François Legault |
Apparemment, non seulement la vie normale ne se pointe
toujours pas à l’horizon, mais une troisième dose, ou booster, pour employer un
terme à la mode, sera sans doute bientôt de mise. Et puis il faudra vacciner les enfants de cinq à 11 ans pour
protéger grand-maman. Faudrait pas que
ces petits choux ne deviennent des tueurs en série juvéniles, tout de même…
Bientôt le tour des animaux de compagnie ?
Comme si la situation n’était pas aussi
« problématique », on vient de découvrir que les cerfs seraient
porteurs de covid. Pourquoi pas les orignaux, les castors, les
écureuils, les moufettes ou les loutres, un coup parti ? Allons-nous bientôt en
arriver à vacciner nos animaux de compagnie ?
Après tout, plus d’une grand-mère possède un chat ou un petit
chien. S’il fallait qu’on retrouve le
cadavre de l’une d’elles avec, penché sur son corps inerte, son meurtrier aussi
involontaire qu’affectueux…
Mais nous ne sommes pas rendus là. En tout cas, pas encore. Il faut prendre au sérieux, à défaut de
croire, François Legault quand ce premier ministre ose une fois de plus nous
prendre pour des valises en affirmant avec un front de bœuf que la plupart des
mesures sanitaires seraient levées une fois que 80 % des enfants seront
vaccinés.
Du chantage, toujours du chantage…
Encore du chantage, à peine plus subtil que celui du ministre
Christian Dubé envers les travailleuses de la Santé : si vous ne faites
pas vacciner votre enfant, pas de « retour à la vie normale »… Évidemment,
il est à prévoir que de nombreux parents sensés refuseront d’exposer leur
progéniture à un vaccin expérimental.
Les plus démunis au plan humain ou intellectuel obéiront par contre aveuglément
aux « experts » à gogo de TVA ou de Radio-Canada.
Quoi qu’il en soit, il y a fort à parier que la cible des 80
% d’enfants vaccinés ne sera pas atteinte, ce qui fournira à Legault un nouveau
prétexte pour prolonger l’urgence sanitaire en accusant cette fois les parents
« antivax » d’être la cause de ce nouveau revers.
Évidemment les Martineau, Dumont, Lagacé et Bombardier seront
mis à contribution afin de cracher une fois de plus leur venin sur ces « vils »
parents qui auront voulu exercer leur droit plus que légitime de protéger leurs
enfants de cette nouvelle manigance gouvernementale.
Apparence de conflits d’intérêt
J’avais fait mention dans mon dernier billet d’un article évoquant des
apparences de conflits d’intérêt entre Legault, alors ministre péquiste de la Santé en 2002, et une
vingtaine de lobbyistes des secteurs pharmaceutique et médical venu payer 1000
$ pour le rencontrer lors d’une activité de financement du bloc québécois.
Cette rage de vacciner des enfants qui sont à très faible
risque de contracter la covid et de la transmettre ne représente-t-elle pas une
autre apparence de conflit d’intérêt quand on apprend que Pfizer vient de
réviser de 7,5 % à la hausse ses prévisions annuelles de ventes de son vaccin
contre la covid-19 ? La raison de cette
augmentation : des accords pour les doses de rappel et… l’autorisation de vacciner
les enfants :
« Pfizer a relevé mardi de 7,5% sa prévision annuelle de ventes
pour son vaccin contre le Covid-19, le groupe ayant bénéficié d'accords pour
les doses de rappel et d'autorisations pour l'inoculation de son vaccin chez
les enfants. »
Si après ça,
les confinés mentaux ne commencent pas ne serait-ce qu’à s’interroger sur les
motivations réelles de ce gouvernement, nous aurons affaire à une cause perdue.
Il n’y a plus de limites à la voracité
de Pfizer :
« Le géant de la pharmacie vise
désormais des ventes de vaccins contre le Covid-19 de 36 milliards de dollars,
2,5 milliards de plus que prévu en juillet, pour le vaccin qu'il produit
avec l'entreprise allemande BioNTech. »
Maintenant, vous avez matière à déterminer qui oriente
vraiment les politiques sanitaires du Québec, et qui n’en est que le vil
concierge…
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