L’événement a fait la manchette récemment : Pierre Turbide a été victime d’allégations mensongères flagrantes de la part de son ex-conjointe à trois reprises, mais le système judiciaire n’en a pas moins jugé indispensable de le juger les trois fois et de le garder incarcéré pendant quatre mois, la troisième en détention préventive. Nul doute que les magistrats à l’origine de décisions aussi aberrantes mériteraient de sévères sanctions. Il semble bien qu’ils bénéficient au contraire d’une immunité diplomatique éhontée.
Le
Journal de Montréal relate ainsi les derniers développements de cette saga de
12 ans initiée et entretenue par une ex-conjointe manipulatrice et encouragée
par un système judiciaire profondément sclérosé et féministement arriéré :
« À peine libéré des accusations de voies de fait et de menace
qui pesaient contre lui, Pierre Turbide réalisait que sa victoire n’était que
partielle jeudi matin en sortant de la Cour d’appel. Celui qui a fait quatre
mois en détention préventive à la suite d’une troisième plainte pour violence
conjugale déposée par son ancienne conjointe en 12 ans, se décrit comme une
victime. »
Sa
victoire est partielle puisque monsieur Turbide a été reconnu coupable d’avoir
eu en sa possession un poing américain, une arme illégale dont il jure n’avoir
jamais été le propriétaire. Qui aurait bien pu glisser cette arme dans ses
affaires ?…
Une manipulatrice récidiviste…
Tout
juge ou policier un tant soit peu alerte, compétent et intègre n’aurait jamais
pris au sérieux les divagations d’une manipulatrice comme l’ex-conjointe de
Turbide. Dès 2002, elle attaque ce dernier au couteau, est reconnue coupable,
puis emprisonnée. Malgré les faits, notre système ouvrant la porte aux pires
mensonges du moment qu’ils sont proférés par une femme, la brute porte plainte
contre monsieur Turbide pour harcèlement et voie de fait grave.
Pierre
Turbide se voit donc contraint de subir un procès, sur les simples allégations
de madame. Celle-ci trouve opportun de lui sauter au cou et de lui demander de
reprendre la vie commune en pleine salle d’audience et en présence des médias !
Comme il fallait s’y attendre, devant le caractère bidon de la cause, l’homme
se voit acquitté.
Un
an plus tard, même manège : fausses allégations de voies de fait et de
harcèlement criminel, nouveau procès injustifié et nouvel acquittement. Encore
là, on doit se demander sur quelles bases un nouveau procès a bien pu être
initié, vu le précédent illustrant de façon on ne peut plus limpide la mauvaise
foi de la plaignante.
Pour
des raisons connues de lui seul, monsieur Turbide passe cependant l’éponge et
reprend la vie commune avec cette conjointe toxique et mortifère. Il s’en mord
les doigts aujourd’hui : « Je lui ai pardonné, j’étais en amour. Je sais que j’aurais dû
la quitter. »
Ah, l’amour…
Jamais deux sans trois…
C’est
en 2014 que monsieur Turbide devait – enfin – décider de mettre un terme à sa
relation avec sa tendre moitié. Il n’en fallait pas moins pour que cette
manipulatrice dépose une troisième plainte contre lui et réussisse cette fois,
on se demande comment, à le faire condamner. « C’est un coup monté qu’elle a préparé
»,
a-t-il affirmé.
Confirmation
que la parole d’un homme faussement accusé ne pèse pas lourd en comparaison de
celle d’une femme et que la présomption d’innocence est devenue biodégradable
au Québec, c’est grâce à un document signé par la plaignante dans lequel elle
avouait avoir menti que son ex-conjoint a pu se voir libéré en appel des
accusations pour lesquelles il a d’abord été reconnu coupable. Elle est bien
gentille…
L’avenir
professionnel de monsieur Turbide est cependant hypothéqué par la condamnation
d’avoir possédé un poing américain : « « Quand le futur employeur va voir
possession d’une arme prohibée, il va me refuser. C’est une épine dans le
pied », plaide celui qui n’a pas fini de se battre. »
Pas de doute, Pierre Turbide n’en a pas fini avec notre douteuse justice. Il sera encore la proie d’un système qui prétend réparer les injustices, mais qui se nourrit trop souvent de la misère humaine qu’il entretient lui-même. De son côté, son ex-conjointe, qui aurait dû se voir accuser de méfait public pour avoir proféré de fausses allégations, en vertu de l’article 140 du code criminel, ne sera nullement inquiétée ni identifiée des médias. Normal, les femmes sont si vulnérables…
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