Je trouve habituellement l’exercice lassant et fastidieux mais bon, je m’y suis prêté de bonne grâce pour découvrir que l’insertion du code envoyé dans mon cellulaire passait, mais que Facebook me redemandait d’authentifier mon compte, comme si de rien n’était.
Je m’y suis repris à plusieurs reprises et j’ai rentré chaque fois un nouveau code. Peine perdue, rebelote. J’ai essayé par courriel, par texto, rien n’y a fait, toujours le même résultat.
À force de taponner, j’ai fini par cliquer sur un lien qui m’a
informé que mon compte a été bloqué en raison d’une activité soi-disant suspecte. J’ai cliqué sur un autre lien qui proposait, avec
trois options, de m’aider à régler mon problème à l’effet qu’on individu ou un groupe
étranger aurait usurpé mon compte :
J’essaie tour à tour chacune de ces options. Devinez quoi ? Voici ce que Facebook m’a répondu :
Je ne veux pas jouer les paranos, mais si ce naisage ne cache pas en réalité une volonté de censure, je me demande à quoi il sert. J’ai du mal à penser qu’une entreprise qui vit de ses clics puisse se permettre de perdre un membre d’aussi ridicule façon sans qu’il y ait une volonté de le museler.
Un dernier clic sur « Accéder aux Page d’aide » a
achevé de me convaincre qu’on cherchait à me faire tourner en bourrique avec le
résultat suivant :
Rendu là, plus de temps à perdre en stupidités.
Des précédents.
Ce procédé n’est pas sans rappeler ceux employés
sournoisement par nos gouvernements provincial et fédéral. Au nom de la santé publique, les tristes
sires qui dirigent désormais par décrets se permettent tous les abus de pouvoir,
tous les excès.
Les voix conservatrices étouffées
Le bannissement de Donald Trump, de même que de nombre de ses
followers, par Twitter et par Facebook, donne une idée assez claire de l’orientation
idéologique et politique de ses dirigeants, d’allégeance démocrate.
Rappelons par ailleurs cette nouvelle passée sous silence à l’effet
que, à la demande d’Anthony Fauci, Mark Zuckerberg, qui dirige Facebook, avait
décrété que la thèse d’une fuite du coronavirus du laboratoire de Wuhan était
une théorie du complot. Maintenant, les
gens le moindrement bien informés savent que cette thèse était tout à fait
fondée.
Des esprits simplets se sont réjouis de voir Trump banni d’aussi importantes plateformes. Ils ne devraient pas. Un jour, ce sera leur tour. Il n’y a aucun doute que nous assistons à un recul inquiétant de la démocratie. À ce recul s’ajoutera immanquablement celui de nos droits légitimes et fondamentaux.
1 commentaire:
Salut Olivier,
Ce n'est pas la fin du monde si Face de Bouc vous a censuré.
Concentrez-vous sur votre blog de blogger et surtout sur le côté misandre des discours et des émissions car il s'en passe des vertes et des pas mûres dans les journaux et à la TV
Enregistrer un commentaire