samedi 19 mars 2022

Le laptop d’Hunter Biden et les mensonges d’Hillary sur la « collusion » de Trump reviennent hanter les démocrates

Joe Biden et Hillary Clinton
Il n’y a sans doute rien de plus contrariant pour des politiciens corrompus que de voir des cadavres qu’ils espéraient noyés à jamais remonter à la surface.  Voilà un sentiment lancinant qui pourrait hanter Joe Biden et Hillary Clinton si la Justice américaine, peu portée à incriminer des dirigeants démocrates, sortait de sa torpeur délibérée pour enfin s’acquitter de son travail et demander des comptes aux principaux intéressés.

C’est un secret de Polichinelle pour quiconque suit la politique américaine en dehors de la majorité des médias main stream, que Joe Biden se trouve assis sur un volcan depuis que le FBI enquête, ou feint d’enquêter, sur le contenu du laptop de son fils Hunter, imprudemment laissé en réparation chez un commerçant qui, constatant son contenu, a choisi de le communiquer aux autorités compétentes.

Des courriels incriminants

Des courriels incriminants y ont été découverts et authentifiés par des experts.  Il y est question de trafic d’influence liant une entreprise ukrainienne, Burisma, à Hunter, qu’elle payait une fortune en honoraires en échange de compétences inexistantes, espérant rencontrer « the big guy », comprendre son père, alors vice-président de Barak Obama, en vue de quelque bénéfice financier.  Un autre courriel échangé cette fois entre Hunter et son père attesterait de la perspective d’une telle rencontre.

L’histoire, d’abord révélée à l’automne 2020 par le New York Post, puis reprise par Fox news, aurait pu nuire considérablement à Joe Biden, alors en campagne présidentielle, si les GAFAM, Facebook et Twitter en tête, ne s’étaient donné le mot pour censurer non seulement l’article du NYP, mais aussi toute allusion à cet événement des plus incriminants.  La majorité des médias main stream devait également observer cette omerta.

Un sondage américain aurait récemment révélé que 10 % des électeurs qui ont voté pour Biden auraient choisi Trump s’ils avaient été mis au courant de cet événement.  Voilà comment on vole une présidence…

Quand le New York Times s’en mêle…

Joe Biden pouvait encore dormir en paix récemment mais le New York Times, à ne pas confondre avec Le NYP, devait le tirer de son sommeil avec un article des plus incriminants qui rappelle, au 24e paragraphe, le conflit d’intérêt potentiel liant les Biden à l’entreprise Burisma.

Les médias conservateurs, centre droite, Fox en tête, ont repris allègrement la nouvelle tandis que le reste des médias main stream américains, ont choisi soit de l’ignorer, comme d’habitude, soit de vilipender le NYT, qui passe dans le tordeur médiatique démocrate.

Pourquoi avoir attendu 17 mois ?

Un commentateur de Fox news se demandait pourquoi, après avoir attendu 17 mois, le New York Times se décidait enfin à évoquer ce potentiel scandale dont ce média niait l’existence en 2020.  Il a émis deux hypothèses : soit le NYT a eu vent de mises en accusations imminentes, soit le parti démocrate a choisi de se débarrasser d’un président devenu encombrant par son impopularité à l’approche des élections de mi-mandat qui pourraient plomber l’hégémonie démocrate à la Maison blanche.

On ne saurait toutefois tenir Biden, un homme de paille visiblement en plein déclin cognitif, responsable des gaffes de son parti, tel le retrait catastrophique de l’Afghanistan, et l’invasion de l’Ukraine qui ne serait jamais survenue si Trump était resté à la présidence de États-Unis.  Ce pauvre bougre éprouve visiblement de la difficulté à savoir où il se trouve ou quel jour on est, il serait donc téméraire de lui attribuer des décisions aussi dramatiques.

Un autre scandale étouffé 

Pour quiconque a la douce candeur de croire en la Justice américaine, il est affligeant de constater qu’Hillary Clinton et son mari, Bill, n’aient jamais été inquiétés par elle, ne serait-ce qu’à propos de cette prétendue « théorie du complot » que représente l’affligeant taux de mortalité violente qui a affecté jusqu’à présent plusieurs opposants à ce couple sulfureux, mais aussi d’anciens employés.  Aucune présidence n’a vu autant de décès survenir à sa suite.

Or, William P Barr, alors procureur général sous Trump, avait mandaté un procureur spécial, John Durham, afin d’enquêter sur la soi-disant collusion de Trump avec la Russie et ce, peu importe le résultat des élections 2020.  Durham a déposé récemment un rapport accablant qui a eu le mérite relatif soit d’être ignoré, soit de se voir descendu en flammes par les médias main steam, à majorité, s’il faut encore le mentionner, pro démocrates.

La CIA et le FBI impliqués

Le rapport indique que, dès le début de ces fausses allégations visant à plomber la campagne électorale de Trump en 2016, le FBI et la CIA n’en ignoraient ni la fausseté ni que les organisateurs de la campagne d’Hillary Clinton étaient à l’origine de cette supercherie. 

Il faut rappeler que la candidate démocrate avait été surprise par le FBI avec 34 000 courriels haute sécurité sur son laptop personnel non sécurisé alors qu’elle était secrétaire à la défense sous Barak Obama et que ce scandale avait été révélé en pleine campagne électorale.  Que pouvait bien faire de 34 000 courriels haute sécurité une secrétaire à la défense ?  Se peut-il qu’elle ait pu en transiger elle-même avec la Russie moyennant pot de vin ? Ah, les démocrates et les laptops…

Jusqu’à Obama ?

Selon plusieurs commentateurs de médias conservateurs, le rapport remonterait jusqu’à Barak Obama lui-même et à une entreprise informatique qui aurait été engagée pour hacker les ordinateurs personnel et présidentiels de Donald Trump pour y planter de fausses évidences et espionner le bouillant président. 

Tout ça ressemble à de la politique fiction, et il est à souhaiter que de véritables mises en accusation viennent corroborer ces allégations qui pourrait faire passer le Watergate pour un délit aussi inoffensif qu’un vol de dépanneur.

Les laptops par lesquels le scandale arrive…

Décidément, les laptops ne portent pas chance aux démocrates.  C’est au moment de la découverte de l’usage qu’en faisait Hillary Clinton que la candidate démocrate aurait ourdi une campagne de salissage qui a poursuivi Trump pendant tout le temps de sa présidence et même après.  C’est aussi par un laptop que la découverte d’un probable conflit d’intérêt pourrait plomber la présidence de Biden.  Reste à savoir maintenant si la Justice américaine fera son travail.  Ça, c’est une autre paire de manches…

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