dimanche 27 mars 2022

Parlement européen : Trudeau descendu en flammes pour son mépris des droits humains

Justin Trudeau
Faut-il se surprendre que nos médias subventionnés et, par conséquent, achetés, n’aient pas jugé nécessaire de rendre publique la façon pour le moins sévère dont le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, a été accueilli par des représentants du Parlement européen lors de sa dernière visite à cette institution ? 

Les médias alternatifs ont, une fois de plus, pallié à l’incompétence des journalistes soi-disant professionnels en citant, preuves visuelles à l’appui, des déclarations pour la moins cinglantes adressées au pire chef d’État de l’histoire du Canada.

« M Trudeau, vous êtes un déshonneur pour toute démocratie.  S’il vous plaît, épargnez-nous votre présence. »  - Christine Anderson

Christine Anderson, femme politique allemande et membre de l’Alternative pour l’Allemagne, y est carrément allée d’une volée de bois vert :

« En m’appuyant sur l’article 1951, j’aimerais souligner qu’il aurait été davantage approprié pour M Trudeau, premier ministre du Canada, de s’adresser à cette institution en lien avec l’article 144, un article spécifiquement conçu afin de débattre les atteintes aux droits humains, à la démocratie et aux règles de droit, ce qui est clairement le cas de M Trudeau.

Ainsi, un premier ministre, qui admire ostensiblement la « dictature de base » chinoise et qui piétine les droits fondamentaux en persécutant et en criminalisant ses propres citoyens en les traitant de terroristes uniquement pour avoir osé contester sa conception perverse de la démocratie, ne devrait en aucun cas être autorisé à s’exprimer au sein de cette institution.

M Trudeau, vous êtes un déshonneur pour toute démocratie.  S’il vous plaît, épargnez-nous votre présence.  Merci. »

Cette salve énergique a été saluée par plusieurs applaudissements.

« À vos yeux, il peut s’agir de méthodes libérales, pour plusieurs citoyens de ce monde, il s’agit de dictature de la pire espèce. » - Mislav Kolakusic

De son côté, Mislav Kolakusic, ancien juge et militant actuel pour le respect des droits humains, n’a pas été en reste avec la députée allemande, y allant lui aussi d’une dénonciation virulente des exactions du premier ministre :

« La liberté, le droit de choisir, le droit à la vie, le droit à la santé, le droit de travailler, pour plusieurs d’entre nous sont des droits fondamentaux pour lesquels des millions de citoyens d’Europe et du monde ont sacrifié leur vie. Afin de défendre nos droits et ceux de nos enfants, que nous avons acquis à travers les siècles, plusieurs d’entre nous, incluant moi-même, sommes prêts à risquer notre propre liberté et nos propres vies.

Malheureusement, de nos jours, on trouve parmi nous des gens qui piétinent ces valeurs fondamentales.  Le Canada, jadis un symbole du monde moderne, est devenu un symbole de violations des droits civiques, sous votre botte, quasi-libérale, au cours des derniers mois.

Nous avons vu comment vous avez piétiné des femmes avec des chevaux, comment vous avez gelé les comptes de simples parents, afin qu’ils ne puissent payer l’éducation et les frais médicaux de leurs enfants, afin qu’ils ne puissent payer leurs services, l’hypothèque de leur maison. 

À vos yeux, il peut s’agir de méthodes libérales, pour plusieurs citoyens de ce monde, il s’agit de dictature de la pire espèce.  Soyez assuré que les citoyens du monde, unis, peuvent stopper tout régime visant à détruire la liberté des citoyens, que ce soit par le recours aux bombes ou à des produits pharmaceutiques dangereux.   Merci. »

Nulle place à l’ambiguïté

On ne peut dire que la salve de M Kolakusic laisse place à l’ambiguïté quant aux reproches bien mérités que ce député a adressé à Trudeau qui, non seulement avait fait preuve de lâcheté en prétextant un risque de covid qu’il n’a jamais eue pour esquiver des camionneurs pacifiques, mais déterminés, mais avait jugé opportun de les démoniser en les associant à des terroristes, voire à des nazis. 

Un recours injustifiable

Le recours injustifiable à la Loi des mesures d’urgence, représente une page noire dans l’histoire de notre pays, une véritable honte qui a fait passer le Canada de héros des libertés civiques et individuelles à zéro dictatorial ayant pour modèle la Chine, championne des violations des droits humains.

À mesure que nos libertés sont menacées par des dirigeants sans âme, ni scrupules, leurs agissements les rattrapent et pourraient bien leur préparer des lendemains qui déchantent. 

Des dirigeants en chute libre

Qu’il s’agisse du Canada ou de nos voisins du Sud, les chefs d’État de ces deux pays se retrouvent en positions précaire :  Trudeau est liquidé politiquement tandis que les démocrates américains se trouvent coincés sous plusieurs épées de Damoclès qui pourraient leur coûter davantage que la perte du pouvoir. 

Le rapport dévastateur de John Durham prouve les mensonges d’Hillary Clinton sur la collusion de Trump avec les Russes, le laptop de Hunter Biden est devenu plus qu’incriminant pour son père, et la fraude électorale de 2020 pourrait bien finir par être démontrée, qui sait.

De son côté, Trudeau reste pris avec plusieurs centaines de millions de doses vaccinales à nous fourguer.  Il a déjà fait construire des centres de confinement « volontaires » à travers le pays au coût de 100 M $, sans doute pour y détenir les contestataires jusqu’à ce qu’ils cèdent à la vaccination forcée. 

Trudeau osera-t-il braver l’opinion mondiale ?

Maintenant dans la mire de l’opinion mondiale pour des raisons qui sont loin de lui faire honneur, notre premier ministre corrompu osera-t-il imiter la Chine en incarcérant les récalcitrants à la vaccination ?  Dans le cas contraire, que trouvera-t-il à dire à ses maîtres, Pfizer et Moderna, sans compter au Forum économique mondial dont il est un « young leader », de l’aveu même de Klaus Schwab ?

Pas un karma facile, le Justin…

6 commentaires:

fylouz a dit…

Christine Anderson, membre de l'Alternative pour l'Allemagne, parti de droite populiste.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Aucun problème... Je suis moi-même d'extrême droite, selon certains fins observateurs.

fylouz a dit…

Ben si, y'a un problème. Si - et contrairement à "selon (ce que prétendent) certains fins observateurs" - vous n'êtes pas "d'extrême-droite", la moindre des choses serait de mieux choisir vos sources, ou, au moins de les identifier clairement pour ce qu'elles sont et représentent.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Cliquez sur les caractères en rouge. Vous verrez, un miracle vous attend.

fylouz a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
fylouz a dit…

Désolé. Pas de "Fiat Lux" pour moi. Essayez d'être plus clair pour le bien d'un pauvre handicapé du bulbe.

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