Joe Biden et Hillary Clinton |
C’est un secret de Polichinelle pour quiconque suit la
politique américaine en dehors de la majorité des médias main stream, que Joe
Biden se trouve assis sur un volcan depuis que le FBI enquête, ou feint
d’enquêter, sur le contenu du laptop de son fils Hunter, imprudemment laissé en
réparation chez un commerçant qui, constatant son contenu, a choisi de le
communiquer aux autorités compétentes.
Des courriels incriminants
Des courriels incriminants y ont été découverts et
authentifiés par des experts. Il y est
question de trafic d’influence liant une entreprise ukrainienne, Burisma, à
Hunter, qu’elle payait une fortune en honoraires en échange de compétences
inexistantes, espérant rencontrer « the big guy », comprendre son père,
alors vice-président de Barak Obama, en vue de quelque bénéfice financier. Un autre courriel échangé cette fois entre
Hunter et son père attesterait de la perspective d’une telle rencontre.
L’histoire, d’abord révélée à l’automne 2020 par le New York Post,
puis reprise par Fox news, aurait pu nuire considérablement à Joe Biden,
alors en campagne présidentielle, si les GAFAM, Facebook et Twitter en tête, ne
s’étaient donné le mot pour censurer non seulement l’article du NYP, mais aussi
toute allusion à cet événement des plus incriminants. La majorité des médias main stream devait également observer cette omerta.
Un sondage américain aurait récemment révélé que 10 % des
électeurs qui ont voté pour Biden auraient choisi Trump s’ils avaient été mis
au courant de cet événement. Voilà
comment on vole une présidence…
Quand le New
York Times s’en mêle…
Joe Biden pouvait encore dormir en paix récemment mais le New
York Times, à ne pas confondre avec Le NYP, devait le tirer de son sommeil avec un article des plus
incriminants qui rappelle, au 24e paragraphe, le
conflit d’intérêt potentiel liant les Biden à l’entreprise Burisma.
Les médias conservateurs, centre droite, Fox en tête, ont
repris allègrement la nouvelle tandis que le reste des médias main stream
américains, ont choisi soit de l’ignorer, comme d’habitude, soit de vilipender
le NYT, qui passe dans le tordeur médiatique démocrate.
Pourquoi avoir attendu 17 mois ?
Un commentateur de Fox news se demandait pourquoi, après
avoir attendu 17 mois, le New York Times se décidait enfin à évoquer ce
potentiel scandale dont ce média niait l’existence en 2020. Il a émis deux hypothèses : soit le NYT
a eu vent de mises en accusations imminentes, soit le parti démocrate a choisi
de se débarrasser d’un président devenu encombrant par son impopularité à
l’approche des élections de mi-mandat qui pourraient plomber l’hégémonie
démocrate à la Maison blanche.
On ne saurait toutefois tenir Biden, un homme de paille
visiblement en plein déclin cognitif, responsable des gaffes de son parti, tel
le retrait catastrophique de l’Afghanistan, et l’invasion de l’Ukraine qui ne
serait jamais survenue si Trump était resté à la présidence de États-Unis. Ce pauvre bougre éprouve visiblement de la
difficulté à savoir où il se trouve ou quel jour on est, il serait donc
téméraire de lui attribuer des décisions aussi dramatiques.
Un autre scandale étouffé
Pour quiconque a la douce candeur de croire en la Justice
américaine, il est affligeant de constater qu’Hillary Clinton et son mari,
Bill, n’aient jamais été inquiétés par elle, ne serait-ce qu’à propos de
cette prétendue « théorie du complot » que
représente l’affligeant taux de mortalité violente qui a affecté jusqu’à présent plusieurs
opposants à ce couple sulfureux, mais aussi d’anciens employés. Aucune présidence n’a vu autant de décès
survenir à sa suite.
Or, William P Barr, alors procureur général sous Trump, avait
mandaté un procureur spécial, John Durham, afin d’enquêter sur la soi-disant
collusion de Trump avec la Russie et ce, peu importe le résultat des élections
2020. Durham a déposé récemment un rapport accablant
qui a eu le mérite relatif soit d’être ignoré, soit de se voir descendu en
flammes par les médias main steam, à majorité, s’il faut encore le mentionner,
pro démocrates.
La CIA et le FBI impliqués
Le rapport indique que, dès le début de ces fausses
allégations visant à plomber la campagne électorale de Trump en 2016, le FBI et
la CIA n’en ignoraient ni la fausseté ni que les organisateurs de la campagne
d’Hillary Clinton étaient à l’origine de cette supercherie.
Il faut rappeler que la candidate démocrate avait été surprise par le FBI avec 34 000 courriels haute sécurité
sur son laptop personnel non sécurisé alors qu’elle était
secrétaire à la défense sous Barak Obama et que ce scandale avait été révélé en
pleine campagne électorale. Que pouvait
bien faire de 34 000 courriels haute sécurité une secrétaire à la défense
? Se peut-il qu’elle ait pu en transiger
elle-même avec la Russie moyennant pot de vin ? Ah, les démocrates et les
laptops…
Jusqu’à Obama ?
Selon plusieurs commentateurs de médias conservateurs, le
rapport remonterait jusqu’à Barak Obama lui-même et à une
entreprise informatique qui aurait été engagée pour hacker les ordinateurs
personnel et présidentiels de Donald Trump pour y planter de fausses évidences
et espionner le bouillant président.
Tout ça ressemble à de la politique fiction, et il est à
souhaiter que de véritables mises en accusation viennent corroborer ces
allégations qui pourrait faire passer le Watergate pour un délit aussi
inoffensif qu’un vol de dépanneur.
Les laptops par lesquels le scandale arrive…
Décidément, les laptops ne portent pas chance aux démocrates. C’est au moment de la découverte de l’usage qu’en faisait Hillary Clinton que la candidate démocrate aurait ourdi une campagne de salissage qui a poursuivi Trump pendant tout le temps de sa présidence et même après. C’est aussi par un laptop que la découverte d’un probable conflit d’intérêt pourrait plomber la présidence de Biden. Reste à savoir maintenant si la Justice américaine fera son travail. Ça, c’est une autre paire de manches…
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