samedi 17 juillet 2021

Bill Gates teste un carnet de vaccination sous-cutané, nous informait Le Monde dès 2019…

Bill Gates
La réalité est aussi claire que le titre de ce billet.  Pour ceux qui l’ignorent, Le Monde n’a rien d’un obscur site « complotiste ».  Voici comment le présente Wikipédia :

« Le Monde est un journal français fondé par Hubert Beuve-Méry en 1944. Se voulant journal « de référence »2,3,4, régulièrement considéré comme tel5,6,7, y compris à l'étranger8,9, il est le quotidien national payant le plus lu en France (2,44 millions de lecteurs en 2021)10 et le plus diffusé (393 109 exemplaires par numéro en 2020, en augmentation de 20,75% en 2020)11,12. Il a été le journal le plus diffusé à l'étranger jusque dans les années 2000, avec une diffusion journalière hors France de 40 000 exemplaires13,14, tombée à 26 000 exemplaires en 201215. »

Les « complotistes » avaient-ils raison ?

Depuis plus d’un an et demi, nombre de bienpensants sanitaires se bidonnent à propos d’une thèse « complotiste », parmi d’autres, à l’effet que Bill Gates voudrait « pucer » la population mondiale à l’aide d’un carnet de santé qui pourrait, non seulement présenter une preuve de vaccination, mais éventuellement permettre à nos bienveillants gouvernements de nous suivre à la trace.

Voici ce que nous apprenait Le Monde, curieusement dès décembre 2019, quelques mois avant que l’OMS ne décrète l’urgence sanitaire mondiale :

« Des ingénieurs du Massachusetts Institute of technology (MIT) ont inventé des nanoparticules injectables sous la peau qui émettent une lumière fluorescente invisible à l’œil nu mais visible par un smartphone, et qui pourraient un jour servir à confirmer que la personne a bien été vaccinée. »

Eh oui, c’est Gates qui finance cette initiative « humanitaire »…

Bien sûr, le « philanthrope » s’était gardé une petite gêne en jouant la carte de la consultation démocratique par le biais d’études d’opinion… avant d’agir :

« La Fondation Gates, qui finance le projet, a aussi lancé des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour déterminer si les populations seront prêtes à adopter ces microscopiques boîtes quantiques, ou préféreront en rester aux vieilles cartes de vaccination. »

Les pays d’Afrique « privilégiés »…

N’est-il pas curieux que, dès qu’il s’agit de tester un nouveau produit ou vaccin, par exemple, la fondation Gates tend toujours à « privilégier » des pays d’Afrique, comme elle le fait d’ailleurs avec les Afro-américains aux États-Unis, bien sûr, dans leur intérêt ? 

De méchantes langues pourraient voir en des gestes aussi « généreux » une volonté d’utilisation de populations parmi les plus vulnérables à des fins d’expérimentation.  Il y aura toujours des esprits tordus pour détecter le mal dans les recoins…

Compte tenu du respect envers nous de nos dirigeants canadiens et québécois en voie d’imiter le petit Napoléon français, Emmanuel Macron, avec son obsession pour le passeport sanitaire, on peut légitimement s’interroger à savoir si les résidants de ces pays d’Afrique ont finalement été respectés dans l’éventualité d’un refus majoritaire envers cette insolite et inquiétante technologie.

Un an et demi avant l’option du passeport sanitaire…

N’est-il pas curieux que de telles recherches aient été annoncées un an et demi avant que l’option du passeport sanitaire soit couramment débattue à travers le monde, bien sûr dans les pays où il est encore possible de débattre.  Sont exclus de ces États le Canada et, particulièrement, le Québec, où le Collège des médecins impose une omerta sanitaire aussi écrasante qu’un lutteur de sumo assis sur un écureuil.

Passons de l’écureuil au rat, devenu initialement le principal cobaye de ces expérimentations, puis du rat à l’être humain :

« Le système, décrit mercredi dans la revue Science Translational Medicine, n’a pour l’instant été testé que sur des rats mais les chercheurs, financés par la Fondation Bill et Melinda Gates (partenaire du Monde Afrique), espèrent les tester sur des humains en Afrique dans les deux prochaines années, dit à l’AFP la coautrice Ana Jaklenec, ingénieure biomédicale de MIT. »

Comme l’article date de décembre 2019, on peut conclure que les tests sur les humains doivent être bien avancés…

Ben oui, les nanoparticules, c’était vrai !

Je serais curieux de savoir ce qu’un véritable sondage scientifique (Pas un sondage Léger, un vrai.) révélerait quant à une adhésion éventuelle des Québécois et des Canadiens à ce mode de traçage.  Ne serions-nous pas marqués comme les bêtes d’un troupeau ?  Jugez-en :

« La recette finale est composée de nanocristaux à base de cuivre, appelées des boîtes quantiques (« quantum dots » en anglais), de 3,7 nanomètres (nm) de diamètre, et encapsulés dans des microparticules de 16 micromètres (μm, 1 μm égale un millionième de mètre, et 1 nm égale un milliardième). Le tout est injecté par un patch de microaiguilles de 1,5 mm de longueur. »

Trippant, non ?

Tout ça pour ça ?

Et tout ça simplement pour savoir si vous avez été vacciné ou non ? Ce serait vraiment le seul et unique objectif de cette initiative « humanitaire »? Tout comme dans le cas des vaccins expérimentaux, au mieux, seulement inefficaces, au pire, dangereux et parfois même mortels, le jeu en vaut-il la chandelle ?

Franchement, cette technologie vous… branche ?  Voyez :

« Après avoir été appliquées sur la peau pendant deux minutes, les microaiguilles se dissolvent et laissent sous la peau les petits points, répartis par exemple en forme de cercle ou bien d’une croix. Ces petits points sont excités par une partie du spectre lumineux invisible pour nous, proche de l’infrarouge. »

Une technologie inquiétante et des gouvernements menaçants…

Au Canada et, plus particulièrement au Québec, nous avons eu affaire à des gouvernements corrompus dont on pourrait s’étonner qu’ils aient été épargnés par notre Justice, si elle n’était pas elle-même plus que douteuse.

Jamais nos populations, à l’instar de celles de la France, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande, pour ne nommer que les plus agressées par leurs gouvernements respectifs, n’ont été aussi menacées dans leurs droits légitimes de se déplacer à leur guise ou de décider de ce qui entre dans leur corps. 

Le procédé déshumanisant de traçage sous-cutané, si nous l’acceptons, nous rendra semblable à un troupeau guidé par des bergers sans âme, sans conscience, ni empathie.  Si nous acceptons pareille ignominie, nous ne vaudrons pas plus cher que du bétail et n’auront que le sort que nous mériterons.

6 commentaires:

Anonyme a dit…

J'ai lu l'article du Monde en entier ; il est daté du 23 juin 2020.

On peut y lire ce qui est vrai et ce qui est faux.

Dans ce même article on peut y lire :
RECHERCHE

LES DÉCODEURS
VÉRIFICATION
Il aurait financé la pandémie, planifié la vaccination... Ce que vous avez lu sur Bill Gates est-il vrai ?
Pendant la crise sanitaire, il est devenu la cible d’articles lui prêtant des desseins alarmants, mêlant souvent des faits avérés et des fantasmes sans fondement.

Par Assma Maad et William Audureau
Publié le 23 juin 2020 à 16h32 - Mis à jour le 24 juin 2020 à 08h57
Lire aussi Coronavirus : Bill Gates ciblé par des rumeurs et infox complotistes
« Bill Gates veut imposer un puçage des individus »
Ce qui circule

Le fondateur de Microsoft est soupçonné de vouloir profiter de la pandémie actuelle pour contrôler et tracer la population mondiale. Pour mener à bien sa « mission », M. Gates souhaiterait implanter des puces sous-cutanées pour héberger les données de santé des individus et utiliser le Covid-19 « pour la surveillance généralisée des humains ». Ces allégations partagées dans le monde entier ont également connu un certain écho en France lorsque l’actrice Juliette Binoche a publiquement dénoncé en mai les « opérations de Bill Gates » de « puce sous-cutanée ».

CE QUI EST VRAI
Des recherches existent sur un carnet de vaccination sous-cutané
Un article du Monde Afrique publié en 2019 est souvent cité pour étayer les rumeurs accusant M. Gates de vouloir « pucer » l’humanité. Il relate que la fondation Gates a financé en 2019 un projet imaginé par une équipe du Massachusetts Institute of Technology (MIT) pour tester un « carnet de vaccination injecté sous la peau » au Kenya et au Malawi, afin d’avoir une meilleure connaissance de l’historique vaccinal de chacun dans des pays où les dossiers médicaux sont parfois inexistants.

Ce carnet a été imaginé sous la forme de nanoparticules injectées sous la peau : « La recette finale est composée de nanocristaux à base de cuivre, appelés des boîtes quantiques (“quantum dots” en anglais), de 3,7 nanomètres de diamètre, et encapsulés dans des microparticules de 16 micromètres », détaillait l’article.

Bill Gates recommande des certificats numériques pour le suivi du Covid-19
Cette théorie a été renforcée par une conversation publique tenue en mars sur le forum Reddit. Interrogé sur les conséquences économiques et sociales de la crise liée au Covid-19, Bill Gates a répondu qu’il y aurait dans le futur des « certificats numériques pour savoir qui a guéri ou été testé récemment ou, quand nous aurons un vaccin, qui l’a reçu ».

Microsoft héberge des données de santé en France
La firme qu’a fondée Bill Gates a obtenu en 2016 l’autorisation d’héberger des données de santé en travaillant avec des hôpitaux français et des entreprises spécialisées.

CE QUI EST FAUX
Ni une puce électronique, ni un projet mondial
Mises bout à bout (la rhétorique complotiste suggère souvent de « relier les points entre eux » – « connect the dots », en anglais), ces informations dessinent un projet angoissant. Il s’agit en réalité de trois informations distinctes.

Interrogé par Reuters, l’un des ingénieurs du MIT qui travaille sur le projet depuis 2016 explique que la technologie liée aux boîtes quantiques n’était « pas une puce électronique ». Cette technologie permettrait à un smartphone proche de la peau de lire l’information vaccinale.

Elle ne contient aucun outil permettant de géolocaliser une personne en permanence. Du reste, contrairement à l’idée voulant que Bill Gates ait en tête un plan de puçage mondial de la population, le projet n’a vocation à être déployé que dans les rares pays dépourvus de système de suivi médical.

Deux projets qui n’ont pas de rapport etc

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Heureux que vous citiez l'article du Monde sur lequel je me suis basé et qui ne fait état d'aucune thèse à l'effet que Gates ait planifié la pandémie. Par contre, il semble évident qu'il ait envisagé la perspective d'une vaccination d'importance, peut-être même mondiale, avant que l'OMS ne décrète l'état d'urgence sanitaire en mars 2020.

Personne ne peut nier que Gates ait par la suite affirmé à plusieurs reprises qu'il n'y aura pas de retour à la vie normale tant que la majorité de la planète n'aura été vaccinée. Comme si l'avis de cet informaticien qui a bâti son empire en pillant les inventions des autres et en violant l'ensemble des lois américaines sur la concurrence avait quelque crédibilité que ce soit.

On peut interpréter ses intentions comme ça nous chante, mais les faits restent les faits. L'article fait mention d'un projet expérimental qui, comme la fondation l'a déjà démontré avec les vaccins, pourra être démocratisé, selon les résultats, à d'autres pays comme le nôtre. Il n'y a rien de complotiste à envisager cette avenue, surtout à l'aube du passeport vaccinal préconisé par les dirigeants les plus autocrates de la planète.

Tant mieux si ce projet ne permet pas - ou pas encore - de géo localiser les gens. De toute façon, nos cellulaires le permettent déjà.

Pour le reste, la collusion existant entre la majorité des États, les instances médicales qui devraient prioriser notre santé à l'abri de tout conflit d'intérêt, les médias, main stream et sociaux, dont Facebook, qui a dissimulé l'info sur la fuite probable du virus du labo de Wuhan, ne laissent présager rien de bien constructif pour notre avenir social, économique, démocratique et sanitaire collectif.

Anonyme a dit…

Ce que vous avez écrit : Les « complotistes » avaient-ils raison ?

"Depuis plus d’un an et demi, nombre de bienpensants sanitaires se bidonnent à propos d’une thèse « complotiste », parmi d’autres, à l’effet que Bill Gates voudrait « pucer » la population mondiale à l’aide d’un carnet de santé qui pourrait, non seulement présenter une preuve de vaccination, mais également permettre à nos bienveillants gouvernements de nous suivre à la trace."

Ce que l'article du Monde dit : "Interrogé par Reuters, l’un des ingénieurs du MIT qui travaille sur le projet depuis 2016 explique que la technologie liée aux boîtes quantiques n’était « pas une puce électronique ». Cette technologie permettrait à un smartphone proche de la peau de lire l’information vaccinale.

Elle ne contient aucun outil permettant de géolocaliser une personne en permanence. Du reste, contrairement à l’idée voulant que Bill Gates ait en tête un plan de puçage mondial de la population, le projet n’a vocation à être déployé que dans les rares pays dépourvus de système de suivi médical. "

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Donc la deuxième moitié de mon affirmation resterait à prouver, ce qui ne veut pas dire qu'elle soit fausse. Pour ce qui est de votre supposition à l'effet que le projet ne se limitera qu'à des " rares pays dépourvus de système de suivi médical ", je vous trouve très optimiste, pour dire le moins.

Le blog d'Olivier Kaestlé a dit…

Je rappelle que le fait même de mentionner l'hypothèse d'un carnet de santé sous-cutané préconisé par Gates suffisait à elle seule à nous attirer les qualificatif de complotiste, conspirationniste ou de covidiot.

Il en allait de même avec la thèse voulant que le virus provenait du fameux laboratoire de Wuhan, thèse maintenant revenue sur la sellette à cause des courriels d'Anthony Fauci, une nouvelle d'importance que seuls les médias centre droite américains ont traité avec l'attention qu'elle méritait. Au Québec, nous n'avons eu droit qu'à une version édulcorée signée Luc Laliberté.

Bref des " théories du complot " d'hier prennent peu à peu l'allure de réalités validées par les faits.

Anonyme a dit…

Le 15 mai 2018 dans un des journaux de Quebecor : https://www.journaldemontreal.com/2018/05/15/etes-vous-prets-a-vous-implanter-une-micro-puce-dans-le-corps.

En 2006 dans la Presse : https://www.lapresse.ca/affaires/techno/actualites/200601/17/01-16189-comment-sinserer-une-puce-sous-la-peau.php

Une première depuis 2009 : Blogger retire l'un de mes billets.

Pour des raisons indéfinissables, Blogger a retiré mon article intitulé À quand un prix Diane Lamarre ?   C'est la première fois depuis ...