dimanche 29 mai 2022

Sanitarisme : si vous pensez que la CAQ vous laissera bientôt tranquille…

Bill Gates
Après plus de deux ans de délire politico-sanitaire ayant pour but inavoué une réduction lente mais certaine de nos droits, nous sommes de plus en plus nombreux à nous demander quelle sera la prochaine cible des sanitaristes de la CAQ en vue de nous pourrir l’existence au nom de « l’intérêt collectif ». 

Nos médias, devenus agences de presse gouvernementales subventionnées, envoient régulièrement des ballons d’essai, histoire pour nos dirigeants de sonder l’opinion publique et d’élaborer une nouvelle stratégie afin de faire accepter l’inacceptable à nos citoyens les plus assoupis intellectuellement.

Dans cette perspective, on voit circuler depuis quelque temps des articles s’en prenant maintenant à nos animaux domestiques, établissant comme un fait scientifiquement avéré qu’ils représentent une nuisance environnementale, quand ils ne contribuent pas à nous déprimer.  C’est à croire que les auteurs de telles niaiseries n’ont jamais entendu parler des bienfaits de la zoothérapie.

Nous nous voyons donc forcés de constater que tout ce qui nous rend heureux et contribue au maintien de notre bien-être personnel devient vite insupportable aux ayatollahs sanitaires qui nous dirigent.

Une guerre psychologique ?

Qu’on en juge : depuis deux ans, ces déviants nous ont privés de notre liberté de sortir, de nous déplacer, de nous réunir, de nous divertir, de faire du sport, de visiter et de soutenir nos aînés, de laisser nos enfants respirer librement à l’école, de choisir d’être vaccinés ou pas, bref, de tout ce qui rend le quotidien attrayant et propice à entretenir la joie de vivre et la bonne humeur, si essentielles à une bonne santé mentale.

Plus ils nous pourrissent l’existence, plus ils semblent radieux, à croire qu’ils se réveillent la nuit pour imaginer davantage de scénarios tordus et mortifères.  Pas besoin, la firme McKinsey, payée à même nos impôts, s’en charge pour eux.  Ils peuvent dormir tranquilles.

« L’avantage », si j’ose dire, d’avoir affaire à ces psychopathes est que, lorsqu’on les a clairement identifiés, il devient facile d’anticiper leurs stratégies, par nature répétitives.  Depuis deux ans, elles se résument à évoquer une contrainte en faisant mine qu’elle sera temporaire, de moindre impact, ou même écartée, puis de nous l’enfoncer dans la gorge de façon soutenue et durable.

Des exemples ?

Deux semaines de confinement seulement, le temps d’aplanir la courbe.  On connaît la suite… interminable.

Le masque donne un faux sentiment de sécurité, laissez donc faire et lavez-vous les mains.  Quelques mois plus tard, le salut de l’humanité dépendait de ce torchon.

Un couvre-feu ?  Pas question, c’est valable seulement en temps de guerre !  Cinq mois de bêtise répressive ont pourtant suivi, au cours desquels nous avons été les seuls en Amérique du Nord à subir cette mesure injustifiée et dénuée de tout fondement scientifique.

Le passeport vaccinal ?  On n’envisage pas vraiment cette option, ou sinon, pour des sphères d’activité bien ciblées.  Là également, on connaît la suite. 

La vaccination obligatoire ?  Jamais de la vie !  Et pourtant Christian « scumrat » Dubé n’a pas hésité à menacer de la façon la plus ordurière les travailleuses de la Santé non vaccinées de suspension sans solde si elles n’obéissaient pas à ses ordres.  Le salopard a dû capituler devant le courage des plus récalcitrantes, un dur revers pour ce petit Napoléon en culottes courtes…

Un « retour à la vie normale » ?  Ça reste à voir…

Nous sommes en période pré-électorale.  Lors d’une entrevue avec Benoît Dutrizac, François Legault, notre bien-aimé premier ministre, avouait candidement que, nouvellement élu majoritaire, il allait faire ce qui était « bon » pendant deux et même trois ans, avant de tenir compte de l’opinion publique lors de la dernière année en période électorale.  C’est là qu’on est rendu…

Depuis peu, nous pouvons à nouveau respirer sans masque dans les lieux publics fermés, et ressentir l’impression d’avoir renoué avec « notre vie d’avant ».  Plusieurs seraient tentés de croire à ce mirage trompeur, mais…

Il est écrit dans le ciel que les sanitaristes préparent déjà le terrain pour l’automne, après les élections qui pourraient bien reporter la CAQ au pouvoir avec un gouvernement majoritaire, du moins si les douteux sondages Léger disent vrai sur les intentions de vote des Québécois.

Si cette catastrophe devait survenir, il faudra s’attendre au pire. 

La nouvelle menace « vedette » : la vérole du singe

Fidèle à ses habitudes, la CAQ vient d’adopter, par l'entremise de son porte-parole, le docteur Luc Boileau, un ton rassurant à propos de la vérole du singe, qui représenterait une menace minime qui pourrait guérir très rapidement, quitte à se vacciner par mesure de précaution :

« Pour les personnes qui en sont atteintes toutefois, il n’existe pas de remède. La maladie se résorbe habituellement d’elle-même dans un délai de deux à quatre semaines.» 

Rien pour paniquer, alors on ne panique pas… pour le moment.

Attendez après le 2 octobre.  Le discours pourrait bien changer.  Et même déjà, certains pays, dont la France, commencent à frémir.

Capitaine Pandémie

Contrairement à ce qu’affirme une certaine rumeur, Bill Gates n’aurait pas spécifiquement prévu une épidémie de variole du singe, mais il reste de toute façon obnubilé depuis des années par l’Idée fixe d’une pandémie imminente.  Il en prévoyait obsessionnellement une dès 2017, puis une seconde en 2020 et continuait à nous en avertir en 2021.  Il n’allait pas laisser passer 2022 sans nous en annoncer une à nouveau.  Le pauvre bougre vit littéralement pour ces instants mortifères. Triste vie.

Compte tenu de son ascendant financier sur l’OMS, le présumé philanthrope n’aura qu’à claquer des doigts pour inciter cette organisation des plus corruptibles à invoquer de nouvelles mesures d’urgences auxquelles nos serviles dirigeants ne manqueront pas de se plier pour mieux nous faire fléchir.  

L’OMS planche d’ailleurs depuis quelques années sur un plan global d’intervention qui n’est pas sans inquiéter.  Cet organisme pourrait-il en arriver à se substituer à l’autonomie politique des nations au nom de la santé avec l’autorité « morale » du forum économique mondial dont le président, Klaus Schwab, reste l’idole de François Legault et de Justin Trudeau ?  Aucune certitude mais la question se pose.

Dans un contexte où l’identité numérique imminente laisse planer des doutes sur le respect de nos droits et la menace d’un crédit social à la chinoise, il est donc à craindre que, si nous ne nous réveillons pas, nous devrons subir à nouveau les mesures sanitaires les plus irrationnelles et les plus répressives. 

Un pensez-y bien avant d’inscrire votre « X » lors des prochaines élections…

2 commentaires:

Anonyme a dit…

L’OMS a récemment annoncé des plans pour un traité international sur les pandémies lié à un passeport vaccinal et à un système d’identification numérique.

L’OMS prévoit de finaliser le traité d’ici 2024. Il visera à transférer à l’OMS, en cas de pandémie, des pouvoirs de gouvernance actuellement réservés aux États souverains, en liant juridiquement les États membres au Règlement sanitaire international révisé de l’OMS.

La plupart des citoyens ne sont absolument pas au courant de ces changements, qui auront un impact sur la souveraineté nationale des États membres.

Les modifications proposées sont, entre autres, les suivantes. Parmi les changements, l’OMS n’aura plus besoin de consulter l’État ou de tenter d’obtenir une vérification de la part de l’État où un événement préoccupant signalé (par exemple, une nouvelle flambée) est censé se produire avant de prendre des mesures sur la base de ces rapports (article 9.1).

Outre le pouvoir de déterminer une urgence de santé publique de portée internationale en vertu de l’article 12, l’OMS se verra accorder des pouvoirs supplémentaires pour déterminer une urgence de santé publique de portée régionale, ainsi qu’une catégorie appelée « alerte sanitaire intermédiaire ».

L’État concerné n’a plus besoin d’accepter la décision du directeur général de l’OMS selon laquelle un événement constitue une urgence de santé publique de portée internationale. Un nouveau comité d’urgence sera constitué à l’OMS, que le directeur général consultera à la place de l’État sur le territoire duquel l’urgence de santé publique de portée internationale s’est produite, pour déclarer la fin de l’urgence.

Les amendements donneront également aux « directeurs régionaux » de l’OMS, plutôt qu’aux représentants élus des États concernés, le pouvoir légal de déclarer une urgence de santé publique de portée régionale.

Leslyn Lewis, membre du Parlement canadien et avocate ayant une expérience internationale, a averti que le traité permettrait également à l’OMS de déterminer unilatéralement ce qui constitue une pandémie et de déclarer quand une pandémie se produit. « Nous nous retrouverions avec une approche unique pour le monde entier », a-t-elle averti. Selon le plan proposé par l’OMS, les pandémies ne doivent pas être limitées aux maladies infectieuses et pourraient inclure, par exemple, une crise d’obésité déclarée.

Ce système sera universel, obligatoire, transnational et géré par des bureaucrates non élus au sein d’une ONG qui a déjà bâclé la réponse à la pandémie de covid.

https://www.who.int/news/item/01-12-2021-world-health-assembly-agrees-to-launch-process-to-develop-historic-global-accord-on-pandemic-prevention-preparedness-and-response

https://leslynlewis.ca/blog/the-who-pandemic-treaty-and-our-health-care-sovereignty/

https://www.telekom.com/en/media/media-information/archive/covid-19-who-commissions-t-systems-648634

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Merci pour toutes ces informations pertinentes.

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