Bill Gates |
« L’Indian Bar Association (Association des
Avocats Indiens) a adressé un courrier au Premier ministre de l’Inde Shri
Narendra Modi et au ministre de l’Intérieur Shri Amit Shah, qui les invite à
prendre note de la plainte DHLTH/E/2021/09973 en date du 1er juillet 2021
déposée par le Secrétaire
général du Conseil de sécurité des droits de l’homme (HRSC)
M. A. Shaikh, contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’Organisation
mondiale de la Santé (OMS) et d’autres. »
Bill
Gates, principal accusé.
France-Soir
précise qui sont les « autres » :
« Le
principal accusé Bill
Gates et ses alliés de GAVI (Alliance mondiale pour les
vaccins et la vaccination) ont ourdi un complot visant à créer un marché
fixe pour leurs vaccins et autres médicaments et dans ce complot, ils se sont
joints à d’autres accusés.
Les
autres sont Dr Anthony Fauci, conseiller médical en chef du président des
États-Unis, M. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, Dr
Soumya Swaminathan, scientifique en chef à l’OMS, Mark Zuckerberg, PDG de
Facebook, Jack Dorsey, PDG de Twitter, Steve Chen, Chad Hurley et Jawed Karim, YouTube
(Google), Arvind Kejriwal, Ministre principal, Delhi et que les autres
personnes citées dans l’annexe T13 (de la plainte, NDA) ou celles qui
pourraient être accusés après enquête approfondie. »
La thèse
d’un génocide, clairement exprimée
Ladite
plainte, très étoffée, recommande notamment :
« (…) des recommandations d’enquête et de poursuite des
membres du bureau du « philanthrope toxique » et de la Fondation Bill & Melinda Gates du
Syndicat des vaccins (GAVI) et des responsables concernés du Conseil indien de
la recherche médicale (ICMR) qui ont été reconnus coupables de la mort de
huit filles suite à l’usage de vaccins non autorisés, illégaux et non
approuvés. »
La plainte inclus l’enregistrement d’un premier rapport
d’information « pour enquête et action stricte » sur :
« (…) la gestion des catastrophes et d’autres
dispositions des actes spéciaux contre tous les éléments contre l’intérêt
national, contre l’humanité, et bio-terroristes) sur les « Groupements
Pharma », « Groupement Tech » et les « Cyber Harceleurs » qui sont
impliqués dans des
infractions contre l’humanité entière entrainant un génocide,
causés par leurs actes de commission et d’omission liés à la pandémie de
Covid-19. »
La thèse d’un complot, également énoncée
L’Indian
Bar Association n’y va pas de main morte dans la longue énumération des crimes
perpétrés selon eux après avoir affirmé que « les accusés ont commis un acte
public dans la droite lignée d’un complot. Ils sont accusés par
des actes de commission et d’omission, d’avoir :
« i) créé
de fausses données.
ii) supprimé et
dissimulé de manière malhonnête
des données réelles.
iii) distordu des
faits importants.
iv) créé
un narratif et un complot.
v) mis en place des politiques
« préméditées » sur YouTube, Twitter, Facebook,
etc. pour supprimer la vérité et empêcher l’information réelle de se
propager
vi) supprimé
des informations originales et scientifiques de
plateformes telles que YouTube, Twitter et d’autres sur la base de
« fausses politiques et conditions générales » allant à l’encontre
des données scientifiques. »
Il y a encore
pire…
Mais il y a
encore pire. L’Association identifie et accuse
le principal instigateur, Bill Gates, et ses complices d’avoir :
« ix) entraîné la mort de personnes en
s’assurant que ceux-ci ne devraient pas
accéder ou obtenir les médicaments facilement disponibles,
sûrs et abordables tels que l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, la vitamine
D3, etc. et ayurvédique ainsi que les traitements naturopathes.
x) généré
la peur dans l’esprit des gens afin que le vaccin
puisse être présenté comme la seule alternative pour traiter et ainsi sauver
les gens ; facilitant ainsi la voie à une autorisation d’utilisation
en urgence (EUA) du vaccin non approuvé.
xi) supprimé les données sur les effets dangereux du vaccin ainsi
que l’usage de nombreux médicaments « ad hoc » couvrant ses effets.
xii) dévoyé, dissimulé ou supprimé les données sur l’inefficacité des
vaccins et la mort de nombreuses personnes et de
nombreux médecins. Ceci a entraîné des pertes de repères des gens causés
par les sophismes des « hommes de paille ».
xiii) sous-déclaré les décès dus aux vaccins
au travers de la création de règles à leur convenance.
xiv) essayé
d'aller à l'encontre de la science réelle à l’aide de la
rhétorique, c’est-à-dire la fausse science portée par les sophismes
« de l’homme de paille », la malhonnêteté intellectuelle et les
théories du complot pseudo-scientifiques.
Accusés de génocide, de meurtres de masse avec sang-froid
La plainte de l’instance judiciaire indienne ne fait pas dans
la dentelle quand vient le temps d’identifier les responsabilités des tristes
sires impliqués dans ce qu’ils considèrent comme l’imposture de la
pandémie :
« (…)
tous les accusés étaient
et sont bien conscients que par leur acte de commission et
d’omission, ils vont
causer la mort de millions d’innocents. Cependant ils ont choisi
l’argent plutôt que les valeurs humaines. Ce sont eux les délinquants de
l’humanité. Ils sont coupables de génocide. Ils ont commis des meurtres de
masse avec sang-froid.
Ils ont
enlevé les moyens de subsistance de l’homme du peuple et ont fait un enfer de
la vie des pauvres. En raison de leurs conspirations, de nombreuses
personnes qui ont réussi à survivre en prenant leurs médicaments toxiques
souffrent maintenant d’effets secondaires graves ayant rendu leur vie
misérable. »
L’Association
préconise un châtiment implacable pour les crimes énumérés :
« Ils
ne méritent aucune sympathie ou indulgence. Sinon, ce sera une injustice pour
toutes les victimes et une injustice pour toute l’humanité.
La peine
minimale dans ce cas sera :
a)
la peine de mort
et
b)
La saisie de tous leurs biens meubles et
immeubles et leur distribution égale à tous les peuples du monde.
Pour ou contre la peine de mort ?
Je suis généralement opposé à la peine de mort, mais aux vues
du désastre mondial sans précédent causé par des individus sans foi ni loi qui
se font passer pour philanthropes alors qu’ils ne visent que le profit au
détriment des vies humaines, je suis passablement ébranlé dans mes convictions.
Il est cependant peu probable que la plainte de l’Indian Bar
Association, si fondée, documentée et articulée soit-elle, aboutisse et se
matérialise en châtiments exceptionnels.
On évoque par ailleurs depuis plusieurs mois l’éventualité d’un
Nuremberg 2.0, mais la portée d’une telle initiative serait davantage morale et
informative que légale et punitive.
Dans un cas comme dans l’autre, il ne faudrait pas pour autant minimiser l’importance de telles prises de position : c’est par l’information et la conscientisation du plus grand nombre qu’il sera possible de circuiter la démence sanitaire qui nous étouffe depuis 15 mois. Du moins, espérons-le…
4 commentaires:
Vous écrivez : "Décidément, Quebecor, tout aussi mordant et investigateur qu’un Publisac, pourrait prendre des leçons de journalisme de France-Soir, un véritable média en quête de réalité. "
Il y a combien de journaliste chez France-Soir?
À part jouer au fin finaud, je ne vois pas trop le but de votre question. Encore faudrait-il que vous définissiez le mot " journaliste ". À votre question, je répondrai par cette autre : combien de - vrais - journalistes à Quebecor ?
des conditions de travail et de la menace qui pèse sur leur mission de diffusion de l'information[62],[63] ; les journalistes craignent notamment un mélange des genres entre journalisme et communication[64].
Le 19 octobre 2019, il est annoncé que les quatre journalistes de la rédaction seront licenciés pour motif économique[65],[66]. Malgré ces licenciements, le site web FranceSoir ambitionne de poursuivre la publication de contenus[61]. Le 21 octobre 2019, les licenciements sont confirmés et l'appellation « site d'information » de France-Soir est désormais publiquement dénoncée comme fallacieuse par la journaliste Sonia Devillers sur France Inter[67].
Le site poursuit ses publications après 2019 sous le titre FranceSoir ; il fait dans les mois suivants l'objet de critiques pour avoir diffusé des fausses informations ou relayé des contenus complotistes[68],[69],[70]. Le Canard enchaîné relève par exemple la personnalité de l'année 2020 de FranceSoir, André Bercoff, qui a partagé les thèses complotistes de Donald Trump sur la fraude électorale lors de l'élection présidentielle américaine de 2020, ou encore des titres comme « Anticovidisme, la nouvelle secte mondiale » ou un article suggérant que le covid est utilisé pour « tuer dans l’œuf toute velléité de penser librement »[71].
En janvier 2021, un collectif d'anciens journalistes de France-Soir et le Syndicat national des journalistes (SNJ) lancent une pétition pour exiger que Xavier Azalbert cesse ses publications sous le titre et le logo de « France-Soir » et réclamer une loi imposant le contrôle de journalistes professionnels pour la parution ou la reparution de titres de presse rachetés[72].
Oui, j'avais aussi lu cette critique de Wikipédia, mais je tiens compte du fait que les auteurs discréditent André Bercoff, que je trouve compétent et pertinent, et qu'ils considèrent que la fraude électorale américaine est une thèse complotiste, en dépit des faits évoqués dans plusieurs médias centre droite.
Pour ce qui est de l'instrumentalisation de la covid à des fins de contrôle des populations, eh bien, regardez autour de vous. Il est si facile d'accuser son prochain de complotisme quand il n'est pas d'accord avec un narratif dominant, qu'il soit sanitaire, néo-féministe ou autre. Je reçois pareilles accusations presque tous les jours. No big deal...
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