François Legault |
Déjà rompu à sa manie des
cachotteries, le ministre d’alors aurait vraisemblablement souhaité que ces
détails litigieux restent dissimulés aux yeux du public :
« Le ministre de la Santé, François Legault, admet être embarrassé par
le dévoilement de sa rencontre de jeudi soir avec une vingtaine de dirigeants
d'entreprises des secteurs pharmaceutique et médical.
Chacune de ces personnes a déboursé 1000 dollars
pour souper avec lui, à Québec. »
Comment ne pas voir dans de telles attentions de ces dirigeants pour le
ministre de la Santé de l’époque un risque patent de conflits d’intérêt ? À la lumière actuelle des liens incestueux
qui existent entre la Coalition avenir Québec et le lobby des vaccins contre la
covid, il est permis de se demander si ces attentions ne représentaient pas un
épisode parmi une longue et « fructueuse » collaboration.
Une problématique mondiale
La rage de la CAQ de vacciner à tout prix, même des enfants, quitte à
mettre en péril leur santé et peut-être même leur vie, n’a-t-elle rien à voir
avec de possibles conflits d’intérêt ?
Vous me direz que partout à travers la planète, des chefs d’État exercent
les mêmes pressions sur leurs populations, certains, comme les dirigeants de
l’Australie et de la Nouvelle-Zélande, ayant même instauré une dictature qui
pourrait faire passer Legault pour un être modéré.
Cette crise n’est pas gérée par les gouvernements
Rien de plus normal puisque la crise actuelle est gérée non pas par les
gouvernements, mais par les instances mondiales que sont notamment l’Organisation
mondiale de la Santé, elle-même financée par la Fondation Bill et Melinda
Gates.
Il ne faudrait pas oublier le Forum économique mondial, et son gourou,
l’extravagant Klaus Schwab, apôtre du transhumanisme, qui voit dans la crise
politico-sanitaire actuelle l’occasion d’une grande réinitialisation
(« great reset ») à travers la quatrième révolution industrielle dont
il se fait le promoteur. Legault et
Justin Trudeau ont avoué être des disciples de ce psychopathe.
Une affaire de gros sous
Qui plus est, la covid est devenue une affaire de gros sous, comme le
dévoile cette manchette nous révélant que ce virus a créé neuf nouveaux
milliardaires parmi les fabricants de vaccins :
« Ces
nouvelles fortunes ont émergé « grâce aux profits faramineux des groupes
pharmaceutiques qui ont un monopole sur la production de vaccins contre la
COVID-19 », estime Oxfam dans un communiqué publié avant
un sommet mondial sur la santé du G20, vendredi à Rome. »
L’article de La Presse laisse entendre cependant
que ces profits seraient réinvestis dans la vaccination des pays
défavorisés :
« La
fortune cumulée des neuf milliardaires cités, 19,3 milliards de dollars,
« permettrait de vacciner 1,3 fois l’ensemble des pays à faibles
revenus », qui « n’ont reçu que 0,2 % des vaccins produits dans
le monde, notamment en raison de l’important déficit de doses
disponibles », selon Oxfam. »
Notez l'emploi du conditionnel du verbe permettre. Entre « permettre de vacciner » et
« faire vacciner », il existe une subtilité qui fait la
différence entre un vœu pieux et le passage à l’acte…
Une activité légale, mais peu éthique
Comme bien des procédés douteux et peu éthiques, l’activité de 2002 impliquant
Legault et le lobby pharmaceutique et médical était cependant légale :
« Puisque celui-ci (le bloc, NDA) est un parti
fédéral, l'activité était légale. Elle soulève néanmoins des questions
d'éthique, puisque le ministre est celui qui détermine quels médicaments sont
remboursables par le régime d'assurance-médicaments. »
L’absence
de preuves n’empêche pas les soupçons
Pour un
grand nombre de gogos apeurés et influençables, François Legault reste leur
sauveur, certains d’entre eux poussant le délire jusqu’à comparer ce lugubre
individu à René Lévesque, qui doit se retourner dans sa tombe.
Il
n’existe, pour le moment du moins, aucune preuve tangible qui puisse permettre
d’accuser formellement le gouvernement Legault de conflits d’intérêt avec le
lobby pharmaceutique. L’absence de
preuves n’empêche cependant pas les soupçons chez la partie la plus éveillée de
la population, qui voit bien la manipulation grossière, cousue de fils
fluorescents, derrière cette pseudo pandémie de cas, assortie pourtant de très
peu d’hospitalisations et d’encore moins de décès.
Un indice ? En date du 24
novembre, pour une population de 8,5 millions de résidents, notre soi-disant
système de santé à bout de souffle ne comptait que… 43 personnes aux soins
intensifs.
Une urgence hystérique
Mais il y a urgence hystérique
à vacciner les cinq à 11 ans, en attendant de s’en prendre aux petits
enfants. L’heure est grave et demande
des – véritables – mesures d’urgence.
L’une d’elles serait, pour les autorités compétentes, d’effectuer une enquête
approfondie et impartiale sur les finances personnelles des Legault, Dubé,
Arruda et Guilbault.
Vous allez me dire que je rêve
en couleurs, et vous n’aurez pas tort. Si
elle avait lieu, une telle enquête permettrait - peut-être - de nous assurer de
l’intégrité de nos dirigeants. En cas de
conflits d’intérêt, qu’arriverait-il ?
Une autre commission Charbonneau ?
On sait ce qu’elle a donné. Et l’Opposition,
avec à sa tête Dominique Anglade, pourrait s’avérer encore pire et plus répressive
que la CAQ.
Décidément, l’avenir du Québec, comme celui de la planète, ne s’annonce pas reluisant…
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