Justin Trudeau et François Legault |
Du jamais vu
Jamais aura-t-on vu, dans une société dite démocratique,
pareil déferlement de haine, de rage et de méchanceté envers une minorité qu’on
accuse, sans aucune justification scientifique, d’être responsable du
non-retour à « la vie normale ».
Comme si, une fois tout le monde « vacciné », un
retour à la vie normale était sérieusement envisagé par les fumistes qui nous
dirigent. Legault, que des citoyens plus
lucides ont clairement identifié comme un menteur en série, a hypocritement
affirmé que la majorité des mesures sanitaires seraient levées après que 80 %
des enfants de cinq à 11 ans seraient vaccinés.
Bien sûr, il n’en sera rien.
Il y a fort à parier qu’il y aura suffisamment de parents responsables
pour éviter ce seuil dangereux pour le tout petits, à moins, bien sûr, que la
suppression du principe de primauté parentale, mis de l’avant par le
sous-ministre de la Santé, Lionel Carmant, ne permette aux autorités
« compétentes » de forcer la vaccination des enfants.
Si le pire devait arriver, soit 80 % des enfants vaccinés, ce
ne sera évidemment pas assez. Il faudra 85
%, 90 %, 95 %, puis, en admettant que ces totaux soient un jour atteints, ce
sera un abonnement à raison de trois rappels par an, minimum, pour aussi
longtemps que l’État sanitaire sera maintenu.
Car le sanitarisme est devenu la religion dominante au Québec, comme
partout ailleurs dans le monde.
Il faut vraiment manquer de jugeote pour croire encore nos
dirigeants…
Ce qui était excusable en début de crise relève presque de la
perversité à ne rien vouloir comprendre à l’heure actuelle. S’il est vrai qu’une forte majorité appuie
encore le gouvernement Legault, il y a de quoi désespérer des Québécois. René Lévesque affirmait que nous étions
« quelque chose comme un grand peuple ». On peut se demander si nous sommes
encore « quelque chose ». Je
croise les doigts en espérant que les sondages Léger exagèrent ou nous mentent…
Vous avez bien dit « retour à la vie normale » ?
Comment par ailleurs envisager un « retour à la vie normale » avec cette annonce du pantin qui nous sert de premier ministre fédéral, en date du 23 avril dernier ?
Cet insignifiant, ou plutôt les psychopathes de McKinsey qui le dirigent, ont déjà conclu avec Pfizer une entente de 35 millions de doses du « vaccin » en 2022, 30 millions en 2023, en plus d’une option pour 30 millions de doses additionnelles en 2022 et en 2023 et d’une autre de 60 millions en 2024.
Et ces pauvres confinés mentaux qui croient toujours en un « retour à la vie normale » … Ces chiffres ne parlent-ils pas d’eux-mêmes ? Le Canada comprend une population de 38 436 447 résidents. Le fédéral prévoit donc 60 millions de doses réparties sur deux ans, auxquelles viendront s’ajouter des options de 90 millions de doses réparties sur trois ans pour un grand total de 150 millions de doses en trois ans.
Et
dire qu’il s’en trouve encore pour croire en l’eldorado d’un « retour à la
vie normale » et qui se réjouissent naïvement de pouvoir aller au resto et
au ciné en présentant leur passe sanitaire, comme de bons toutous bien dressés.
Mais
ce n’est pas tout…
Mais attendez, ce n’est pas tout, à ce nombre, vient s’ajouter cette nouvelle commande à moderna, en date du 14 août dernier :
Comme si nous n’étions déjà pas ensevelis par une quantité himalayenne anticipée de 150 millions de doses Pfizer réparties sur trois ans, il faut encore ajouter 40 millions de doses de Moderna, « vaccin » risqué pour les hommes de moins de 30 ans, réparties sur deux ans et la possibilité de prolonger les livraisons en 2024 et d’obtenir « 65 millions de doses en plus ».
Nous sommes donc rendus à une possibilité de 255 millions de doses Moderna et Pfizer réparties sur trois ans pour une population de moins de 39 millions de
résidents. Il s’agit donc d’une
possibilité pour chaque Canadien de recevoir 6,5 doses en trois ans. Tout un « retour à la vie
normale ».
Le tango des collabos
Est-ce par peur, hystérie, méchanceté, fanatisme, intérêt ou
stupidité, toujours est-il qu’un grand nombre de confinés mentaux se sont
transformés au fil des mois en collabos ayatollahs du vaccin, niaisement
persuadés qu’ils sont que cette substance des plus douteuses représente la
seule issue possible à une sortie de crise que nos dirigeants n’ont nullement
l’intention de nous offrir, même si la totalité de la population était
quadruplement vaccinée.
Toute personne sensée a déjà compris cette évidence, mais il existe encore un trop grand nombre de gogos, incluant des personnalités publiques, qui retardent le groupe. J’ai décidé de publier ici les captures d’écran de ces désolants ténors du sanitarisme. Régalez-vous :
Bref, à en croire ces fous furieux, il faudrait « affamer les antivax », selon Claude Fournier, leur refuser la SAQ ou la SQDC, selon Jérôme Landry, et ajouter à cela le refus de l’accès aux centres commerciaux et aux « take out » des restos, selon François Gagnon. D’autres, plus « subtils », laissent entendre qu’il faudrait gérer les non vaccinés, sans préciser plus avant comment, tandis que Dan Bigras les vaccinerait « à la sarbacane », rien de moins. Cette dernière « suggestion » a beau être une métaphore, elle n’en demeure pas moins un appel à la violence.
Du même tonneau, nous avons ce quidam, qui énumère des suggestions plus ridicules les unes que les autres et qui radote qu’il faudrait sortir « des hôpitaux ceux (les soignants) qui refusent le vaccin ». Faut croire que ce mec, « analyste politique », n’est pas au courant du mur frappé par le ministre de la Santé devant les courageuses travailleuses de la Santé non vaccinées…
« Get the shot, or get shot ! »
La bêtise est la sœur de la méchanceté, affirmait Sophocle. Qu’en est-il de la violence ? Car c’est exactement là qu’on se dirige bientôt, si nos gouvernements et nos médias s’entêtent dans leur campagne de peur et de haine contre les non vaccinés. Si vous avez des doutes, considérez cet appel au génocide d’un Américain dont le compte semble avoir été suspendu :
La gestion psychopathique et manipulatrice de cette crise, davantage politique que sanitaire, prend un tournant très dangereux. Le jour n’est pas loin où des non vaccinés seront harangués dans les rues, et subiront peut-être des violences physiques par des désaxés du genre de cette cloche de McMurtry.
Qu’auront alors à répondre les Legault, Dubé, Martineau,
Bombardier, Lagacé, Fournier et autres Bigras si – ou quand – ces débordements surviennent.
Gens conscients et de bonne volonté, conservez bien vos
captures d’écran de leurs délires.
Quand la poussière sera retombée après cette crise
déplorable, nous aurons un devoir de mémoire.
Et certains auront des comptes à rendre…
2 commentaires:
Excellent texte encore. A voir les commentaires des gens connus, ca fait dure leurs commentaires stupides et haineux venant de gens supposément intelligents. Le problème, c'est le virus Omicron, pas les non vaccinés. Si c'était eux le problème, il n'y aurait que des non vaccinés dans les hospitaux. Mais non, il y a aussi beaucoup de double vaccinés comme moi. Alors le virus est tout simplement un redoutable adversaire et leurs vaccins n'est pas encore assez efficaces pour protéger a 100 %. On ne peut pas forcer des gens à recevoir un vaccin qui en plus est loin d'être efficace. Des gens sont morts aussi en recevant certains vaccins. Alors c'est normal que des gens ai peur et soit plus prudent que les vaccinés a recevoir les vaccins.
Je découvre qu'encore de belles âmes voient clair
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