Justin Trudeau |
À preuve, cet article de La Presse, datant du 28 juin
2021, qui annonçait triomphalement, à propos des vaccins contre la covid :
« Les vaccins de Pfizer-BioNTech et de
Moderna sont susceptibles d’offrir une protection durable pendant des années
contre la COVID-19,
selon une étude publiée lundi dans la revue scientifique Nature.
(…) Les scientifiques de l’Université de
Washington ont constaté que les vaccins induisaient une forte réaction
immunitaire qui pourrait protéger contre la COVID-19 pendant des années.
Ces résultats concordent avec les études démontrant que la plupart des
personnes ayant déjà contracté le virus ont une immunité qui perdure à long
terme, indique M. Lamarre. »
Il fallait donc croire ces « experts » sur parole
que des vaccins conçus à grande épouvante en un temps record pouvaient offrir une
protection durable pendant des années. Vraiment
? Disposaient-ils d’une boule de cristal
? Consultaient-ils un astrologue ou une
tireuse de cartes ?
Un article du Toronto Sun du 2 septembre dernier vient de jeter une douche d’eau
froide sur la tête des naïfs qui ont pris pour argent comptant les affirmations
péremptoires de Moderna et de Pfizer. Dès
cette époque, les soi-disant complotistes affirmaient que ces géants
pharmaceutique et les gouvernements qu’ils dirigent ne s’arrêteraient pas après
les deux doses prévues d’un vaccin présumément à 95 % efficace.
Le Sun vient de leur donner raison :
« Le comité
consultatif national de l’immunisation a affirmé jeudi que les Canadiens
devraient envisager d’être vaccinés tous les 90 jours, l’intervalle la plus serrée
à ce jour, selon Blacklock’s Reporter. »
Le Sun mentionne que
le ministère fédéral de la Santé ne recommandait qu’un rappel aux neuf mois à
peine quelques semaines auparavant. Histoire de maintenir un climat anxiogène de
paranoïa hypocondriaque, le comité consultatif s’exprimait ainsi :
« « Un intervalle
plus court d’au moins trois mois peut être assuré dans le contexte de risque
épidémiologique accru tout comme dans celui de considérations opérationnelles
en lien avec le déploiement efficient du programme de vaccination contre la covid-19, »
selon un résumé fourni le premier septembre par le comité consultatif national
de l’immunisation.»
Le diable est dans les détails. Vous avez bien lu « programme de
vaccination contre la covid-19 » et non « campagne de vaccination contre
la covid-19 », similaire à celle prévue par notre bon ministre de la
Santé, Christian Dubé, qui se réveille sans doute la nuit pour imaginer de
nouvelles initiatives pour nous sauver d’un péril imminent. Selon lui, il va sans dire…
Qui dit programme, dit durée indéterminée, n’est-ce pas ?
Peut-on s’étonner du climat alarmiste campé par le comité consultatif
national quand Justin Trudeau brandit – à nouveau – la menace d’une vague
terrifiante de covid et celle plus réaliste et probable de nouvelles restrictions
répressives et liberticides ?
Après tout, le premier ministre du Canada est coincé avec au
moins 230 millions de doses à nous fourguer au cours des trois prochaines
années. Il a des comptes à rendre à ses
supérieurs : Pfizer et Moderna, bien sûr, mais aussi à Klaus Schwab, président
du forum économique mondial (FEM), qui a déjà avoué le compter parmi ses jeunes
Leaders en plus d’affirmer que « plus de la moitié de son cabinet » était composé
de jeunes leaders travaillant pour le forum économique mondial.
Le Canada est-il vraiment dirigé par Justin Trudeau?
Des menaces à peine voilées
Cet article de True North rapporte fidèlement les propos du
pantin du FEM :
« « Si nous
sommes en mesure d’atteindre les 80, 85, 90 % de Canadiens à jour dans leur
vaccination, nous aurons un bien meilleur hiver avec un besoin nettement
moins pressant d’appliquer le genre de restrictions et de règles qui ont été si
problématiques pour tout le monde au cours des dernières années, » a
affirmé Trudeau. »
Voilà ce qui s’appelle des menaces à peine voilées, qui n’ont
pas échappé à certains commentateurs, dont Rupa Subramanya, du National Post :
« Justin Trudeau est le seul leader à ma
connaissance, du moins dans l’Occident civilisé, qui brandit encore des menaces
d’obligations et de restrictions pour l’automne et l’hiver si 80-90 % des
Canadiens ne reçoivent pas les boosters en cours. Le Canada est un cas isolé extrême. »
Vers une culture permanente de vaccination…
Ceux qui s’imaginaient qu’après deux doses miraculeuses, ce
serait le « retour à la vie normale », devront déchanter. À ces vaines promesses, se substitue
désormais la perspective d’une culture de la vaccination permanente. Eh oui, les bons citoyens qui ont « cru
à la Science », devront se faire vacciner à intervalles réguliers, au
rythme des vagues, qui ne cesseront de se multiplier, comme celles de l’influenza,
par exemple, à chaque année.
Des complotistes l’annonçaient depuis près de deux ans, maintenant,
mais c’est le ministre fédéral de la Santé, Jean-Yves Duclos, cette fois, qui nous y prépare :
« « La
protection vaccinale est comme une batterie de téléphone. Elle a besoin d’être rechargée
régulièrement. Recharger notre protection
après six mois est important. Autrement, nous nous retrouvons
dépourvus du pouvoir de nous protéger nous-mêmes et ceux que nous aimons, »
a déclaré Duclos. »
Le bon docteur Fauci, un vrai
Marcus Welby…
Bien évidemment, le Canada suit
religieusement le pape sanitaire américain, Anthony Fauci, dont on peut se
demander comment il se fait qu’il soit encore en fonction avec toutes les
accusations qui pèsent sur lui. Fauci n’évoque toutefois qu’une dose annuelle,
sauf dans le cas de l’apparition soudaine d’un variant « très différent ». Nous pouvons déjà parier sur cette apparition :
« Sauf
si un variant « très différent » émerge soudainement, « nous allons
probablement nous diriger vers une cadence de vaccination similaire à celle de
la vaccination annuelle contre la grippe, avec des doses de rappel anti-COVID
actualisées pour coller à la dernière souche en circulation », a déclaré
lors d'une conférence de presse le Dr Anthony Fauci, conseiller de la
Maison-Blanche. »
« Le plus grand crime jamais
commis contre l’humanité. » - Christine Anderson
À notre époque troublée où
nous assistons à une surmortalité « inexpliquée », particulièrement
chez les jeunes hommes de moins de 30 ans, à une multiplication des troubles
menstruels et de fausses couches, sans compter le nombre effarant de cas de
myocardites chez les jeunes, il devient de plus en plus urgent de mettre un
frein au délire vaccinal qui frappe le Canada, le Québec, tout comme l’Occident.
Faudra-t-il sous peu nous
préparer à une éclosion, non pas de covid, mais bien du plus grand scandale
pharmaceutique de l’histoire, comme l’anticipe sans complaisance Christine
Anderson, députée allemande au Parlement européen ? Je lui laisserai le mot de la fin :
« Cette campagne
vaccinale sera remémorée comme le plus grand scandale de l’histoire
médicale, et de surcroit, elle sera reconnue comme le plus grand crime jamais
commis contre l’humanité. »
Si Mme Anderson a raison, les responsables seront-ils punis ?
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