
4. Que pensez-vous de vos frères, sœurs, grands-parents ?
B. Si vous a vécu vous-même une séparation voire un divorce :
5. Dans la vie actuelle de tous les jours, comment vivez-vous votre sentimentalité, votre éventuel nouveau couple ?
6. Etes-vous fidèle ?
7. Quels sont vos relations avec vos enfants ?
8. Avez-vous des problèmes d’alcool, tabac, drogue ?
9. Souffrez-vous d’anxiété, d’angoisse, d’insomnie ?
10. Souffrez-vous de dépression ? Etes-vous soigné ? Comment ?
11. Avez-vous des épisodes d’agressivité, de violence ?
12. Avez-vous ressenti une perte de vos capacités d’autonomie ? Etes-vous inhibé devant telle ou telle situation ?
Merci pour vos réponses qui nous aideront à préparer un article sur les éventuels dégâts psychologiques retrouvés chez des personnes touchées par une séparation !
Dr J-Emile Vanderheyden, Neuropsychiatre, Av Général Jourdan, 1 B-6220Fleurus - BELGIQUE
Un bon exemple de ces séparations / divorces du XXème siècle où tous les coups (scélératesses, perfidies, déloyautés, fourberies, traîtrises, félonie, c’est selon) n’est-il pas le film français « Divorce » cette comédie dramatique de Valérie Guingnobodel, avec les acteurs principaux François-Xavier Demaison, Pascale Arbillot, Mathias Mlekis (France 2009 – 96’
Dont le thème est : Un couple d’avocats défend le divorce du XXIème siècle : aimable et à l’amiable, avec garde alternée et famille recomposée, loin des atroces scènes de ménage de la génération précédente.
Mais le jour où leur couple vole en éclat, il faut passer de la théorie à la pratique : fini les beaux discours ! Place à la guerre…
Ce film est passé sur Canal + BTV en Belgique cette soirée. J’en ai vu une petite partie… Qui d’autre a pu visionner ce film ?
Pour ce que j’en ai vu, je peux assurer qu’il s’agit bien de ce que j’ai subi et que d’autres hommes (à ma connaissance… pour en avoir entendu plus d’un millier depuis 1994) ont aussi subi de la part de leurs compagnes. Mais depuis que je suis sur Facebook (il y a moins de deux ans) j’ai rencontré des mères qui ont également subi les actes de scélérats… Alors que faire pour tenter quoi que ce soit pour le bien de la famille ? À ce jour, c’est mission impossible !
Bien cordialement, Michel WILLEKENS
(Belgique)
Je crois définitivement que, plus ce genre de situations sera dénoncé, de même que la corruption juridique qu'elle implique nécessairement, et plus nos dirigeants seront dans l'obligation, à l'usure, de corriger le tir. Non pas que l'État ploierait sous le fardeau d'une conscience sociale désormais insubmersible, mais il penserait à son capital électoral, comme toujours. N'oublions pas que ce sont le peuple et les médias (aujourd'hui, nous avons aussi Internet) qui ont gagné la guerre du Vietnam, alors pourquoi pas celle-ci ? Il faut s'accrocher mais surtout, se regrouper et briser le silence, comme les vraies victimes d'agressions sexuelles ont commencé à le faire. Merci de votre commentaire, M. Willekens.
NON!
Un grand ménage s'impose. Il faut que nous établissions, une fois pour toute, que les cours de la famille de sont pas des cours criminelles et que ls standards du dernier ne peuvent, *en aucun cas* s'appliquer au premier.
Traduction: Il faut évacuer de nos cours familiales les avocats qui ont 1) tout intérêt à faire perdurer les procédures et 2) cette notion que l'un doit etre "perdant" et l'autre "gagnant", comme si nous étions dans une joute au criminel. Un couple qui se divorce ne recèle aucun criminel, aucun parti "coupable"- deux êtres humains ne s'entendent plus sur une vie commune. Il n'y a là aucun crime. Pourquoi, alors, les obliger à une confrontation- et une représentation- comme au criminel?
Trois juges, pas d'avocats. Une cour familiale sans antagonisme, dépourvue de requins qui ont BESOIN ($$$$$$) de faire trainer la procédure.
La loi familiale n'a RIEN A VOIR avec la loi criminelle. pourtnt, on utilise enore le même système.
WHY?????
Encore une fois, je trouve votre point de vue très pertinent et vous rejoignez mes préoccupations. Il n'y a aucun doute dans mon esprit que les lois sur le divorce sont conçues, non pas en vue de tenir compte du bien-être légitime des deux parties impliquées, mais bien afin de faire travailler le maximum d'avocats possible. En rendant la loi juste assez inique pour susciter des procédures à n'en plus finir, le plus souvent au détriment de l'homme, notre système a créé un monstre qui se nourrit d'injustice, de souffrance, de cupidité et de vengeance de l'ex-conjointe, cet agneau meurtri qu'il faut soi-disant protéger. Comme le profit des avocats prime sur le bon sens et l'intérêt légitime du couple qui, normalement, devrait songer à passer à autre chose, il est évident que nous parlons de corruption judiciaire, rien de moins. Je le répète, comme nos dirigeants ne gouvernent que par les sondages, seule l'opinion publique pourra faire une différence. Je suis cependant certain que rien n'est gagné et qu'il va falloir s'accrocher avec fermeté avant que ce rêve ne devienne réalité.
http://www.pokerbloggs.com/2009/01/23/claudia-barilla-sues-guy-laliberte-for-50-million
Comme nous l'expliquent si bien les féministes, la violence prend plusieurs formes: physique, verbale, psychologique, économique...
De plus en plus il devient évident que le chemin vers l'ataraxie masculine passe par la misogynie défensive. Tenons-nous loin, nous n'en vivrons que mieux et plus heureux.
Notez qu'il est si facile de se voir accolé les étiquettes de misogyne, sexiste ou extrémiste dès que l'on dénonce le féminisme radical et ses conséquences qu'il faut également éviter de se censurer en réaction au chantage ou à la manipulation que ces accusations non fondées impliquent. Il est par contre dommage que certains commentateurs, par ailleurs pertinents, amoindrissent leur force de frappe par le recours par trop fréquent aux commentaires injurieux ou, carrément aux insultes grossières.
Au fait, Malthus, contrairement au lien affiché en tête de votre dernier message, la femme identifiée dans l'article lié n'est pas la fameuse Lola. Je vous rappelle par ailleurs qu'il y a une ordonnance de non publication quant à l'identité de ce personnage au demeurant peu sympathique. S'il n'en tenait qu'à moi, l'interdiction serait levée, tant l'affaire a fait et continuera de faire du bruit dans la sphère médiatique, mais bon, justifiée ou non, la loi reste la loi et, bien sûr, ses conséquences restent ses conséquences... Au plaisir.
Je vous rejoints sur ce principe que des parents qui se séparent ne sont pas des délinquants et que les enfants ne sont pas des usufruits. Ils n’ont donc rien à faire en justice !!!
Nous prônons la déjudiciarisation des conflits conjugaux en situations de séparations / divorces conflictuels avec le soutien de la médiation familiale, conventionnelle, hors avocat, hors secteur marchand.
Voici ce qu’un médecin social, Français, nous fait part :
(Extraits du manuscrit « L’imposture Judiciaire » de Pascal DAZIN)
Quiconque rencontre un problème de santé ne consulte ni un architecte ni une couturière
D’autre part, quiconque rencontre un problème de santé ne consulte ni un architecte ni une couturière. S’il le faisait, son comportement évoquerait un désordre mental.
Pourtant, dans la très grande majorité des cas, qui rencontre un problème de famille se retrouve précipité dans le monde judiciaire. C’est ce qui m’arriva, comme à tant d’autres, voici seize ans.
Toute la société marche sur la tête
C’est donc toute la société qui marche sur la tête. Car aussi vrai qu’un parent n’est pas un délinquant ou qu’un enfant n’est pas un usufruit, la vie de famille ne devrait qu’en bien peu de cas se retrouver d’emblée dans les serres des hommes d’affaires et dans les affres des conflits judiciaires.
http://laviedeperes.over-blog.com/article-21960745-6.html#anchorComment
Bien cordialement, M. Willekens
Je suis en tout point d'accord avec vous, M Willekens. Jusqu'à tout récemment, il était possible d'échapper à la judiciarisation des ruptures en union libre au Québec. Vous savez peut-être que notre Cour d'appel vient de renverser cet état de fait en permettant la pension à l'ex-conjoint, comprendre bien sûr ex-conjointe. 1,2 millions de Québécois seront visés par une telle décision et les nombreux abus qu'elle entraînera inévitablement au profit des 16 000 avocats familialistes de notre riante province. Une seule porte de sortie : que notre ministre de la Justice en appelle de ce verdict. Une désolante affaire à suivre donc... Merci de votre participation sur ce sujet que vous ne connaissez que trop bien, à ce que j'ai lu sur vous. Gardez votre sérénité.
Bonjour Olivier,
Bonjour â tous,
Tenter de régler le problème de violence familiale en ne regardant qu'un seul sexe comme agresseur, c'est comme faire une campagne de prévention de la grippe en vaccinant tout le monde sans les éduquer sur les mesures d'hygiène élémentaire qu'on doit adopter comme simplement se laver les mains souvent.
Lorsque les hommes parlent de la violence qu'ils subissent, ils citent des organismes de statistique crédibles (Statistique Canada et L'institut de la Statistique du Québec) alors que les féministes se réfèrent à "des études" qui le prouvent mais jamais elles ne mentionnent la source de leurs "études". On peut expliquer cela par la "convergence" des intérêts.
Je vous fais une analogie: Québécor Média est devenu un immense empire qui possède des journaux, des stations de radio, des stations de télé, une maison de production et un réseau de distribution.
Les émissions de télé et de radio doivent parler de ce qui se passe dans les journaux et les films que QM produit. Les journaux doivent parler de ce qui s'est dit dans les émissions de télé et de radio. Bref, tout le monde regarde le nombril de tout le monde et ça reste dans la "famille". Il est rare donc qu'on va parler de ce qui se fait à l'extérieur de la "famille".
Le féminisme utilise la même convergence. L'idéologie est solidement implantée partout, elle compte sur des chaires de recherches qui produisent des "études" pour que puissent être promues les idées de la faction et prouver leur point, sans égard à la neutralité de l'étude ni la rigueur scientifique.
C'est comme cela qu'elles empilent leurs "blocs" de construction et ont réussi à créer un univers de statistiques et d'études qui ne prouvent queleur point de vue, toute divergence étant soigneusement ignorée et réfutée.
Le travail magnifique de l'équipe de recherche de L'après-rupture a mis au jour l'origine de ce fragile édifice: Le scandale des fausses statistiques.
Je vous recommande également de lire un document disponible uniquement sur Internet et qui s'intitule "Prone to violence". c'est un livre écrit par Erin Pizzey, une dame britannique qui a fondé le premier accueil pour femmes victimes de violence. Après quelques temps, elle s'est rendue compte que les femmes qui faisaient appel à ses services déclenchaient elles-mêmes la violence qu'elles fuyaient.
Un grand merci, Alain, d'attirer notre attention, ou plutôt d'enrichir l'éclairage que nous avons déjà sur la manipulation statistique. On pourrait également citer le Conseil du statut de la femme - ou de la frime - qui ignore délibérément les statistiques de la violence commise par les femmes (infanticide) et qui diabolise des hommes aussi respectables que Guy Corneau et Yvon Dallaire, pour avoir commis le crime de lèse-majesté d'oser parler de condition masculine, ce "problème fabriqué de toutes pièces". Le féminisme universitaire mériterait que l'on s'y attarde davantage, vu ce qu'il coûte au contribuable et du peu qu'il lui rapporte, même à la payeuse de taxe. On ne connaît que trop les exploits "analytiques" du Service à la collectivité de l'UQAM et de leur bijou intitulé "Masculinisme québécois ou l'antiféminisme démasqué", alors que les masculinistes crient littéralement leur ras le bol des féministes. Les mêmes "analystes" viennent d'autopsier Châtelaine et ont découvert que 30 % de son contenu des 50 dernières années était antiféministe. Or, vous savez comme moi qu'il suffit de dire que l'école est mal adaptée aux garçons, que la justice méprise les pères ou que les soins de santé des hommes sont sous-financés en comparaison de ceux des femmes pour se voir étiqueté d'antiféministe, vocable avec lequel je finis par me sentir à l'aise. Je me promets bien d'explorer le lien qui clôture votre commentaire. Merci encore et salutations.
Je voudrais réagir au questionnaire "évaluation des dégâts psychologiques dans le contexte de séparation conflictuelle"
Comment et pourquoi perdre son temps à répondre à un questionnaire qui pour ma part, rentrera sans conteste dans la suite "du scandale des fausses statistiques"...
Si l'on connait pour l'avoir cotoyé un tant soit peu la vie de cet "auteur", on sait que son livre intitulé "Approcher le divorce conflictuel" n'est pas du tout une étude sur des dizaines de personnes, mais uniquement une auto-divorsographie de l'auteur lui-même.
Qui est la personne qui a été trouver les parents du malheureux petit ami de sa fille, sinon l'auteur lui-même ?
Qui est la personne qui a écrit à son notaire comme quoi il ne pouvait plus souffrir de voir son ex-épouse dans la même pièce sinon l'auteur lui-même!
Qui critique et se plaint de ses enfants pour avoir donné, soi-disant des informations à la mère, sinon l'auteur ! (alors qu'il sait très bien qu'il avait une femme très intelligente) !
Je ne comprends pas comment son ex-épouse ne réagit pas à ce livre qu'il a l'audace de dédicasser à ses enfants ! Je sais qu'elle l'a mis dans les mains de grands spécialistes...
J'ai suivi ce divorce de près, mensonges, faux, calmonies, mais la Justice n'a pas été dupe, alors forcément, on se plaint de la Justice.
Tout le monde sait dans l'hôpital dans lequel il travaillait pourquoi il a été licencié sur le champ, sans préavis, pour faux en écriture...
Et ça se dit... Neuropsychiatre !
Curieux de voir les statistiques qui vont sortir de cette étude (?)
J'ignore tout de l'histoire de ce docteur. Je me garderai donc de poser un jugement favorable ou défavorable à son égard. Après examen de son questionnaire, je trouve que l'éventail de questions proposées demeure néanmoins pertinent et ne voit aucune objection à le laisser dans ce blogue. Ce questionnement me paraît d'ailleurs plus que nécessaire. Le jeu en vaut donc la chandelle, selon moi.
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