Si une université offrait une chaire de recherche à Raël,
auriez-vous confiance au jugement de ses administrateurs ? Si une autre
proposait un poste de chargé de cours à un imam affirmant sans sourciller que
la Terre est plate, approuveriez-vous ce choix en fonction du respect de la
diversité d’opinion ? Bien sûr que non. C’est pourtant un choix idéologique
aussi douteux qui cautionne l’enseignement, dans la plupart des universités
occidentales, de ce qu’on appelle couramment les études de genres.John Money, fumiste
Une thèse farfelue sur les «
constructions sociales »
Pour
ceux qui n’en n’ont jamais entendu parler, les études de genres, ou gender studies, préconisent la thèse
farfelue selon laquelle les différences entre les hommes et les femmes n’ont
que peu ou pas du tout à voir avec la biologie, la physiologie ou la
psychologie. Selon les défenseurs de cette idéologie déjantée, seules les «
constructions sociales », nécessairement oppressives envers les femmes puisque
patriarcales, expliquent ce qui différencie ces dernières des hommes au plan du
caractère, des comportements, des choix d’études et professionnels, et jusqu’à
celui de l’hétérosexualité, qui n’aurait, croient-ils, aucun fondement
biologique.
Des « autrices » sans
crédibilité
Des
« autrices » féministes, telles Andrea Dworkin, Robin Morgan, T-Grace Atkinson
et Marilyn French, notamment, « dénoncent » l’hétérosexualité oppressive envers
les femmes, mais sont néanmoins enseignées dans nos universités comme s’il
s’agissait de chercheuses scientifiques crédibles et pertinentes.
À
Paris, des néo-féministes sont allées jusqu’à organiser un festival ayant pour
thème « Sortir de
l’hétérosexualité » !
Ça ne s’invente pas. Selon les organisatrices, « on ne naît pas
hétérosexuel.le, on le devient ».
Des grenouilles sociologiques
qui se veulent aussi grosses que des bœufs scientifiques
Bien
sûr, aucune recherche scientifique sérieuse ne vient valider les études de
genres, bien au contraire. Mais gare aux chercheurs ou étudiants honnêtes et
rigoureux qui osent mettre en doute cette idéologie foireuse. Les fanatiques
qui défendent bec et ongle cette supercherie idéologique pourraient
leur mener la vie impossible, allant même jusqu’aux menaces.
Non, on ne devient pas fille
quand on est un gars
Contre
tout bon sens et toute intelligence, les études de genres sont nées d’un échec
tragique qui aurait dû les disqualifier à tout jamais. Le « précurseur » de
cette folie, John Money, en est le responsable, jamais inquiété. Selon cet
article du Point, «
il est rarement mis en avant par les disciples des études de genre de quel
drame humain et de quelle supercherie scientifique le père du genre, John
Money, se rendit responsable. »
L’occasion fait le larron
Toujours
selon Le Point : «
En 1966, le médecin est contacté par un couple effondré, les époux Reimer. Ils
sont parents de jumeaux âgés de 8 mois, qu’ils ont voulu faire circoncire. Las,
la circoncision de David par cautérisation électrique a échoué, son pénis est
brûlé. Brian, son jumeau, n’a, lui, pas été circoncis. Que faire de ce petit
David dont la verge est carbonisée ? Money voit dans cette fatale mésaventure
l’occasion de démontrer in vivo que le sexe biologique est un leurre, un
arbitraire dont l’éducation peut émanciper. »
Boucherie et lavage de
cerveau
S’ensuit
un travail horrible de boucherie et de lavage de cerveau : « Il convainc les
parents d’élever David comme une fille, de ne jamais lui dire – ni à son frère
– qu’il est né garçon. Le médecin administre à l’enfant, rebaptisé Brenda, un
traitement hormonal et, quatorze mois plus tard, lui ôte les testicules. Ses
parents la vêtent de robes, lui offrent des poupées, lui parlent au féminin. »
À six ans, tout semblait
normal
À
six ans, tout semble « normal » et les deux enfants se comportent en fonction de
leur genre attitré : «
Money est convaincu d’avoir prouvé que le sexe biologique s’efface pour peu
qu’on lui inculque un autre « genre ». Il publie de nombreux articles
consacrés au cas « John-Joan » (c’est ainsi qu’il nomme
David-Brenda), puis, en 1972, un livre, « Man – Woman, Boy – Girl ».
Il y affirme que seule l’éducation fait des humains des sujets masculins ou
féminins. La « théorie du genre » est née. »
Il sent qu’il (re) devient
garçon
Malheureusement,
David-Brenda, en grandissant, sent qu’il devient un garçon et s’en trouve plus
que perturbé : «
Effarés, les parents révèlent la vérité aux jumeaux. Brenda redevient David, il
se marie à une femme. Mais les divagations identitaires ont ébranlé les
garçons. En 2002, Brian se suicide. Le 5 mai 2004, David fait de même. De cette
fin tragique Money ne fait point état. En 1997, Milton Diamond, professeur
d’anatomie et de biologie reproductive à l’université de Hawaï, dénonce la
falsification. Money réplique en évoquant une conspiration fomentée par des personnes
« pour qui la masculinité et la féminité seraient d’origine
génétique »… Est-ce si faux ? »
Quand un homme n’apprend pas
des ses erreurs
Eh
oui, c’est sur les bases de cette tragique fumisterie qu’ont pris naissance les
études de genres, obstinément enseignées dans nos universités, contre toute
logique, contre toute intelligence, contre tout bon sens, contre tout
humanisme. Un pays, la Norvège, a décidé de mettre un terme à cette folie en
coupant les subsides aux départements préconisant les études de genres. Un
documentaire, pour le moins révélateur et déterminant, intitulé Le
paradoxe norvégien,
est à l’origine de cette décision sensée.
Si
vous croyez en la pertinence des études de genres, je ne saurais trop vous
recommander de visionner ce film. Ces 38 minutes pourraient compter parmi les
plus déniaisantes de votre vie…
4 commentaires:
profites-en pendant que ça passe lol je vais continuer de signaler tes publications haineuses et ça devrait pas trop durer
crisse d'agrès
Sa va faire pleurer nos petits complexés à la peau mince.
Merci pour ce texte.
@ Anonyme Tu donnes la preuve de ta lâcheté et de ton incapacité à débattre. Vous autres, wokes rétrogrades, n'avez que cette attitude fanatique à la bouche ou sous votre clavier : faire taire. Personnellement, je ne ferai jamais rien pour te censurer. Au contraire, je préfère exposer ton intolérance, ton étroitesse d'esprit et ta bêtise...
En plus, tu n'as même pas le courage de signer ton nom. Preuve de ta couardise.
@ Anonyme 2 Ma réplique s'adressait au premier anonyme. Merci du commentaire.
Enregistrer un commentaire