Volodymyr Zelinsky |
Cette vidéo datant de 2020 a de
quoi clouer le bec des gogos les plus indécrottables sur les motivations
réelles du président Volodymyr Zelinsky, présenté par la presse mondiale comme le
héros de l’heure, luttant ardemment afin de défendre un peuple opprimé, au
péril de sa vie, contre l’envahisseur Poutine.
On découvre plutôt dans ce document
visuel un exécutant servile de Klaus Schwab, le fondateur du Forum économique
mondial, celui dont la devise est : « Vous ne possèderez rien, mais vous
serez heureux. » Tout un plan de
match…
Cependant, aux yeux du public
mondial, une tenue de combat, deux yeux cernés, et le tour est joué : nous
avons l’impression d’assister à un vieux film de John Wayne avec le méchant au
chapeau noir d’un côté, et le héros au chapeau blanc de l’autre. On pourrait également songer au film de Sergio
Léone, Le bon, la brute et le truand, à condition de remplacer le truand
par l’idiot, Joe Biden.
Un « young leader »
de plus…
Pour ceux qui ont compris que
Justin Trudeau et François Legault n’étaient que des pions – avoués – du Forum
économique mondial travaillant sans relâche à instaurer la quatrième révolution
industrielle ou grande réinitialisation (« great reset »), il ne s’agira
que d’une révélation de plus.
Legault a eu l’élémentaire
prudence de faire disparaître sa profession de foi de 2017 envers son
gourou, l’hallucinant Schwab, à l’effet que la CAQ serait
prête pour sa quatrième révolution industrielle. Heureusement, j’avais pris la précaution de
recopier l’intégralité de son boniment dans ce billet.
De son côté, l’inimitable
Justin Trudeau se mettait – une fois de plus - les pieds dans les plats lors d’une
allocution aux Nations-Unies, affirmant que la pandémie représentait « une opportunité pour une réinitialisation
(reset) »
Le fondateur du Forum
économique mondial, Klaus Schwab, ne s’est même pas caché de la fierté qu’il ressentait de pouvoir compter Justin
Trudeau parmi ses « young leaders », en plus d’avouer
candidement que « la moitié du cabinet » du premier ministre travaillait
pour le FEM.
Emmanuel Macron et Klaus Schwab |
Il n’est pas jusqu’au
président Joe Biden qui souscrit aux orientations du FEM. Bien qu’il n’ait pas jugé à propos de se
rendre au pèlerinage annuel de Davos en novembre 2021, qui pourrait contrevenir
à la régularité de ses siestes, il y a tout de même délégué des fonctionnaires de son
administration.
Mais qui est Klaus Schwab ?
Klaus Schwab est le président du Forum économique mondial, un organisme fondé
par lui en 1971 et qui ose se définir comme sans but lucratif tout en réunissant
paradoxalement chaque année à Davos, « des membres payants, des dirigeants d'entreprise, des
responsables politiques du monde entier ainsi que des intellectuels et des
journalistes, afin de débattre les problèmes les plus urgents de la planète, y
compris dans les domaines de la santé et de l'environnement. »
La
définition qui suit a de quoi faire réfléchir sur l’impact actuel du FEM sur nos
existences quotidiennes si l’on songe que cette organisation tentaculaire tient
sous son joug des pions tels que Trudeau, Legault, Macron, et Biden :
« Le
Forum exige dogmatiquement qu'un monde globalisé soit gouverné par une
coalition de sociétés multinationales, de gouvernements et
d'organisations de la société civiles (OSC) sélectionnées au lieu de structures
démocratiques classiques7, ce qu'il
exprime par des initiatives comme la « Grande Réinitialisation » et
le « Global Redesign ». »
« Au lieu de sociétés démocratiques classiques… »
Je souligne ici que Albert Bourla, directeur général de Pfizer, fait également partie du Forum économique mondial. Si vous vous demandez encore pourquoi et pour qui Trudeau, Legault et Dubé vont jusqu’au chantage le plus abject pour vous forcer à recevoir plusieurs millions de doses au cours des prochaines années, Je ne peux rien pour vous.
Voyez-vous maintenant à quelle
tribu appartient Zelensky ?
Une journaliste franc-tireuse,
Anne-Laure Bonnel, a récemment fait la manchette dans certains médias main stream,
d’autres, alternatifs, et dans les médias sociaux à propos de la situation qu’elle n’hésite pas à qualifier de tragique prévalant dans
le Donbass, à l’est de l’Ukraine, une région habitée notamment
par des citoyens russophones qui font selon elle l’objet de représailles allant
jusqu’aux bombardements, depuis l’éviction de Moscou du pays en 2014.
Bien sûr, le vertueux
président Zelensky n’était pas encore en poste à cette époque, mais on ne peut
affirmer que son élection en 2019 ait réglé quoi que ce soit dans cette
situation déplorable et ignorée par les médias.
Le protocole de Minks, prévoit
toutefois la fin des hostilités, mais reste inappliqué, les belligérants se
rejetant les uns sur les autres la responsabilité de cet échec.
On peut tout de même s’interroger
sur la bonté et l’altruisme présumés du président ukrainien, quand on constate
ses allégeances envers le FEM. Est-il vraiment
un serviteur du peuple désintéressé, comme le nom de son parti l’indique ? N’est-il pas au contraire prêt à sacrifier la
sécurité de son peuple par son entêtement à vouloir intégrer l’OTAN, contre la
volonté de Poutine ? Et que dire des
liens incestueux existant non seulement entre le président et le FEM mais aussi entre cette organisation et l’OTAN ?
Ce projet de gouvernance mondiale n'est pas une théorie du complot...
Derrière les visées soi-disant
humanistes de ces deux organisations, un projet de gouvernance mondiale inquiétant
se profile à l’horizon, au mépris de toute société démocratique. Dans une telle perspective, Vladimir Poutine,
antimondialiste déterminé, qu’on l’aime ou non, reste un empêcheur de tourner
en rond.
Et Volodymyr Zelensky, véritable création médiatique, à l’instar de la série comique qui l’a fait connaître, n’est certainement pas le héros que l’on croit.
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